Recherche De Stage
Je narrivais pas à décrocher un stage, pourtant il commençait la semaine prochaine. Cela risquait dêtre difficile de paraître zen pour le dernier entretien, ma dernière chance
Lentretien devait se dérouler au 8e étage dun immeuble.
Javais fait très attention à ma tenue, avec ma jupe (pas trop courte) rouge, et un joli chemisier blanc bien fermé jusquen haut (enfin
pas jusquen haut, le chemisier était un peu juste et je ne pouvais pas le fermer totalement sinon ma poitrine aurait été trop comprimé
).
La seule fantaisie venait des sous vêtements, mon péché mignon je dois avouer
Ceux la étaient rouge et noir en dentelle avec le shorty assorti. Faut me pardonner, cétait les soldes
Et puis, mon directeur nétait pas non plus censé les voir donc
Cest donc habillé assez sagement mais très nerveuse que je montais à lassaut de limmeuble ! En arrivant, la secrétaire mannonça que le DRH arrivait dune minute à lautre mais que elle devait filer. Elle me laissa donc masseoir pour attendre.
10 minutes plus tard, jattendais toujours, ce qui avait fait accroître ma nervosité. La secrétaire avait du laisser le chauffage à fond, il faisait une espèce de chaleur étouffante. Jallais pour me rafraîchir quand la porte de la direction souvrit, laissant apparaître un homme, 25 ans environ, brun, dune carrure imposante
Il minvita à entrer dans le bureau. Il sinstalla derrière tandis que jattendais patiemment quil minvite à masseoir à mon tour. Au lieu de ça il me regarda de la tête au pied, avant de sourire et de lancer : « Vous avez chaud ?« Il est perspicace celui là ! Il fait une de ces chaleurs ! Mais bon je me contentais de répondre :
- Oui, cela doit être dur à la nervosité.
Il eu un étrange sourire avant dajouter :
- Vous pouvez déboutonner un ou deux boutons mademoiselle, nous ne sommes pas au couvent ici.
Une fois de plus il sourit en me voyant rougir, je mexécutais.
Jattendais toujours quil minvite à masseoir. Au lieu de ça
- Mademoiselle, pouvez vous tourner sur vous même, jaimerais pouvoir vérifier quelque chose.
Sa demande mintriguait
En quoi cela pouvait jouer ? Cependant je mexécutais. Une fois mon tour fini il murmura : « cest bien ce que je pensais
».
Il enchaîna comme si de rien nétait.
- Pour ce stage, il vous faudra être capable de faire face à limprévu, à des situations anxiogènes.
- Oui, je men doutais, mais je pense être tout à fait capable de faire face à des situations complexes.
- Vous en êtes sure ?
- Je pense que oui.
Dun geste de la main il minvita à masseoir mais lui resta assis sur le bord du bureau.
- Vous voulez boire quelque chose ?
- Je veux bien un verre deau sil vous plait.
Tandis quil allait chercher une carafe deau et un verre, jessayais tant bien que mal de me redonner une allure convenable, dun geste nerveux je remis mes cheveux en place, ma jupe, mon collier
Je le vis arriver, cest pourquoi je me dépêchais de remettre mon collier en place. Ma main effleura la naissance dun de mes seins tandis que je le remettais. Je surpris son regard qui suivait ma main.
Loin de se détourner, il continua de regarder dun air appréciateur ma poitrine emprisonnée dans son écrin de dentelle rouge et noir.
- Vous nêtes pas aussi sage quil ny paraît mademoiselle
je peux vous appeler par votre prénom ?
- Euh
oui
Je me sentais terriblement gêné par la scène et pourtant je sentais mon
corps se tendre tandis quil me déshabillais du regard, je me surprise à me dire que jaimais ça
Il poussa vers moi la carafe.
Une fois mon sac en main, je croisais son regard. « De toute façon fichu pour fichu
autant samuser un peu
». Mon stage était perdu sauf
- Ce que vous voyez suffit ou il en faudrait un peu plus ?
Il fit rouler son siège en arrière, il nétait plus la peine de se cacher maintenant. Je voyais donc le DRH affalé dans son siège, la main dans son boxer qui me regardait avec une envie non dissimulée, et ça mexcitait de savoir que cétait moi qui linspirait.
- Ecoutez, vous pouvez toujours mexposer vos arguments. Il me semble que vous devriez enlever votre chemisier vous allez attr froid.
Je mexécutais, en faisant glisser mon chemiser, une bretelle de mon soutien gorge glissa sur mon bras. Son regard se fixa dessus. Alors je décidais de masseoir dans le fauteuil en face de lui
Je décidais dattr la carafe et de vider sur moi ce quil restait, les gouttes perlaient à la naissance dun sein. Mon pouce lattrapa et glissa vers la pointe. Je regardais droit dans les yeux celui qui me décoinçait. Je jouais quelques instants avec la pointe lorsquun gémissement méchappa.
- Tu aimes ça affoler les hommes
- Pour le moment je maffole toute seule
Vu que vous êtes occupé ailleurs
Un grand sourire fut sa réponse
- Nous navons quà continuer à profiter du spectacle de lautre
pour le moment
- Vous en profiteriez plus sans toutes ses barrières, je regardais alors son pantalon et son caleçon.
- Vous être pleines de ressources, japprécie cela chez mes stagiaires. Je le vis abandonner son sexe un instant pour enlever son pantalon, mais aussi le reste
Jai pu observer à quel point, il était bien proportionné
de partout, un sexe droit, fort, qui paraissait tendu au plus au point
Cest pratiquement sans men rendre compte que ma main se fraya un passage sous ma jupe, glissa sous le shorty, humide, mes doigts retrouvèrent cet endroit si connu, promesses de plaisirs. Mes doigts jouèrent avec mon bouton, un frisson me parcourut, la bretelle du soutien gorge tomba complètement laissant mon sein à découvert. Et ça mexcité ce sein nu quil dévorait du regard tendit que sa main sagitait tant quelle pouvait
- Vous cherchez quelque chose
Votre regard
- Je
je crois que mes doigts ne suffiront pas
et
je nen peux plus
Haletante, jenfonçais tout de même deux doigts dans mon vagin, ça faisait du bien, et pourtant cétait tellement frustrant. Tout à coup je le vis sortir de sa chaise pour sapprocher de moi. Il me mis debout et arracha mon shorty, enleva ma jupe. Je me retrouvais juste en soutien gorge devant cet homme, son sexe durci à quelques centimètres de moi
Et moi tremblante de frustration
Il fallait que je jouisse et vite. Il me prit dans ses bras et mallongea sur le bureau avant de baisser sa tête vers mon sexe, tellement humide, tellement seul
Il passa sa langue adroite et experte, mes gémissements devinrent des cris. Il posa une main sur ma bouche et chuchota :
- Vous devez être capable de vous adapter à la moindre situation
pas un bruit
Deux secondes après je sentis deux doigts dans mon vagin
Cétait tellement bon, tellement fort que je lui murmurais « vas y
maintenant
maintenant, met la moi
».
A peine que je prononçais ces paroles quil retira ces doigts, sa tête
- Il est peut être tant que tu toccupes de moi
Il me tendait son sexe, tellement appétissant, tellement dur
Mes doigts se promenèrent sur son torse, son dos, ses cuisses avant de remonter vers son pénis, le long de sa verge
imprimant un mouvement bien connu.
Jimprimais les mouvements à mon rythme, je le voulais profondément, lui ne détachait pas son regard de mes seins qui sagitaient au dessus de lui. Jen pris un dans ma main et le pétri comme si ma vie en dépendait
Je voulais lorgasme maintenant
maintenant
Je sentis enfin son sperme en moi après quil mait mis un dernier et puissant coup de rein
Il me regarda, soupesa un de mes seins et déclara :
- Vous avez le poste, vous serez mon assistante personnelle.
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