Rencontre Indienne A Cochin

Mon petit indien

Comme prévu, voici la 2ème histoire vraie dont je vous entretenais lors du précédent article.
Notre circuit dans le sud ouest de l’Inde touche à sa fin et nous nous retrouvons à Cochin. Nous descendons dans un bel hôtel du style victorien. Après avoir pris une douche et m’être changé, je fais quelques pas à proximité de l’hôtel pour observer les pêcheurs avec leur balancier chinois que je filme. C’est très intéressant. Tout en marchant, je passe devant un jeune indien avec de fines lunettes qui me fait un grand sourire. Je lui rends son sourire et continue de marcher. Tiens, tiens, me dis-je, y aurait-il une ouverture ? Je m’arrête au bout de quelques mètres et fais semblant de filmer. Le petit gars vient vers moi, tout sourire et se met à me caresser un bras. Son regard en dit long. On entame la conversation en anglais en échangeant des banalités habituelles, telles que le nom, de quel pays je viens, quel hôtel, marié ou pas, etc.. Je lui plais et il m’avoue aimer les hommes d’âge mûr. Ca tombe bien car j’aime les jeunes asiatiques. Que demander de plus.
J’aimerai bien passer un moment avec lui car il est vraiment craquant. Cependant, avec les autres participants, nous devons dans l’heure qui suit, visiter à pied le vieux Cochin puis, en fin d’après-midi, visiter le port. Je lui donne rendez-vous devant l’entrée de l’hôtel à 18 heures mais n’irais pas visiter le port. L’après-midi se déroule comme prévu et quitte mon groupe en prétextant une fatigue soudaine. A 18 heures précises, mon petit indien est là, tout sourire dans son futte moulant.
Sur le chemin de la chambre de l’hôtel, il devient hésitant. Il a peur. Peur de quoi ? Je le rassure en lui disant qu’il n’y aura personne d’autre que nous deux, que je ne vais surtout pas lui faire de mal, qu’il n’y a pas de lézard, etc.. Nous sommes dans la chambre, il me dit que c’est la première fois qu’il entre dans une chambre d’hôtel avec un mec.

Il a honte. Encore une fois, avec douceur et diplomatie, j’arrive à le tranquilliser. On discute un bon moment devant un verre tout en fumant une clope. Je contemple son paquet rebondit tandis que je bande un peu comme lui certainement. Il est vraiment mignon, 23 ans, 160 cm environ, svelte, sa peau café au lait est très douce.
J’entreprends de lui dégrafer sa chemise et lui masse ses tétons pointus. Je joue avec ceux-ci, il met sa main sur la mienne. Il aime ça mon petit indien. Il me dégrafe aussi et me suce les tétons. Oh ! Que c’est bon. Ma main palpe doucement son ventre. Il est tout à fait imberbe et musclé. Je lui passe la main sur son paquet, il bande dur d’après ce que je sens. Il en fait de même pour moi. Je lui ouvre son pantalon et plonge la main dans la braguette, le branle lentement par dessus son slip. Un moment après, nous nous retrouvons sur le canapé, à poil et en érection maximale. Il me semble maintenant moins tendu. Son pubis est bien fourni, il a un sexe de moyenne grandeur et un gland brun que je décalotte. Une petite paire de couilles rasées ainsi qu’un joli petit cul bien ferme et serré, comme je les aime.
Nous nous dirigeons vers la salle de bain où il y a une douche suffisamment grande pour se doucher à deux. Nous faisons couler l’eau chaude sur nos corps et nous nous savonnons, mes doigts glissent lentement de son dos à sa raie et lui masse sa rosette avec insistance. A ce moment-ci, il émet un petit gémissement et se lâche complètement. Mon majeur est bien introduit dans son anus et effectue des mouvement de va et vient. Son cul est maintenant bien ouvert, je me mets à genoux et le lèche copieusement. Il se penche en avant et écarte ses petites fesses pour mieux recevoir ma langue. Je me redresse et entreprends de le pénétrer très doucement. Il me fait arrêter car je lui fais mal. Mon 16/4 serait-il trop gros ? Qu’à cela ne tienne, on verra ça plus tard. Il est maintenant devant moi accroupi et me suce goulûment. C’est beau et c’est bon. Il me retourne et me bouffe le cul tout en se branlant. J’écarte bien mon cul et sens sa bite appuyer puis entrer en moi lentement. Il est maintenant bien à fond, c’est divin.
Nous nous séchons. Il a froid. Nous nous enfilons dans le grand lit et là, après quelques instants, nous entreprenons un 69 endiablé. Nous nous bouffons le cul. Je suis maintenant devant lui alors qu’il est sur le dos, les jambes poilues bien relevées et écartées. Sa rosette n’a que quelques petits poils. Comme j’adore ce spectacle, je lui bouffe le cul à nouveau. Je lui introduits un peu de gel que j’avais emporté avec moi (on ne sait jamais) et m’approche doucement. Un petit cri et un grand soupir de sa part, je suis maintenant bien introduit dans son cul. On se roule une pelle, ses bras m’enlacent à en couper le souffle. Etant au bord de l’explosion, je me retire pour faire durer le plaisir. Il est maintenant sur le ventre, jambes et cul bien écartés et je le lime de plus belle. A son tour, il m’encule à fond en position du missionnaire et en levrette. Il me dit qu’il veut jouir sur mon visage tandis que je dois lui envoyer ma purée dans la bouche. On attend un moment puis le chevauchant, il me pompe et je lui éjacule dans la bouche. Il vient sur moi, je lui mets un doigt profondément dans le cul. Il se branle et je reçois quatre jets puissants de sa semence odorante et chaude sur le visage. Quel bonheur d’être avec ce petit gars tout sourire. Nous restons un bon moment l’un contre l’autre. Il me caresse le visage encore bien mouillé de foutre.
Nous devons hélas, mettre un terme à nos ébats. La mort dans l’âme, nous nous quittons après avoir pris encore un verre. Je sais que je ne reverrais plus jamais mon petit indien. Heureusement, je garde un doux souvenir de notre rencontre d’il y a quatre ans, la preuve, cet article. Je retrouve mon groupe pour le repas du soir. A la question « as-tu pu te reposer ? », j’ai répondu, « oh oui, c’était divin ».

Qu’en penses-tu ? Réponds-moi, merci.

Serge