Les Malheurs De Carole (Chp 2)
Chapitre 2: Travail, obéissance et chasteté
Cette première journée fut consacré à faire connaissance avec ma nouvelle vie de détenue, et après le repas du soir, soupe tiède et pain sec, je fus conduite en cellule. Je partageais cette pièce minuscule avec quatre autres jeunes femmes. Il ny avait que trois lits. Une fille dormait déjà par terre sur un matelas. Mais pas de matelas pour moi, je dormirais sur les dalles enveloppée dans une couverture. Je nosais protester.
« Et touchez pas à la nouvelle, bande de salopes, je branche la caméra » prévint la gardienne avant de fermer la lourde porte.
En effet, une caméra fixée dans un angle était braquée sur nous. Javais ôté ma robe et métais enveloppée, nue, dans le drap avant de menrouler dans la couverture le plus vite et le plus discrètement possible. Mais mes codétenues avant gardées les yeux sur moi, et leurs regards vicieux ne mavaient pas échappés. Heureusement que la caméra me protégeait !
Je profitais de cette relative intimité pour demander à ma voisine des explications sur la vie de la prison. Voici en résumé ses propos, échangés à voix très basse, serrée lune contre lautre.
« La vie ici est elle vraiment très dure ?
« Plus que tu ne limagines
A la privation de liberté sajoute le travail et surtout labstinence sexuelle, très dure pour des jeunes femmes, ici depuis des mois, voir des années
La moindre relation est impitoyablement punie
et les gardiennes, sadiques, ajoute des aphrodisiaques aux repas
certaines dentre nous en deviennent folles
surtout avec le travail
Sais tu en quoi il consiste ? Il faut mettre en sachet, douze heures par jour, des godemichets et des vibro masseurs pour une entreprise de VPC. Pendant douze heures on doit manipuler des gros sexes plus vrais que nature, des vibro dont on imagine sans peine le plaisir quils peuvent délivrer
La nuit on ne rêve plus qua ça
Certaines craquent, se retrouvent discrètement sous les douches, ou derrière la chapelle
ou encore se caressent seules
Mais il y a toujours une gardiennes dans les parages, quant ce nest pas une détenue qui dénonce, par jalousie
« Il paraît que les punitions sont doublées si
enfin, si on est pas restée chaste ?
« Exact, que tu ai fauté volontairement ou que des codétenues t-aient e, peu importe.
« Tu as été punie ?
Ma camarade hésita un instant
« Oui une fois
jétais incarcérée depuis quatre mois
je nen pouvais plus
je crevais denvie
jai cédée à une amie, sous la douche
Elle ma fait jouir très fort
Je nai pu mempêchée de gémir de plaisir
Une gardienne est arrivée, et jai pris pour un mois de cachot
Tiens, rien que de penser à cet orgasme, je mouille encore
A lidée que ma camarade était encore excitée à ce souvenir je sentais une chaleur sourde envahir mon bas ventre. Moi aussi, javais envie, je me sentais devenir garce. Cest à cet instant que je compris que dans cet univers reclus et avec les traitements qui étaient infligés aux détenues, jallai très vite ne plus pouvoir penser quau sexe, que jallai devenir totalement obsédée.
« Et la directrice ta ligotée ?
«
oui
Pendant trois jours jai eu droit à un bondage sévère dans son bureau
Ligotée sans pouvoir faire le moindre mouvement
Et pour me punir, elle mavait introduit deux boules dans le sexe
Je mouillais comme une folle, sans pouvoir jouir
.
« Ca durait longtemps ?
«
la journée entière
en fait elle me préparait
« A quoi ?
« La directrice est une lesbienne, cest connue. Dordinaire, elle a des relations avec les gardiennes. Mais quand lune dentre nous est punie, on devient sa proie
Jétais de plus en plus excitée par le récit de ma camarade
« Ensuite ?
« Elle ma libérée, ma fixé une ceinture de chasteté, fermée par cadenas
Elle a voulue que je la lèche toute la nuit
.je lui ais donné ainsi de nombreux orgasmes, sans pouvoir jouir moi même
si tu savais comme elle crie quand elle jouit !
« Et tu as gardé longtemps cette ceinture ?
«
je
oui
je lai encore
depuis trois mois
je la garderais jusquà la fin
encore un mois à tenir
Elle termina sa phrase dans un soupir de frustration.
Le lendemain, comme toute nouvelle arrivée, je dus passer une visite médicale et je fus conduite, par deux matonnes, jusquà linfirmerie. Outre une jeune infirmière moulée dans une blouse blanche à demi transparente sous laquelle on devinait sans peine sa nudité, il y avait la Directrice, toujours aussi raide, les deux gardiennes, et trois autres jeunes femmes, des détenues comme moi, qui sans doute attendaient leur tour.
Linfirmière me mesura, me pesa, prit ma tension et me fit lire en me cachant alternativement un il sur un panneau à trois mètres de distance. Jusque là, rien que de très classique. Je men tirais bien !
« Enlève ta robe »
Lordre de la Directrice claqua sec : il fallait obéir. Je dégrafais mon habit, et bien sur, ne portant aucun sous vêtement, japparue dans le plus simple appareil devant les sept femmes qui faisaient cercle autour de moi.
« Allonge-toi là » me demanda linfirmière dune voix douce, sans doute pour me mettre en confiance. Je mallongeais donc sur la table de gynécologie vers laquelle elle me poussa. Je glissais de moi même mes pieds dans les étriers prévus à cet effet. Une gardienne me lia immédiatement les chevilles avec des courroies de cuir, pendant que sa collègue, me saisissant les poignets, me ramena les bras au dessus de la tête, et les attacha solidement avec de semblables courroies. La Directrice acheva de mimmobiliser en fixant une dernière courroie autour de ma taille, me maintenant étroitement le bassin plaqué sur la table. Plus aucun mouvement ne métait possible, et linfirmière, actionnant une petite manivelle, augmenta lécartement de mes jambes au maximum : jétais désormais offerte largement ouverte aux yeux de toutes
Tous ses préparatifs mavaient troublée, mais maintenant, ma situation de totale dépendance commençait à mexciter singulièrement.
« Tu es vierge ? demanda la Directrice
«
non
je
non madame
« Madame qui ? fit elle durement en écartant mes lèvres, maintenant toute mouillée
«
Madame
Madame la
la Directrice
« Vérifiez sa propreté fit elle en sécartant devant linfirmière
La jeune femme nattendait que ça. Profitant de mon impuissance, elle enfonça deux doigts dans mon vagin sans défense. Je poussais un gémissement de surprise et de plaisir. Plus de plaisir dailleurs que de surprise.
« Montrez son clitoris demanda la Directrice
Linfirmière, en vrai technicienne (techichienne devrai je dire !) trouva sans peine mon petit bourgeon déjà bien gonflé et le titilla jusqu'à ce que mes gémissements, lalertant sur mon état, la fissent arrêter.
« Maintenant vérifiez le point G poursuit la Directrice
Je nen croyais pas mes oreilles. Offerte sans défense, déjà passablement excitée, elle allait me faire jouir à coup sur
Effectivement, ses doigts me pénétrèrent au plus profond, se tendirent, sagitèrent, et enfin simmobilisèrent sur la zone sensible. Jétais arrivée au bord de lorgasme, tendue dans mes liens, haletante. Mais elle se retira, me laissant insatisfaite, pantelante, à demi consciente.
« A vous maintenant ordonna la directrice à lune des gardiennes. Et je du subir de nouveau les mêmes attouchements de cette femme, moins délicate cependant que linfirmière, mais qui su cependant sarrêter à temps avant que mon plaisir néclate.
Puis ce fut le tour de la seconde gardienne, et successivement des trois détenues
Toute honte bue, je les suppliais de machever, de me faire jouir, de me prendre, puisque jétais à leur merci. Mais elles sy refusèrent, obéissant certainement à une consigne de la directrice. Enfin elles se retirèrent, me laissant seule, attachée, frustrée et gémissante.
« On te délivrera quand tu sera calmée » fit la Directrice en fermant la porte.
Combien de temps restais je ainsi, immobile, liée sur cette table, le feu au ventre ? Une heure ? Deux heures ? Peut être trois ? Peu à peu je me calmais, la fièvre retomba, mais une sourde chaleur rayonnait toujours dans mon ventre. Enfin linfirmière revint et me délivra. Je remis ma robe et une gardienne me conduisit à la chapelle.
Nous pénétrâmes dans la chapelle, obscure et fraîche, aux murs massifs. Face à lautel, une vingtaine de prie dieu, et dans un angle un confessionnal de bois sombre étaient le seul mobilier.
Sur lordre de la gardienne, je me mis à genoux sur les dalles de lallée centrale. Elle me lia les mains derrière le dos avec des menottes.
« Attend ton confesseur et bouge pas » puis elle partit, me laissant seule dans le silence impressionnant des lieux.
A la vue de la croix dargent qui brillait toujours à mon cou, la Directrice avait conclue que je devais être catholique pratiquante, et à ce titre, que je devais me soumettre aux obligations de ma foi. Elle avait aussi ajouté que ma conduite se devait dêtre irréprochable, et que tout écart serait doublement sanctionné. Voilà pourquoi jétais là, à genoux depuis maintenant une heure dans cette chapelle silencieuse. Nue sous ma tunique duniforme, je commençais à ressentir des frissons, et le froid faisait durcir mes pointes de seins
Dailleurs, mon corps navait encore oublié le traitement spécial de linfirmerie, et un sourd désir me taraudait en permanence, rendu plus intense encore par létat de soumission ou lon mavait laissée.
Enfin mon confesseur arriva. Je le vis à peine. Il sengouffra dans le confessionnal sans un mot. Me redressant avec peine, je ly rejoignis. Je magenouillais dans lobscurité, les mains toujours liées derrière le dos. La position mobligeait à cambrer, rendant bien visible les pointes de mes seins qui pointaient sous le nylon.
« Bénissez moi mon Père, jai beaucoup péchée
(ça cétait bien vrai
)
« Je técoute fit il dune voix sourde
Je décidais de jouer le jeux et dêtre sincère dans ma confession. Je pensais que ma franchise me vaudrait lindulgence, et peut être assouplirait quelque peu ma condition dans cette prison.
« Jai commis le péché de chair
« Seule ou avec dautres ?
«
Seule
et avec dautres
« Quand la première fois ?
Il me fallut donner tous les détails, préciser les circonstances, les lieux
« Et les autres fois ?
Je dus parler des garçons avec qui javais couché, toute jeune fille, et chaque fois mon confesseur voulait plus de précisions : comment javais jouis, combien dorgasmes, quelles positions javais prise.
« As tu connu des femmes ?
Il me fallu bien avouer que, oui, effectivement, je métais donnée également à des femmes, et là encore, décrire avec minutie mes aventures.
A ce stade de la confession, jétais devenue brûlante entre les cuisses, je coulais sans retenue, et je comprenais pourquoi on mavait laissé les menottes : sinon je me serais déjà sûrement caressée
« Et avec ton amant ?
« Oui
je fais lamour presque toutes les nuits
Parfois plusieurs fois dans la nuit
Cest un étalon insatiable »
Il sentait combien toutes ces souvenirs me troublaient, et il prenait un plaisir sadique à exiger un luxe de détails, sachant que leur évocation ne pouvait que mexciter davantage. Je dus donner toutes les précisions, et effectivement, jétais maintenant bien allumée. Mais je dus encore avouer que je me masturbais très souvent et finalement le tableau que je donnais de moi était celui dune parfaite salope qui ne vit que pour et par le sexe.
« Tu es vraiment une grande pécheresse, me dit il, je ne sais pas si je peux tabsoudre si facilement. En attendant va te mettre à genoux au pied de lautel et attends ma décision »
Ce que je fis en silence. Et je me retrouvais sur les dalles de granit, agenouillée, droite et tendue au pied de lautel. Javis les poignets endoloris par les menottes que je portais depuis deux heures maintenant. Mais surtout, ma confession mavait mis dans un état dexcitation incroyable : je crois bien quun simple attouchement sur les seins ou le ventre maurait fait jouir immédiatement. Une mouille chaude coulait sans arrêt de mon sexe embrasé, inondant mes cuisses que laissait nues ma blouse trop courte. Jétais morte de honte davoir tellement envie. Je dus attendre près dune heure dans cet état.
Enfin mon confesseur revint.
« Je vais tabsoudre, petite salope, mais ta pénitence sera sévère. Tu acceptes ? »
Je navais pas le choix si voulais retrouver la paix avec ma conscience teessayer damadouer le prêtre pour men faire un allié
« Tu seras transférée au cachot pour la totalité de ta peine et fouettée matin et soir par les gardiennes : tu es bien trop sensuelle pour rester en cellule. Nous verrons ensuite quelles mesures prendre à ton égard. »
La sentence, car ce nétait pas autre chose me laissa sous le choc.
Il me confia aux bons soins dune gardienne, qui memmena aussitôt sous la douche glacée pour me calmer
..
Je passais une dernière nuit en cellule, ou lon me laissa menottée, par sécurité. Malgré la caméra, mes compagnes, me voyant sans défense, ne se privèrent pas de se livrer à des attouchements impudiques. Surtout la jeune Nathalie, celle qui portait en permanence une ceinture de chasteté. Elle se vengea en laissant des heures ses doigts caresser mon pubis, et descendre à vers mes grandes lèvres inondées de nouveau, refusant de me faire jouir
Je dormis très mal et jen vins à être satisfaite dêtre isolée au cachot pour la suite de ma peine!
. . . Vous avez aimé? Vous n'avez pas aimé? Contactez moi pour me faire part de vos impressions!
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