L'Initiation De Guillaume
<< Linitiation de Guillaume >>
La pluie tombait drue sur le pare-brise de la Clio en cette après-midi de juin. Un orage aussi violent que soudain, comme il y en a lors des étés caniculaires. Claire derrière son volant devait porter toute son attention à la route luisante et rendue glissante par le déluge... Aussi cest avec un immense soulagement quelle franchit enfin le portail de son pavillon de banlieue. Stoppant le véhicule devant le garage, elle courut jusquà la porte dentré quelle ouvrit rapidement afin de se mettre à labri. Mais comme elle sapprêtait à refermer la porte derrière, elle aperçut une silhouette qui sabritait tant bien que mal sous le porche de la maison faisant face à la sienne.
Reconnaissant Guillaume, le fils de ses voisins, qui tentait déchapper aux trombes deau que le ciel lui déversait sur le crâne, elle linterpella afin quil vienne se protéger de la pluie. Dégoulinant de la tête aux pieds, le garçon ne se fit pas prier pour se précipiter vers labri quon lui proposait et dans lequel il sengouffra, ruisselant.
-- Mon Dieu ! Mais tu es trempé, sexclama Claire en découvrant létat dans lequel ladolescent était. Tu vas attr la mort si tu restes comme ça !... Viens, suis-moi !
Sans se soucier des traces humides que le garçon laissait sur le carrelage du sol, elle lentraîna vivement jusquà la salle de bain.
-- Vite, enlève tes vêtements mouillés que je les fasse sécher vers le radiateur, sollicita-t-elle.
Ravi de se débarrasser de ses habits détrempés Guillaume sexécuta, retirant prestement ses vêtements mouillés, gardant cependant son slip par pudeur. Ce dernier nétant en fait pas trop humide, protégé quil avait été par le Jeans. Avec ses cheveux trempés lui retombant de chaque coté du visage et ruisselants sur les épaules, ladolescent faisait pitié à voir.
-- Tu ne peux rester ainsi, cest un coup à attr la mort, sinquiéta Claire.
Tout en attrapant une serviette éponge, Claire ne pu sempêcher de remarquer combien le garçon possédait un corps harmonieux : des épaules larges, un torse bien développé, le ventre plat, la taille fine et des cuisses étonnement musclées. Surprise, elle saperçut quelle ressentait une étrange attirance pour ce jeune corps déphèbe, encore lisse, svelte et agréablement proportionné. Il lui rappelait la statue de David de Michel-Ange quelle avait un jour admirée à Florence, lors dun voyage en compagnie de son mari, le slip en plus. Elle dut faire un véritable effort sur elle-même pour sarracher à sa contemplation. Attirant ladolescent ruisselant à elle, elle entreprit de le frictionner vigoureusement.
-- Il y a longtemps que tu étais dehors sous la pluie, sinquiéta-t-elle ?
-- Une demi-heure, précisa Guillaume.
-- Et tes parents ne sont pas là ?
-- Maman devrait être là
Je ne sais pas où elle est allée.
-- Eh bien, tu lattendras ici
Tout en interrogeant le garçon, Claire sétait activé à lui frotter vigoureusement la tête afin de lui sécher les cheveux. Puis elle sattaqua dune main vigoureuse au torse musclé, quaucuns poils disgracieux ne venaient assombrir. Toute à sa tâche elle sagenouilla ensuite à même le sol carrelé pour continuer son essuyage. Consciencieuse, elle passa la serviette sur le ventre de ladolescent debout devant elle. Attentive à sa besogne et alors quelle frictionnait énergiquement le bas-ventre de ladolescent, son poignet vint, par inadvertance, frôler la virilité du garçon, tapie sous le slip. Toute à son activité, elle ne se rendit pas compte de ce que son effleurement avait dégrillard ; contrairement à Guillaume qui ressentit une étrange sensation en percevant cet attouchement contre son membre viril.
Troublé et soudainement gêné de se trouver ainsi à demi nu face à cette femme qui devait avoir à peu près lâge de sa mère, Guillaume baissa son visage vers cette dernière, agenouillée à ses pieds.
Toute occupée à son labeur, nayant rien remarqué du trouble sexuel quelle avait bien involontairement occasionné chez ladolescent, Claire laissa descendre la serviette le long des jambes de ce dernier, quelle trouva agréablement développées.
-- Tu es rudement musclé, remarqua-t-elle. Tu fais du sport ?
-- Oui, du foot, répondit fièrement Guillaume.
A presser, à travers la serviette, les muscles des mollets forts développés du garçon, Claire se surprit à éprouver un certain plaisir à palper cette jeune chair. Un étrange sentiment lenvahit. Sentiment dans lequel un insolite désir charnel prédominait. Depuis une semaine, elle se retrouvait seule le soir dans son lit, son mari ayant du se rendre à un congrès dans le nord de la France. A quarante ans, elle éprouvait toujours un impérieux besoin de faire lamour. Lâge navait en rien diminué sa libido. Or ce temps orageux qui sévissait sur la région avait un pernicieux effet sur ses sens. Et son époux nétant pas là pour calmer les élancements de son sexe, son comportement sen trouvait extrêmement perturbé. Aussi, le fait de sentir les muscles fermes de ladolescent rouler sous ses doigts, ne fit quaccen le trouble sexuel qui lhabitait depuis quelques jours
Se rendant compte soudainement de labsurdité de son imagination, Claire se força a chasser de son esprit ces pensées aussi grotesques quimpossibles.
Mais alors quelle sapprêtait à se redresser, son regard accrocha linconvenante protubérance qui déformait le slip. Cette découverte la stupéfia. Le tissu humide dessinait avec une précision absolue la forme du jeune membre viril, raide et gonflé. La gorge soudainement nouée par un trouble particulier, Claire fixa incrédule cette manifestation du désir de ladolescent.
Jamais elle naurait imaginé quà cet âge un garçon puisse avoir une érection dune telle force. Cette découverte la déconcerta tellement, quelle demeura un long moment à fixer cette extraordinaire excroissance qui déformait le léger slip ; nen croyant pas ses yeux. Malgré elle, elle tenta de comparer dans son esprit ce quelle devinait avec ce quelle connaissait ; cest-à-dire le sexe de son époux. Avec émoi, elle dut admettre que le jeune homme possédait une virilité déjà fort impressionnante. Se rendant compte soudain que la vision de cette excroissance la perturbait plus quil naurait dû, elle tenta de sy soustraire.
-- Tourne-toi, demanda-t-elle dune voix soudain enrouée. Que je tessuie le dos !
Soulagé à lidée de cacher son trouble sexuel aux yeux de la femme, Guillaume pivota vivement sur lui-même.
Le regard encore emplit de ce quelle venait de découvrir, Claire sattaqua au dos du garçon, mais dune manière plus douce. Rapidement elle laissa descendre la serviette jusquaux fesses tendues qui se dessinaient dune façon fort suggestives sous le slip humide. Toujours perturbée par ce quelle venait de découvrir, elle entreprit de frotter avec légèreté les rondeurs fermes et dures. Un certain plaisir sensuel lenvahit à sentir cette jeune chair sous ses doigts. Aussi sy attarda-t-elle plus longtemps quelle naurait dû, se laissant gagner par cette euphorie perverse.
Se rendant compte soudain quelle était en train de sexciter sur le corps dun garçon qui aurait pu être son propre fils, Claire dans un sursaut de volonté abandonna ses frottements et se redressa, le souffle court et la gorge nouée.
-- Je vais te faire chauffer un chocolat pour te réchauffer, parvint-elle à marmonner. Profites-en pour finir de te sécher et te donner un coup de peigne.
Ramassant les vêtements trempés de ladolescent, elle les emporta afin de les faire sécher sur un radiateur, fuyant la salle deau et ce jeune corps qui la troublait anormalement.
Resté seul avec son émoi sexuel, Guillaume se trouva soulagé. Son slip accusait une protubérance terriblement disgracieuse. Glissant une main curieuse dans son sous-vêtement il ne put que constater la triste réalité, il était victime dune érection phénoménale : une de ces érections qui depuis quelque temps se manifestait le matin à son réveil et qui lobligeait bien souvent à se branler dune main alerte jusquà léjaculation libératrice. Comme il ne pouvait décemment pas se masturber, ainsi quil en avait lhabitude, il tenta de chasser de son esprit cette raideur fâcheuse. Découvrant un tabouret de bois blanc, il sy installa, espérant que son trouble sexuel allait disparaître après un moment de calme.
Assis à attendre que son érection se dissipe, Guillaume jeta un regard interrogateur autour de lui ; son attention fut attirée par la panière dosier où sentassait le linge à laver. Un morceau de dentelle noire capta son intérêt. Curieux, il avança une main indiscrète avec laquelle il tira le tissu à lui, découvrant avec émoi quil tenait entre ses doigts une des culottes de son hôtesse. La gorge nouée devant limportance de sa trouvaille, il contempla longuement laffolante lingerie féminine noire, si fine quelle en était translucide. Cétait la première fois quil pouvait toucher et contempler un slip féminin aussi excitant ; ceux que sa mère laissait traîner étaient plus anodins, en nylon blanc, sans aucunes fioritures. Pris dun désir soudain, il écarta la dentelle noire afin de découvrir lentrejambe ren du vêtement féminin si délicat, découvrant avec émotion sur le satin noir, quelques taches douteuses. Se laissant guider par son jeune désir, découvrant un réflexe bien masculin, il porta laffolante lingerie à ses narines. Le visage enfoui dans la soie délicate, il tenta den humer les odeurs qui sen dégageaient. Frottant avec une délectation certaine son nez dans les replis secrets de laffriolant dessous féminin, il senivra des senteurs qui sen dégageaient.
Dans la cuisine, Claire inconsciente de la scène érotique qui se déroulait à quelques mètres delle, et dont lune de ses culottes en était linitiatrice, préparait le chocolat pour le jeune garçon quelle avait recueilli. Tout en surveillant la cuisson du mets, elle ne pouvait sempêcher de se remémorer ce quelle avait ressenti à la vue de ce corps déphèbe de ladolescent. Etrangement émue, elle sinterrogea sur linexplicable mais impérieux désir qui lavait submergé lorsquelle sétait rendue compte que le garçon, quelle considérait comme un gamin, avait eu une véritable érection dadulte sous ses attouchements pourtant anodins. Les sens bizarrement agacés, elle se surprit à désirer pouvoir contempler cette jeune virilité qui lui avait semblée si importante. Malgré les efforts quelle faisait pour repousser cette tentation perverse et hors nature, son esprit y revenait sans cesse, avec toujours une telle insistance, quune douce chaleur navait pas tardé pas à enflammer son sexe. Sans quelle ne puisse len empêcher, sa vulve sétait humidifiée.
« Tu es folle, songea-t-elle... Ce nest quun gamin. Il pourrait être ton fils. »
Elle qui avait toujours été fidèle à son mari. Elle qui avait toujours opposé un refus à toutes les avances que lui avaient prodigué nombres dhommes, voilà quelle se sentait attirée par cet adolescent au corps si soyeux, si émouvant. Elle se sentait attirée par cette jeune virilité quelle imaginait encore moelleuse, telle une friandise... Mais le chocolat étant prêt, elle tenta de chasser une fois de plus de son esprit ses envies pernicieuses.
-- Guillaume, appela-t-elle. Ton chocolat est prêt, viens le boire pendant quil est chaud!
La voix de la femme tira brutalement ladolescent de ses griseries érotiques, le forçant à remettre vivement, et à contre coeur laffriolante lingerie dans la panière. Comme il sapprêtait à quitter la salle deau il constata avec effroi que son érection, loin davoir diminuée, sétait au contraire intensifiée. Lextrémité gonflée de son sexe dépassait presque de la ceinture de son slip. Affolé à lidée que son hôtesse nallait pas manquer de découvrir lenflure qui déformait le devant de son sous-vêtement, il se dirigea vers la cuisine en tentant de cacher maladroitement de ses mains la protubérance gênante.
Lorsque Guillaume pénétra dans la cuisine où lattendait son bol de chocolat brûlant, Claire ne put sempêcher de jeter un coup dil lubrique en direction du bas-ventre de ce dernier. Malgré les efforts tentés par ladolescent pour tenter de dissimuler lindiscrète bosse qui déformait le devant de son slip, elle put quand même se rendre compte que le malheureux était toujours victime dune incroyable érection. A sa grande surprise, Claire saperçut que cette constatation lui procurait un plaisir extrême, quelque peu pervers.
-- Installe-toi, et bois pendant que cest chaud, réussit-elle à articuler.
Au centre de la cuisine meublée à lancienne, trônait une grande table en chêne massif entourée de deux bancs fait de la même essence. Guillaume sempressa de sinstaller sur lun deux, tout heureux que la table cache lobjet de sa confusion aux regard de sa charmante hôtesse. Le bas-ventre à labri de lépais plateau de chêne ciré, il put boire son chocolat fumant.
Claire demeura un instant debout à regarder avec tendresse ladolescent se restaurer ; son visage juvénile, ses cheveux bruns humides lui retombant dans le cou, ses épaules développées, son torse large et glabre où les pectoraux se dessinaient finement, lui donnaient lallure dun Dieux mythologique Grec... Mais le désir devenant plus insidieux dans son bas-ventre, Claire se laissa guider par ses sens en émoi. Lentement, le cur battant à cent à lheure, elle sinstalla à coté du garçon à demi nu, collant ostensiblement sa cuisse contre la cuisse de ladolescent ; éprouvant un sublime plaisir à sentir contre sa chair la chair chaude et douce du garçon.
Tout à sa dégustation Guillaume ne saperçut pas immédiatement du contact de la jambe féminine contre la sienne.
Encouragée par cette immobilité de la part de son jeune compagnon, Claire, dont le désir devenait de plus en plus insistant, osa poser sa main droite sur la cuisse nue de son jeune invité. Découvrant la fermeté et la douceur de la chair sous sa paume, elle ne put réprimer un frisson sensuel, qui la parcourut toute.
-- Ca va mieux ? Questionna-t-elle maternellement, afin de se donner une contenance et de chasser de son gosier cette boule créée par le désir.
Sous le contact de la main féminine si douce sur sa peau nue, Guillaume éprouva un tel choc émotif, quun long frémissement le secoua tout.
-- Tu as froid ? Sinquiéta Claire, se méprenant sur lorigine du frisson qui avait parcouru la cuisse sur laquelle ses doigts étaient posés.
Profitant de lexcuse qui lui était ainsi donnée, elle entreprit de frotter dune main énergique la cuisse de ladolescent.
-- Tu aurais du ôter ton slip, le réprimanda-t-elle doucement... Je ten aurai donné un de mon fils, vous devez avoir le même âge.
Affolé à lidée que la femme loblige à retirer son dernier vêtement et découvre ainsi son érection toujours aussi vivace, Guillaume sempressa de répliquer.
-- Non, non, je vous assure que ça va bien.
Faisant la sourde oreille, ne voulant surtout pas abandonner son projet, Claire nen continua pas moins de masser la cuisse musclée du jeune garçon, en un lent et sensuel va-et-vient, qui partant du genou remontait jusquà lentrecuisse frémissant.
Immobile, transformé soudainement en statue de sel, Guillaume appréciait la caresse de la main féminine, qui par moment, comme par inadvertance venait frôler la saillie que faisait son membre prodigieusement gonflé.
Incapable de se raisonner, dominée par ses sens exaltés, Claire laissa intentionnellement sa main remonter jusquau bas-ventre du garçon, frôlant avec une émotion grandissante, la jeune verge dilatée. Un long frisson sexuel la parcouru toute lorsque ses doigts heurtèrent la raideur encore cachée par le slip.
-- Mais quest-ce que tu caches là, tenta-t-elle de plaisanter, dune voix enrouée, réfrénant difficilement lenvie quelle avait de refermer sa main autour de cette protubérance affolante.
Incapable de répondre à pareille question, Guillaume ne réussit quà émettre une sorte de borborygme.
Ne pouvant contenir plus longtemps le désir insidieux quelle éprouvait et qui lui consumait les entrailles depuis un long moment, Claire abandonnant toute retenue referma ses doigts autour de la rigidité qui laffolait tant :
-- Mais tu bandes ! Sexclama-t-elle hypocritement en pressant fermement la colonne de chair gonflée quelle percevait sous le tissu.
Se sentant découvert, Guillaume, mort de honte tenta de se disculper :
-- Je vous demande pardon madame, se lamenta-t-il... Je ne lai pas fait exprès.
Ravie par la tournure que prenaient les événements, Claire dont le désir qui se faisait de plus en plus tenace, lempêchait de se contrôler, sempressa de mener le débat à sa guise :
-- Tu nas pas à texcuser, rassura-t-elle tout en compressant sans vergogne la jeune verge gonflée à travers le slip... Quel âge as-tu ?
-- Quinze ans, madame... Jaurai seize ans dans deux mois
-- Et bien Guillaume, à ton âge cest tout à fait normal davoir ce genre de problème... Ça ne test jamais arrivé auparavant ?
-- Euh !... Si, des fois, soupira ladolescent, ne sachant quelle attitude adopter devant cette femme qui lui posait des questions terriblement embarrassantes, tout en lui étreignant la bitte de si agréable façon.
-- Et lorsque cela tarrive...Tu te... Tu te calmes ?... Continua Claire, éprouvant soudain un certain plaisir à interroger ladolescent.
-- Euuhh... Oui, quelquefois, répondit Guillaume dans un souffle, terriblement mal à laise.
Après une minute de silence pendant laquelle elle continua à presser fébrilement la protubérance qui ornait le bas-ventre du garçon, Claire proposa hypocritement :
-- Je ne peux tout de même pas te laisser comme ça... Tu veux que je te calme ?... Ça te ferait plaisir que je te branle ?
Sidéré devant pareille proposition, Guillaume balbutia, plus quil ne répondit, dune petite voix mal assurée :
-- Ouu... oui.
Toute heureuse davoir pu mener à bien ses désirs, Claire referma fermement ses doigts autour de la bosse qui gonflait le slip. Le cur battant elle entreprit alors de branler la jeune verge qui laffolait tellement...
Nen revenant pas, le cur battant aussi rapidement que celui de sa perverse hôtesse, Guillaume tendit son bas-ventre en avant, offrant généreusement son membre à la sensuelle masturbation. Même si le tissu de son slip formait un écran entre les doigts féminins qui le branlaient et sa jeune bitte gonflée, jamais il navait ressenti un tel ravissement. Le plaisir qui ressentait était sublime.
-- Cest bon ?
La question de son hôtesse, à peine murmurée le tira de sa langueur sexuelle.
-- Tu aimes ? Insista cette dernière.
Quaurait-il pu répondre ? Que cétait réellement plus voluptueux que lorsquil se branlait lui-même, pressé de se faire jouir !... Il aurait aimé quelle repousse son slip pour empoigner à pleine main son sexe tendu et impatient. Le seul son quil réussit à émettre fut un grognement de satisfaction.
Claire la gorge nouée par linsolite de la situation, éprouvait un plaisir incroyablement savoureux à palper le sexe brandi du garçon. Par perversité, elle se retenait de repousser le slip humide, repoussant le moment où enfin elle découvrirait lobjet de ses désirs... Elle qui en plus de vingt ans de mariage navait jamais trompé son mari, même en imagination, prenait un plaisir pervers à branler un adolescent de quinze ans
Même si cet accès soudain de désir pour un garçon qui pouvait être son fils la surprenait, elle ne se sentait pas capable de résister à cette tentation immorale
Fixant le visage extasié de son jeune compagnon, elle continua sa sensuelle masturbation, accélérant progressivement le mouvement de son poignet, tout suivant dun oeil critique la monté du plaisir sur les traits de Guillaume.
Mais lors dun mouvement plus incisif de sa main le long de la colonne de chair gonflée, le slip glissa légèrement, laissant apparaître à ses yeux extasiés le gland dilaté du jeune membre. Médusée devant cette apparition, Claire en cessa sa branlette pour fixer incrédule le bourgeon de chair rose, qui tel un diablotin farceur avait jailli des profondeurs du slip.
-- Oh, quel amour, sexclama-t-elle enthousiasmée !... On à envie de le croquer !...
Elle ressentit au plus profond de son corps bouleversé, une folle envie de cette jeune virilité. Ses sens en effervescence la réclamaient ! Il lui la fallait ! Elle voulait la sentir frémir au creux de sa main ! Vibrer entre ses lèvres ! Ecarter les chairs intimes de sa vulve ! Senfoncer au plus profond de son vagin enflammé ! Mais la cuisine, jugea-t-elle ne se prêtait guère pour ce genre dexercice. Aussi, sans plus réfléchir, elle se redressa le souffle court, et saisissant Guillaume par la main elle le força à se lever du banc.
-- Suis-moi ! Grogna-t-elle oppressée.
Le tenant par la main, tel un gamin, elle lentraîna, plutôt quelle ne le mena, jusquà sa chambre où elle le poussa sur la couche conjugale. Guillaume sécroula sur le dos et demeura immobile, attentif à ce qui allait suivre.
Impatiente de découvrir ce jeune membre viril qui laffriolait tant, Claire, ayant perdue toute retenue, grimpa à son tour sur le lit. Promptement elle se plaça à genoux entre les jambes écartées de sa jeune proie, les fesses reposant sur ses talons. Incapable de dominer ses sens en émoi, lentrecuisse déjà fort humide par le désir qui lui consumait les entrailles, elle se pencha sur le bas-ventre du garçon protégé par le slip. Fixant laffolante protubérance qui déformait le sous-vêtement, elle se refusa à dénuder immédiatement ce membre tant convoité, éprouvant un plaisir extrême à faire durer ce désir qui la faisait saliver. Délicatement, presque religieusement, elle posa ses lèvres sur la bosse que faisait le jeune membre viril gonflé, et à travers le tissu du sous-vêtement elle le picora de tendres baisers, le mordillant même délicatement.
Sous ces bécots légers, mais terriblement agaçants pour son désir exacerbé, Guillaume poussa un gémissement où le plaisir se mêlait à limpatience. Subrepticement il entreprit dagiter ses hanches, avançant son désir au devant des lèvres féminines. Mais du fait des agitations de plus en plus désordonnées de ses hanches, son slip glissa légèrement sur son bas-ventre, dévoilant de nouveau lextrémité gonflée de sa jeune virilité tendue.
Découvrant soudainement à quelques centimètres de ses yeux le merveilleux gland à la peau rose et lisse, Claire ne put résister plus longtemps à lenvie quelle avait de contempler enfin cette jeune virilité aux dimensions étonnantes. Saisissant le slip qui lui cachait encore la majeure partie de lobjet de son désir, elle le repoussa vivement sur les cuisses de Guillaume, découvrant enfin ce jeune membre tant convoité :
-- Oh, quel morceau, ne put-elle sempêcher de sexclamer, en découvrant la longue verge qui se dressait orgueilleusement devant son visage... Ce nest pas possible, tu es monté comme un âne !
Extrêmement troublée par lapparition de cette jeune virilité à la dimension surprenante, Claire sempressa de refermer ses doigts autour, lenserrant tendrement dans sa main. Tout en contemplant avec curiosité cette longue gaule de chair, elle la pressa fermement, faisant ainsi gonflé le gland dilaté par lafflux de sang. Jamais elle naurait imaginé quun garçon de cet âge, qui à ses yeux nétait encore quun gamin, puisse être pourvu dun membre de cette taille. Serrant la jeune virilité quelle sentait palpiter doucement contre sa paume, elle tenta de la comparer à celle de son époux
Elle dut se rendre à lévidence. Jacques son mari possédait une queue plus grosse, plus massive, mais elle était néanmoins nettement plus courte que celle de Guillaume. De sa main refermée dépassait largement le gland boursouflé, légèrement violacé par lextrême désir qui le gonflait, et au centre duquel souvrait le minuscule orifice du méat.
Admirative, Claire se demanda quel effet pouvait ressentir une femme lorsquun membre de cette taille venait lui frapper le fond du vagin ? Un frisson sensuel la traversa toute à cette pensée. Lorsque son mari, dont la verge était nettement moins longue que celle quelle tenait en main, la pénétrait, il lui semblait quil la comblait toute, quil la remplissait entièrement
Comment, songea-t-elle son sexe pourrait accepter ce dard à la longueur prodigieuse ? Le désir quelle ressentait depuis le moment où elle avait découvert la particularité de ladolescent, saccentua un peu plus dans ses entrailles. Mais cest surtout labsence de tous poils pubiens du garçon qui excitaient le plus Claire. Comme ce dernier avait les jambes largement écartées, elle pouvait admirer avec émoi les bourses pleines et lisses comme une peau de bébé.
Affolé par cette main féminine qui étreignait son sexe de façon fort savoureuse, mais qui demeurait par trop passive à son goût, Guillaume agita doucement ses hanches, tentant par ce subterfuge de se masturber soi même.
Comprenant limpatience de son jeune compagnon, Claire se pencha alors sur le membre viril frémissant quelle tenait en main. Puis salivant abondamment, elle laissa sa bave couler sur le gland cramoisi afin de lhumidifier copieusement. Alors seulement, elle commença à agiter sa main refermée, de bas en haut, en un mouvement alternatif. Recouvrant le bourgeon dilaté à laide du prépuce mobile, elle repoussait aussitôt celui-ci le plus loin possible sur la base de la verge, décalottant largement lextrémité arrondie de la bitte extrêmement gonflée. Le regard fixé sur le visage de son jeune partenaire, afin dy guetter la monté du plaisir, Claire agita longuement sa main, en une lente mais sensuelle masturbation.
Guillaume éprouvait une indicible volupté à être branlé ainsi pour la première fois par une main féminine. Cela le changeait ses masturbations solitaires, le soir, à labri des draps. Les souples va-et-vient le long de sa virilité tendue à lextrême créaient, à lintérieur de son bas-ventre et de ses couilles gonflées une tétanisation dune félicité affolante. Emporté par son euphorie, il osa alors lancer son bas-ventre en avant, à la rencontre de cette merveilleuse main qui le caressait si agréablement, poussant des petits gémissements de bonheur.
-- Tu aimes ? Demanda Claire, qui éprouvait elle-même une véritable félicité à branler cette jeune queue à la chair si douce... Cest meilleur que lorsque tu te le fais toi-même ?
-- Oh oui ! Gémit Guillaume aux anges.
Ressentant une volupté insolite, mais terriblement émouvante à masturber cet adolescent, Claire continua à faire longuement coulisser sa main refermée le long de la verge qui se redressait de toute sa morgue. Par moment elle se penchait sur son uvre, pour cracher sur le gland congestionné, rendant ainsi sa caresse plus fluide, plus sensuelle... Jamais, songea-t-elle, elle navait éprouvé ce genre de jouissance à branler son mari. Cétait comme si elle était redevenue adolescente elle-même ; elle retrouvait les mêmes émois quà lépoque où dans la pénombre dun cinéma, elle caressait le sexe de ses premiers flirts.
Sous cette caresse nouvelle pour lui, Guillaume ne tarda pas à se trémousser de façon désordonnée, en gémissant de plus en plus fort sous la formidable sensation quil éprouvait au niveau du bas-ventre.
Aussi excitée que son jeune compagnon quelle voyait se tordre et haleter sous laffolante cajolerie quelle prodiguait à son membre prêt à exploser, Claire fut prise soudain du désir pervers dinterroger ce dernier :
-- Tu dois bien avoir des copines ?
-- Ouui, gémit Guillaume dont le bas-ventre se crispait désespérément sous le plaisir que lui procurait la main féminine.
-- Et... Elles doivent bien te branler quelques fois, non ? Lança Claire, se surprenant elle-même de son audace mais éprouvant un étrange plaisir à pousser ladolescent aux confidences.
-- Noon, continua de gémir Guillaume, qui sentait le plaisir lenvahir inexorablement.
A cette réponse Claire sentit un étrange volupté lenvahir : ainsi elle était la première à le branler ; la première à lui faire connaître lextase dune savante masturbation. Cette constatation ne fit quaggraver encore le trouble érotique qui lhabitait et qui lui chauffait les reins. Sa main se fit plus légère autour de la jeune verge extraordinairement gonflée, tandis que de ses ongles elle griffait délicatement les bourses pleines et durcies, que labsence de tout poils rendait encore plus aguichantes.
-- Cest vrai que je suis la première qui te caresse comme ça ? Insista-t-elle excitée par la réponse que ladolescent nallait pas manquer de lui faire.
-- Ouui. Gémit Guillaume dont le plaisir devenait de plus en plus intense.
Comprenant, aux trémoussements désordonnées qui agitaient les hanches du garçon, que ce dernier nallait pas tarder datteindre le point de non-retour, Claire cessa immédiatement son affolante masturbation. Et afin dempêcher ladolescent déjaculer trop rapidement, elle pressa fortement la base du gland prêt à exploser, létranglant franchement.
-- Essaye de te retenir, conseilla-t-elle doucement au garçon au bord de lapoplexie... Tu verras ce nen sera que meilleur... Nous avons tout notre temps.
Du temps, Claire en effet en avait : Jacques son mari étant en séminaire ne rentrerait que vendredi soir, idem pour René son fils, qui interne dans un collège éloigné ne rejoindrait la maison que le vendredi à midi. Quand à Isabelle, employée dans une agence immobilière, elle ne quitterait pas son bureau avant dix neuf heures.
Dans un effort surhumain, Guillaume se crispa éperdument, tentant désespérément de retenir léjaculation quil sentait prête à jaillir de sa verge palpitante. Aidé par létranglement que sa sensuelle hôtesse pratiquait à son gland dilaté, il réussit avec beaucoup defforts à refouler le jaillissement quil sentait imminent.
Toujours agenouillée entre les jambes de son jeune partenaire, Claire ne relâcha sa pression autour du membre palpitant que lorsquelle sentit ce dernier cesser de frémir entre ses doigts. Alors seulement elle libéra le gland cramoisi.
-- Ca va mieux ? Questionna-t-elle, impatiente de reprendre ses attouchements érotiques.
-- Oui, balbutia Guillaume qui se sentait quelque peu lésé.
Devant lair dépité du garçon, Claire éprouva une affectueuse pitié :
-- Mon pauvre chéri, tu mas lair vraiment malheureux
Tu veux que je te suce ? Continua-t-elle, sétonnant elle-même de son impudicité.
Cette offre, quelle faisait couramment à son époux, lors de leurs ébats amoureux, sans en éprouver la moindre gêne, la troublait étrangement face à ladolescent.
-- Ça te ferait plaisir ? ...
-- Oh oui ! Sexclama Guillaume nen croyant pas ses oreilles !
Cette question eut le don de le transporter aux portes du paradis : que cette femme lui propose ce genre de caresse, quil ne connaissait que par ce quil en avait vu sur certaines revues érotiques qui circulaient sous le manteau au sein du collège, lexcitait tout en laffolant totalement. Il allait enfin connaître les réelles sensations que peuvent procurer une bouche féminine autour de sa queue. Que de fois en avait-il rêvé le soir, seul dans son lit, avant de sendormir.
Oubliant son état dépouse fidèle, se refusant de voir en cet adolescent au sexe impressionnant, un gamin dont elle aurait pu être la mère, Claire se pencha de nouveau sur le merveilleux membre dressé. Emue à lidée quelle était la première à prendre en bouche cette jeune verge, elle laspira lentement, goûtant avec ivresse ce moment magique. Du fait de la longueur extraordinaire de ce sexe, elle ne réussit, malgré le désir quelle en avait, à en avaler quune partie. Ladolescent pouvait être comparé à un étalon songea-t-elle. Ses lèvres atteignirent les trois quarts de la bitte dressée, lorsque que le gland gonflé vint lui heurter la glotte, lobligeant à stopper lavance de sa bouche.
Sentant ce fourreau chaud et humide lui enserrer la verge, Guillaume éprouva un tel plaisir quil se cambra passionnément en laissant échapper un gémissement. Complètement affolé par la douceur de cette caresse nouvelle pour lui, il recommença à sagiter sensuellement, lançant de plus en plus furieusement son bas-ventre en avant, à la rencontre de cette bouche féminine qui lui dispensait un tel bien-être.
Surprise par la violence des coups de reins de son fougueux partenaire, Claire dut lui saisir les hanches et le maintenir fermement sur le lit afin de pouvoir le sucer à son aise. Mais sous sa succion à laquelle elle apportait tout sa science et toute son expérience, Guillaume, gémissant de plus en plus intensément, continua à sagiter convulsivement. Si bien quelle dut relâcher le membre viril qui venait lui frapper violemment le palais. Sans toutefois cesser sa lente masturbation, elle interrogea le garçon, la bouche baveuse :
-- Cest bon ?... Tu aimes ?
-- Oh oui ! Sempressa de répondre Guillaume épanoui.
-- Alors laisse-moi faire, lui conseilla-t-elle... Tu vas voir, ça va être meilleur encore !
Replongeant son visage sur le bas-ventre de son jeune amant, elle reprit sa voluptueuse fellation. Dans un lent hochement de tête, elle entreprit de faire coulisser ses lèvres humides le long du membre viril palpitant. Sachant pertinemment que sa jeune victime se trouvait au bord de la jouissance, et quune fellation par trop rapide allait indubitablement lamener à lorgasme final, elle singénia à le sucer posément afin quil ne décharge pas trop vite. Elle désirait que ladolescent connaisse pour sa première caresse buccale, une extase qui le marquerait indéfiniment. Par instant, alors que sa bouche se trouvait au sommet de la verge, elle refermait délicatement ses dents sous lextrémité renflée du pénis, tout en léchant dune langue souple et agile le gland turgide. Experte dans lart de sucer une queue, Claire savait combien cette caresse affolait lhomme qui en était victime. Guillaume néchappait pas à cette règle, qui le corps arqué tendait désespérément sa virilité congestionnée à la rencontre de sa bouche. Puis lorsquelle sentait lénorme bourgeon de chair se dilater dangereusement entre ses lèvres, elle relâchait vivement sa morsure sexuelle pour de nouveau sucer avec passion la longue verge rigide.
Tout en sactivant avec dextérité sur le jeune membre palpitant dans une sensuelle fellation, Claire sévertua à caresser dune main habile les deux couilles glabres à la douceur dune peau de nouveau né, pinçant délicatement les noyaux durcis qui sy cachait.
Sous ces différentes caresses terriblement affolantes, Guillaume ne tarda pas à se contorsionner en tous sens sur la couche conjugale de sa perverse initiatrice.
Cependant pour Claire, le fait de sucer ainsi ce jeune sexe à la peau si douce, ne tarda pas à accroître encore le désir qui lhabitait depuis quelle avait découvert la sexualité de son jeune voisin. Une véritable fontaine avait pris naissance au plus secret de sa féminité et séchappait des tréfonds de son vagin, inondait lentrejambe de sa légère culotte.
Sur des charbons ardents depuis le moment où son hôtesse avait commencé à le branler, Guillaume, malgré les efforts désespérés quil faisait pour essayer de contenir le plaisir quil sentait monter du fond de ses entailles bouleversées, pressentit quil ne pourrait retenir plus longtemps la jouissance qui lenvahissait. Ne sachant quelle attitude adopter devant limminence de son orgasme, il tenta de prévenir sa sensuelle initiatrice.
-- Ca vient ! Haleta-t-il, affolé à lidée de jouir dans la bouche qui laspirait si voluptueusement.
Comprenant le trouble que sa jeune victime pouvait ressentir, Claire resserra vivement ses doigts autour de la partie du membre qui se trouvait hors de sa bouche et accéléra, et sa masturbation, et sa fellation, pressée damener enfin ladolescent à lultime jouissance.
Prisonnier de la bouche avide de la femme, incapable de résister à laffolant plaisir qui lui crispait les entrailles, Guillaume cessa de lutter. Et alors que tout son corps se tétanisait, il ne put retenir le jaillissement libérateur. Dans un long cri de volupté il lâcha sa semence virile en se tordant convulsivement sur le lit, tel un ver de terre coupé en deux.
Bien que sattendant à recevoir les puissants jets que ladolescent nallait pas manquer de lui offrir, Claire demeura sidérée par la force de léjaculation et par la quantité importante de sperme que chaque giclée lui envoyait dans la gorge. Comme lénorme gland tressautant se trouvait niché au plus profond de son gosier, elle neut quà laisser le liquide séminal glisser dans sa gorge avant de lavaler avec gourmandise.
Guillaume le corps arqué, pétrifié, jouit longuement par giclées répétitives. Jamais, lors de ses masturbations solitaires il navait lâché une telle quantité de sperme. Gémissant de plaisir, il lui sembla que ses entrailles se vidaient entièrement.
Ingurgitant précipitamment les longues salves du délicieux nectar au goût âcre, Claire ne put sempêcher de songer que jamais elle navait avalé une telle quantité de sperme en une seule fois. Jamais son mari ne lavait ainsi abondamment abreuvé de sa semence intime. Il est vrai que le liquide séminal qui jaillissait de la jeune verge navait pas encore atteint sa consistance maximum ; ce nétait encore quun liquide assez fluide qui jaillissait par saccades du membre tressautant
Ce nest quaprès de longues minutes que le débit diminua enfin. Le gland cracha encore quelques gouttes gluantes, puis la source séminale se tarit totalement. Claire nen continua pas moins de sucer et lécher tendrement lattendrissante verge qui lentement perdait de sa raideur.
Tout en mignotant tendrement le jeune membre, qui ayant lâché sa semence revenait à des dimensions réduites, Claire sefforçait de reprendre ses esprits. Labondance de sperme qui sétait répandu dans sa bouche et quelle avait du avaler avait déclenché à lintérieur de ses entrailles un mini orgasme. De sa vulve en émoi, un véritable torrent de cyprine avait jailli, lui souillant les cuisses. Lentrejambe de sa culotte nétait plus quun chiffon trempé.
Haletant, reprenant difficilement conscience, Guillaume songeait déjà à ce quil allait pouvoir raconter le lendemain à ses copains. Jamais ces derniers ne croiraient à son histoire. Jetant un coup doeil en direction de son bas-ventre il vit sa sensuelle hôtesse se redresser après avoir recraché son membre apaisé. Les yeux et les lèvres brillantes celle-ci lui sourit :
-- Tu as aimé ? Lui demanda-t-elle, affectueuse...
Gêné davoir ainsi lâché sa semence dans la bouche si délicate de son initiatrice, Guillaume tenta de sexcuser dune voix mal assurée :
-- Excusez-moi. Je nai pas pu me retenir... Ça été plus fort que moi...
-- Tu nas pas à texcuser, le rassura Claire, amusée par linnocence de son jeune compagnon... Ce que tu viens de connaître est tout à fait naturel pour un garçon de ton âge. En vieillissant tu apprendras à mieux te contrôler... Dailleurs qui te dis que je nai pas aimé ?... Ta semence a le goût du miel, et je suis prête à en déguster de nouveau... quand tu le voudras !... Mais dis-moi, tu en avais une sacrée provision ! Cest toujours comme ça quand tu jouis ?
-- Ou.oui, répondit Guillaume, pas peu fier de lui.
-- Et bien jenvie tes futures copines, elles vont se régaler !... Mais repose-toi un moment. Il faut que tu reprennes des forces si tu veux continuer.
Claire, que le désir travaillait toujours, malgré le furtif orgasme qui lui avait trempé lentrecuisse au moment de la jouissance de Guillaume, sallongea sur le flanc à coté de ladolescent momentanément apaisé. Se penchant sur lui, elle entreprit de lui caresser tendrement le visage, presque maternellement, plongeant avec amour son regard dans les grands yeux bleus, pleins dinnocence.
-- Tu sais, moi aussi jai éprouvé du plaisir, tenta-t-elle de lui expliquer, et jai été très heureuse de te faire jouir.
Mais comme elle se penchait légèrement sur ladolescent, pour lui caresser tendrement le torse ; labsence de poils la fascinant, Claire se rendit compte que Guillaume avait les yeux braqués sur, et surtout dans léchancrure de son corsage. Sous ce regard plein de désir, elle ressentit une bouffée de chaleur lui monter à la tête.
-- Quest-ce qui tintéresse tant que ça ? Tenta-t-elle de plaisanter, émue sexuellement.
Mais sous le regard insistant de ladolescent, elle sentit ses mamelons se gonfler de désir tandis quun long frisson lui parcourait léchine. Prise de nouveau par ses tentations érotiques, elle continua, dune voix soudain changée :
-- Ce sont mes seins qui te passionnent à ce point ?... Tu aimerais les voir ?
-- Oh oui, sempressa de répondre Guillaume, ravie de laubaine qui lui était offerte.
Les joues brûlantes, la gorge nouée ; stupéfaite de son audace, Claire après un moment dhésitation sagenouilla à coté de ladolescent, qui appuyé sur un coude la contemplait les yeux brillants dexcitation. Dune main tremblante, elle déboutonna rapidement son corsage quelle rejeta au pied du lit, après sen être débarrassée. Oppressée par ce quelle osait faire, elle demeura un instant immobile, le torse à demi dénudé, à se laisser contempler par son jeune amant.
La gorge sèche, Guillaume fixa dun oeil incrédule le buste féminin qui soffrait à ses regards. Les seins de son hôtesse, objets de ses désirs les plus fous, reposaient sagement dans leurs bonnets de dentelles, gonflant agréablement ces derniers. La soie mauve des balconnets, qui maintenaient prisonnier les lourdes mamelles, était si fine, que ladolescent pouvait deviner les larges aréoles bistres à travers le délicat tissu. Des corbeilles de dentelles, rehaussés dune bordure de couleur parme, émergeaient deux dômes de chair laiteuse. Lorsque Claire lança ses mains dans son dos pour dégrafer son soutien-gorge Guillaume sentit son pouls saccélérer soudainement. Enfin il allait pouvoir contempler de visu les seins dune femme. Lorsque dun mouvement rapide, son initiatrice laissa tomber son sous-vêtement, libérant les fruits charnus de sa poitrine, il sentit sa gorge sassécher devant le merveilleux spectacle qui soffrait à ses yeux.
Emue, la gorge nouée, Claire éprouva un plaisir singulier à dévoiler ses lourds appas mammaires à ladolescent. Comme pour atténuer ce que sa tenue avait dinconvenant, elle empauma ses seins gonflés dans ses mains refermées en coupe, pour les pressa lun contre lautre, leur donnant encore un peu plus de volume.
Ne pouvant détacher son regard des extraordinaires masses de chair que lui présentait son hôtesse, Guillaume demeura comme pétrifié. Bien sur, il en avait vu des seins sur les revues qui circulaient au sein même du collège, certains modèles possédaient même une poitrine nettement plus grosse et certainement plus ferme que celle quil avait là sous les yeux ; mais ce nétait que du papier glacé. Alors quà cet instant, la femme devant lui, lui présentait deux seins bien réels, lourds, charnus et qui ballottaient dune manière terriblement excitante selon les mouvements de leur propriétaire. Sans être vraiment énormes, comme ceux que certaines les filles des revues exposaient généralement, les mamelles qui soffraient à sa vue avaient un volume suffisant pour quil ait une furieuse envie de les prendre dans ses mains. Sur la blancheur laiteuse de la chair, les larges aréoles brunes et granuleuses, tranchaient étrangement. Au centre de ces cercles colorés, se dressaient les tétons dune incroyable longueur. Etant novice dans la connaissance des femmes, Guillaume ne fit pas le rapprochement entre la raideur des deux boutons de chair, et lexcitation de leur propriétaire.
Du fait de ses quarante ans et des deux grossesses quelle avait subies, grossesses suivies dallaitement, Claire possédait une poitrine lourde, qui tombait légèrement. Mais aux yeux admiratifs de ladolescent, cette légère mollesse des appas mammaires nen avait que plus de sensualité.
Malgré lintense désir qui lui tenaillait les entrailles, Claire éprouvait une certaine gêne à se trouver ainsi la poitrine dénudée face à ce garçon qui avait lâge de son fils ; et qui la contemplait bouche bée, muet de saisissement.
-- Alors, ils te plaisent ? Demanda-t-elle dune voix émue, pour rompre le silence qui sétait établi.
Comme Guillaume demeurait muet, les yeux scotchés à sa poitrine dénudée, elle insista sur le ton de la plaisanterie :
-- Tu ne veux pas les toucher ?... Ils ne vont pas te mordre, tu sais !
Hésitant, nosant encore croire à son bonheur, Guillaume avança une main timide, ne sachant trop comment saisir ces merveilleux fruits de chair qui le tentaient tellement.
Devant lembarras de ladolescent, Claire dont le désir ne faisait que saccroître dans son corps torturé, la rendant nerveuse, décida alors de reprendre les événements en main... Forçant le jeune garçon à se coucher sur le dos, elle retroussa sa jupe sur ses reins, afin de pouvoir lenjamber facilement en lui faisant face : merveilleuse amazone chevauchant seins au vent un jeune étalon.
Les yeux fixés sur les lourdes mamelles qui oscillaient sensuellement à quelques centimètres de son visage, Guillaume sentit avec étonnement une étrange humidité imprégner son bas-ventre dénudé. Mais trop affolé par cette poitrine appétissante qui soffrait à lui et encore innocent à tout ce qui touchait lexcitation féminine il ny attacha pas dimportance.
-- Caresse les ! Lencouragea Claire dune voix sourde, impatiente de sentir les mains de ladolescent empoigner ses seins gonflés.
Se décidant enfin, Guillaume avança ses deux mains en direction de cette poitrine terriblement sensuelle, et maladroitement crocheta ses doigts dans les lourdes mamelles moelleuses.
Sous cet attouchement soudain et quelque peu brutal, Claire poussa un sourd gémissement où se mêlaient satisfaction et douleur.
-- Doucement, gémit-elle... Tu sais, les seins dune femme sont sensibles, il faut les caresser avec beaucoup de douceur... Presse-les doucement dans tes mains...
Et afin de guider son trop fougueux partenaire et lui apprendre comment caresser une poitrine féminine, elle lui saisit les poignets et lobligea à frôler ses seins avec délicatesse. Lentement elle lobligea à glisser ses paumes sur la partie supérieure de ses globes jumeaux, quelle lui fit contourner en les faisant redescendre sur les cotés extérieurs. Lui plaçant les mains sous ses lourdes mamelles, elle les lui fit soupeser :
-- Tu vois comme cela, conseilla-t-elle... Presse-les doucement...
Continuant sa leçon érotique elle força Guillaume à empaumer ses seins douloureux et à frotter ses paumes contre ses mamelons outrageusement gonflés.
-- Frotte bien le bout de mes seins, le guida-t-elle dune voix enrouée. Ça me fait énormément de bien.
Sobligeant à réfréner sa fougue et ses ardeurs juvéniles, Guillaume tenta de suivre les recommandations de son initiatrice. Délicatement, comme il laurait fait avec un jeune animal, il referma ses doigts sur les merveilleuses mamelles compressibles, éprouvant un extrême plaisir à pétrir cette chair élastique qui lui emplissait les mains. Comblé sensuellement, il apprécia pour la première fois combien les seins dune femme pouvaient être à la fois doux, souples et tièdes. Serrant passionnément les masses soyeuses, il les pressa lune contre lautre, éprouvant une véritable béatitude visuelle à contempler ces deux rondeurs jumelles qui du fait de leur compression ressemblaient étrangement à une paire de fesses. Puis senhardissant peu à peu, il relâcha les admirables mamelles pour sintéresser aux tétons dont la longueur étonnante lintriguait. Saisissant lun des bourgeons de chair entre le pouce et lindex il le pinça doucement, étonné de sa dureté. Alors, trouvant dinstinct le geste adéquat, propre à faire naître chez sa partenaire ces longs frissons voluptueux, il roula adroitement les tétons entre ses doigts.
-- Oui ! Comme ça, soupira Claire ravie par cette initiative. Cest bien. Continue. Prends bien mes bouts entre tes doigts...
Ainsi encouragé, Guillaume resserra un peu plus fort ses doigts sur les deux bourgeons de chair érigés, comme lui conseillait son initiatrice, les pinçant plus vigoureusement. Un râle sourd séchappa de la gorge de Claire. Surpris par cette plainte, croyant avoir été trop brutal, Guillaume fixa vivement sa compagne. Etonné, il découvrit que le visage de sa partenaire se transformait en une grimace de béatitude. Pressentant quil venait de découvrir là un point sensible, il réitéra ses pincements, déclenchant de nouveau chez sa complice la même grimace de bonheur. Comprenant alors que chaque fois quil touchait cette partie des seins de son initiatrice celle-ci semblait éprouver un vif plaisir, il persévéra dans ses attouchements. Maintenant les boutons de chair entre ses doigts, il singénia à les presser fortement tout en les tirant à lui, allongeant de ce fait les seins gonflés.
-- Oui !... Oh oui !... Cest bon !... Continue mon chéri, cest bien.
Les reins cambrés afin de mieux soffrir aux affolants tripotages que lui dispensait ladolescent, Claire sentit de longs frissons voluptueux la parcourir de la tête aux pieds. De son sexe de nouveau en émoi, la fontaine qui avait semblé se tarir après son précédent orgasme, avait jailli de nouveau des profondeurs de son vagin, plus onctueuse encore. La poitrine tendue, les reins arqués Claire soffrit alors sans retenue aux attouchements affolant de son brillant élève.
Sous ces pincements parfois douloureux, elle nen éprouva pas moins un plaisir étrange et dévastateur. Sans le savoir Guillaume venait de trouver une de ses zones érogènes extrêmement sensible. « Très jeune déjà, à lâge des premiers flirts, elle sétait rendue compte quil suffisait que ses amoureux, lui malaxe, lui pince ou lui mordille les tétons, pour que naisse dans tout son corps dintenses vibrations sexuelles. Ces ondes voluptueuses, en explosant au plus intimes de sa féminité, la faisaient alors abondamment ruisseler. »
Entre ses cuisses, tapie dans son épaisse toison, sa chatte sétait remise à suinter, trempant copieusement lentrejambe de sa culotte déjà considérablement mouillé.
Les seins douloureux à force dêtre cruellement triturés par ladolescent qui semblait éprouver un immense plaisir à lui pétrir les tétons, Claire, que le plaisir bouleversait, repoussa les mains du garçon de ses mamelons endoloris. Se penchant en avant, elle offrit ses lourdes mamelles exagérément gonflées aux lèvres de son jeune amant contre lesquelles elle frotta ses tétons sensibles.
-- Tu sens comme ils sont durs, gémit-elle. Cest toi qui les as rendu comme ça. Embrasse les pour te faire pardonner !...
Mais comme Guillaume tout heureux daccéder aux désirs de sa sensuelle initiatrice écartait les lèvres pour se saisir du téton érigé, Claire rendue impatiente par le désir qui lui irradiait les reins et le bas-ventre lui enfonça la totalité de lun de ses mamelons congestionnés dans la bouche.
-- Tête le ! Grogna-t-elle, ivre de désir.
Retrouvant alors ses instincts de nourrisson, qui sommeillent dans tout homme, Guillaume pressa ses lèvres sur la saillie mammaire granuleuse pour le téter goulûment, tout en refermant ses dents sur le téton durement érigé. Les deux mains pressées autour de son sein enfoui dans la bouche de son jeune partenaire Claire laissa échapper un soupir de contentement.
-- Oui !... Cest bon, gémit-elle excitée au point de ne plus se contrôler... Tête-moi bien mon chéri.
Et afin de forcer ladolescent à satisfaire ses désirs, elle appuya fortement le visage de ce dernier contre sa lourde mamelle.
-- Oui comme ça, cest bien mon chéri !... Lautre aussi.
En élève obéissant, Guillaume lâcha le sein droit quil tétait avec ivresse, pour se saisir du gauche, quil entreprit de sucer à son tour. Aspirant fortement laréole boursouflée au fond de sa bouche, il referma ses lèvres sur le mamelon frémissant. Il avait si souvent rêvé dun tel moment, quil éprouvait un plaisir sans nom à sentir cette masse soyeuse lui emplir la bouche.
-- Oh oui ! Grogna Claire irradiée par le plaisir
Cest merveilleux... Huummm.. Oh oui, continue !... Cest bon.
Tel un chiot affamé, Guillaume sacharna sur lopulent fruit de chair, laspirant fortement dune bouche goulue, tout en le pressant fiévreusement entre ses lèvres comme pour en extraire le lait nourricier qui aurait pu jaillir du téton raidi. Mais à sucer ainsi les larges mamelons boursouflés, à aspirer les gros bourgeons de chair érigés, doù étrangement perlaient quelques gouttes dun liquide au goût acre, ladolescent sentit sa jeune virilité frémir au bas de son ventre. Avec émoi il comprit quil nallait pas tarder à éprouver une nouvelle érection. Doucement son membre se rigidifiait tout en se gonflant inexorablement. Il ne fallut pas longtemps pour quà la jonction de ses cuisses sa virilité se dresse tel un pal de chair raide et dur.
Confortablement installée à califourchon sur le bas-ventre de son jeune partenaire, Claire dont la chatte affolée palpitait désespérément en déversant des flots de mouille brûlante, ondulait lascivement des hanches au rythme du plaisir qui lui irradiait les entrailles. Mais, alors quelle agitait sa croupe davant en arrière, frottant sensuellement son entrecuisse trempé sur la peau douce du ventre du garçon, elle sentit le membre viril redevenu raide et dur venir lui frapper les fesses. Nullement étonné par cette nouvelle érection, heureuse même quelle se soit produite, elle lança vivement une main dans son dos, pour y débusquer la jeune verge de nouveau raidie et aussi dure quavant son éjaculation quelques instants auparavant. Frémissante de bonheur elle referma ses doigts autour de ce pal de chair orgueilleusement dressé :
-- Huumm, tu es tout dur, sextasia-t-elle ravie par cette constatation !... Tu as encore envie ?
Percevant dans sa paume les pulsations de la jeune virilité gonflée, Claire ne put résister plus longtemps à lintense désir qui lui irradiait le vagin. Il lui fallait sentir ce pieu charnel senfoncer en elle, lui labourer le vagin, la libérer enfin de cette tension érotique qui la faisait abondamment ruisseler. Comprimant le membre frémissant de sa main refermée, elle se pencha à loreille de son jeune amant pour lui murmurer dans un souffle, comme si elle avait honte de sa proposition :
-- Tu veux me faire lamour ?
Et sans attendre la réponse de ladolescent, qui muet de saisissement la regardait dun air extasié, elle roula sur le dos à ses cotés.
Se cambrant toute, reposant uniquement par les pieds et les épaules sur limmense lit conjugal, elle entreprit de faire glisser sa jupe sur ses hanches évasées et le long de ses cuisses, pour enfin la retirer complètement. Puis ce fut au tour de sa culotte trempée de suivre le même chemin, avant datterrir sur la descente de lit. Alors complètement nue, magnifique dans son abandon impudique, elle sallongea confortablement sur le dos, les jambes largement ouvertes sur son sexe palpitant de désir, dans une invite évidente.
Sétant redressé, à genoux sur la couche, Guillaume contempla fasciné ce corps féminin entièrement nu et qui soffrait avec une réelle impudeur à sa curiosité.
Fixant ladolescent qui la contemplait émerveillé, les yeux brillants dexcitation, Claire ne put sempêcher de senquérir :
-- Tu as déjà vu une femme nue ?
-- Non, balbutia ladolescent.
Ne sachant où poser ses yeux, tant ce quil découvrait lémerveillait et laffolait en même temps, Guillaume laissa son regard parcourir ce merveilleux corps féminin dénudé et offert à sa convoitise. Ladolescent ne savait que contempler : depuis les seins ronds légèrement avachis sur le torse élancé, jusquà la touffe aux reflets roux qui formait un triangle presque parfait à la jointure des cuisses de la femme offerte, son regard hésitait, allant de lun à lautre des appas.
-- Je suis la première ? Continua Claire, éprouvant un étrange trouble sensuel en songeant quelle jouait là le rôle dinitiatrice sexuelle.
La gorge nouée, les joues brûlantes et le front couvert dune sueur érotique, Guillaume ne pouvait détacher son regard de laffolant corps féminin étendu à quelques centimètres de lui.
Claire de son coté éprouvait une intense émotion sous cette inspection pleine de curiosité et de désir. Ce qui frappa surtout ladolescent, fut la modification qui sétait opérée au niveau de la poitrine de la femme. Les merveilleux seins qui quelques instants auparavant lui étaient apparus si volumineux, se trouvaient, du fait de la position allongée de leur propriétaire, nettement moins gros, sétant avachis de chaque cotés du torse étroit. Mais son regard était surtout attiré par le ventre à peine bombé de son initiatrice, au bas duquel moussait une toison faite dune multitude de bouclettes tirant sur le roux. Et ce qui létonnait cétait lincroyable figure géométrique que formait cette fourrure. Un triangle parfait dont la base se trouvait placée à quelques centimètres du nombril, et dont la pointe se perdait entre les cuisses écartées. Toutes les filles quil avait pu contempler en cachette sur certaines revues interdites, avaient pour la plus part le bas-ventre et lentrecuisse rasé. Attiré par ce sexe féminin dont il découvrait leffet érotique pour la première fois, il tendit une main curieuse en direction de cette toison bouclée, dans laquelle il glissa timidement ses doigts.
Ruisselante dune ondée brûlante, Claire au paroxysme du désir laissa cependant ladolescent la découvrir à son aise. Frémissante de la tête aux pieds en sentant les jeunes doigts fureteurs fourrager dans sa fourrure intime, elle éprouva une intense délectation en songeant que le garçon découvrait un corps féminin grâce à elle. La gorge nouée, elle dut faire un effort pour sempêcher dattirer ce jeune corps déphèbe entre ses cuisses, et lobliger à la pénétrer de son glaive charnel.
-- Elle te plait ma chatte, osa-t-elle demandée dune voix que le désir rendait enrouée.
Sentant soudain les doigts fureter le long de sa fente sexuelle, elle ne put réprimer un long gémissement de désir. Vivement elle écarta encore plus largement ses cuisses moites, ouvrant délibérément laccès à son sexe bouillonnant. Ne pouvant rester passive plus longtemps sous les attouchements maladroits, mais terriblement affolants de ladolescent ; ne pouvant résister à sa libido exacerbée, elle lança vivement sa main droite en direction du bas-ventre de ladolescent agenouillé à ses cotés. Se saisissant de la jeune verge fièrement dressée quelle convoitait, elle referma ses doigts autour. Ivre de désir elle pressa convulsivement cette colonne de chair douce et palpitante, suivant les montées de plaisir qui se développaient au plus profond de son vagin en feu.
Laissant ses doigts ségarer dans le luxurieux pelage roux, Guillaume les avait insensiblement laissé descendre dans la fourche des cuisses, à la recherche de ce mystérieux et affolant sexe féminin, objet de discutions passionnées avec ses camarades de lycée. Soudain, il sentit avec émoi son majeur glisser dans une sente dune douceur étonnante et doù sourdait une abondante humidité. Continuant sa quête il avança le long de ce sillon suave, son doigt explorateur. Celui-ci senfonça presque immédiatement dans un orifice brûlant et onctueux. Terriblement ému et furieusement excité, il comprit quil venait datteindre le but de sa quête initiatique, étonné quand même de constater combien le sexe dune femme pouvait être vaste et profond. Découvrant cette spacieuse cavité, il osa alors joindre son index à son majeur pour explorer ce gouffre sexuel.
Exceptionnellement troublé par la découverte quil venait de faire, Guillaume commença à agiter ses doigts dans la vulve aux parois chaudes et spongieuses. Dinstinct, il découvrit les mouvements aptes à procurer du plaisir à sa compagne. Avec délectation il frotta ses phalanges aux parois moelleuses de la chatte torride, étonné de constater combien celles-ci étaient humides. Se souvenant des confidences de ses camarades de collège, il accéléra peu à peu le va-et-vient de ses doigts dans la fournaise du vagin torride.
Haletante, Claire avait suivi le parcours hésitant de son jeune partenaire le long de son sexe enflammé, éprouvant un trouble de plus en plus important à mesure que les doigts se rapprochaient de sa chatte affolée. Sa main droite qui serrait toujours convulsivement le jeune membre viril dressé, entreprit de branler celui-ci au même rythme que les doigts qui lui fouillait le vagin... Sous les profondes fouilles vaginales dont elle était lobjet, la jouissance la submergea soudain, sans quelle ne la sente réellement venir, et sans quelle ne puisse rien faire pour lendiguer. Un furieux raz de marée inonda soudainement son entrejambe. Lexploration pourtant maladroite des deux doigts accolés dans son vagin en fusion, avaient réussi à déclencher dans ses entrailles embrasées, un orgasme aussi soudain que violent, qui la fit se cambrer frénétiquement sur le lit conjugal. Reins arqués, elle poussa un long râle de volupté en resserrant furieusement ses cuisses nerveuses sur le poignet du garçon, emprisonnant avec force les doigts qui la fouillaient, dans son ventre agité de convulsions sensuelles.
Pour la seconde fois, Claire était emportée par une jouissance aussi soudaine que brutale. Jamais elle navait connu un tel plaisir intense avec son époux. Le fait que son partenaire sexuel soit un adolescent, qui aurait pu être son fils, décuplait sa libido.
La main prisonnière des jambes tétanisées de sa partenaire, les doigts plantés dans la chatte liquéfiée, Guillaume simmobilisa, surpris et quelque peu apeuré par la violente réaction de sa partenaire. Redressant la tête, il demeura stupéfait en découvrant le visage déformé de son initiatrice. Les yeux révulsés, les narines dilatées, la bouche crispée, Claire possédait une beauté sauvage et sensuelle.
A sentir sa main trempée par un liquide brûlant, qui séchappait du sexe quil fouillait de ses doigts, Guillaume comprit dinstinct quil assistait là à son premier orgasme féminin ; les traits dévastés de sa sensuelle partenaire lui rappelaient certaines photos montrant des femmes victime dun orgasme. Les merveilleux seins, qui lui semblèrent avoir encore augmenter de volume se soulevaient rapidement, comme si leur propriétaire venait deffec un cent mètres.
Lentement, Claire reprit ses esprits. Haletante, anéantie sur le lit défait elle relâcha insensiblement la pression de ses cuisses, permettant à Guillaume de retrouver la liberté de ses mouvements. Ne sachant trop quelle contenance adoptée, ce dernier retira délicatement ses doigts de la vulve trempée.
Retrouvant progressivement son souffle et ses facultés, Claire attira la tête de ladolescent sur sa poitrine couverte de sueur pour lui caresser tendrement la nuque.
-- Mon chéri, lui murmura-t-elle affectueusement... Tu as été merveilleux... Tu mas follement fait jouir... Tu es un amour...
Débordante de reconnaissance amoureuse, elle attira le garçon à elle :
-- Viens sur moi, lui murmura-t-elle dune voix pleine de tendresse. Viens me faire lamour
Tu las bien mérité
Et puis jai énormément envie de sentir ta queue dans ma chatte...
Nen croyant pas ses oreilles, Guillaume se déplaça rapidement, rampa jusquà sa sensuelle partenaire pour sétendre sur son corps moite et encore haletant, et habilement se cala entre ses jambes largement écartées :
-- Tu veux bien me faire lamour ? Lui murmura Claire à loreille.
-- Oh oui, sempressa dacquiescer Guillaume ivre de volupté à lidée de pouvoir enfoncer son membre douloureux à force dêtre raide dans ce sexe féminin si suave.
-- Moi aussi, jai envie de sentir ton gros bout dans ma chatte, lui murmura Claire à nouveau excitée à lidée dinitier ladolescent aux délices de la pénétration... Jai envie que tu me baises ... Mais il ne faudra surtout nen parler à personne, continua-t-elle... Si tu veux que lon recommence, il ne faudra surtout rien dire ! ... Tu me le promets ?
-- Oui, je vous le promets, jura Guillaume furieusement surexcité à lidée quil allait faire lamour à une vraie femme et connaître ces délices voluptueux qui faisaient lobjet de conversations animées lors de réunions avec ses camar
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