Suite De Mes Ébats D'Ado (6 )

Suite 6 - Un samedi soir, nous décidons, ma copine et moi, de sortir en boîte, avec nos copains respectifs. Il y a justement une discothèque dans la ville voisine, on peut y aller tranquillement. Aucun d’entre nous ne possède une voiture, on prend les transports en commun. Ce qui nous contraint de rentrer chez nous dans les limites fixées par nos parents. En banlieue, la nuit, il faut être prudent, on risque de faire de mauvaises rencontres. On aime, la techno nous abruti un peu, on remue, se contorsionne, on a chaud, soif. Je ne bois pas d’alcool, juste soda ou jus de fruit.
A un certain moment je dois me rendre aux toilettes. J’ouvre la porte et, surprise, il y a là un couple très occupé. La fille a le dos appuyé au mur, les bras sur les épaules, les cuisses sur les avants bras d’un gars qui la maintient sous les fesses. Vu comme ça, ils sont habillés, et seuls les coups de rein du mec permettent de dire qu’il est en train de lui faire sa fête. J’entre, il y a urgence, trop bu, referme la porte sans bruit, me glisse dans la première cabine, m’enferme. Je crois qu’ils ne m’ont pas vu. Ouf ! Je suis soulagée, ça va mieux. J’entends les gémissements de la fille et les han han de plus en plus forts du mec qui la pilonne. Je n’ose pas faire de bruit, reste assise, passe la main dans ma fente, titille mon clito, active deux doigts dans mon sexe. Je mouille, c’est bon. Le calme est revenu, je les entends sortir, la porte se referme. Je tire la chasse, sorts de la cabine, me lave les mains, retourne dans la salle. Je raconte à Steve ce que je viens de surprendre. Je lui dis que je me suis excitée lorsque j’étais assise sur les toilettes, que je mouille encore, que j’ai envie qu’il me saute. Je lui propose de sortir pour trouver un endroit tranquille. Je cherche Mélanie, lui dis que je vais prendre l’air. Elle n’est pas dupe, me conseille la prudence. On fait le tour du bâtiment. Il y a des voitures garées près de la porte de service, presque nez au mur.

Je m’appuie les fesses sur le capot de la plus éloignée, ouvre la braguette de mon copain, sorts bite et couilles. Son sexe est déjà en érection. Je le branle, il durcit et s’allonge encore. Je me retourne, met les mains sur le capot, lui présente mon cul. Il baisse mon jean, écarte le string, ouvre mon trou en y faisant coulisser deux doigts, écarte les lèvres, pince le clito, glisse sa pine dans la fente. Je mouille terrible. D’un coup sec, il emmanche son pieu jusqu’aux couilles. Je ne peux retenir un cri, il me défonce, va trop loin. Il commence une chevauchée fantastique, ma croupe réagit au rythme qu’il m’impose. J’ai l’impression que sa verge est plus longue que d’habitude, il s’enfonce, me défonce, me burine comme jamais. J’ai chaud, mon cœur s’emballe, ma respiration est haletante, j’ai les jambes molles, je vais m’écrouler. J’ai la poitrine sur le capot, il s’arrête, décharge. A chaque soubresaut je sens ses jets de foutre se répandre au fond du vagin. Je remue le cul, serre mon vagin pour bien le sentir, jouis dans un râle. Ca fait bien longtemps que je n’ai pas accueilli de sperme au fond de moi. Ce liquide chaud et onctueux qui se répand dans ma gaine déclanche en moi une onde de plaisir intense. Rien à voir avec une éjaculation dans la capote ! Malgré l’emploi de préservatifs d’une façon régulière, je prends la pilule. Deux précautions valent mieux qu’une ! On reste encastrés quelques minutes, aplatis l’un sur l’autre. Il sort sa queue, range son matériel. Il m’en a filé une sacrée dose, il avait de la réserve le bougre ! Ca coule entre mes jambes, je replace le string, remonte mon jean, apaisée. Mon string est collant, l’entrejambes du jean aussi, ça me gène, je suis mouillée, sens le foutre, mais tant pis ! C’était trop bon ! On retourne dans la salle, allons au bar, on a soif. Ma copine nous rejoint, a un sourire entendu, me demande comment c’était Il est temps de repartir, le dernier bus ne va pas tarder.
La semaine suivante je suis du matin, donc termine à 14 h.
Je rentre chez moi, mange, fait une petite sieste. Mélanie travaille jusqu’à 20 h. Je ne sais pas si nous sortirons ce soir ou si on va remettre ça à demain dimanche. J’ai été sage toute cette semaine, mais un bon petit ramonage me ferait du bien ! Je crois que je vais finir par m’acheter un gode. Je vois la tête de ma mère si elle tombe sur un tel engin !
Finalement, on ne sort pas ce soir, ce sera pour demain. On retourne à la discothèque, on se défonce sur la piste, le boum boum et les laser nous massacre les neurones. On a besoin de s’asseoir, allons sur la mezzanine qui surplombe la piste, prenons une table. L’un d’entre nous se dévoue, va chercher à boire. Ici il fait encore plus chaud que sur la piste, avec le bruit on a du mal à discuter. A côté de nous un couple s’installe. Ils sont plus âgés, dans les 25 ans. A un certain moment, le mec se rapproche de nous et entame la conversation. Ils sont dans un grand studio situé au 2° étage d’un immeuble pas très loin d’ici, lui possède une voiture. Ils travaillent tous les deux. Il se prénomme Robert ( Bob ) et elle Audrey. On fraternise, elle prend part à la conversation, mais il est bientôt l’heure de battre en retraite, le dernier bus n’attend pas. On leur dit au revoir, on s’excuse de ne pouvoir rester, et on s’en va. Je rentre à la maison discrètement, me déshabille, me pieute et ne tarde pas à passer dans le royaume de Morphée.
Le dimanche suivant, on retourne en boîte. On y retrouve Bob et Audrey, faisons plus ample connaissance. Ils s’installent à notre table, nous offre des consommations, on les prend avec couvercle et paille pour éviter que quelqu’un y mette du GHB. Puis nous allons ensemble sur la piste pour nous défouler. Après tout on est venu pour ça. Mais l’heure avance, il faut partir. Bob nous invite à finir la soirée chez eux, ce n’est pas loin, et se propose de nous raccompagner en voiture dès qu’on en manifestera le désir. On discute entre nous, qu’est ce qu’on risque, ils sont vraiment sympas, on est d’accord mais pas trop longtemps.
On ne doit pas passer la nuit dehors ! On va chez eux à pied, à peine 300 m. On comprend pourquoi il ne prend pas la voiture.
Le studio est grand : entrée avec placards, à gauche salle de bain, puis une grande pièce avec cuisine en bout bien équipée. Une baie vitrée et un balcon. Un canapé, un lit placard, une table, 2 chaises et 2 autres pliantes, le rêve pour un couple. Audrey et moi on s’installe sur le canapé, les autres autour de la table. Bob ramène des jus de fruit et des bières, on discute de la vie de chacun, histoire de faire plus ample connaissance. Ils sont vraiment sympas. Il est déjà 3 h du mat, il faut rentrer. On prend la voiture, 3 à l’arrière bien serré ( heureusement que Mélanie n’est pas très grosse ) moi à l’avant. Il nous dépose chacun notre tour, je suis la dernière. Arrivé devant chez moi, il me dit que c’est lui et Audrey que j’ai surpris dans les toilettes. Elle t’a vu entrer, on a voulu t’exciter un peu, et on a eu raison. On t’a surveillé discrètement. Tu es sortie te faire baiser par ton copain, appuyée sur le capot d’une voiture. J’espère que tu ne m’en veux pas de te l’avoir dit ? On trouve que vous formez un couple vraiment charmant, c’est pour ça qu’on a tenu à faire votre connaissance. On se dit au revoir, on s’embrasse sur les joues, on prend rendez-vous pour samedi prochain, me donne son N° de téléphone. On a passé avec eux une soirée agréable. Je vais en parler à Mélanie, savoir ce qu’elle pense de cette nouvelle relation. Elle préfère, si c’est possible, les rencontrer le dimanche après midi, car elle travaille le samedi jusqu’à 20 h. On pourrait sortir ensemble, faire autre chose que remuer au son de la techno. Varier les plaisirs. Il nous propose d’aller au booling sur le coup de 5 h. Il passe nous chercher, Mélanie et Mathieu se rendront là bas par leur propre moyen, elle tient à profiter un peu de l’absence de ses parents.
Vers 8 h, après de nombreuses parties, on en a un peu marre. Il nous propose de rentrer à son appartement, on commandera des pizzas.
Pour ça, il doit d’abord reconduire les nanas, ensuite récupérer les mecs. Chez eux, en l’attendant, on s’installe sur le canapé, regardons un peu la télé, Audrey commande pizza et boissons. La soirée s’annonce calme. On discute, on se lie d’amitié. Audrey est une femme très sympa, pas bégueule du tout, elle nous met à l’aise. Les mecs arrivent, les pizzas aussi, la discussion s’anime. Ils boivent des bières, je m’en tiens au coca, on mange. C’est l’été, il fait chaud, Audrey disparaît et revient en string. Dieu, quelle est belle cette nana. Elle nous invite à en faire autant, on ne se le fait pas dire deux fois, rapidement tout le monde se retrouve en petite tenue, les vêtements échouant en tas dans l’entrée.
Bob met un disque, repousse table et chaises dans le coin cuisine, enlace sa copine et entame un slow langoureux. On en fait autant. Alors que Bob a les mains sur ses fesses, je vois Audrey passer une main dans le boxer de son mec. Elle est gonflée quand même, elle n’est pas seule. Serrée tendrement par mon copain, je sens une bosse significative qui s’appuie avec insistance contre mon ventre. La soirée commence bien, j’ai envie de partir, de les planter tous là. C’est alors que Bob change de partenaire, repousse Steve, le met dans les bras de sa femme, se colle contre moi, m’entraîne dans un nouveau slow. J’ai peur que tout ça dégénère, mais je suis bien, j’ai chaud, me laisse conduire, ferme les yeux. Tout en dansant, une main me malaxe doucement les fesses, remonte dans mon dos, passe devant, elle est sur mes seins, sur ma chatte. Je mouille malgré moi. Troublée j’ouvre les yeux, regarde autour de moi. Nous sommes encore les seuls à danser. Mat est sur une chaise, Mel accroupie, lui pompe le dard. Audrey, en levrette sur le canapé, fait un 69 avec mon copain qui lui bouffe la chatte. Et moi je me retrouve avec un doigt qui glisse dans ma fente, s’insinue dans mon trou. Je me détache de lui, le regarde droit dans les yeux, hésite, baisse le boxer. Sa bite jaillit comme un diable hors de sa boîte, droite. Elle est impressionnante, la tête est énorme, la tige longue, je la prends en main et la tire vers mon sac resté sur la table. Je prends une capote, la lui donne, il quitte le boxer, se couvre, il veut me mettre à genoux devant lui, je résiste, je n’aime pas sucer. Il bande tellement qu’il m’est inutile de le branler. Il me soulève, m’assoie au bord de la table, enlève mon string, m’écarte les cuisses. Sa bouche aspire mon petit bouton, sa langue glisse dans ma vulve, entre dans mon trou. Je chavire, remue le bas ventre, m’allonge sur le dos, met mes jambes sur ses épaules. Je suis ouverte, mon sexe est trempé, je cherche sa queue, la guide, il s’enfonce, je sens ses couilles sur mon cul. Il commence à me limer, ses coups sont rudes, elle est grosse, je le sens bien, il me comble, me défonce. J’entends des râles, redresse la tête, regarde le canapé. Audrey chevauche mon copain avec ardeur. Je ne sais pas ce qu’est devenue Mel, je ne la vois pas. Bob s’incline sur moi, je passe mes bras sur ses épaules, il me prend sous les fesses, se redresse. Je suis accrochée à lui, jambes sur ses avant bras, bloquée sur son corps par ce pieu qui m’emmanche. Il me porte sur le canapé, me dépose bas du dos sur l’accoudoir, épaules sur le coussin, tête entre les jambes de Steve qui, entre temps, est passé sur Audrey. Ses couilles sont au-dessus de moi, je tends la main, les prends et les caresse. Bob n’est pas sorti de moi pendant le transfert, j’ai le cul et les jambes en l’air. Il est debout, me burine sauvagement, me fait perdre la tête, j’ai envie de crier tellement il va loin et que la cadence est élevée. Audrey, elle aussi, a le cul en l’air, les jambes presque au niveau des épaules. Mon copain, à genoux sur le canapé, mains lui tenant les mollets, lui enfonce son mandrin jusqu’à la garde. Il la pilonne hardiment, elle coinne de plus en plus fort, l’accompagne dans ses assauts. La situation est hallucinante ! Bob se bloque au fond de moi, lâche son foutre dans la capote, je jouis, pousse un cri, me sens défaillir. Il me quitte, me prend les jambes, me tourne. Je suis assise, regarde Audrey terminer sa baise. Mon copain s’est protégé, il éjacule, elle jouit dans un râle. Il sort sa queue, elle vire la capote pleine de foutre, le suce goulûment, manifestement satisfaite. Je ne voyais pas Mel, et pour cause. Elle est étendue par terre, reins creusés, jambes remontées et largement écartées. Mat est sur elle, s’acharne dans elle. Il vient de sortir sa queue, plusieurs jets de foutre se répandent sur le ventre, les seins de Mélanie. Elle se relève, fonce dans la salle de bain
Il est tard, il faut rentrer. Bob nous raccompagne et avant de me quitter, m’embrasse, me demande si cette soirée m’a plu, en profite pour glisser sa main entre mes jambes, appuyer sur mon sexe. Je lui dis » halte là, on verra ça une autre fois « . Je rentre chez moi, regagne ma chambre, pense à cette journée, à la taille de sa bite, à sa façon de me baiser, à sa femme qui prend du bon temps en sa présence. Il m’a dit qu’ils étaient un couple libre ! Sachant où je travaille, et mes horaires, (on en a parlé) le samedi suivant il vient faire quelques achats au centre commercial. Il choisi de passer à ma caisse, me dit qu’il viendra me chercher demain, il a envie de moi, il voudrait essayer ma copine. Je l’appellerais si on est d’accord.
J’en parle à Mel, elle est d’accord. Elle a vu la taille du mandrin de Bob, aimerait bien le sentir en elle. Le problème est de convaincre les garçons, car, en dehors des week-end, c’est avec eux qu’on baise. Surtout quand je travaille le matin, parfois, je rencontre Steve dans la chambre de Mel, toujours avec son accord.
Si vous êtes toujours interessés par ces récits, il y a une suite logique.

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