Celine De Corvee De Bois (Suite)

Nous étions donc avec Céline dans une clairière du Bois de Boulogne où une partouze champêtre battait son plein, et ceci agrémenté par la présence de Clarissa superbe travesti que je venais de sodomiser et qui m'avait nettoyé la queue de sa langue habile et agile.

Pendant ce temps, Céline toujours à quatre pattes était livrée à la lubricité des hommes qui venaient de plus en plus nombreux le coin étant très connu des "spécialistes".

Chacun des participants couvrait son sexe d'une capote avant de pénétrer l'un ou l'autre orifice de ces dames, car malgré cette ambiance d'orgie, chacun respectait l'intégrité physique des autres acteurs de cette bacchanale rupestre.

Après m'avoir bien épongé, Clarissa me demanda qui était ma compagne, je lui désignais et elle me dit alors " je me ferais bien sucer juste avant de l'enculer cette salope, elle a l'air d'aimer la bite, mais je voudrais qu'avant elle me gouine les seins car cela me fait bander comme une vraie pute."

Je me dirigeais vers Cécile et lui expliquais les désirs de Clarissa. Cécile qui était toujours friande de nouveautés accepta avec joie le programme, j'avais juste oublié de lui dire que Clarissa avait une bite qui n'enviait rien à la mienne.

Cécile commença donc à rouler des pelles à Clarissa, à lui bouffer les seins, lui mordant les bouts qui étaient dressés comme de petites bites, puis elle descendit vers la jupette que Clarissa avait gardé et alors qu'elle s'apprêtait à dévorer une chatte elle vit se dresser devant sa bouche une superbe queue bandée prête à être sucée.
Clarissa la saisie alors par les cheveux, et lui baisa la bouche comme elle aurait fait d'un con, s'enfonçant sans ménagement jusqu'aux couilles.
Tout d'abord surprise, Cécile se mit à aimer ce traitement car je l'encourageais de la voix et de la main en lui frappant les fesses de claques sonores que seuls les gémissements des autres atténuaient.



Bientôt, le maître de Clarissa nous rejoignit et invitât tout le monde à venir admirer le spectacle offert par ses deux "salopes" qui s'étaient placées en 69 et se dévoraient la chatte et la bite avec un plaisir non dissimulé.

Clarissa s'appliquait tout particulièrement à sodomiser Cécile avec sa langue et à lui doigter l'anus puisque c'était là le centre de ses convoitises.

Cécile qui avait déjà été enculée deux ou trois fois dans la soirée n'éprouvait aucune difficulté à recevoir les deux puis trois doigts que Clarissa utilisaient pour lui tarauder le cul.

Le réceptacle bien préparé, Clarissa demanda à Cécile de lui tendre son cul pour qu'elle puisse l'enculer comme une reine pendant qu'elle devra sucer l'énorme queue de son maître.

Cécile qui n'avait jamais été à telle fête (et pourtant) tendit son cul à Clarissa et sa bouche au maître qui eu du mal à lui pénétrer la bouche tant il était gros et long, il s'agissait d'un colombien qui dans son milieu se faisait appeler l'anaconda, et se n'était pas usurpé.

Cécile s'acquitta de sa tache avec plaisir et conscience ne sachant pas que Clarissa n'était là que pour préparer les femmes soumises à l'énorme sexe de son maître, qui vu ses dimensions ne pouvait les enculer mais les baisait sans pouvoir aller jusqu'au bout sans les blesser.

Pendant que Clarissa sodomisait Cécile elle lui enfonçait presque entièrement sa main dans la chatte la préparant à la monstrueuse pénétration qui l'attendait.

La maître demanda ensuite à Cécile si elle acceptait qu'il la baise, et cette dernière, tellement excitée par les hors d'oeuvres du début de soirée lui répondit. : "Tu as sans doute déjà baisé des dizaines de salopes, mais une comme moi jamais, je vais te broyer la bite avec mon con et te la presser comme un citron jusqu'à la dernière goutte."

Le colombien se plaça derrière Cécile et la pénétra d'un coup de la moitié de son monstrueux Priape, tant il avait été vexé et excité par les paroles de Cécile.

Il voulait lui prouver que sa mantule pouvait réduire une chienne à l'état de poupée de chiffon folle de désir.

Cécile tenta de résister au plaisir mêlé de douleur que lui infligeait le colombien sans aucun ménagements, après des vas et viens de plus en plus brutaux, le colombien se retira et ôtant sa capote déchargea de longs traits de sperme glaireux et laiteux sur le cul et le dos de Cécile. Cela dura un long moment et Cécile lui dit alors : Ta monstrueuse queue m'a donné un plaisir que je ne saurais qualifier tant ce fut intense. Pour te remercier, je vais te faire ta toilette, mais je voudrais que Clarissa se joigne à moi car il y en a pour deux.

Ce qui fut dit fut fait, je regagnais la voiture attendant que Cécile ai terminé son dessert géant et crémeux.

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