Réalisation D'Un Fantasme
Cela fait plusieurs années que je fréquente un sex-Shop dans lequel il y a un cinéma porno au sous-sol avec également des cabines plus ou moins grandes. Il y a environ deux ans jy ai rencontré un homme qui semblait capter particulièrement mon attention. En effet, il était plutôt grand fort et semblait actif dominant
Justement ce que je recherchais. Nous nous sommes au début enfermés dans une cabine et le feeling est tout de suite passé
Il a senti que jétais passif et moi quil était actif. Je me suis donc tout naturellement mis à genoux pour lui déboutonner son jeans et faire descendre tous les tissus qui donnaient accès à lobjet de mes désirs. Je fus un peu surpris, mais néanmoins satisfait de ce que je découvrais. Il avait une verge déjà grosse au repos et une paire de couille digne dun véritable étalon. À ce moment-là je nai eu quune envie : prendre cette grosse verge dans la bouche et lui faire une bonne fellation dont moi seul est le secret
Rapidement elle prit de lampleur, non seulement elle est grosse, bien épaisse et bien dure, mais aussi elle longue et doit avoisiné les 20 cm et lui commençait à avoir du plaisir et haletait de plus en plus fort. Après un moment, jai senti quil avait envie de plus, tout comme moi, je sorti une capote et la lui enfilais, je prenais une inhalation de poppers et me mettais à quatre pattes sur la banquette sans dossier qui équipait la cabine, je lubrifiais mon entre-fesses et également son monstre qui tendait bien fort. Il me pénétra alors lentement mais avec force et je fus très rapidement rempli par son membre. Au début je sentais son énorme queue qui me pénétrait et me disais quelle était quand trop grosse, mais avec le poppers et lexcitation, je fini par admettre quil prenait toute la place à lintérieur de moi et je le trouvais même confortable. Il entama alors les va et viens en augmentant la vitesse au fur et à mesure pendant de longues minutes (et oui, jai la chance quil soit en plus bien endurant).
Entre deux rencontres il pouvait parfois se passer plusieurs semaines, alors je fantasmais souvent sous la douche quil me prenait sans capote et cette simple idée mexcitait énormément, je me branlais et jouissais alors rapidement. Un jour, juste avant de commencer, nous étions déjà bien excités, ayant déjà pris position, il pointa sa verge à lentrée de mon petit cul, je lui demandais sil voulait me prendre avec ou sans capote, il hésita un moment, puis me dit quil préférait avec. Je lui en enfilai une, la lubrifia et nous partîmes de nouveau dans un rodéo endiablé. Je dois dire que je nai jamais autant jouis quavec lui et que jy étais devenu accros
tout comme lui également. Dautres fois cependant on se contentait dune simple fellation et il jouissait sur mon visage, jen avais partout, car ses couilles étaient non seulement grosses, mais également bien remplies et je pu prendre toute lampleur de la quantité quil avait à donner.
Plus récemment, il y a quelques semaines, nous commencions notre programme habituel, mais pris sous le feu de laction et de lexcitation, il pointa sa grosse verge contre mon anus que je venais de lubrifier et me pénétra sans capote, je savais quil en avait envie, jen étais aussi très excité, mais après 2 ou 3 minutes de va et viens cadencés, je lui demandais de bien vouloir quand même mettre une capote car je ne voulais pas quil jouisse en moi. Il sexécuta et me repris une nouvelle fois « habillé » Il ne lui fallut plus que quelques secondes et il se vida complètement dans le préservatif.
Lors de chaque relation, quand je lui faisais une fellation, cest toujours lui qui me disait quil avait envie de me baiser et donc, par ces propos me faisait comprendre darrêter mes massages buccaux et de me mettre en position pour lassaut final. Jaime ce côté dominant chez un homme, que cest lui qui décide et moi je mexécute.
La semaine dernière, après plusieurs semaines où nous ne nous étions plus rencontrés, il était la, assis sur un canapé devant une grande cabine vide, lécran TV était cassé, mais on entendait la bande son du film tout de même. Il y avait de la pénombre dans la cabine, je passais alors devant lui et entrais dans cette cabine en le fixant du regard. Je commençais à me déshabiller en le regardant, mais lui ne bougeait pas, je pensais quil navait pas envie de moi en ce jour, comme cétait déjà arrivé une fois, où javais dû arriver trop tard et Monsieur sétait déjà allégé et donc jétais resté sur ma faim. Mais une fois en string, il tourna la tête et me fixa du regard, une demi seconde après il se levait et venais me rejoindre tout en dégrafant son pantalon. Il arriva près de moi, la verge déjà à moitié bandée, je me mis comme à laccoutumée à genoux et lui faisais ce que je savais faire de mieux
Son sexe grossissait rapidement et javais limpression quil était encore plus gros et plus dur que les fois précédentes. Je me délectais et je voyais quil y prenait vraiment plaisir. Je jouais alors avec mes lèvres et ma langue à lui caresser les couilles, lui lécher la verge, à la prendre entièrement dans la bouche jusquen gorge profonde et à lui astiquer son meilleur ami comme si je voulais quil finisse dans ma bouche. Je vis quil nen pouvait plus et il me dit sur un ton franc et direct : « Je veux te baiser
.
Il me pénétra alors sans rencontrer la moindre résistance et me laboura pendant de longues minutes, je me sentais bien, je savais ce que je faisais et lui était fier de pouvoir me prendre à nu. Je voulais lui offrir ce plaisir, car lui men donne `chaque fois. Il positionna à un moment ses mains sur mes hanches pour imprimer encore plus de rythme à nos ébats, je reprenais des inhalations de poppers et me laisser totalement aller à ses coups de boutoir qui ne semblaient jamais vouloir sarrêter. Je moffrais totalement à lui et subissais ses assauts de mâle en rut. À un moment, sa verge sorti complètement après avoir quelque peu dérapé et je commençais à éjaculer dans des soupirs qui montraient ma satisfaction, en même temps, il me la refourgua aussi rapidement et continuait de me limer comme il savait si bien le faire. Je me suis dit que jallais lui faire sortir la queue pour quil jouisse sur mes fesses et non à lintérieur, mais il avait le contrôle et me maintenait fortement par les hanches.
Il commença alors à pousser un gros râle caractéristique et sa verge était à nouveau ressortie. Après quelques secondes, une fois quelques esprits repris, je constatais quil ny avait pas de sperme par terre, comme ça aurait dû être le cas. Je lui demandais alors sil avait jouit, je ne voulais pas que lui nai pas jouit et que pour moi sétait fait. Il me répondit alors que oui, il sétait bien vidé les couilles.
Il me fit un grand sourire et me donna une petit tape sur les fesses comme à laccoutumée. Il se nettoya et se rhabilla, puis quitta la cabine sans même me rire au revoir. Quant à moi je me nettoyais et maccroupis au-dessus de la poubelle pour faire ressortir son jus quil mavait giclé dans lanus.
Je ne voudrais pas le refaire sans protection, mais je crains que cette barrière franchie, il ne comprendrait pas que nous le refassions avec protection. Je ne sais pas encore comment sera notre prochaine rencontre, jai dun côté envie de le satisfaire car il me donne beaucoup de plaisir et dun autre côté, je ne voudrais plus prendre de risque
Jy retournerai demain en espérant le revoir et en appréhendant le moment, tout en étant excité
Il se passa plusieurs semaines où je ne le vis plus, jallais régulièrement, mais peut-être trop dans ce Sex-Shop en espérant le revoir, mais rien ny faisait ! Il ne venait plus, jétais à la fois déçu et excité de pouvoir le revoir. Puis un mardi, je me suis dit que cétait ce jour-là que javais le plus de chance de le trouver, je retournais au Sex-Shop un peu plus tôt que dhabitude, car quelque chose me disait que peut-être il y serait aussi plus tôt que les autres jours.
Il ny était pas. Jétais déçu à nouveau et jespérais quil viendrait. Après environ 15 minutes, je le vis passer devant la cabine où je métais installé. Il vint me rejoindre après quelques minute, il avait, je pense, envie de me faire languir, pour obtenir tous ses désirs. Alors recommença notre habituelle cérémonie, il dégrafa son pantalon, le fit descendre aux genoux et baissa son caleçon. Sa bite était déjà au garde à vous et je me mettais à genoux pour lui faire une bonne fellation.
Après quelques minutes, il me dit quil avait envie de me baiser. Ni une ni deux, je me mis à quatre patte sur le canapé en lui tendant mes fesses,je nétais vêtu que dun tout petit string noir, car jadore cette sensation en faisant lamour et jenduisis mon petit trou de gel lubrifiant, je sniffait du poppers et lui me présenta sa verge tendue entre les fesses, il ne fallut pas longtemps pour quelle puisse me pénétrer. Je repris une nouvelle bouffée de poppers et mabandonnais totalement à lui.
Il me bourrinait depuis de longues minutes déjà et ce sans capote, je crois quil appréciait particulièrement, car cétait la première fois quil pouvait me prendre à nu aussi longtemps sans protection. Je savais aussi quil y avait un risque, mais lexcitation était plus forte que tout.
Après sans doute une bonne vingtaine de minutes je sentais son membre en moi qui semblait devenir encore plus gros et encore plus dur, il me remplissait complètement et tellement bien, jétais aux anges et haletais très, très, fort, tout comme lui dailleurs. Il me serrait très fort les hanches tout en me limant à fond et je fini par sentir des vibrations dans mon intimité, comme-ci javais un vibromasseur en moi, je me demandais quelques instants ce que cela pouvait être et pourquoi ça vibrait comme ça, mais je remarquais rapidement que Werner haletait fortement, autrement dit quil était tout simplement en train de se vider les couilles complètement en moi et me serrait très fermement, sans doute de peur que je fasse sortir sa queue, car les fois précédentes je ne voulais pas quil jouisse en moi. Mais il savait y faire et sa force, sa détermination, ma soumission et mon excitation aidant, il a enfin pu se libérer totalement en moi.
Il ressorti après quelques minutes sa bite toute trempée de mon cul, jessayais de mon côté de reprendre mon souffle en restant un moment à quatre pattes. Puis je finis par enfin me lever et constatais que tout son foutre qui avait giclé en moi lavait été très profond (il est bien membré aussi) et donc rien ne ressortait. Jétais quelque part fier de ce traitement, car je dois lavouer, je suis une petit chienne en chaleur qui avait besoin de ce traitement. Jadore être dominé par un homme et obéir à toutes ses volontés. Ce jour-là, Werner avait gagné et atteint son but!
Depuis nous nous revoyons de temps en temps et il me baise toujours sans capote, je suis à son service, tout simplement comme vide-couilles et cela me va très bien!
Merci mon homme, jaime être à ton service et faire ce que tu veux
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