Franz
Jai baptisé Franz ce récit car, à ma grande honte, je nai aucun souvenir du vrai prénom de celui dont je vais évoquer le souvenir dans les lignes qui suivent. Je tiens dautre part à préciser que cette histoire sest passée il y a presque 40 ans, alors que beaucoup de choses étaient totalement différentes daujourdhui, avec tout ce que cela sous-entend
En 1961, après 28 mois éprouvants de service militaire effectués pour la plupart en Algérie (en AFN comme on disait à cette époque), javais dégotté par des moyens trop longs à décrire ici, un job de surveillant/moniteur de sports dans une école privée située en Suisse sur les bords du Léman. Mon boulot nétait pas très bien payé, mais jétais nourri et logé et, surtout, il me permettait de pratiquer gratuitement une grande quantité de sports. Dans limmédiat, cette situation me convenait parfaitement. Les élèves dont je devais moccuper étaient tous des rejetons (plus ou moins tarés dailleurs
) détrangers (à la Suisse) ayant beaucoup de fric et qui ne rechignaient pas à «cracher au bassinet» pour autant quon soccupe de leurs gosses et quils leur foutent la paix.
A la fin du troisième trimestre, il se passa dans ma boite un petit chambardement. Les élèves qui avaient suivi le cycle complet détude devaient en principe partir et être remplacés par dautres qui ne venaient en été que pour des séjours linguistiques. Beaucoup de ces garçons habitaient assez loin de la Suisse et, pendant quelques jours, nous dûmes abriter en même temps ceux qui nétaient pas encore parti et ceux qui étaient déjà arrivés. Un matin, le directeur de létablissement me demanda si jétais daccord pour loger un élève dans ma chambre qui disposait de deux lits, en attendant quune place soit disponible ailleurs. Je ne pus bien sûr quaccepter. Le soir même, rentrant dun après-midi de ski nautique avec quelques élèves, jeus la surprise en regagnant ma chambre dy découvrir, assis sur un des lits, un jeune adolescent.
Après le dîner, le directeur de létablissement avait lhabitude de réunir dans son immense bureau, autour de cafés et de pousses-café, lensemble du «staff» (professeurs et surveillants) pour des discussions qui menaient souvent très tard. Lorsque je regagnai ma chambre ce soir là, Franz était déjà couché et semblait dormir profondément. Je me déshabillai rapidement en silence, gardant quand même un slip sur moi, car javais (et jai toujours dailleurs) lhabitude de dormir à poil, puis je me couchais et ne tardais pas à mendormir. Jai en général un sommeil de plomb et ne me réveille jamais en cours de nuit, mais cette fois-ci pourtant, cela se produisit. Lorsque mes yeux se furent habitués à lobscurité qui nétait dailleurs pas très profonde, jeus la surprise découvrir que Franz était agenouillé au bord de mon lit et que son regard semblait être fixé droit sur mon slip. Jetant un coup dil moi-même, je me rendis compte que dans mon sommeil et probablement à cause de la chaleur, je métais débarrassé du drap et que, pour une raison inconnue, je bandais
Prisonnière du tissu, ma queue provoquait un renflement sur lequel mon petit autrichien avait les yeux fixés.
Le lendemain, je devais me lever tôt et lorsque je quittai la chambre, Franz dormait encore. Je ne le revis quau repas de midi que nous prenions en commun avec les élèves. Il neut absolument pas lair de me voir et cela me rasséréna. Il en fut de même au dîner et je me demandai ce qui allait se passer après le café «de létat major ». Lorsque je regagnai ma chambre, Franz était réveillé, il était couché entièrement nu sur son lit, ses grands yeux étaient fixés sur moi et il me souriait, visiblement il mattendait. Je me déshabillai rapidement, ne gardant comme dhabitude que mon slip. Puis je me rapprochai de son lit. Lorsque je fus près de lui, Franz sassit, puis se tourna vers moi et de ses deux mains il fit glisser mon slip jusquà mi-cuisses. Il prit ensuite ma queue à deux mains et lenfonça dans sa bouche. Il me suça ainsi pendant quelques instants et je mapprêtai comme la nuit précédente à décharger dans sa bouche, mais il arrêta sa fellation et me fit signe de me coucher. Lorsque cela fut fait, il enjamba mon corps et, me faisant face, il vint sasseoir sur ma bitte. Il positionna lui-même ma tige à lentrée de son petit trou, puis posant ses deux mains sur ma poitrine, il se laissa descendre jusquà ce que mes couilles touchent ses fesses. Une fois bien emmanché, il commença à monter et à descendre, mais sans brutalité. Il avait fermé les yeux et, à chaque fois quil senculait, il poussait un profond soupir. Dune main il sétait mis à se caresser sa petite bitte qui bandait à peine. Au bout dun moment, il se dégagea et me fit signe de me lever. Puis il se coucha sur le bord du lit et releva très haut ses jambes. Je me mis à genoux devant lui et dune seule poussée enfonçai de nouveau ma queue entre ses fesses. Sentant maintenant ma jouissance arriver, jaccélèrai le mouvement et bientôt je me répandis dans le petit cul. Pendant que je retirai ma queue, il continua à se branler et finit lui aussi par jouir. Je me levai et gagnai mon lit et finis par mendormir. Mais cétait sans compter sans linsatiabilité de Franz, car au milieu de la nuit je fus réveillé par une sensation bizarre et il me fallut un certain temps pour réaliser que ma queue était bien enfoncée dans la bouche du petit autrichien dont la tête montait et descendait au-dessus de mon ventre. Je décidai de ne pas montrer que jétais réveillé et lorsque ma jouissance vint, je déversai un flot de sperme dans la bouche de Franz qui, suivant sa bonne habitude, avala tout une nouvelle fois. Il se releva ensuite, me jeta un bref sourire et regagna son lit.
Franz resta dans ma chambre pendant deux autres nuits pendant lesquelles ma queue visita plusieurs fois sa bouche et ses fesses. Puis, les choses étant revenues à la normale dans linstitution, il me quitta pour sinstaller dans une chambre avec deux jeunes italiens qui nétaient encore que des gosses. La première nuit que je passai seul fut un peu bizarre, javais commencé à prendre de bonnes habitudes avec Franz et ces instants de baise intense me manquaient. Le surlendemain soir alors que je venais de regagner mes pénates, jentendis gratter à ma porte. Après avoir éteint la lumière, jouvris et Franz entra très vite et me chuchota en anglais - we must do quick- Je compris ce quil voulait me dire et en quelques secondes il s'était accroupi devant moi, ma queue profondément enfoncée dans sa bouche. Lorsque jestimai bander suffisamment, je le fis se relever et se mettre à genoux dans un fauteuil. Il sexécuta immédiatement, il sinstalla comme je le lui avais demandé et abaissa le pantalon de son pyjama me dévoilant ses jolies petites fesses rondes. Quelques secondes plus tard jétais bien enfoncé dans son petit cul et mes deux mains posées sur ses reins, je me mis à le limer. Nous navions pas beaucoup de temps et je ne fis rien pour retenir ma jouissance et, après quelques va et viens rapides, je déchargeai dans ses entrailles. Dès que je me retirai, il remonta son pyjama, il me fit un sourire et un petit signe de la main, ouvrit la porte et disparut. Dans les nuits qui suivirent, il revint quelques fois, mais de manière très irrégulière. Je me dis que partageant sa chambre avec deux autres camarades, il lui était peut-être difficile de sabsenter, ne serait-ce que pour les quatre ou cinq minutes qui me suffisaient pour le baiser. Mais compte tenu de lenvie de se faire enfiler qui semblait permanente chez lui, cela me parût quand même bizarre.
Un jour, le directeur décida demmener tous nos élèves, il y en avait à peu près une quarantaine, pour une sortie touristique de la journée entrecoupée dun pique-nique. Elèves et surveillants sempilèrent dans les cinq minibus WW dont disposait létablissement et nous prîmes la route. Après un circuit marqué darrêts consacrés à des visites de sites ou de monuments, nous nous arretâmes au bord dune route bordée par des bois. Le pique-nique fut déchargé et nous nous enfonçâmes entre les arbres vers une clairière que connaissait lun des surveillants. Lendroit était effectivement idéal, agrémenté par un petit torrent qui traversait le petit pré de part en part. Après leur avoir fait promettre dêtre de retour dici une heure pour le pique nique, les jeunes ségayèrent un peu partout. Je remarquai alors que Franz était en grande discussion avec deux jeunes allemands qui le dépassait largement dune tête. Ils étaient tous les deux grands et blonds, archétypes dune race qui fut à une époque, mise en valeur par un petit moustachu
Jétais trop loin pour entendre leurs propos que de toutes les façons, je naurais pas pu comprendre, mais il me sembla néanmoins que les deux types proposaient quelque chose à Franz. Ce dernier sembla accepter en hochant la tête en souriant, puis ils se séparèrent. A partir de ce moment, je gardai en permanence un il sur lui. Au bout de quelques minutes, il se leva et après avoir tourné un peu autour de ses camarades, il se dirigea vers le sous bois. Mais il était seul et je ny prêtai pas autrement attention tout occupé que jétais à surveiller linstallation du pique nique. Quelques instants plus tard je remarquai que lun des deux jeunes allemands se levait à son tour et prit la même direction. Curieux me dis-je et je me mis à observer son camarade. Lorsquil se leva également et disparut discrètement sous les arbres, je me dis que ces trois là manigançaient quelque chose. Je prétextai auprès des deux autres surveillants un oubli dans lun des minibus et jen pris ostensiblement la direction. Lorsque je fus hors de vue du groupe, je bifurquai, mengageai dans la forêt et revins sur mes pas en longeant la lisière et en évitant de me faire voir. En quelques instants jeus contourné la clairière et pris la direction prise par les trois garçons. Javançais précautionneusement et me surpris à mettre strictement en application un principe que quelques mois de campagne en Algérie mavaient appris , «voir sans être vu»
A un certain moment jentendis des bruits de conversation provenant de ma gauche. Redoublant de précautions je me rapprochai de la source des voix et finis par découvrir mes trois lascars. Tapi et bien caché derrière un buisson je pus les observer. Dans une petite clairière, Franz était debout devant les deux allemands, dans chacune de ses mains, il tenait les queues que les deux types avaient sorties de leurs shorts et les caressait lentement ! Cela dura un temps puis, Franz qui me faisait presque face, dit quelque chose en souriant à ses deux camarades. Je ne vis, ni nentendis leur réponse, mais Franz hocha la tête toujours en souriant, puis il se pencha en avant et prit dans sa bouche lune des deux queues. Il la suça pendant quelques secondes, puis il changea dobjectif et avala lautre bitte. Ce manège dura quelques instants encore, sa bouche passait alternativement dune queue à lautre, mais connaissant mon artiste, il était étonnant quil se contente de ces «hors-duvre»
Effectivement, il se redressa au bout dun moment et, toujours avec son sourire enjôleur, il se remit à discuter avec ses deux compagnons dont il caressait toujours les queues. Puis libérant ses mains, il dégrafa son short, le fit glisser le long de ses jambes et sen débarrassa. Le slip blanc suivit rapidement le même chemin puis Franz se repencha en avant et se remit à sucer la queue de lun des deux allemands. Ainsi positionné, il semblait offrir son petit cul à un éventuel «amateur»
Lautre allemand paraissait un peu dubitatif, puis il se décida. Il vint sinstaller derrière le petit autrichien, il lui écarta un peu plus les jambes, positionna sa bitte entre les petites fesses nues que je connaissais bien maintenant. Puis prenant son élan, il commença à lenfoncer par petits coups de reins successifs jusquà ce quelle disparaisse entièrement. Il prit ensuite Franz par les hanches et se mit à le baiser dun mouvement rapide et un peu désordonné. Dune main posée sur sa cuisse, Franz maintenait son équilibre, de lautre il tenait la queue du premier allemand quil continuait à sucer. Puis, celui qui lenculait accéléra le rythme et, finalement, il se plaqua contre les fesses du petit autrichien, je compris quil venait de jouir. Il se retira immédiatement et Franz arrêta sa fellation et levant les yeux, il glissa quelques mots à celui dont il tenait toujours la queue à la main. Puis il se mit à quatre pattes dans lherbe. Lorsque quil fut en position, lex-sucé sagenouilla derrière lui posa ses mains sur les hanches et dun seul mouvement continu, il enfonça sa queue dans le petit cul offert. Evidemment, le chemin avait été ouvert par son prédécesseur et la pénétration se fit sans aucune résistance. Lorsquil fut bien introduit, il se mit à limer avec violence et au bout de quelques va et viens il se colla lui aussi contre les fesses de Franz et se répandit en lui. Sitôt quil eut joui, il se releva, remis de lordre dans ses vêtements et accompagné de son camarade qui attendait près de là, ils quittèrent Franz. Celui resta au sol, lune de ses mains avait disparu sous son ventre, et de toute évidence il devait se branler. Lorsquil eut jouit à son tour, il se leva, se rhabilla, puis partit en direction de la clairière. Lorsque je fus seul, je quittai ma cachette et par un itinéraire un peu différent, je rejoignis le groupe où personne ne sétait aperçu de mon absence.
Nous eûmes ensuite quelques difficultés à rassembler nos ouailles et lorsque finalement cela fut fait, nous distribuâmes les pique-niques. Pendant le repas, je continuai du coin de lil à surveiller Franz. A un moment je le vis un peu éloigné du reste du groupe, en train de discuter avec un des surveillants, un suisse allemand taillé comme un buf que je naimais pas beaucoup et qui me le rendait bien. A chacune des phrases dHelmut car tel était le prénom de ce citoyen helvète, Franz hochait la tête en souriant. Tiens, tiens me dis-je ? y aurait-il anguille sous roche et mon intuition fut confirmée lorsque je vis comme une heure plus tôt, Franz séloigner discrètement et gagner une nouvelle fois le sous-bois. Quelques instants plus tard, Helmut après un regard circonspect autour de lui, pris la même direction, ça devenait intéressant. Jattendis quelques minutes et, à mon tour menfonçait dans le sous-bois. Comme le matin javançais prudemment mais pas assez pourtant, car je faillis leur tomber dessus à limproviste, mais heureusement ils me tournaient le dos. A quelques mètres de moi, le short et le slip autour des chevilles, Franz était penché en avant, ses deux mains appuyées sur le tronc dun gros arbre. Derrière lui le surveillant le tenait par les hanches et son énorme braquemart entrait et sortait avec une régularité de montre suisse dans son petit cul. Helmut me tournant le dos aux trois quarts ne pouvait me voir, mais à un moment, Franz tourna la tête en souriant pour dire quelques mots au surveillant et, à ce moment, il maperçut. Son visage neut aucune réaction et il continua à sourire. En ce qui me concerne, jétais édifié et il était inutile que je joue plus longtemps les voyeurs et je me retirai sans faire de bruit et rejoignit notre groupe.
Le reste de la journée se passa sans anicroche, mais tout en conduisant sur la route du retour, je ne pu mempêcher à penser sans cesse à cette petite tapette de Franz dont visiblement le seul objectif était de se prendre le plus de bittes possibles dans le cul. Il semblait adorer ça et, visiblement également, malgré son jeune âge, il avait lair davoir déjà acquis une sacrée expérience
Mais après tout cétait de ses fesses dont il sagissait et il en faisait ce quil en voulait. Une chose me gênait quand même dans cette histoire, cest quil ait remis ça laprès-midi avec ce salaud dHelmut et je me demandai si ce dernier, peut-être témoin dune «rencontre» précédente, navait pas exercé un chantage sur le petit autrichien pour pouvoir le baiser à son tour
Le soir, Franz ne vint pas me voir, ni le lendemain non plus dailleurs. Le troisième soir je décidai den avoir le cur net et sous prétexte dun mal de tête, je coupai à la corvée du café du soir. Je regagnai ma chambre, me déshabillai et ne gardai sur moi quun short. Puis je quittai ma chambre et allait jusquau bout du couloir où se trouvait un escalier menant à des combles inhabités. Le virage de lescalier constituait un point de vue idéal. Je neus pas à attendre longtemps, au bout de quelques minutes, la chambre que Franz partageait avec les deux italiens, souvrit doucement. Franz en sortit et gratta doucement à la porte de la chambre située en face. Je me souvins que cétait celle des deux jeunes allemands. Cette chambre était contiguë à la mienne et nos fenêtres, comme toutes les autres dailleurs de ce côté, donnaient sur un grand balcon en bois qui courait tout le long de la façade et dont laccès était en principe interdit aux élèves. Je réintégrai rapidement ma chambre, ouvrit doucement la fenêtre et me coulai sur le balcon jusquà la fenêtre de la chambre suivante. Elle nétait éclairée que par une veilleuse, mais cétait suffisant pour distinguer ce qui se passait à lintérieur. Ainsi que je men étais douté, Franz était en action. Entièrement nu, il était à quatre pattes sur le sol, la queue de lun des jeunes allemands profondément enfoncée entre ses fesses. Et tout en se faisant baiser, il suçait la queue du second à genoux devant. Je matai le spectacle quelques secondes, puis réintégrai ma chambre, sortis à nouveau dans le couloir et repris mon poste dobservation en haut de lescalier. Au bout dun quart dheure, Franz sortit, mais au lieu de regagner sa chambre, il gratta à la porte de la chambre suivante. Autant que je pouvais men souvenir, elle était occupée par deux anglais et un hollandais, et comme précédemment, je me retrouvai de nouveau sur le balcon, mais cette fois ci il fallait faire attention car je devais passer devant la fenêtre des allemands. Mais ceux-ci, probablement fatigués par leur prestation avec Franz, avaient déjà éteint leur lumière. Sans me faire remarquer je parvins à la fenêtre suivante et bien caché sur le côté, je risquai un coup dil à lintérieur. Là, les lumières étaient toutes allumées et me permirent de voir sans problème le spectacle. Franz était debout appuyé à une table, le cul nu. Derrière lui, lun des jeunes anglais officiait déjà et je distinguai nettement sa queue entrant et sortant des petites fesses. Debout à côtés des deux acteurs, lautre anglais et le hollandais attendaient patiemment leur tour en caressant leurs queues
Je regagnai ma chambre et me couchait rapidement tout à mes pensées. Ainsi, en quelques jours, Franz semblait être devenu un véritable vide-couilles pour un certain nombre de ses camarades, et il semblait vraiment aimer ça. Je pris alors la décision de ne plus chercher à le rencontrer dautant que je commençais à avoir des vues sur quelquun dautre (le prof ditalien, une fille ! une « vieille » dau moins 30 ans
personne nest parfait...) et que ça avait lair bien se présenter.
Par contre, à partir du lendemain, et par jeu, je me mis à littéralement espionner les activités du petit Franz et je ne fus pas déçu. A ma grande stupéfaction, je découvris quil ne se passait pas une journée sans quil ne prenne au moins une queue soit dans sa bouche soit dans ses fesses, et souvent même plusieurs
et je ne parle même pas des nuits où bien sûr, il devait remettre ça. Au cours du mois de juillet, à peu près la moitié de ses camarades lui passèrent dessus. Je le découvris en action avec un, deux, voir même avec trois types en même temps, un peu partout. Sur la plage, fort commodément bordée darbres assez touffus, au fond du parc de linstitution, dans un petit boqueteau tout à fait adéquat, dans les toilettes du cinéma le plus chic de M
, dans les vestiaires des tennis, sur un pédalo au milieu du lac, dans les caves du château de C
.., cher à Lord Byron, etc. Tous les endroits lui étaient bons, mais cest quand même la plage qui avait sa préférence. Lorsque jamenais ma bande de gosses au bord du Léman, il séclipsait rapidement dans les arbres et, lun après lautre, certains de ses camarades allaient le rejoindre, ils ne se cachaient même pas
Chaque «session» ne durait pas bien longtemps car à ces âges là, on jouit très vite. Un jour pourtant jeus envie de voir comment cela se passait et dès que je vis Franz disparaître sous les arbres, je confiai la garde des gosses à lautre surveillant et je grimpai quatre à quatre vers un garage à bateaux désaffecté qui surplombait la plage et qui devait en principe moffrir un point de vue idéal. Javais raison, car dès que jy pénétrai, je découvris quà travers les planches disjointes on voyait très bien ce qui se passait en contrebas. Le petit autrichien était là, appuyé le dos à un arbre. Il avait retiré son maillot et malgré moi, à la vue de ce petit corps gracile dénudé, je me mis à bander. Le premier «client» arriva bientôt, cétait un jeune libanais, fils dambassadeur, assez beau gosse dailleurs mais qui avait le QI dun gosse de 10 ans. Sans dire un mot il sortit sa queue qui me parût assez grosse et la présenta à Franz. Ce dernier se courba et commença à la sucer, mais cela ne dura pas longtemps. Le libanais força brutalement le petit blondinet à se relever, il le retourna, lui fit signe de sappuyer contre un arbre et dune seule poussée, il enfonça sa queue entre les petites fesses blanches. Il lui suffit de quelques mouvements pour jouir et dès quil se fut retiré, il séloigna sans se retourner. Dautres types vinrent lun après lautre et le scénario était presque toujours le même. Certains se contentaient de se faire sucer et déchargeaient dans la bouche de Franz, dautres lenculaient, soit debout, soit à quatre pattes. En moins dune heure, le petit autrichien reçut ainsi la «visite» de 4 ou 5 de ses camarades, cétait tout simplement incroyable. Finalement plus personne ne vint, Franz attendis encore quelques minutes, puis il remis son maillot de bain et regagna la plage. Je me dépêchai den faire autant car mon collègue devait commencer à se poser des questions. Après nos dernières rencontres, Franz me fit quelques fois encore des avances à peine déguisées, mais je ny succombai point dautant que mes nuits étaient maintenant pleinement occupées par le prof ditalien qui, bien que suissesse, avait un tempérament très « latin »
Mais il sétait instauré entre nous une sorte de complicité, probablement parce que javais été le premier à le baiser après son arrivée. Souvent aussi au cours de mes «espionnages», le petit Franz remarqua ma présence, mais il ne la signala jamais, se contentant, quant il le pouvait, de me faire un petit sourire complice. Nous parlions quand même de temps en temps et un jour par je finis par lui demander si Helmut lavait surprit et menacé de le dénoncer pour pouvoir le baiser aussi. Il me confirma que ça avait bien été le cas, mais il me fit aussi comprendre avec son petit sourire, quil ne comprenait pas pourquoi le surveillant avait agit de la sorte alors quil aurait si simple quil le lui demande normalement
Du coup je pris la décision de régler son compte à cet individu et attendis loccasion qui ne tarda pas à se présenter. Un après-midi je vis Franz descendre au sous-sol, endroit où il navait en principe rien à faire et, quelques minutes plus tard, je vis Helmut prendre la même direction. Jattendis encore quelques instants et je descendis à mon tour. Je ne tardai pas à les découvrir ensemble dans la buanderie. Franz était à plat ventre sur une table, les jambes pendantes largement écartées et les fesses à lair. Son slip et son short étaient jetés sur le sol. Derrière lui, le tenant solidement par les hanches, Helmut, la queue bien enfoncée dans le petit cul allait et venait en ahanant. A chaque assaut, Franz dont les yeux étaient fermés, rejetait la tête en arrière et son visage semblait en extase. Ni lui, ni Helmut navaient remarqué ma présence, trop occupés quils étaient à leurs ébats. Après avoir admiré le spectacle pendant quelques secondes, jentrai dun seul coup dans la pièce. Helmut sarrêta immédiatement les yeux ronds, la bouche grande ouverte et sa figure tourna au rouge vif. Franz comme dhabitude me regarda avec son petit sourire et me fis un petit clin dil. Je souris également, je ne fis aucun commentaire et regagnai le rez-de-chaussée. A partir de ce jour là, comme par miracle, mes relations avec mon collègue et néanmoins ennemi, saméliorèrent considérablement
Avec la «complicité» de deux des trois surveillants (le troisième était un intello à lunettes, complètement paumé dans les vieux auteurs grecs), les «activités» continuèrent pendant les mois dété. Certains élèves partirent à la fin de juillet et furent remplacés par dautres en août, mais, au grand bonheur de tous, Franz resta les deux mois ou presque
Jen étais arrivé à un point tel que je ne remarquai même plus lorsquil sisolait avec lun ou lautre de ses camarades. Un jour pourtant je vis de la fenêtre de ma chambre que Franz se dirigeait vers le bosquet du fond du parc de linstitution, je savais que cétait lun de ses coins favoris et ny prêtais guère attention. Puis, quelques instants plus tard, je vis deux garçons prendre la même direction et là je fus plus intéressé. Les deux nouveaux venus étaient deux anglais dune vingtaine dannées qui étaient arrivés au début du mois daoût. Lun était bâti comme un pilier de rugby, quant à lautre il était plutôt du style de Franz, mais en plus efféminé encore
Bizarre me dis-je et jattendis quelques minutes pour que les «opérations» soient bien entamées, puis je gagnai discrètement moi aussi le bosquet. Les trois garçons étaient bien là ensemble et Franz et le petit minet anglais sétaient déjà mis à poil. Les deux anglais étaient debout et Franz, suivant son habitude, était à genoux devant eux et leur suçait la bitte à tour de rôle. Puis le petit anglais efféminé se mit également à genoux et sa bouche sempara de la queue de son compatriote. Intéressant et nouveau me dis-je
Et à ce niveau du récit, il est important dapporter une précision. Jusquà présent en effet, tous les «clients» sans exception de Franz avaient été des mecs actifs, probablement tous hétéros, et qui trouvaient très pratique, sinon très agréable, de pouvoir ainsi se décharger les couilles avec lui. Non pas que leurs homologues des établissements féminins, nombreux aussi dans la région, ne baisaient pas, au contraire, elles senvoyaient en lair tant quelles le pouvaient, mais, pour dévidentes raisons, elle préféraient le faire avec des types plus âgés quelles et les serveurs italiens de certains salons de thé avaient fort à faire... Aussi, pour les jeunes mecs de linstitution qui étaient en pleine santé, mais certainement un peu frustrés, la bouche et le cul de Franz étaient une manne céleste
Mais revenons au récit , les deux minets continuèrent à sucer le grand anglais puis il y eut une sorte de conciliabule. Franz se mit dans sa position favorite à quatre pattes, le petit anglais vint sinstaller à genoux derrière lui et exhibant une queue dune taille non négligeable, il commença à lenfiler entre les fesses ainsi offertes. Lorsque cela fut fait, le grand anglais qui possédait une bitte presque aussi grosse que la mienne, se positionna derrière son compatriote et, par petits à coups, il lintroduisit dans son petit cul. Le petit anglais, le torse appuyé sur le dos de Franz, et la tête tournée vers moi, se laissait faire avec un sourire béat. Quand les deux queues furent bien enfoncées, le grand type posa ses mains sur les hanches de Franz et, sétant ainsi bien assuré, il se mit donner de grands coups de bassins. Il était si costaud quil pouvait sans grande difficulté faire bouger les deux minets embrochés sous lui. Chaque fois que sa bitte entrait dans les fesses de son jeune compatriote, ce dernier rejetait la tête en arrière avec un sourire extasié. Quant à Franz, je ne pouvais par voir sa tête cachée par ses bras posés par terre, mais le connaissant comme je le connaissais, il devait lui aussi beaucoup apprécier. Je décidai de laisser mes trois zigotos à leurs «figures de style», mais, tout en regagnant ma chambre, je me fis la réflexion que les deux garçons anglais nen étaient certainement pas à leur première expérience dans le genre «trio»
Au cours de cet été «torride», je fus quand même obligé dintervenir à plusieurs reprises lorsque que les gosses dépassaient un peu les bornes
Tant que quils baisaient Franz hors de la vue du public comme cétait heureusement presque toujours le cas, je ne men mêlais pas et Helmut encore moins, et pour cause
Mais un jour je découvris dans la salle de lecture, les deux allemands qui étaient de loin les «clients» les plus assidus de Franz, affalés dans un canapé, la bitte sortie de leur short
Notre jeune autrichien, à genoux devant eux, les suçait à tour de rôle
Je poussai un coup de gueule en les menaçant de tout divulguer au directeur. Cela suffit à les calmer pour un moment. Une autre fois cest dans une des salles de cours, désertée laprès-midi, que je découvris mon Franz le torse couché sur un pupitre, le short aux chevilles et lénorme bitte de notre jardinier italien profondément enfoncée dans les fesses
Non content de sen prendre plein le cul par ses camarades, voilà quil sattaquait au personnel maintenant !
Il était vraiment insatiable. Là également une bonne engeulade fut nécessaire. Ce qui par contre est un peu miraculeux, cest quaucun des professeurs de létablissement ne saperçut de quoi que ce soit. Il est vrai quils étaient peu nombreux en été et presque tous dans la lune de toutes les façons.
Finalement, très «occupé» par mon professeur suisse je cessai de mintéresser aux frasques du petit autrichien, mais il marriva quand même encore de le surprendre en action avec un ou plusieurs de ses camarades. Un soir nous rentrions ma copine et moi après avoir été au cinéma à M
Arrivés à lécole, nous fîmes le tour du bâtiment pour passer discrètement par lentrée de service. Il y avait derrière lécole, un petit jardin au milieu duquel était installé une espèce de serre et mon amie me dit Regarde, il y a du monde à lintérieur. Me doutant bien de ce dont il pouvait sagir, je lentraînai derrière moi et nous fîmes le tour de la petite construction. Nous approchant à pas de loup nous collâmes nos nez à lune des vitres et malgré la pénombre, nous pûmes distinguer un spectacle suréaliste. Au milieu du petit édifice, Franz et le petit anglais efféminé étaient à quatre pattes sur le sol, complètement nus. Ils avaient chacun derrière eux, un garçon à genoux dont la queue entrait et sortait de leurs petites fesses et autour deux trois ou quatre autres qui attendaient leur tour. Tout cela semblait irréel mais cest surtout ma copine qui fut la plus émue. Au bout de quelques instants je sentis sa main venir se poser sur la braguette de mon pantalon, pour y découvrir que bien sûr je bandais comme un cerf. Le reste se passa rapidement et en silence, je sortis ma queue, je relevai la jupe de ma copine, jécartai légèrement son slip et menfonçai dans une chatte déjà trempée par lexcitation. Pour accélérer sa jouissance, elle enfila lune de ses mains entre ses cuisses et entreprit de se branler comme une folle. Dans létat où nous étions, il ne nous fallu que quelques secondes pour arriver à lorgasme. Puis aussi discrètement que nous étions venus, nous nous esquivâmes et regagnâmes ma chambre. Probablement un peu honteuse de sa réaction devant ce spectacle, ma copine suissesse eut le bon goût de ne jamais plus me reparler de cette histoire
Un soir de la fin du mois daoût, le directeur me convoqua dans son bureau et me dit Ludovic, je viens de recevoir un coup de téléphone des parents de Franz, il doit rentrer à Vienne plus tôt que prévu. Il y a un train direct qui part de Lausanne demain matin et vous laccompagnerez à la gare. Je préfère cette formule car il est encore un peu jeune et sil part dici, il risque de ne pas sy retrouver dans les correspondances. Entendant cela, je rigolai doucement en pensant quil y avait certaines autres «disciplines» pour lesquelles il nétait pas trop jeune et peut-être même très en avance pour son âge
Le lendemain matin, après le petit déjeuner, jembarquai Franz et ses bagages dans lun des minibus et nous prîmes la direction de Lausanne. Jétais un peu écoeuré car peu des camarades de Franz étaient venus lui dire au revoir, pourtant, la plupart dentre eux avaient largement profités de sa bouche et de ses fesses
Oh ingratitude humaine
Pendant la première partie du voyage, je me concentrai à ma conduite, puis ayant atteint la route du bord du lac, très tranquille le matin, je jetai un coup dil vers mon passager. Il me regardait avec ses grands yeux bleus enjôleurs. Il se pencha vers moi et posa sa main sur ma cuisse gauche avec un petit sourire quémandeur. Tant pis pour mes grandes décisions me dis-je. Il y avait sur cette route que je connaissais bien, nombre de petits chemins qui conduisaient à des plages du lac dont certaines étaient même équipées de tables et bancs de pique nique. Le première bifurcation fut la bonne, je mengageai sur la petite route et une centaine de mètres plus loin je marrêtai près de la plage qui était bien entendu déserte à cette heure. Sans même regarder Franz, je descendis de voiture et jetai rapidement un coup dil autour de moi pour vérifier que nous étions bien seuls. Franz était également descendu de son côté puis sétait assit sur lun des bancs où il mattendait avec son petit sourire enjôleur. Je mapprochai de lui et posait mes deux mains sur ses épaules. Il leva les yeux, me regarda, puis ses mains saffairèrent à déboutonner ma braguette et à en dégager ma queue quil enfila immédiatement dans sa bouche. Il me suça pendant quelques instants, puis il se releva, dégrafa son pantalon, fil glisser son slip et se mit à genoux sur le banc. Ma queue senfila rapidement dans son petit trou et, quelques instants plus tard je déchargeai entre les petites fesses blanches. Nous reprîmes la route et néchangeâmes pas un parole pendant le reste du trajet. A Lausanne il me fallu prendre le billet pour mon jeune compagnon, puis lorsque cela fut fait, je laccompagnai sur le quai, nous avions encore environ une demi heure à attendre. Nous nous assîmes sur un banc un peu éloigné et, au bout de quelques minutes Franz posa sa main sur la mienne et, toujours avec son petit sourire, il me dit Bitte, noch ein Mal, eine letzte Mal (sil vous plaît, encore une fois, une dernière fois). Il me regarda encore intensément, me sourit et se leva. Machinalement je le suivis et compris quil mamenait vers des toilettes situées au bout du quai. Il y entra le premier et, après mêtre assuré que tout était calme, je le suivis. Il ny avait personne dans la salle des lavabos et Franz entra dans une cabine et me fit signe de le suivre. En quelques secondes il se déshabilla entièrement puis sagenouilla devant moi et comme une heure auparavant, il sortit ma queue et se mit à la sucer. Lorsquelle fut bien raide, il me fit signe de masseoir sur le siège, puis menjamba en me tournant le dos. Il guida ma tige entre ses fesses et dun seul coup, la fit pénétrer à fond. Posant ensuite ses mains sur mes genoux il se mit à me chevaucher presque brutalement. Pris par je ne sais trop quelle pulsion, je passai ma main sur son ventre à la peau très douce à la rencontre de sa propre bitte. Comme dhabitude il ne bandait pas beaucoup, mais je me mis néanmoins à le branler en cadence avec ses coups de cul. Nos jouissances arrivèrent presque simultanément, je me répandis pour la dernière fois dans ce joli petit cul et ma main reçut quelques gouttes de son foutre. Toujours embroché sur ma queue, Franz se laissa aller sur ma poitrine et leva sa tête vers moi et nos lèvres se joignirent
Mais il fallait nous dépêcher maintenant. Franz se leva et entrepris de se rhabiller. Pendant ce temps là, jentrouvris la porte et après mêtre assuré que la salle des lavabos était toujours vide, je sortis rapidement et refermait derrière moi. Je sortis des toilettes et gagnai rapidement lendroit où nous avions abandonnés les valises de Franz. Ce dernier me rejoignit au moment où son train entrait en gare. Je laidai à sinstaller dans un compartiment et redescendis sur le quai. Franz se mit à la fenêtre et y resta, toujours en souriant, jusquà ce que le train disparaisse dans le lointain.
Jai souvent pensé depuis à cet épisode de ma vie amoureuse pour constater que finalement je nai jamais su grand chose de Franz. Quel âge avait-il à cette époque ? 18 ans au maximum, et encore
Et comment sest-il fait que, si jeune, il ait été aussi expérimenté des choses de lamour au masculin. Autant de questions qui resteront jen ai peur, sans réponse.
Ludovic, Nice
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