La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1409)
Lesclave salope au Château (suite de l'épisode N°1401) -
De ma vie, je nai jamais été autant humiliée
Cest repliée dans un coin de lenclos, assise, mes jambes contre mon buste que jattends dans cette puanteur, entourer des porcs, qui eux, ne font pas attention à ma présence. Je ne sais quelle heure il est, mais je commence à avoir soif et faim. Et pourtant, je ne vais pas boire ou manger dans les mangeoires et abreuvoirs qui se trouvent juste derrière les barreaux de lenclos, où je naurais quà passer la tête entre ceux-ci pour me sustenter. Je me persuade tout de même et malgré les paroles de ce Felix, quil me ramènera, une gamelle de manger et une gamelle deau claire, comme quand je suis au Château entre les mains du Maitre. Malgré tout, et sans réussir à le comprendre vraiment, cette situation mexcite, je ne peux pas le nier de me faire humilier de la sorte. Je suis nue, toute puante, toute sale, et je rêve que dune seule chose, me doucher
Mais aussi et paradoxalement de me faire prendre comme une chienne (ou plus exactement comme une grosse truie) à même le sol, de me faire utiliser et défoncer dans mes trous de salope en chaleur par le Maitre. Et cest soudain en pensant à Lui et à toutes les humiliations quil pourrait me fait subir que je réalise que ce soir, cette nuit je naurai pas la chance et lhonneur de dormir à Ses pieds, comme je l'espérai. Je suis à la fois très excitée de cette humiliation que je subis, et heureuse car je savoure chaque chose qui vient du Maitre tant Vénéré, et à la fois triste de ne pouvoir être à Ses côtés. Tristesse qui ne m'empêche pas dêtre excitée telle une truie en chaleur.
Apres un bon moment, lenvie duriner arrive... ne souhaitant pas me lever ne sachant pas comment les cochons vont réagir et ne souhaitant pas non plus me pisser dessus, je décide de me retenir le plus possible, voulant me persuader que je ne resterai pas ici la toute la nuit, quon me nourrira et quon memmènera faire mes besoins comme une chienne.
Et puis tout dun coup, je réalise ce quil se passe réellement, par deux faits bien concrets. Le premier est que je ressens de nouveau luf vibrant qui est resté dans mon vagin, je lavais presque oublié et je réalise quil na pas été retiré après lépisode du bain de boue (voir épisode précédent) et tandis que je me désaltère en quadrupédie, quil se remet en marche bougeant et excitant davantage ma chatte si réceptive et déjà préalablement excitée. Le deuxième fait, est que je navais pas tout remarqué sur linstant une petite lumière rouge clignotante juste au-dessus de lenclos avec un petit appareil monté sur un support scellé au plafond et pivotant à 360 degrés.
- Mon esclave salope, tu ne peux pas me voir, mais juste mentendre par cette enceinte stéréo. Moi je te vois par la caméra à infra-rouge fixée au plafond, juste au-dessus de toi, tu dois lapercevoir par une petite lumière rouge clignotante. Et puis sache que par un système de wi-fi, je peux activer à distance luf vibrant toujours placée dans ta chatte de salope
Quel bonheur, tout dun coup je ne me sens plus du tout seule et abandonnée dans cette porcherie. Le Maître est là !
-
Tu croyais que jallais te laisser ainsi toute la nuit sans surveillance ? Tu vas mobéir et faire tout ce que je vais exiger. Pour commencer, je veux que tu talimentes comme une sale truie que tu es, alors va manger leur bouillie dans un des mangeoires. Et si lenvie de jouir te prenait, je tinterdis la jouissance tant que tu en nauras pas reçu lautorisation
Exécution, esclave
Excitée, cest avec beaucoup de difficulté que je remets donc à manger cette infâme bouillie nourrissante des cochons. Je nai pas beaucoup manger mais je suis bien vite rassasiée. Pendant tout le temps où je mange, luf vibrant se met en marche et en diverses vitesses doù cette difficulté à me sustenter sans jouir. Une fois rassasiée, je recule ma tête dentre les barreaux de lenclos et reste en quadrupédie sans bouger, la tête baissée, les jambes écartées quand la voix du Maître retentit de nouveau :
- Reste en cette position à quatre pattes qui te va si bien et branle-toi ton clitoris, salope
Je mexécute et le Maître actionne en même temps et à distance luf vibrant. Il exige clairement que jaccélère ma masturbation sur mon clitoris qui se dresse, il exige que je le décalotte avec mes doigts, que je le tapote, que je le pince, que je le branle frénétiquement tandis quil mhumilie sans modération avec mille insultes me rabaissant telle que :
- Sale cochonne, grosse truie en chaleur, puante souillonne, petite merde, paillasson à marcher dessus, sac à foutre, garage à bites, chienne à prendre en pleine rue en levrette, putain de bas quartier, vide-couilles, grosse merde bonne à écraser
A me branler frénétiquement, plus luf vibrant à son maximum, plus les insultes qui fusent pire que jamais, javoue navoir pas pu me retenir très longtemps ma jouissance, malgré tous mes efforts pour me retenir et cest malgré moi que je me mets à éclater mon orgasme en me roulant dans la paille souillée tout en continuant à me masturber.
- Mon esclave, tu as joui sans en être autorisée, tu vas donc être punie et tu imploreras de te faire pardonner. Cependant, je dois avouer clairement que je tai poussé volontairement à la faute, accentuant les vibrations de luf, augmentant mes insultes humiliantes, exigeant que tu te branles avec plus de vigueur. Donc je Me dois dêtre juste et je prendrais en considération tout cela demain matin lors de lénoncé de la punition qui sera donc moins sévère de ce que tu aurais mérité si je ne tavais pas pousser à la faute
Bien, il est très tard, maintenant je vais me coucher. Je te conseille de vite trouver le sommeil
Demain, je te veux sans trop de fatigue
Bonne nuit, Ma sale truie
Ce sont les derniers mots du Maître. Triste davoir désobéi, mais comprenant que cest le Maître qui a voulu très volontairement me faire jouir en me poussant à la faute, je vais donc dans un coin de lenclos où je me couche en chien de fusil pour essayer de dormir un peu, malgré la puanteur qui mentoure et la mienne
Cest le matin et je ne sais quelle heure il est, mais je sens des petits coups de pieds sur mes fesses mexigeant de me réveiller. Cest en ouvrant les yeux que je vois que le soleil commence à peine à se lever et quil est donc bien tôt.
Ma joie redescend bien vite quand je comprends par le fait que le véhicule ne bouge pas que nous ne partons pas maintenant. Felix va donc vaquer à ses occupations et me laisse dans le véhicule toujours entourée des cochons. Apres, ce qui me parait des heures dattente, jentends enfin le moteur démarrer et la bétaillère commencer à avancer. La route me parait beaucoup plus longue, et jai limpression que je ne retrouverai pas les pieds du Maitre avant longtemps, et quand enfin japerçois par les barreaux de la parois du véhicule, la grille du Château, cest tout heureuse que je me dirige donc vers la portière arrière attendant que lon vienne mouvrir, même si le véhicule et encore en marche. Une fois arrêté Felix sort, mais il ne vient toujours pas mouvrir. Puis jentends la voix du Noble, il est tout proche, et pourtant jai limpression que nous sommes si loin par mon impossibilité d'être prosternée à Ses pieds, à ma place. La voix du Châtelain et de Felix s'éloignent, je comprends donc que le Maitre met ma patience à l'épreuve. Je sais quil me sait pressée et excitée de Le retrouver, mais il me fait comprendre et me rappelle que je suis à Sa disposition, et que le Maitre soccupe de moi uniquement, quand il le veut.
Je décide donc de masseoir à même la paille, je repose ma tête contre le côté de la bétaillère, le temps me parait long, et je ne peux rien faire, jaimerai tellement me dégager de cette puanteur, prendre une bonne douche salvatrice et retrouver les pieds du Maitre. Je me mets à re penser à ces dernières heures, je nai jamais autant été humiliée et pourtant rarement autant excitée, et même à en jouir malgré moi... je sais que le Maitre sait ce qui est bon pour moi, et de quoi jai besoin. Et si au début jai eu du mal à le réaliser, jai comme pris du plaisir, via cette puissante humiliation. Perdue dans mes pensées, je nentends pas le Maitre et Félix revenir, cest seulement quand je me fais tirer par les cheveux pour sortir de la bétaillère que je comprends, cest Felix qui les tire, et il finit par me jeter par terre comme une merde, aux pieds du Maitre
(A suivre
)
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