Suite De Mes Ébats D'Ados ( 7 )
7 - Cette fois on va à la foire du Trône. On monte sur des manèges à sensations fortes, parfois il faut avoir le cur bien accroché. Puis les nanas rentrent en voiture,( il ny a que 4 places ) les 2 mecs doivent nous rejoindre en prenant les transports en commun. Vers 9 h du soir, Bob et Audrey nous invitent au resto. On en sort 2 h plus tard. Les mecs ont pris une bouteille de vin, ils sont pas mal excités. Tout le monde se retrouve chez Bob.
Au resto, les mecs, échauffés par le vin, nous ont promis une soirée de baise intense. Jen mouille davance ! Audrey entre la première et clame : Allez, tous à poil, joint le geste à la parole. On en fait autant, il faut dire quon a pas grand chose sur nous. Audrey est blonde, mais loriginal, bien fourni et non rasé, est plutôt châtain foncé. Sa poitrine, ( 95 C ) est belle, avec des mamelons aux quels il ne manque que la parole. Le lit placard est resté baissé, on sassoit dessus, 2 dentre nous prenons le canapé. Bob met un disque dambiance, on se calme, discutons un peu, ça nous fait tout drôle dêtre à poil, chacun pouvant détailler lanatomie de lautre. Les bites sont au repos, tête en bas, sur les couilles. Une bande de copains dans un camp de nudistes. Mélanie est entre Bob et Mat. Steve a pris une chaise. Je suis assise sur le canapé avec Audrey.
Tout en discutant avec les autres, je regarde Mélanie. Mine de rien, elle a prit une queue dans chaque main, les branle doucement. Ca a lair de leur plaire, en regardant bien ils commencent à bander dur. Elle se penche dun côté et de lautre, les prend en bouche chacun leur tour.
Un doigt se glisse dans ma fente, astique mon petit bouton, le fait bander, puis va jusquà mon trou dans lequel il entre sans vergogne. La main est celle dAudrey. Elle se lève, me fait pivoter sur le canapé, passe au-dessus de moi, mécarte largement les cuisses, les remonte, ouvre ma vulve, sa bouche sy colle. La langue entre en action, sattaque à mon clito, pénètre mon trou.
Que se passe-il ? Un genou passe au-dessus de ma tête, sappuie sur le coussin, lautre pied reste au sol. Le mec att Audrey aux hanches, la tire vers lui, la redresse, elle est en levrette, sur les coudes, cul en lair. Une paire de couilles velues me frôle le visage, une bite en érection se dirige vers sa vulve. Je la reconnais, cest la bite de mon copain, Steve, celle qui me ramone régulièrement. Jécarte ses lèvres en grand, saisie le braquemart, le met en place. Il senfourne, disparaît en totalité. Audrey, pousse un cri quand il entre. Le pilonnage commence. Elle émet des petits cris, suit la cadence. Et moi qui suis coincée dessous ! Je vois les couilles aller et venir au dessus de mon nez, la bite luisante de mouille passer à portée de ma bouche. Il lui écarte les fesses, sort et entre la queue, lemmanche, va de plus en plus loin, elle râle toujours plus fort, cambre les reins, relève le cul, crie oui oui ouiiiiiiiiiiiii, elle va jouir.
Soudain il sarrête, lui écarte les jambes en grand, elle sécroule sur moi. Il sort sa verge, la prend en main, la place sur sa rosette. Elle a comprit, crie, non pas ça, essaye de se dégager Il lui ouvre les fesses, se maintient en place, pousse. De lendroit où je suis, je vois la queue forcer lentrée et pénétrer doucement, mais inexorablement. Elle essaye de sy soustraire, mais la queue, déjà engagée, senfonce de plus en plus. Le sphincter cède, le gland est passé, le reste suit, elle pousse un cri strident, aïe, je crois quelle pleure. La queue a entièrement disparu dans son cul, il commence un lent va et vient. Elle se laisse faire, amorphe, ne réagit pas aux coups de butoir, subit, sanglote.
Tout ceci est allé très vite, je plains Audrey qui vient de se faire empaler. Il sort sa queue, cest bien mon copain ce porte couilles qui descend du canapé, va dans la salle de bain se laver. Si il y a pris goût, je vais devoir faire très attention à mon cul la prochaine fois quon baise !
- Elle lui dit » salaud, tu mas enculé, je ne voulais pas ! » .
Je naurais jamais cru quil était capable de lui faire ça, surtout sans son accord. Il lui a violé le cul, il me déçoit. Je vois le cul dAudrey, il se referme lentement, mérite un bon nettoyage, les bords sont marrons, dégueulasses. Elle est aplatie sur moi, mécrase, je la repousse, me dégage. Elle se recroqueville, je massoie à ses pieds.
Mélanie est en sandwich, Mat est au-dessous, elle est à califourchon, Bob au-dessus, sur son dos. Elle râle de plaisir, a lair dapprécier les assauts dont elle est lobjet, pousse un long grognement, joui, saffale. Bob sort de son vagin, il transpire, a le souffle court. Des jets de foutre se répandent sur ses reins, loin sur son dos, sa bite ramollit, retombe. Il sallonge sur le lit, vidé, épuisé. Elle séjecte de Mat, roule sur le côté, sassoie au bord du lit, récupère. Elle na plus quà prendre une douche. Mat se lève, vient vers moi bite à la main, droite, agressive, me tire vers lui. Il me bascule en attrapant mes jambes, les relève, les écarte un max, se place entre elles, menfile sans ménagement. Le voilà parti dans une ardente chevauchée, jen avais envie, je laccompagne, il me lime avec ardeur. Quelques coups brefs, sort, sencastre à fond, ne bouge plus, a quelques soubresauts, menvoie plusieurs giclées au fond du vagin. Le foutre se répand au fond de moi, me fait du bien, sans plus.
Dailleurs elle va prendre une douche, puis, sans dire bonsoir, étend la couette sur le lit et se couche. Je crois quelle ne va pas tarder à sendormir.
Il est deux heures du matin, je songe à rentrer. Mais Bob en a décidé autrement. Assise à côté de lui, sa main se glisse entre mes cuisses, enserre ma vulve, un doigt puis deux pénètrent mon intimité.
- Vire ta patte de là, tu me fais mal !
- OK, mais tu me tailles une pipe !
Je regarde sa queue, il na pas eu besoin de mon aide pour bander de nouveau. Il éloigne sa chaise de la table, matt la tête, appuie dessus et je me retrouve avec sa bite dans la bouche. Le gland est tellement gros que jai du mal à labsorber. Il me lenfonce le plus loin possible, jétouffe, il me donne de lair. Il lâche ma tête, je me redresse.
La position ma obligé à me tourner vers lui et à écarter les jambes pour maintenir mon équilibre et ne pas tomber. Il en profite, passe sa main à plat entre mes cuisses, enfile deux puis tente den introduire un troisième dans mon vagin, réussit, le pouce caresse mon petit bouton. Je ne tiens plus sur ma chaise, lui att le bras, tente de sortir ses doigts de mon sexe et de me dégager. Il men empêche, insiste, ma gaine est envahie, e, lentrée, trop élargie, commence à me faire mal. Ce nest plus possible, il faut que je me dégage de cette main qui me fait chavirer, qui occupe tout lintérieur de mon vagin, me fouille. Si ça continu, il va tenter de lentrer en entier, il faut que je réagisse Je vais faire ce quil attend de moi.
- Cest bon, jaccepte de ten faire une, mais tu ne me gicles pas dans la bouche!
Je me lève, maccroupis devant lui. Je prends sa verge en main, commence à lastiquer, le gland devient violet, la tige sallonge, la queue devient impressionnante, comparée à celle de mon copain, plus petite et bien moins grosse. Moi qui naime pas sucer, je lenfourne avec difficulté, la recrache, passe ma langue sur le méat, ne réussit quà nabsorber que le gland. Soudain, alors que rien ne le laisse prévoir, il matt la tête à deux mains, se cambre, menfonce sa queue au fond de la gorge, décharge, je le bois au goulot, il se vide. Jétouffe, déglutit, avale le foutre qui me remplit la bouche. Jai envie de dégueuler, jai un haut le cur. Il sort, menvoie une giclée sur le visage, senfourne de nouveau, se vide encore et encore. Jen ai plein la bouche, je bave, ça me colle sur la langue, du sperme coule sur mon menton. Ouf, cest fini, je fonce dans la salle de bain recracher, me laver. Cest la première fois que jen avale, décidément je naime pas.
Je reviens, regarde Mélanie. Tout à lheure elle était accroupie, suçait deux bites alternativement. Maintenant elle est assise sur Steve, jambes écartées, ancrée sur son vit, monte et descend. Elle a son copain dans la bouche, le pompe hardiment. Une secousse, il se vide, elle a du foutre qui coule à la commissure des lèvres, avale. Elle se lève, la queue retombe, du sperme coule le long de ses cuisses. Elle va dans la salle de bain faire un brin de toilette. Pour aujourdhui je crois quelle sest fait suffisamment ramoner la cheminée.
Je veux rentrer. Tout le monde se rhabille. Bob nous dépose, je suis, comme dhabitude, la dernière. On sembrasse, il cherche ma langue, en profite pour passer sa main derrière la ceinture de mon jean. Elle est sur ma peau. Aïe, jai oublié mon string. Un doigt est déjà dans ma fente, glisse vers mon trou, sy introduit. Décidément il est inrassasiable. Si je reste encore un peu, il va me baiser, là, dans la voiture. Jouvre la portière, descends en vitesse. Je file avant que ça dégénère, monte dans ma chambre sans faire de bruit. Quelle journée !
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!