Les Aventures De Patoun (3)
Je raccompagnais Céline et Fleur à leur métro de Villiers, cétait sur mon chemin. Les boutiques fermaient les unes après les autres.
Jai eu deux orgasmes avec des filles que je ne connaissais pas une heure et demie plus tôt, un avec la vendeuse du magasin de fringues et un autre plus torride encore avec Céline qui a réussi à mintroduire sa petite main dans mon sexe brûlant il y a à peine dix minutes, après de savants préliminaires avec sa copine Fleur.
Probablement le lieu choisi, un coin discret de lentrée dun immeuble, et donc le risque dêtre surprises y étaient pour quelque chose dans notre excitation. Et il y avait eu entre ces deux épisodes notre exposition, finalement pas très innocente, de seins nus avec ma nouvelle amie Nadège dans le bar et les palpations consenties bien volontiers de nos poitrines par les mains dun couple quadra, qui nous a proposé une sortie (partie à quatre ?) remise à plus tard.
- Je crois que ma soirée sera beaucoup plus sage, repos ! et vous les filles ? Je suis désolée de ne pas avoir eu le temps de vous amener à lorgasme, cest un peu égoïste dis-je à mes deux gardes du corps quelles connaissent maintenant dans ses moindres détails.
- Nous aussi on sera sages, car le bac approche et on doit réviser tout le week-end répondit Fleur, mais détrompez-vous, vous faire lamour nous a comblé à un point que vous nimaginez pas. Cétait sublime et vous faire jouir si fort a été une belle récompense pour ma Céline. Vous connaissant nous savions que nous aussi nous aurions beaucoup de plaisir avec vous. Je vous rassure, Céline et moi ferons lamour ce soir chez mes parents.
Madressant à Céline :
- Cest vrai quau magasin je me suis donnée sans retenue à cette jolie vendeuse, devant vous. Tu es la quatrième à mavoir pénétré ainsi. Tu as fait preuve dune grande douceur. Ce sera un moment inoubliable pour moi, merci ma chérie. Je ne pense pas pouvoir tenvoyer au 7ème ciel de cette façon là, regarde, ma main est plus grande que la tienne et jai constaté tout à lheure que lentrée de ton puits damour est étroit.
- Mais vous pourriez essayer dintroduire votre main dans le sexe de ma Fleur, je lui ai fait çà déjà deux fois et elle hurlait de plaisir. Vous savez son vagin est plus large que le mien et puis regardez elle est presque aussi grande que vous.
- Oh çà ce nest pas difficile, je ne suis pas très grande. Mais bon on se reverra après vos épreuves, après mi juin. Si vous en avez envie autant que moi bien sûr.
- Hum je crois que lon risque fort de se revoir avant, Mademoiselle, dit Céline en faisant un clin dil à sa copine. (elles riaient)
- Non ce ne serait pas raisonnable, mais soit on verra. Voilà nous sommes presque arrivées. Dis Céline tu pourrais transférer tes photos sur mon portable ?
- Oui si vous avez la place no problème.
Le temps de faire ses mms on arrivait à lentrée de la bouche de métro.
- Cà y est vous devriez tout recevoir Mademoiselle, il y en a neuf en tout.
- Merci Céline. Ah sil te plait efface les traces de tes messages on ne sait jamais.
- Ce sera fait, ne vous inquiétez pas mademoiselle. Mais seriez vous daccord cependant pour que je les montre à mes copines ou que je les leur envoie ?
- Attends que je les regarde mieux sur mon PC et je tappelle en fin de soirée ok ?
- Bien sûr cest normal.
Céline et Fleur en chur :
- Bien, bonsoir mademoiselle, merci et à bientôt.
- Rentrez bien mes chéries. Moi aussi jai hâte de vous faire lamour. Si vous voulez je vous présenterai des copines plus tard.
- Ah comme la dame blonde de tout à lheure ajouta Fleur, alors avec plaisir elle est trop top. Nous aussi on vous présentera nos copines. Vous verrez il y en a une qui est très branchée sexe avec les filles, rarement avec les mecs. Quand elle est en manque elle vient nous voir et on trouve un coin tranquille ou parfois chez mes parents pour lui faire lamour. Je suis sûre quelle vous plaira.
- Eh ben çà promet, allez il faut y aller maintenant. Travaillez bien.
Jallais leur tendre la main quand tour à tour elles déposèrent furtivement un baiser sur mes lèvres, devant les passants indifférents.
Je repartais chez moi dun pas vif, encore étonnée de cette fin daprès-midi. Ma tenue légère attirait les regards, surtout les pointes de mes seins nus qui tentaient de percer mon corsage sagement refermé. Même non excitée, mes deux bourgeons semblent frétiller quand je marche rapidement. Je le sais, mes amies et amis sen amusent souvent et aiment sucer ces tétines prêtes pour nos jeux coquins.
Arrivée dans mon petit studio jai pris une bonne et longue douche pour me détendre et dégusté une pizza. Jai ensuite chargé les photos reçues de Cécile sur mon PC et les ai agrandies le plus possible. Malgré moi je sentais mes grandes lèvres shumidifier. Seule lavant dernière où Cécile me faisait son fist fucking risquait de la mettre en danger
sexuel. Mon visage nétait pas reconnaissable sur toutes ces photos et comme je navais porté aucun bijou ni de piercing (avec mes activités sportives vaut mieux pas) aucun risque pour moi, sauf si une de mes amantes ou amants observaient attentivement ce corps devenu le jouet sexuel de filles aux mains expertes. Ces photos étaient quand même torrides, terriblement excitantes.
Lheure avançait mais ne sachant pas quoi répondre à Cécile jappelais Nadège sur son portable.
- Allo Nadège ? cest moi Patricia. Je sais quil est très tard, je vous dérange ?
- Non Pat, attends un instant
voilà je me suis isolée un peu. Mon mari discute politique avec des amis et ils en ont pour un moment. Comment vas-tu ? Tu as pu tarranger avec ton amie la photographe ?
- Oui tout va bien et elles ont voulu soccuper de moi très intimement dans un endroit discret tout en complétant la série de tofs !
- Pardon ?
. Ok ok je vois et bien ce sont des rapides ces deux là ! Jespère que tu as eu du plaisir au moins ?
- Ouh là là oui alors mais je vous raconterai çà un autre jour.
- Tu es folle ! Rends toi compte du nombre de filles et de mecs qui pourraient te voir complètement nue en train de tenvoyer en lair avec des filles ! Cest dangereux tu ne crois pas ?
- Ben non personne ne peut me reconnaître sur ces photos, mon visage est caché à chaque fois quand je suis de face ou trop penchée si je suis de dos comme avec la vendeuse.
- Bon envoie moi ces photos mais pas sur mon portable. Je tenvoie un sms avec mon adresse courriel perso.
- Daccord je men occupe. Rappelez moi quand vous aurez visualisé tout çà pour me dire ce que vous en pensez.
- Ok ma chérie, à tout de suite.
Trente minutes se sont écoulées quand Nadège me rappelle.
- Pat ? cest Nadège. Je suis dans un état si tu savais ! Incroyable ces photos, elles sont très très osées et excitantes, mais je taccorde queffectivement ce nest pas possible de deviner qui est cette superbe jeune fille offrant son corps à des plaisirs lesbiens. Par contre jai cru reconnaître la vendeuse mais ce nest pas évident, alors quune partie du visage de Cécile est trop visible sur une photo avec toi. Il faudra travailler un peu cette photo là pour plus de sécurité.
- Bien merci je vais en parler à Cécile ce soir. Dites moi, je vais faire un footing vers Montceau demain en fin daprès-midi, vous voulez venir avec moi ?
- Tiens pourquoi pas oui, mais tant quà faire autant aller à Vincennes. Je pourrais venir te prendre chez toi puis par le périph même un samedi on y sera vite. A quelle heure veux tu ?
- Faudrait quon soit sur place vers 17h30 ce serait bien, comme çà on serait de retour vers 19h30 au plus tard quen pensez vous ?
- Aucun problème et puisque cest mon mari qui emmène Didier mon fils au judo pour 17h cest super.
- Toute nue madame ! Non je plaisante mettez une tenue de tennis si vous avez et un jogging et noubliez pas le soutien, cest mieux que les seins soient maintenus quand on fait un footing.
- Tu sais que grâce à toi tout à lheure dans ma voiture jai ouvert mon chemisier comme au bar, les seins nus à peine cachés. Jai osé faire aussi quelque chose pour la 1ère fois : remonter ma jupe de telle façon que mon string soit bien visible de biais ou depuis le pare-brise. Je narrivais pas à me contrôler, envoûtée par un besoin de mexhiber.
- Cà alors je nen reviens pas ! Jespère que vous avez eu du succès au moins.
- Avec les 4x4 beaucoup, surtout aux feus rouges. Je me suis fait insulter une seule fois par la mère de deux ados qui nen perdaient pas une derrière la vitre arrière du 4x4. Un peu gênée jai failli me réajuster mais non je leur ai souri et jai continué ainsi jusquà une petite rue à sens unique encombrée. Circulation bouchée. A croire que le trottoir passait le long de mes vitres fermées, des femmes, des hommes, filles, garçons de tout âge passaient puis repassaient leurs yeux brillants plongés sur ma poitrine et mon entre jambe. Quand jai pu enfin avancer deux jeunes étudiants et une étudiante mont demandé si je pouvais les déposer à Montceau justement. Ils étaient pas mal du tout et la fille plutôt jolie quoique un peu mince. Ce nétait pas du tout ma route et un peu loin mais jai accepté sans me poser de question, je savais et ils savaient pourquoi jacceptais. Le désir me submergeait, joubliais mes interdits et le danger.
- Pas croyable çà Nadège, vous pouviez vous faire agresser et violer par ces trois inconnus.
- Cest vrai Pat mais je ny pensais pas et quand des mains sont venues prendre possession de mes seins fièrement dressés complètement sortis du chemisier, que mon voisin a arraché mon string en disant « Mais cest quelle est toute mouillée cette salope et cest une vraie blonde ! » jai laissé faire sans rien dire, pas vexée non plus de me faire traiter de salope. Mon fin ticket de métro semblait plaire à mon passager. La fille derrière moi et son copain ont recouvert quelques secondes mes seins par trois fois quand le lieu était trop chaud. Mais mon voisin na pas cessé de faire rouler mon clitoris entre ses doigts ou de fouiller mon vagin profondément. Javais du mal à conduire avec ces doigts sur ou dans mon sexe en feu, mes seins pétris et surtout mes tétons si sensibles que la fille pinçait du bout de ses doigts habiles et connaisseurs. Mes jambes tremblaient avec la montée du plaisir. Heureusement on est arrivés à Montceau et la fille ma dit de me garer 100m plus loin au fond dune impasse peu fréquentée parait-il.
- Mais Nadège vous vous rendez compte que vous risquiez tous dêtre accusés datteinte à la pudeur si des gens vous surprenaient ? Ce nétait pas encore la nuit.
- Maintenant oui mais à ce moment je leur appartenais totalement et cette petite impasse était effectivement très calme en ce début de soirée. Ils ont abaissé les dossiers des sièges avant de ma 407 break, étendu sur les sièges arrière une couverture dénichée dans le coffre, my ont installé, enlevé chemisier et jupe, relevé mes cuisses et mont demandé de les tenir bien levées et largement ouvertes, mes mains sous les genoux, ce que jai fait en riant. Jétais complètement nue, moi une femme mariée de 31 ans, mère dun jeune ado de 12 ans, devenue leur poupée de plaisir, totalement consentante, le corps offert à trois jeunes dà peine vingt ans, dont une fille. Tous les trois riaient, certainement peu habitués à pouvoir se faire une belle inconnue si facilement, style BCBG. Lun des garçons sest exclamé en me regardant « Putain mais cest quelle est belle en plus la dame et apparemment ses deux trous sont souvent visités. En plus elle a une sacrée paire de nichons et je ne parle pas de sa bouche. Je crois quon va bien se marrer »
- Cà y est Nadège je suis de nouveau toute mouillée et je me caresse. Jaurais tant aimé participer si vous saviez.
- Tu ne perds rien pour attendre ma chérie. Donc ils ont continué de plus belle leurs malaxage et introduction, venant chacun leur tour prendre ma bouche avec gourmandise, ce que jai accepté instinctivement, nos langues entremêlées, pendant que les deux autres aspiraient goulument mes obus aux bourgeons dardés comme jamais. La fille décidément experte sest attaquée à mes tétons avec ses dents et sa langue et lun deux garçons, sa langue dans mon vagin, a pincé mon clitoris avec le pouce et lindex, son copain avec un doigt se frayait aisément un passage dans mon illet quil avait soigneusement lubrifié de ma cyprine. Je me suis arquée brusquement en criant mon plaisir et mon amant récupérait dans sa bouche tout mon jus en marmonnant des « hum ! hum ». Jai eu au moins quatre spasmes incontrôlables, et jai lâché mes jambes, tétanisée par cet orgasme merveilleux. Sans me donner le temps de récupérer, la fille a alors pris les choses en mains et a dit aux deux garçons « He là, madame vient de prendre son pied égoïstement et nous alors ? Allez les garçons laissez moi la place et venez ici quelle vous fasse une gâterie pendant que je la prépare pour le grand saut. Toi la pute remets toi en position sur le dos ». Cest ce que jai fait, prête à subir leurs assauts.
- Jy crois pas, elle ta traité de pute ?
- Ben tu sais quand jy pense je me suis conduite comme tel et de toute façon je voulais aller jusquau bout dun vieux fantasme, faire lamour à plusieurs. Alors à quoi bon me défiler ? Les deux garçons ont baissé pantalon et boxer, mont présenté leurs outils en semi érection en me disant « Désolés madame mais on a été pris au dépourvu et on na pas de capotes ». Je leur ai répondu « Vous en faites pas je prends la pilule et vous avez lair corrects, rapprochez vous ». Jétais pressée damener ces deux beaux sexes lisses et de taille convenable de jeunes hommes à la verticale et commençait à en sucer un avec délice, en faisant sortir le gland de son enveloppe, ma langue léchant ce sucre dorge de haut en bas, puis jai englouti ce fruit damour au fond de ma gorge. Je lui faisais prendre lair de temps en temps, en bloquant son prépuce ouvert avec mes lèvres, ma langue tentant de sy introduire. Quand il fut prêt je lai entretenu dune main libérée et me suis occupée du deuxième déjà bien ragaillardi et lui ai prodigué les mêmes soins avec ma bouche avide de friandises.
- Et la fille pendant ce temps elle enfilait des perles dis-je à Nadège, que le récit de son aventure enflammait ?
- (Rire) Non Pat, insatiable celle-là, un vrai démon, elle suçait et croquait mon clito sorti de son capuchon, ou aspirait mes grandes lèvres, fouillait en profondeur mon vagin avec sa langue, y introduisait ses doigts, se nourrissait de mon suc et faisait tournoyer deux doigts de sa main libre dans mon petit trou qui souvrait progressivement, accueillant.. Je leur ai dit « Prenez moi les garçons je nen peux plus ». Ils ne se firent pas attendre et mont soulevé. Le plus rapide sest glissé sous moi, sa bite à lentrée de mon petit trou préparé par la fille. Excitée à lextrême je me relevais pour faciliter cette sodomie. La fille a pris en mains lépée de son copain, la sucée deux ou trois fois et a positionné le gland couvert de sa salive à lentrée de mon illet. Jai baissé mes fesses et jai senti la tête chercheuse entrer dans mon conduit. Jai dit à mon amant « Vas-y encule moi à fond, nai pas peur mon mari est un habitué des lieus et jaime çà ». Une fois bien sodomisée, la deuxième épée a été prise en charge quelques instants par la bouche de la fille puis le gaillard a mis mes jambes sur ses épaules, a partagé mes seins avec son pote et est entré dun coup au fond de mon utérus inondé de lubrifiant. La miss a alors relevé sa robe, enlevé sa culotte et ma dit « Maintenant montre moi que tu sais aussi jouer avec ma moule ». Elle a mis son bel abricot rasé sur mes lèvres qui de suite ont entamé leur ballet de succion pendant que mes mains enfin libres pétrissaient ses petites fesses avant de remonter vers sa poitrine nue aux pointes durcies par le plaisir. A mon tour je mattaquais à ces bourgeons pleins de vie. Tu aurais du nous voir. De vrais acrobates ces trois jeunes. Et je suçais ce sexe de jeune fille, je suçais et essayait de récupérer à sa source son jus légèrement salé et épicé. Cétait bon. Elle hoquetait de plaisir. Les deux garçons me donnaient des coups de plus en plus forts de leurs queues vigoureuses. Seules leurs couilles que jentendais claquer à lentrée de mes deux orifices les empêcher de senfoncer plus profondément pendant ces va-et-vient. Au bout de quelques minutes de ce train denfer, les garçons ont annoncé larrivée imminente de leur semence. Je leur dit « Allez-y, remplissez moi de votre chaude jouissance ». Ce fut le signal pour nous quatre, la fille ma brusquement couvert le visage de son miel riche et odorant, lâchant des cris de plaisir, mes parois se sont resserrées autour des chaudes colonnes de chair qui se sont tendues et ont répandu leur sperme dans leur réceptacle en marmonnant des trucs incompréhensibles, provoquant mon deuxième orgasme dune intensité inconnue.
- Wouahhou Nadège quelle aventure, je nen crois pas mes oreilles. Je suis trempée, ma mouille coule sur mes cuisses.
- Merci Pat je suis heureuse de tavoir donné du plaisir avec ce récit et cest loin dêtre terminé. Jai continué à mabreuver de la jouissance de mon amante une ou deux minutes, les deux garçons toujours dans mes entrailles. Quand ils ont senti leurs engins ramollir ils se sont retiré doucement, la fille prenant place cul nu sur leurs genoux, une épée dans chaque main. Jai pris des kleenex pour me faire une petite toilette.
Je leur ai dit « Merci les jeunes jai pris le plus grand pied de ma vie. Grâce à vous jai enfin réalisé mon fantasme, je ne saurai jamais comment vous témoigner ma reconnaissance ».
Sautant sur loccasion la fille répondit « Mais ma belle pour nous aussi cétait une première et jespère pas la dernière, avec toi bien sûr, pas vrai les mecs ? Et puisque tu aimes les jeunes si tu veux on pourra te trouver dautres partenaires, parce quon connait beaucoup détudiants et étudiantes qui seraient contents de séclater avec une jolie bourgeoise trentenaire, quen penses-tu ? ».
Toujours nue face à mes trois amants je ne savais que répondre, tiraillée entre ma petite vie presque rangée et lenvie de renouveler cette expérience fabuleuse.
Je leur ai dit en riant « Vous savez je suis mariée, jai un et ce soir ce fut un accident, que jai provoqué je vous le concède mais
. bon je verrai, peut-être, pourquoi pas, vous êtes de délicieux amants bien fougueux comme je les aime. Pour les futurs partenaires sils sont aussi beaux et corrects que vous je suis partante ».
Et ils sexclamèrent « Wouais wouais wouais ! ».
La fille ajouta « Bon alors tu sais que ta vie va bien changer, ton corps nous appartient un peu maintenant, il faudra te rendre disponible presque tous les jours, parfois le soir pour aller en boîte. Ah joubliais pas de sous vêtements, un haut moulant et une mini jupe ample et légère, faut quon voit ta moule quand tu seras assise les jambes un peu écartées quand on te le demandera. Puisque tu veux du sexe on va ten donner fais nous confiance. Cela dit si un jour tu veux reprendre ta liberté on te laissera tranquille ».
« Oui jai bien compris, cest un peu grâce à vous que je ressens en ce moment un grand besoin de sexe avec des jeunes ».
« On a remarqué çà. Magnifique, tu seras comblée, compte sur nous » dit lun des garçons.
Un portable sonna. Après quelques secondes découte, la fille dit « Cest le mien, il est où ? ». « Voilà, voilà » dit un copain en lui tendant le portable.
« Ah cest mon frère ».
Quelques minutes de conversation à la fin de laquelle elle précise quelle a trouvé ce qui lui manque et où nous sommes et mon amante mannonce « He bien la bourgeoise tu vas pouvoir assouvir ton besoin très naturel de sexe dans quelques minutes. Mon frère était parti chez sa copine pour réviser leurs cours pour le bac et il sest fait jeter quand il a voulu lui retirer sa culotte. Donc ce beau gosse est toujours puceau à 18 ans. Alors il ne faut pas quil passe une nuit de plus sans connaître le corps dune femme. A toi de jouer »
Elle remet sa culotte et sans me demander mon avis sempare des clés de contact, de mon sac, de mes habits malgré mes protestations et sort de la voiture, suivie de ses deux complices prestement rhabillés. Jétais sans voix, inquiète, dans ma tenue dEve, recroquevillée sur le siège arrière, eux debout derrière les vitres qui rigolaient.
Le frère est arrivé, tout frétillant. Plutôt mignon, mince comme sa sur. Il jeta un coup dil dans la voiture et me fit un signe de la main. Malgré mes bras croisés sur ma poitrine et la pénombre il avait bien dû voir que jétais nue et que j'avais au moins dix ans de plus que lui et sa copine.
Il dit à sa sur « Mais comment vous avez fait ? elle est à poil dans cette bagnole »
Jentendis sa sur lui répondre « On se lest faite tous les trois en même temps avant que tu téléphones. Vas-y elle est à toi. Tu verras elle est géniale cette femme et elle aime çà. Prends ton temps. On tattendra dans le parc avec elle. Tu nauras quà la couvrir avec la couverture ».
- Cest pas sympa dis-je à Nadège, ils voulaient que tu les rejoignes après le dépucelage à poil dans le parc protégée seulement par une couverture ?
- Oui ma chérie, je navais pas le choix et ma foi devoir dépuceler un petit jeune commençait à mamuser. Le frérot ma rejoint sur le siège arrière, sur la couverture, en me gratifiant dun « Bonsoir madame ». « Bonsoir jeune homme » lui répondis-je et jajoutai « Il parait que tu es fâché avec ta copine ? ». « Heu oui madame, elle ne veut pas que je la caresse sous le nombril. Déjà quand jarrive à lui peloter les seins je suis content ».
« He bien je vais essayer de te faire rattr le temps perdu mon chéri »
Le regardant dans les yeux jai posé mes mains sur le siège, libérant mes seins arrogants, me suis mis au centre et me suis glissée pour mettre mes jambes écartées sur les dossiers des sièges avant rabaissés, lui offrant la vue de ma vulve de nouveau humide car jétais cambrée, avec les jambes qui essayaient de trouver un appui. En vain. Mon jeune puceau sest approché en ouvrant grands ses yeux. Le plafonnier sest brusquement allumé, inondant de lumière la voiture et mon corps nu. Je lai grondé mais il ma répondu que sans çà il ne pouvait pas profiter de la vue de mon corps, de mon intimité. Ce nest quà ce moment que mes trois étudiants séloignèrent, hilares.
« Daccord mais une minute pas plus, cest trop risqué si des gens passent » ai-je dit à ce garçon émerveillé.
Accompagnant de ses mains sa description il me dit tout ému « Madame vous êtes si belle, vos yeux, votre bouche, vos seins, incroyables comme ils sont beaux et fermes jen ai jamais vu de pareils, votre ventre est doux, vos jambes soyeuses, votre sexe rasé est si bon à caresser, vos grandes lèvres sont chaudes et mouillées
»
« Eteins le plafonnier et approche toi, je vais te déshabiller. »
Joignant le geste à la parole, je lui ôtais son tee-shirt et promenais mes mains sur ses épaules, ses bras, son torse.
« Ta peau est très douce, cest rare chez un garçon de ton âge, voyons si cette douceur est descendue plus bas »
Je remarquais la bosse sur son jean, bosse que je taquinais quelques instants. Mon jeune puceau respirait bruyamment. Je défis sa ceinture, baissai ce jean encombrant pour faire apparaître le boxer que sa verge maintenant tendue déformait indécemment. Mes mains sur ses hanches, je les descendais en prenant au passage son dernier rempart, marrêtant avant que son sexe soit privé de protection et le regardait. Il se mordait la lèvre inférieure en fermant les yeux, tout à son plaisir. Jai le passage du boxer, bloqué par cette queue de plus en plus dure, qui sest mise au garde à vous, comme mue par un ressort. Un bien bel engin, moins gros que mes amants de début de soirée, mais plus fin et probablement plus long en pleine érection. Jai caressé ce beau corps, ces fesses musclées bien rondes, ces jambes à peine poilues et suis remontée lentement vers le fruit de mon désir. Mes doigts ont joué un moment avec ses couilles pleines et sont partis à lassaut de sa tige printanière. Les deux mains autour de ce objet plein de promesses je montais et descendais faisant naître à chaque passage son gland violacé.
« Madame je vais jouir, excusez moi je narrive pas à me retenir »
Lorsque jai senti son beau sexe sarquer je lai pris en bouche jusquau fond de ma gorge. Il était temps, plusieurs jets de liqueur savoureuse ont aspergé mes parois buccales et il a été pris de tremblements. Je serrais les lèvres et avalais le cadeau de mon nouvel amant, en continuant à aspirer ce trésor pour en extraire les dernières gouttes.
« Merci mon chéri cétait très agréable et goûteux, jaime ton odeur »
« Cest la première fois quune fille me fait une fellation et me fait jouir dans sa bouche. Je ne pensais pas y prendre autant de plaisir »
Je lai couché tant bien que mal sur moi, sexe contre sexe, et tentais un baiser. Il a hésité et a finalement écarté ses lèvres permettant à ma langue de sintroduire dans cette bouche encore délicate. Il na pas mis longtemps pour enrouler sa langue autour de la mienne et lui faire découvrir ma bouche. Il était puceau mais savait embrasser ! Ses mains nétaient pas en reste, elles soccupaient de mes seins et de mes tétons quil faisait rouler dans ses doigts. Il savourait chaque instant et on échangeait un baiser passionné. Ses lèvres sont descendues sur ma poitrine et il tenta de gober une mamelle, puis lautre. Il ne put la prendre en entier, la faisant coulisser entre ses lèvres pour retenir délicatement de ses dents les pointes durcies et recommencer ses aspirations-succions. Il apprenait vite. Ses mains avaient pris possession de mon sexe en feu, de mes fesses. Mon clito en érection était prisonnier de ses doigts, les doigts de lautre main fouillaient frénétiquement mon vagin dégoulinant encore une fois. Ce coquin navait pas oublié de vérifier létat de ma rondelle quil lubrifiait de mon jus pour mieux y introduire son majeur. Je le laissais diriger les opérations, il savait ce quil voulait décidément, à preuve quand sa langue sest frayée un passage entre mes grandes et petites lèvres trempées.
Je ne pus retenir un « Oh oui vas y mange moi mon amour tu fais çà tellement bien »
Sentant monter la pression dans mes veines je lui dis de venir dans ma bouche et lui ai rendu toute sa vigueur à son log membre que jaimais tant.
« Maintenant, viens, prends moi mon chéri, je veux te sentir au fond de mon ventre et ta délicieuse semence se répandre en moi »
Je mis mes mains sous mes genoux et lui présentais grande ouverte la porte dentrée principale de mon corps. Il sy engouffra du premier coup, venant buter contre le fond de mon utérus et claquant ses couilles contre mes fesses. Il aiguisa longuement son dard contre mes parois surchauffées, en pétrissant mes nichons, sa bouche saccaparant cette fois de la mienne, le tout ponctué du « Han, han » du mâle conquérant.
« Oui mon chéri vas-y, viens »
Je me suis soudain cambrée, tendue par le plaisir, en contractant mon mes parois autour de cette verge vigoureuse. On a crié ensemble, surpris par notre orgasme, libérant en même temps dans mon ventre nos fluides abondants.
Je lai serré contre ma poitrine, mes jambes enserrant ses fesses, pour profiter de ce tendre moment, enlacés.
Le calme revenu, il ma remercié gentiment dans un baiser chaud brûlant.
« Allez mon chéri rhabille toi il faut quon y aille, il se fait tard et mon mari va sinquiéter »
Mon jeune amant sortit de la voiture et mouvrit la porte en me tendant la couverture. Jai réussi à faire le tour de mon corps sans difficulté, rassurée. Jai chaussé mes petites chaussures plates, généreusement oubliées par mon amante voici bientôt 45mn. Je lui dis me prénommer Nadège, lui Luc et sa sur Laure.
« Nadège jai vécu un moment extraordinaire. On se reverra hein ? »
« Si tu veux mon chéri, je complèterai ton éducation sexuelle. Tu es un délicieux amant et je raffole de ton corps »
Javançais comme une momie articulée vers le parc, provoquant de temps en temps des éclats de rires des passants, le bras de mon compagnon autour de ma taille. On sest approchés dun groupe de dix jeunes discutant avec mes trois étudiants. Parmi les filles, la plus jeune, une grande noire très jolie, la peau luisante, me souriait.
Mon amante maccueillit avec un savoureux baiser et me présenta à ses amis.
« Mesdemoiselles et messieurs, Madame Nadège, du moins cest ce que disent ses papiers, pour votre plaisir purement sexuel, le sien aussi. Maintenant cherchons un coin tranquille pour quelle puisse vous dévoiler ses charmes sans pudeur »
Laure trouva un coin à labri des regards mais suffisamment éclairé. Elle vint vers moi et me retira la couverture en me disant « Reste debout, écarte les jambes et mets tes mains derrière la tête que tout le monde puisse se régaler »
Les dix jeunes sapprochèrent près de moi, des mains vérifiant la qualité de mes seins et de mes fesses.
« Elle a une belle gueule, des nichons et des fesses fabuleux, de belles jambes. Très belle ta bourgeoise Laure, bravo » finit par dire un garçon
« Bien Nadège me dit Laure quand toutes et tous eurent fini leur jeu de mains, mets toi à quatre pattes sur la couverture, écarte les jambes et creuse ton dos, que tes orifices soient bien visibles ».
Je mexécutais, prête à subir les attouchements de ces candidates et candidats à mes aventures sexuelles. Effectivement des doigts visitèrent mon sexe dégoulinant de ma cyprine et mon anus encore un peu dilatée depuis la sodomie de mon étudiant. Je vis un garçon ouvrir sa braguette et sortir une belle bite au garde à vous.
« Madame je ne peux pas résister, votre chatte rasée, votre cul sont un appel au viol, je vais vous baiser en levrette »
« Oui vas-y enfonce moi ta queue bien profond et remplis moi de ton jus »
Il sest accroché à mes hanches, ma pénétré sans ménagement et ma donné des coups de boutoir en claquant ses bijoux sur mes fesses, jusquà éjaculation. Les filles soccupaient de mes obus qui pendaient comme des outres pleines et prenaient ma bouche tour à tour pour et me remplissaient de leurs langues pour mempêcher de crier mon plaisir.
Jai entendu quelquun dire « Cest mon tour retire toi »
Ma chatte et mon anus ont été remplis plusieurs fois par ces queues frétillantes qui toutes ont libéré leur jus dans mes entrailles. Je ne savais plus qui faisait quoi. Je crois bien que jai eu encore trois orgasmes.
Laure ma ensuite mise accroupie, me permettant dévacuer toute la semence de mes baiseurs. Jai terminé ma toilette avec la couverture partiellement maculée.
« Alors que pensez vous de ma trouvaille ? » dit Laure à mon public.
Tous les qualificatifs très verts y sont passés, jusquà super gouine, super baiseuse, garage à bites ou à foutre, bête de sexe.
« Tu vois Nadège, tu as devant toi un petit échantillon de tes futurs amantes et amants que tu devras satisfaire à leur demande. Cest moi qui tappellerai pour te dire où aller. Toujours daccord ? »
Epuisée, je lui répondis « Oui Laure, tu sais que jen ai envie, que je veux vous offrir mon corps à tous, garçons ou filles, jen ai été privée trop longtemps »
Laure me tendit ma jupe, mon chemisier et mon sac et repris la couverture. Je me rhabillais enfin et au moment de refermer mon chemisier je maperçus que tous les boutons avaient disparu.
« Laure quas-tu fait, je ne peux pas retourner comme çà à la voiture, encore moins chez moi »
« Tinquiète on va tous te raccompagner à ta voiture, mais tu me donneras la main pour être sûre que tes nichons ne perdent pas leur liberté de mouvement, pour le plus grand plaisir des piétons »
Ah pour être libres elles létaient mes deux mamelles. A peine dix mètres de marche et je les voyais à lair libre, les pans de mon chemisier flottant au vent. Même au milieu de tous ces jeunes, les doigts dune main croisés avec ceux de Laure comme deux amoureuses, jai eu droit à des sifflets de piétons et dautomobilistes stupéfaits et ravis à la fois.
Arrivés à la voiture je dis au revoir à tout le monde. Quand ils furent seuls Laure et son frère ont déposé un baiser sur mes lèvres.
Laure ma remercié pour le dépucelage de son frère et a ajouté « Tu ne pouvais pas le remarquer mais dans le parc Luc ta sodomisé. Une autre première pour lui. Demain je tappelle pour te dire dans quelle boîte de filles on se retrouvera dimanche soir avec des copines. Tu seras ma cavalière. Noublie pas la tenue convenue »
« Ok pour dimanche soir, je morganiserai. Bonne nuit à tous les deux »
Je roulais sans faire attention à létat de mon chemisier, que javais refermé symboliquement. La nuit ma permis de ne pas être importunée. Arrivée chez moi, je montais rapidement à létage, prétextant une envie pressante. Une bonne douche, des habits décents et je descendis rejoindre mon mari et mon fils au salon. Nous sommes allés grignoter dans un petit resto et y avons rencontré des amis férus de politique.
- Voilà mon histoire Patricia, jen suis encore toute retournée et malgré moi je veux aller au bout de mon fantasme avec tous mes nouveaux jeunes amants et amantes.
- Excusez moi dis-je à Nadège, javais mis le haut parleur, me voilà. Limportant est que vous ayez trouvé du plaisir avec vos nouveaux amants et que vous leur en ayez donné aussi. Tout cela me donne des idées pour agrémenter notre footing de demain soir.
- Moi aussi jy ai pensé. Je sais déjà que lennui ne sra pas au rendez-vous. A demain ma chérie.
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