Une Pipe À Saint Claude
La journée avait été longue. Quand je suis arrivé au seul hôtel de la ville, près de la gare, le réceptionnaire m'informa
qu'un gros problème dans la journée , au cours des travaux de rénovation, les obligeait à me donner une chambre
communicante, avec salle de bains commune. Le réceptionnaire précisa que l'autre chambre était occupée par une
habituée de la maison pour laquelle cela ne posait pas de problème. Il me fut proposé de la retrouver au bar vers 21
heures.
Comme convenu, je fis connaissance autour d'un cocktail maison offert par l'hôtel . Lui donner un âge ? Un peu
moins de cinquante ans, brune, bien mise, vétue d'une robe noire ample , cachant certainement quelques rondeurs,
mes préférées au dessus de la ceinture ne semblant pas être des moindres . Discrètement parfumée. Au cours des
présentations, elle m'indiqua que, divorcée, deux s majeurs, elle avait décidé de "faire la route" pour une
maison américaine de soins de beauté. Après un deuxième cocktail, nous convînmes, qu'elle occuperait ce soir la
salle de bain en premier et que , lorsqu'elle aurait terminé, elle frapperait à ma porte.
Je montais donc dans ma chambre, m'allongeais sur le lit et en profitais pour regarder la fin d'un match de football à
la télé.
Comme plus d'une demi-heure s 'était écoulée, je pensais ne pas avoir entendu frapper à ma porte. Je frappais donc
à la porte de la salle de bain. Pas de réponse. J'entrais , sentis de suite une odeur très agréable et vis ma voisine
endormie dans la baignoire. Etait-ce l'effet des sels de bain qui coloraient l'eau du bain? Gêné, je tapotais
discrétement l'épaule droite de Jocelyne. Elle ouvrit progressivement les yeux, se détendit , laissant sortir deux seins
volumineux dont les tétons étaient hérissés. Avait-elle fait un rêve érotique en dormant ? C'est bien que vous soyez
là, excusez - moi de m'être endormie, je ne vous ai pas retardé au moins.
donc une serviette de bain afin que je n'aie pas à traverser la salle de bain toute ruisselante.
Je m'exécutais bien volontiers , ouvris tout grand la serviette en forme de paravent , la déposais sur ses épaules alors
qu'elle s'était levé et allais m'éclipser lorsqu'elle me demanda de lui frotter le dos. La glace sur le mur de la baignoire
me renvoyait un corps bien proportionné, des seins assez lourds mais bien faits , un ventre quand même témoin de
nombreuses libations et un triangle sur le mont de venus admirablement taillé et soigné.
Jocelyne remarquant mon regard intéresé sur son corps me proposa de me faire couler un bain identique au sien.
Pendant ce temps-là, je m'enduirai le corps d'une crème de nuit, ajouta-t-elle, puis, si cela vous convient , je viendrai
au sortir de la baignoire, en guise de revanche.
Le bain était relaxant, enivrant, et je me mis à rêver
Jocelyne revint en peignoir de bain qu'elle avait négligemment laissé ouvert. Avec beaucoup d' élégance, elle ouvrit
la serviette de bain et m'en couvrit alors que je sortais de l'eau. Elle me frotta énergiquement le dos, les reins et
s'attarda un moment sur mes fesses avant de me retourner et de me sécher le visage , la poitrine, le ventre et, avec
beaucoup de doigté, le sexe qui commençait à pointer honteusement !
Actuellement, nous lançons une nouvelle crême pour homme. Si vous le voulez bien, venez donc dans ma chambre,
je vais vous en enduire
Aussi tôt dit, aussitot fait. Une grande serviette de bain fut étalée sur le lit et Jocelyne m'invita à m'y mettre sur le
ventre, les bras balans. Nul doute que si elle assure aussi bien la promotion de ses produits pour le corps qu'elle les
étale, Jocelyne doit faire fortune
Comment vous décrire tous ces mouvements doux, dignes des meilleures caresses, le frottement de ses cuisses en
passant sur mes bras .
frotter le dos tout en laissant ses seins excités monter et descendre le long de mon dos.
Vous comprendrez que l'excitation me gagna à mon tour et mes mouvements déplurent à Jocelyne qui me retourna
brutalement et me menotta les mains au dessus de lit en fer forgé
Ainsi , vous ne bougerez plus, ajouta-t-elle, tout en regardant avec envie mon sexe royalement dressé et gorgé de
chaleur
Voilà que je suis tombé sur une obsédée, pensé-je
Mes pensées furent vite interrompues
Les massages s' accélèrèrent, du haut en bas. Mes seins furent l'objet d'une première attention particulière . Puis
l'environnement de mon sexe, sans jamais le toucher, mais histoire d'en augmenter encore l'excitation
Soudain, ses lèvres pulvaires toutes humides vinrent se plaquer comme des ventouses sur mon sexe. Ses ongles
commencèrent à me griffer, elle prit mes tétons entre ses doigts , les malaxa, les étira jusqu'aux limites de la douleur.
Oh comme j'aurais aimé pouvoir en faire autant avec les siens, pointus, rouges d'envie, tronant sur de gros
mamelons sphériques.
Heureusement, Jocelyne comprit mon envie et promena son ample poitrine sur mon visage. Je commençais par lui
lécher les tétons à chaque passage, comme un jeu. Puis ses deux seins qui avaient bien durci entre temps vinrent se
plaquer sur mon visage, au risque de m' . On n' échappe pas aussi facilement à la forte pression d'un bon
100E .... Je profitais d'un léger relachement pour lui mordiller de plus en plus fortement le téton à proximité de ma
bouche. la douleur sembla lui plaire, puisqu'elle invita l'autre téton au même traitement. Elle lâcha alors de petits cris
tout en frottant de plus en plus hardiment son sexe sur le mien.
Soudainement, elle se retourna et entreprit de me faire une pipe qui n'avait rien de bruyère, même à Saint Claude .
J'avais une vue imprenable sur son sexe grand ouvert, deux splendides lèvres pulvaires gorgées de sang, un clitoris
en pleine érection, véritable petite bite
je veux te lécher, lui criai-je
trop occupée à me lécher , me pomper, me mordiller le sexe, puis les bourses, à me les prendre goulument et à les
aspirer dans sa bouche, elle ne me répondait pas
je lui passais les jambes autour de la tête, espérant qu'elle s'allongerait sur moi et que je puisse l'honorer à mon tour
mais ce n' était pas, à l' évidence, son envie préférée et elle vint brutalement s'asseoir sur mon visage
je ne voyais plus rien excepté sa petite rose toute velue, respirais difficilement l'odeur de sa jouissance et sentais sur
mes lèvres le va et vient de ses lèvres pulvaires et de son clitoris
ne manquant pas l'occasion, je lui aspirais son clitoris avec l'espoir de le mordiller et sentis une violente décharge de
cyprine, le liquide préféré d' Aphrodite
tu es un vrai petit salaud, réagit-elle, tu m' as déjà fait jouir
pour ta pénitence, je vais me caresser devant toi
toujours menotté, malgrè mes protestations, elle entreprit au dessus de moi , debout sur le lit, un grand numéro de
caresses érotiques de ses seins, de léchage de ses mamelons , d' étirage de ses tétons avant des aspirations de
plus en plus fortes. Je n'avais jamais vu une femme se "dorloter" les seins avec autant d'adresse et d' érotisme non
dissimulé. Puis elle descendit les mains pour aboutir à ses lèvres qu'elle étira longuement sous mes yeux, avant de
les rouler, de les croiser autour de son clitoris toujours en érection. Le clitoris eut droit à un traitement particulier
entre son pouce et son index droit. Comme il semblait endolori par l 'éclatement précedent, les deux doigts, puis trois,
partirent profondément dans son sexe , sans aucune difficulté. La main gauche partit par derrière, entre ses fesses et,
très vite , le majeur gauche lui pénétra l'anus avec une facilité déconcertante
Ayant longuement travaillé sa petite rose , elle m'interpela
cela te plait un, mon petit salaud et, joignant le geste à la parole, elle vint à nouveau s'asseoir sur mon visage, sa
petite rose à portée de ma bouche
Vas-y, lèche-moi, tu ne seras pas déçu
J'entrepris donc de lui lécher de plus en plus profondément sa petite rose , cependant qu'elle venait me caresser la
langue avec sa main droite par sa chatte grande ouverte
La manoeuvre lui déclencha un nouvel orgasme et un cri qui dut réveiller tout l' hôtel
En guise de récompense, elle m'entreprit une pipe absolument géniale et qui restera dans mes annales
L'excitation était telle que je ne pus malheureusement résister plus longtemps.
Sous la fatigue, nous nous endormîmes dans le même lit et le lendemain matin, quel ne fut pas l' étonnement de la
serveuse qui apportait le petit-déjeuner, de me trouver dans le même lit que Jocelyne ... et toujours menotté
Après un immense baiser et un " merci gentilhomme " au creux de l'oreille, Jocelyne eut la délicatesse de m'enlever
les menottes
Je ne sus jamais si ce qui venait de m'arriver était strictement le fruit du hasard ou si l' hôtelier n' était pas dans la
combine .......
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