Quand La Cuisine Japonaise Mène À D'Autres Découvertes
A plusieurs rerises, Mireille m'avait fait part de son envie de découvrir la cuisine japonaise. Notre choix se porta sur
un célèbre restaurant le long de la Seine. Nous nous installâmes côte à côte afin de jouir du spectacle des cuisiniers
préparant les différents plats. Alors que nous commencions la dégustation des sushis, un couple vint s'installer à
notre gauche. Elle, d'office, s'installa à mon côté. Très vite, alors que ce couple tentait de déchiffrer la carte, je sentis
un pied monter le long de ma jambe gauche . Prétextant ce que nous avions dans nos assiettes, cette charmante
brune s'approcha encore plus de moi et engagea la conversation sans autre forme de procès. Lui vint se planter
derrière Mireille et moi , nous prit par les épaules en sussurant de vagues excuses et s'enquit également de ce que
nous étions en train de déguster. il me sembla que sa main droite s' égara très vite sur la poitrine de ma compagne,
mais , comme je n' étais pas insensible aux attaques de ma voisine, je préférais ignorer ces manoeuvres hardies.
Leur choix fait, l'homme s'installa d'office à la droite de Mireille et les présentations furent faites. Très vite, nous
sympathisâmes, choisîmes les mêmes plats arrosés : sushis, teppan-yaki, arrosés d'un excellent bordeaux millésimé.
A la fin de ce repas copieusement arrosé, Bernard et Hélène nous proposèrent de poursuivre la soirée en leur
compagnie dans leur club privé.
ils nous emmenèrent dans leur Porsche Cayenne en direction de Maisons Laffite. Sur la route, la voiture s'arrêta
devant un immense portail télécommandé. Nous entrâmes dans une superbe propriété dont le parc était
discrètement illuminé
Mireille et moi étions très impressionnés.
La maîtresse de maison vint nous accueillir avec beaucoup d' élégance. Elle embrassa chaleureusement Hélène et
Bernard, nous souhaita la bienvenue dans son univers en nous précisant : chez moi, tout est permis, rien n'est
obligatoire.
vétue d'une magnifique robe noire, longue, montant jusqu'au cou, mais décolletée dans le dos jusqu"à l'origine des
fesses
A l'évidence, Hélène et Bernard étaient des habitués de l'endroit et ils nous présentèrent avec beaucoup de
compliments aux couples présents . La champagne, le whisky, étaient servis sans limite !
A 23 heures, une cloche sonna et la maîtresse de maison annonça: la nuit est à nous, cepandant que les lumières
devenaient beaucoup plus tamisées. Hélène prit Mireille par le bras et l'amena dans une pièce.
Bernard m'invita à le suivre dans une autre pièce et me proposa de me dévêtir, en ne gardant que le boxer, ce qu'il fit
lui-même. Un peu surpris, j'obéis néanmoins et nous retournâmes dans le salon.
Je vis revenir Hélène seulement vétue d'une superbe guêpière noire aux seins nus très sensuelle avec un porte
jarretelle très érotique. Mireille la suivait timidement , vétue seulement de son soutien gorge rouge La Perla , du
porte jarretelle et du string que je lui avais offert peu de temps auparavant et qu'elle avait décidé de porter pour la
première fois.
Même si tous les couples présents étaient désormais tous vétus aussi érotiquement, Mireille ne pouvait cacher sa
gêne d'autant que tous les regards convergeaient vers elle.
Hélène comprit son émotion et l'amena gentiment dans un petit salon adjacent. Elle l'installa sur le canapé et la
complimenta sur sa beauté. Très vite, les regards tendres s 'échangèrent, agrémentés de doux baisers et de
caresses réciproques sur les seins que toutes les deux avaient splendides. Hélène exhibait un 95 D ferme avec des
tétons proéminents et de superbes aéroles ovales sombres . Mireille pouvait rivaliser avec un excellent 95 C que la
surprise rendait encore plus durs, surtout les tétons qui s'allongeaient et se durcissaient sous le coup de l 'émotion.
Hélène s'en aperçut et ne se géna pas de dégrafer le soutien gorge de Mireille, cependant que Bernard et moi
étions entrés discrètement dans la pièce afin de jouir du spectacle. Hélène commença à jouer avec sa langue sur les
tétons de Mireille qui ne demandaient que ça. Elle les aspira, les lécha , les mordilla tout en descendant la main
droite vers l'intimité de mon amie. D'autres couples, entendant les premiers râles, nous rejoignirent tout aussi
discrètement. Hélène avait quand même remarqué notre arrivée en nombre et nous jetait de temps en temps un
regard complice et intéressé. Mireille , tout à l'ivresse de cet échange intense, s'était complètement abandonnée et
commençait à caresser sa nouvelle amie. Bientôt les deux strings furent enlevés avec beaucoup d' élégance et une
recherche clitoridienne réciproque s'engagea. Je ne doutais pas qu' Hélène apprécierait très vite à sa juste valeur le
clitoris en érection de Mireille. Et, de fait, Hélène plongea rapidement la bouche vers le sexe de Mireille et, à coups
de langue bien ciblés, provoqua une érection clitoridienne dont Mireille m'avait jusqu'à présent réservé l'exclusivité.
Compte tenu de la position d' Hélène sur le canapé, je pouvais en découvrir le sexe . Bernard m'invita à m'en
approcher et à bénéficier de l'instant
Je découvris alors deux superbes lèvres charnues, rouge foncé sous l'excitation, agrémentées de deux superbes
anneaux d'or en piercing. Bernard me fit un petit singe d'approbation et j' y répondis en prenant délicatement chaque
lèvre entre mes doigts. En les écartant, je découvris l'intérieur de son sexe en plein mouvement sous l' excitation ,
dégoulinant déjà de plaisir. Mes doigts purent donc se lubrifier très vite et titilller le clitoris d' Hélène qui ne demandait
que cela. Une première décharge se produisit, agrémentée d'un hurlement de plaisir , le deuxième fut etouffé par une
embrassade torride des deux femmes.
semblait vraiment une sacrée jouisseuse. Vu la violence de l'échange, Hélène abandonna brutalement Mireille et se
retourna pour découvrir l'auteur d'une telle source de plaisir. Quand elle me reconnut, malgrè la pénombre, elle me fit
un petit sourire complice et m'invita à retrouver Mireille, le regard perdu, toute surprise de ce qui lui arrivait et de
découvrir que j'en étais le témoin privilégié
Bernard, qui se masturbait au vu de nos exploits, fut pris en charge par deux dames présentes dans la salle et
impressionnées par la dimension de son sexe en érection. La suite prouva qu'elles n'allaient pas être déçues.
Hélène nous emmena, Mireille et moi, sur un grand lit entouré de candélabres et bougies, dans un coin du grand
salon. Tous les invités nous suivirent discrètement et profitèrent pleinement de notre trio. Nous etions désormais nus
tous les trois, et Mireille découvrit le plaisir de jouer avec les anneaux des lèvres de Mireille. Je me promis de lui en
acheter à la première occasion et d'assister à leur pose par un spécialiste. Nos échanges se multiplièrent sous
différents formes que nous fit découvrir Hélène, à l'évidence experte dans ce domaîne également. Alors que mes
deux partenaires avaient engagé un nouveau 69 à vous couper le souffle, je vis la petite rose de Mireille se dilater à
tel point que je n'eus, pour la première fois, aucune difficulté à la pénétrer. Agréablement surprise, Mireille m'implora
de jouir en elle. Je ne me fis pas prier, fantasmant depuis longtemps sur un tel plaisir. Le râle de Mireille qui
accompagna ma brûlante éjaculation provoqua les applaudissements admiratifs des spectateurs. Hélène ne voulant
pas être en reste, sortit mon sexe de l'anus d' Hélène toute tremblante de bonheur et se mit à le sucer avidement ,
provoquant une nouvelle éjaculation immédiate de ma part, ce qui ne m'arrivait que dans les grands moments
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