Aventures D'Ados ( Suite 9 )
Je reviens à la soirée, celle ci n'est pas terminée loin s'en faut.
Audrey a un long râle, puis plus rien. Ce silence soudain mintrique, je jette un il vers elle. Son mari est toujours fiché en elle, ils sont debout, collés lun à lautre. Il lui tient les seins, lembrasse dans le cou, place une main sur sa chatte, un doigt sagite, il doit soccuper du clito. Elle se débranche, se tourne vers lui, se met à genoux, le prend en bouche, lui pompe le dard, il se laisse faire, me regarde.
- Ah non ! Il repousse sa femme, vient vers nous, monte sur le canapé, se place derrière moi à genoux, mécarte franchement les jambes, je perds léquilibre et me retrouve aplatie sur ce mec qui memmanche, le cul a disposition. Le mec attend, sa queue est encastrée en entier, je suis verrouillée par sa bite, Audrey a un long râle, puis plus rien. Ce silence soudain mintrique, je jette un il vers elle. Son mari est toujours fiché en elle, ils sont debout, collés lun à lautre. Il lui tient les seins, lembrasse dans le cou, place une main sur sa chatte, un doigt sagite, il doit soccuper du clito. Elle se débranche, se tourne vers lui, se met à genoux, le prend en bouche, lui pompe le dard, il se laisse faire, me regarde.
Bob a ses jambes qui bloquent les miennes, je ne peux pas bouger, je ne parviens pas à me dégager.
Il mouvre la raie des fesses des deux mains, caresse mon illet.
- Fout moi la paix, ne touche pas à mon cul..
Je le remue, essaie de me libérer de la bite qui est dans mon vagin, tente de me relever, en vain. Je veux échapper au supplice qui mattend, je sens quil va menculer. Il enfonce un index puis les deux dans mon trou du cul, tire par côté pour lagrandir, y ajoute un troisième doigt, les enfoncent, les fait tourner, coulisser plusieurs fois, les retirent.
- Enlève tes pattes, tu me fais mal !
Audrey est revenue vers nous.
Audrey, de la main, pétrit mes seins, tire sur les tétons, les roule dans ses doigts, ils sérigent, je sens ma poitrine durcir. Elle lui dit :
- Pousse plus fort, elle souvre, je veux la voir prise dans les deux trous !
Je me fâche :
- Je ne veux pas que tu mencules !
Et je dis à Audrey :
- Au lieu de me peloter, pompe le !
Cest lui qui me répond :
- Jai tout gardé pour te remplir !
- Rentre avec lautre, mais laisse mon cul tranquille.
Sa bite me fait de plus en plus mal, je nen peux plus.
- Aïe. Tu me fais mal, tes trop gros.
- Détends-toi, ça rentre.
- Je ten supplie, arrête.
Audrey, tout en me malaxant les seins, me répond :
- Laisse toi faire, tu vas y passer !
- Aïe aïe aïe ! Jai les larmes aux yeux, je transpire, contracte le sphincter, résiste, ne veux pas quil entre par là dans mon ventre. Malgré moi mon cul souvre sous la poussée du gland. Je le sens progresser, il me dilate, entre lentement. Le sphincter vient de céder, je pousse un hurlement.
- - Aaaaaaaaa aïe ! Jai mal, mon cul est en feu., le gland est passé, il est dedans. Il continue sa progression, ne sarrête pas, pénètre en entier, je suis empalée. Prise par les deux trous, les mecs se mettent à me ramoner en alternance. Quand la queue de lun revient près de lorifice, celle de lautre arrive au fond. Je sens les bites se croiser dans mes entrailles, elles me comblent le ventre. Celle de Bob, en coulissant, me fait mal, mon anus est irrité, sensible. Je ne sais plus où jen suis, ferme les yeux, abandonne, les laisse faire, je mécroule, passive, attends quils en terminent.
Il est 2 h du mat ! Les mecs se rhabillent, ils sont lamentables avec leurs bites pendantes. Le copain rentre chez lui, je dis au revoir. Dans la voiture Bob me dit que, ni la baise, ni le copain, nétaient prévus. Tout sest enchaîné à cause dAudrey qui a eu envie de me gouiner. Le copain est rentré tard, a vu que nos fenêtres étaient encore éclairées. Il est passé dire bonsoir avant de rejoindre sa copine. Je lui ai dis quon avait engagé une partie de baise avec une copine. Il ma demandé sil pouvait se joindre à nous ? Je lécoute, ne réponds pas, il me vient une idée, lui faire un coup « en vache » ! On arrive devant chez moi, il membrasse. Pendant que sa langue cherche la mienne, je passe ma main sur son sexe, ouvre la braguette, sort bite et couilles. Il se glisse sur le siège pour bien dégager ses outils. Il ouvre mon jean, fourre sa main dedans, écarte ma culotte, deux doigts entrent direct dans mon trou, je le laisse faire. Elle est molle, je le branle, fait coulisser la peau, ça y est, il se met à bander. Je recule sur mon siège, enlève la main qui est entre mes cuisses. Je me penche vers lui, passe ma langue sur le méat, suce le bout du gland. Je caresse les couilles, ça y est, je les ai en main ! Jamène les deux testicules en contact, les fait rouler doucement entre mes doigts, massure quils sont bien lun contre lautre, les sers énergiquement.
- Espèce de cinglée !
Je me redresse, ouvre la portière, att mon sac, descends de voiture en vitesse, lui dis :
- Jai mal au cul, toi aux couilles, on est quitte. A plus !
Je claque la portière, remonte et referme mon jean, vais sur le pas de la porte, y reste un moment, attends, regarde. Plusieurs minutes passent, il na pas bougé, la voiture est toujours là. Jai peut être serré un peu trop fort, pourvu quil nait pas perdu connaissance. Je vais voir, on ne sait jamais. Jouvre la portière, lui demande :
- Ca va ?
Il se tient les couilles à deux mains, est écroulé sur le volant, le visage crispé, bite toujours à lair. Il me gueule :
- Salope, dégage !
Bon, il nest pas évanoui. Rassurée, je claque la portière et cette fois je rentre.
Jai vraiment le troufignon en fleur, jai beaucoup de mal à mendormir. Je me repasse le film de la soirée. Depuis que je baise, cest la première fois quon mencule. Ca a été rapide, une ou à peine deux minutes pour me lenfoncer jusquà la garde, près dune dizaine pour que lun et lautre en terminent avec mon cul. Lintroduction de cet énorme mandrin dans lanus ma semblé durer une éternité tellement ça ma fait mal.
Pourquoi Audrey a-t- elle encouragé son mec à me défoncer le cul ? Peut être par vengeance, car lautre jour, cest le mien qui lui a la rosette. Mais la bite de mon mec est nettement moins grosse et longue que celles qui mont ramonées aujourdhui. Une autre différence, elle navait quune queue dans le cul, alors que jen avais une dans chaque orifice qui me pilonnaient simultanément. Jai eu trop mal au cul pendant et après lintroduction, je nai pas pu jouir une seconde fois.
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