Moi Et Ma Cousine Stéphanie

Nous avons toujours été très proches. Nos parents étant des amis depuis leur adolescence, ils se rencontraient à chaque semaine ou presque, et nous pouvions nous voir. Étant s uniques, moi et Stéphanie n’avions personne d’autre avec qui jouer, et nous passions le plus clair de notre temps ensemble. Comble du bonheur, nos maisons étaient proches l’une de l’autre et nous nous voyions très souvent. Elle eut sa puberté vers l’âge de 13 ans alors que j’en avait 14, et je pouvais voir avec bonheur ses seins prendre forme et devenir plus gros, plus fermes. Je m’imaginais parfois la caresser et l’embrasser, je pensais presque toujours à son beau visage. Elle était petite, environ 1m55, et avait de longs cheveux châtains et de magnifiques yeux verts.

Nous grandîmes ainsi, s’attirant mutuellement mais sans arriver à nous le dire. Pour mes 18 ans, je partis en Europe avec des amis pendant cinq mois, et je la perdis de vue. À mon retour, elle n’avait toujours pas changé : toujours aussi belle et attirante, encore plus même peut-être. Vinrent alors ses 18 ans. J’organisai une grande fête en son honneur, et l’alcool coulait à flot. Toute la soirée, nous nous rapprochions et nos regards se croisaient. Elle me souriait, je lui rendait la pareille. Une fois, elle vint me remercier, et m’embrassa sur la joue en se collant à moi. Elle dut sentir mon érection car elle se recula un peu et me sourit avant de s’en aller.

Le lendemain soir, j’allai la voir dans son appartement pour lui remettre son cadeau, que j’avais oublié de lui donner la veille dans l’excitation de la fête. Elle était habillé d’une jupe noire lui arrivant aux genoux et d’une camisole rouge. Elle me fit entrer et nous avons parlé très longtemps, de sujets et d’autres. Puis, soudainement, nos regards se sont croisés et un déclic s’est produit. Nous avons arrêté de parler brusquement, et nous étions très gênés, ne sachant pas que faire. Finalement, elle fit le premier mouvement, s’approchant de moi et m’embrassant tendrement.

Je lui pris la main et nous sommes restés ainsi un certain moment. Puis, je commençai à lui caresser les bras, puis les seins. Ma main parcourait son corps avec délice, et elle laissa échapper un râle. Elle se détacha de moi, et me prit par la main pour m’emmener dans sa chambre.

Assis sur le lit, nous continuâmes nos caresses et notre baiser. Puis, doucement, je retirai sa camisole.

-Stéphanie…tu es tellement belle. Toute ma vie, je t’ai trouvé vraiment sexy mais là…
-Oui François, je t’aime

Puis, elle défit son soutien gorge, libérant deux beaux seins. J’en pris un dans ma main avant de sucer l’autre. Ma langue parcourait son mamelon avec douceur, et je sentais qu’elle adorait. Puis, elle me repoussa sur le lit, défit mon pantalon et retira mon boxer. Une queue de 18 cm en sortit, sous son regard éberlué.

-François…elle est vraiment grosse!
-Tu en a jamais vu avant?
-Non, jamais! Comment ca va rentrer?
-Tu verra

Elle le massa un peu avant de l’entrer dans sa bouche. Elle commença à me sucer doucement puis plus rapidement, et je laissai échapper un râle de plaisir. Elle me sourit tout en continuant. Brusquement, je sentis mon sperme monter, et je lui demandai d’arrêter, ce qu’elle fit.

-Ca ne va pas?
-Oui oui, c’est simplement que je veux que cela dure encore

Elle me fit un sourire et remonta sur moi. Je l’embrassai avec passion, avant de la pousser sur le lit et de lui enlever son jean et sa petite culotte blanche. J’entrai un doigt pour écarter un peu les lèvres, puis je me mit en position et commencer à sucer son petit clitoris tout gonflé. Je le suçai, le mordillai, le titillai, alors qu’une quantité impressionnante de mouille me coulait dans la bouche. Elle commença à lancer quelques petits cris, puis explosa de bonheur, m’emplissant la bouche de sa mouille.

-Oh…François…c’était le meilleur orgasme de ma vie…
-Tu n’as rien vu encore…

Je me relevai pour l’embrasser.
Nous étions tous les deux nus, enlacés l’un contre l’autre. Je me relevai.

-Es-tu prête, Stéphanie?
-Je…c’est la première fois…je suis encore vierge…
-Je sais, je vais faire attention.
-Je sais, François. Je t’aime.

Sur ces mots, je me positionnai entre ses jambes, entrant mon gland dans son petit trou. Puis, je sentis son hymen. D’un coup de rein, je l’éclatai, ce qui la fit lâcher un petit cri de douleur. Puis, avec mes va et viens, elle se relaxa, et commença à soupirer de bonheur. J’accélérai, elle criait à chacun de mes coups de reins. Je ne pouvais plus me retenir, et j’éjaculais en elle. Le liquide chaud qui coula en elle provoqua un orgasme, et elle hurla de jouissance. Je retombai à côté d’elle, et nous restèrent enlacés un bon moment, nous embrassant par moment. Nous nous endormirent ainsi.

Quelques jours plus tard, elle apprit qu’elle était tombé enceinte. Elle n’aurait jamais accepté de se faire avorter, et décida donc de garder l’. Maintenant, c’est un belle grande fille de 15 ans, qui est aussi sexy que sa mère.

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