Un Moyen Radical De Changer Sa Vie Routinière
Jack travaillait pour une compagnie d'inspection sanitaire nationale. Jack avait un bureau à lui, en dépit du fait quil nétait pas très hiérarchisé dans sa boîte. Jack avait aussi un petit appartement dans un immeuble dune quelconque rue dune quelconque grande ville. Jack vivait son existence de manière routinière, monotone, irréelle. Jack ne dormait plus. Jack ne supportait plus. Voici son récit :
Un soir après ma lassante et longue journée de travail, je décidai daller boire un verre dans un bar. Cest là que rencontrai Eva. Eva était accoudée au comptoir, et buvait lentement un café en fumant une longue et fine cigarette. Je massis à ses côtés, et commandais un whisky. Elle me dit : «Déprimé ? ». Cest alors que nous commençâmes à parler. Moi, sous linfluence de lalcool, je me mis à lui raconter la lassitude que je ressentais à travailler sans cesse et a vivre de façon identique tous les jours. Et au fur et à mesure que nous parlions, elle mamena sur un sujet qui mintéressait : une façon radicale de changer sa vie de façon palpitante et aventureuse. Elle me dit quil fallait que je me rende chez elle - elle me donna ladresse si je voulais découvrir cela. Je lui ai dit que jétais intéressé, et que je passerai.
Au long de notre conversation, javais compris peu à peu quil sagissait dune aventure sexuelle.
Le lendemain soir, je me rendis à ladresse donnée. Cétait un appartement banal, comme tous les autres. Devant la porte, je sonnais, lesprit assaillit de questions sans réponses.
Eva mouvrit la porte, et je la remarquais changée. Elle était simplement vêtue dune jupe lui arrivant mi-cuisses et dun haut très léger qui découvrait une grande portion de sa généreuse poitrine. Ses jambes longues et fine filaient de dessous sa jupe, infinies et sublimes. Ses lèvres fermes et fines, ayants une texture onctueuse et douce, nétaient mises en valeur par aucun rouge a lèvre, et son teint légèrement hâlé était exempt de toute trace de maquillage.
- Entre.
Je la suis à lintérieur de lappartement. Elle me mène jusquau salon où elle se plante devant moi, en appuis sur ses deux longues jambes.
- si tu veux changer ta vie, tu devras mobéir totalement, me faire confiance. Si tu nes pas daccord, alors va-ten.
Je ne pars pas.
- parfais, alors tu restes. On ne va pas commencer ce soir, mais jaimerais fixer quelques règles avant le début des festivités. Premièrement, dès demain, tu devras être épilé entièrement. C'est-à-dire le torse, les jambes, les fesses, le sexe, lanus. Si tu nes pas daccord, va-ten.
Je ne pars pas.
- tu as compris alors, je pense, que nous allons nous prêter à des jeux sexuels, de nature peu commune. La seconde règle est que tu dois être près à accepter des traitements que tu nas probablement jamais subis. Daccord ?
- ok.
- Très bien. La troisième règle est que tu dois mobéir quoi quil arrive, et être disponible dès que je te le demanderai, même si cest pendant ton boulot.
- Daccord.
- Très bien, alors reviens demain.
Je pars donc de chez elle, impressionné, excité.
Le lendemain, je me pointe dès que possible chez elle. Elle mouvre et me fait venir dans son salon. Elle me dit :
- à partir de ce jour, pour toi, je suis ta maîtresse. Jentends par là celle qui répond de toi, pas celle que tu te tape dans le dos de ta femme. Maintenant, déshabille-toi.
Je mexécute, enlevant ma chemise, mes chaussures, mon pantalon, mes chaussettes.
- tu dois AUSSI enlever ton caleçon !
A ce moment, mon excitation est en plein essor. Je fais glisser mon caleçon le long de mes jambes maintenant sans le moindre poil. Elle me détail de ses yeux sévères, tourne autour de moi, minspecte.
- penche-toi en avant, me dit-elle. Plus bas !bien. Ecarte les jambes, offre toi un peu à moi, aie confiance.
Elle fait le tour de moi, se place en face de mon petit trou exhibé.
- Lèche le bien, sinon ca va te faire mal !
Je mapplique alors à le lécher goulument. Ensuite, elle retire son doigt fin de ma cavité buccale, pour le rapprocher de mon orifice arrière. Elle me pénètre, doucement. Je sens son doigt senfoncer dans mes tréfonds, de plus en plus. Je nai jamais pratiqué une telle chose. La première phalange est passée. Le doigt force, car mon trou se resserre. Jessaye de repousser cet intrus, mais il est plus fort que moi et continue son avancé. La deuxième phalange est à lintérieur, je sens une petite douleur. Puis la douleur laisse place à une sensation que japprécie. Je crois que ly éprouve du plaisir. Douleur légère et plaisir inconnu se mêlent. Ca y est, le doigt est passé en entier. Elle le remue, légèrement. Je sens un plaisir grandissant en moi, et ma bite se dresse.
Puis lintrus se retire, dun coup. Je sens un vide en moi. Elle me fourre le doigt dans la bouche et me dit de nettoyer. Pris dans la folie du moment, je lèche docilement mon propre anus sur le doigt de ma dominatrice.
- alors tu es prêt, me déclare telle. Ceci était un test. Demain ramène-moi ta copine, car je sais que tu en a une. Ramène la en lui ayant expliqué, je sais quelle acceptera. Dis lui quelle se prépare à vivre des émotions intenses.
Je sens mou trou béant. Elle ne mautorise pas à reprendre mon caleçon, à la place, elle me donne un petit gode.
- met le toi dans le cul, et ne le retire pas avant de me revoir.
Le gode fait la taille de son doigt, si ce nest légèrement plus. Je lenfonce donc, en éprouvant cette fois un plaisir plus cru. Cet objet est coincé en moi.
- tu na désormais plus le droit de faire lamour avec ta copine, les seules relations sexuelles que tu auras dorénavant se feront en ma présence.
Je men vais, bien décidé à suivre ses directives.
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