Baise Avec Une Femme Dans La Cinquantaine
Depuis le début de l'année, plus de clope au bureau. Il faut aller dehors pour s'en griller une.
J'étais devant l'entrée de l'immeuble et je venais de m'en allumer une. Une femme dans la cinquantaine, portant un tailleur (pantalon, veste) avec un magnifique chemisier et des escarpins à talon m'aborda pour me demander du feu. J'allumais sa cigarette et nous avons commencé de tailler une bavette,
Elle venait de commencer dans l'entreprise qui était deux étages au dessus du mien comme responsable du personnel. Une fois nos cigarettes terminées, elle me proposa d'aller prendre un verre le soir en sortant du travail. J'acceptais avec plaisir.
Nous nous sommes retrouvés devant l'immeuble et avons été au bar au coin de la rue. Tout en buvant nos verres, elle me dit se prénommer Aude et qu'elle avait loué un appartement près du port. J'habitais également dans le coin et je lui proposais de la ramener après notre apéro. Elle accepta tout de suite en me disant avec un petit air narquois, que son appartement n'était encore pas rangé à part sa chambre à coucher. Nous avons terminé nos verres et je la prenais dans ma voiture. Tout en conduisant nous avons continué notre conversation. Pour ma part, je la détaillais de la tête aux pieds. Elle avait de cheveux noir mi-long son chemisier légèrement entrouvert laissait apercevoir un magnifique soutien-gorge bleu. Ses yeux étaient verts et son visage très finement maquillé. Sa bouche dégageai une forte sensualité. Elle avait des mains fines avec de longs doigts qui ne portaient aucune bague et ses ongles étaient remarquablement peints, comme ceux de ses pieds d'ailleurs.
¼ d'heure plus tard, nous étions chez elle. Elle me fit entrer dans son appartement qui était vraiment en chaos. Que des cartons partout. Juste un immense canapé et une pièce parfaitement rangée (sa chambre à coucher).
- Excusez le désordre, mais je n'ai rien eu le temps de ranger.
- Pas de problème.
- Vous voulez vous installer sur le canapé ou dans ma chambre.
- La chambre me plairait bien.
- Allez-y, mettez vous à votre aise, j'arrive.
- Ok
- Vous buvez quoi?
- Un thé froid si vous avez.
- Ok
J'entrai dans sa chambre. Elle était meublée avec grâce. Un grand lit de 180, deux belles table de nuit, une armoire à 4 portes vitrés, une grande coiffeuse et un petit sofa à deux places. Je m'assis sur le lit, les draps étaient noirs en satin avec de magnifiques coussins blancs et deux couettes blanches.
Je finissais de détailler sa chambre quand elle fît irruption en portant deux grands verres. Elle avait retiré sa veste et déboutonné encore son chemisier laissant maintenant parfaitement admirer son soutien-gorge.
Elle posa les deux verres sur une des tables de nuit et me demanda:
- Ca vous plait?
- Oui, c'est magnifique, comme celle qui occupe ce lieu.
- Je vous plait?
- Oui, vous êtes vraiment très ravissante et désirable.
- Vous me plaisez aussi beaucoup.
- Vraiment?
- Oui, vous devez être un merveilleux amant
Elle s'allongea sur le lit. Je déboutonnai alors lentement son chemisier et je le sorti de son pantalon. Mes doigts se mirent à caresser sa poitrine au travers de son soutien-gorge en dentelle. Elle se tourna sur le côté le dégrafa d'un geste rapide et se remis sur le dos, les bras sous sa nuque. Elle avait des seins superbes, fermes et une peau délicieusement fine. Mes doigts jouèrent alors avec ses mamelons qui étaient tout durcis. Je les faisais tourner entre mes doigts, en les pinçant délicatement.
- Oui, masse les forts. Je crois qu'ils doivent avoir de l'eau car j'ai déjà mon string tout mouillé.
- On va voir ça.
Je lui défis les lacets de ses escarpins et je les lui retirais. J'ouvris la fermeture de son pantalon et je le fis glisser le long de ses longues jambes. Elle les écarta immédiatement.
- Déshabille-toi
- Tu es pressée!
- De te voir à poils? Oui
Je me levais et je me mis debout au pied du lit. Elle glissa une main vers sa chatte et y enfonça un doigt, puis elle se mis à se masturber. Son autre main courait sur son corps et elle massait ses tétons. Je commençais lentement de retirer mon t-shirt, puis mes souliers sans vraiment me presser.
- Plus vite, retire tout.
- Eh, nous avons le temps
- Je vais jouir avant que tu ne portes plus rien.
- Alors calme-toi
Je retirais ensuite mon pantalon et mon slip. Je les avais à peine enlevé qu'elle s'assit au bord du lit et me pris ma queue dans sa bouche, tout en continuant de se masturber sa chatte. Je la pris par les cheveux et je faisais glisser sa bouche le long de mon pieu.
- Oui, suce, encore
- Tu aime?
- Oui tu es une merveilleuse suceuse.
Sa bouche s'activait sur ma queue, sa langue tournait rapidement autour de mon gland et ses doigts allaient et venaient au bas de ma verge pour augmenter mon plaisir. Quand elle sentait que je ne tenais plus elle me quittait pour me la lécher des couilles au gland, puis elle reprenait sa fellation. Après plus de 10 minutes de ce jeu, elle me dit.
- Masturbe-toi et finis-toi: Gicle ton foutre sur mon visage.
Elle ouvrit grand sa bouche, langue en avant et plaça son visage devant mon membre. Je le pris dans ma main et je me masturbais lentement. Ses yeux allaient de ma verge aux miens
- Tu résistes longtemps, ce sera bien pour après.
- Je veux apprécier ce moment.
- Oui mais pas trop long, vide-toi, j'en meure d'envie.
Je me mis alors à me branler de plus en plus fort et soudain j'aspergeais son visage de mon foutre en de longues saccades. Elle en avait sur le front, les yeux, les joues et le menton. Avec un doigt elle s'essuya, portant mon jus à ses lèvres.
- Il est délicieux, tu veux goûter mon jus maintenant.
- Oui, bien sur, je ne demande que ça.
- Tu verras, je suis une vraie fontaine
- Alors vient
Elle me coucha sur le dos, se mis à genoux au dessus de mon visage.
- Tu peux seulement poser tes mains sur mes fesses et me titiller mon petit cul
- Pourquoi?
- Parce que c'est moi qui me caresse la chatte et qui me fait jouir. Comme ça tu peux regarder
Je déposais mes mains sur ses fesses douces et tendres et je glissais un doigt dans son anus. Elle pris un sextoy dans le tiroir d'un table de nuit qu'elle se glissa immédiatement dans sa chatte. Elle l'avait environ 20cm au dessus de mon visage et je voyais l'engin aller et venir en elle. Par moment elle le glissait dans ma bouche et je le suçais avec un réel plaisir. Elle le promenait entre ses grandes lèvres puis le frottait sur son clitoris avant de le renfiler en elle et de le faire aller venir A chaque fois qu'elle le mettait dans ma bouche, il était de plus en plus mouillé. De mon côté, mon doigt fouillait profondément son anus et d'une main je lui massais sa fesse.
- Tu la laisses couler cette fontaine, j'ai soif
- Encore un moment, je ne suis pas prête
- Dépêche toi j'ai envie de ta liqueur.
Elle jeta le sextoy sur le lit et se mis à faire tourner son clito sous ses doigts. Soudain ses mains agrippèrent son sexe qu'elle ouvrit et elle le posa violement sur mes lèvres. Un flot, un torrent de sève chaude envahi ma bouche. Je la buvais avec délectation en croyant que cette fontaine n'allait jamais se tarir. C'était divin, son jus coulait sur mon menton et dans mon cou. J'en avais plein les joues. Quand ce flot s'arrêta elle se mit à me lécher doucement mon visage
- Je ne t'avais pas menti hein
- Oui, j'ai rarement rencontré une femme qui coule autant.
- C'est mon petit avantage sur une autre
- J'ai rien contre
Regardant son bas ventre elle me dit
- Ce petit jeu t'a remis en forme. Si tu venais me l'enfiler maintenant
- Tu la veux où
- J'ai bien aimé comme ton doigt m'a fouillé, mais un bon pieu serait mieux
- Alors met-toi à quatre pattes
- Comme une chienne?
- Si tu veux.
- Oui, j'adore être prise à quatre pattes
Une fois en place, je me mis derrière elle et pour la préparer, si c'était encore nécessaire, je me mis à lui lécher son anus, le titillant avec ma langue. Je me mis à genoux et d'une main guidait ma queue vers son anus qui s'ouvrait ne demandant que je la prenne. Je m'enfilais en elle d'une seule poussée. Je la pris par les hanches et je me mis à la besogner avec force. Son cul était chaud, étroit et bien mouillé. Je m'activais sans peine en lui. Sa tête posée de coté sur un cousin elle me regardait en gémissant.
- C'est bon, j'aime tellement quand on me sodomise
- Tu aime vraiment la baise hein?
- Oui, le sexe c'est ma passion, alors défonce-moi, défonce ta petit garce
- Je vais te défoncer les entrailles.
- Oui, très fort.
Je me mis alors à aller de plus en plus vite et de plus en plus fort. Rapidement je me plantais profondément en elle et je me vidais au fond de ce merveilleux petit cul. Elle tomba sur le lit et je restais planté ainsi en elle un long moment.
Au bout d'un moment, je me retirais et m'allongeais sur le lit.
- Vient à la douche, je vais te la laver.
Une fois de retour sur son lit, elle me dit
- Tu connais ma bouche, mon cul, reste à faire la découverte de ma chatte.
- Je ne demande que ça.
- Tu verras, elle est chaude, très ouverte et profonde, mais avant, tu devras me la préparer
- Comment?
- Avec ton poignet
- Tu veux que je te fiste?
- Oui, tu commences avec un doigt, puis deux, puis trois, puis tu enfiles toute ta main. J'adore ça.
- Comme tu veux
Elle pris ses jambes avec ses mains et elle les écarta au maximum. Je glissais un doigt, puis deux, trois, quatre. Lentement sa chatte s'ouvrait et je pénétrais facilement. Je fermais mon poing et il la pénétra d'une poussée. J'allais et venais ainsi en elle et elle hurlait
- Ouiii, plus profond, enfile ta mains plus profond c'est tellement bon.
Sa chatte était complètement humide et elle, elle transpirait de partout, je voyais couler sa sueur sur son front sa poitrine. Elle accompagnait mes mouvements et balançant son ventre. Puis elle me cria
- Vient, enfile ta queue maintenant, ma chatte va lentement se fermer et je vais la mouler autour de ton pieu.
Je restais à genoux et glissais mon membre dans sa fente béante. Lentement elle se fermait et je sentais les parois de son vagin épouser les rondeurs de mon sexe. Une fois totalement refermée je me mis à la besogner avec rage. Je ne sais pourquoi me j'avais un envie folle de me vider en elle. Je m'enfonçais de plus en plus buttant profondément au fond d'elle. Soudain elle jouis inondant ses parois de sève se qui provoqua immédiatement mon explosion et je me vidais en elle mêlant mon foutre à sa liqueur. Je m'allongeais à côté d'elle et nous nous sommes endormis un moment.
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