A La Mer Avec Un Ange
A cette époque la nous etions une bande de 5 amis, à peine nos études entamées et tous les étés, nous nous retrouvions chez Thomas dont le père possédait une villa pas loin d'une crique en Espagne. Ce jour la dans la crique où nous étions toujours seuls je m'étais allongé au centre d'un cercle de rocher afin d'etre à l'ombre. Marine était rentrée un peu plus tot et je me retrouvais seul pendant que Thomas, Romain et Yolene se baignait encore. J'en profitais pour faire une petite sieste qui ne dura pas longtemps car je me réveillais alors d'une incroyable manière :
Agenouillée entre mes jambes que mon short gisant à présent loin ne couvrait plus, Yolene, une main dans son maillot, me suçait délicatement le gland !
Elle dut s'appercevoir que je m'étais réveillé car elle leva les yeux vers moi en me souriant et vint m'embrasser. En sentant sa langue entrer en contact avec la mienne je ne pu m'empecher de penser aux nombreuses fois où j'avis fantasmé sur elle, sa peau bronzée ses anches de déesse et sa poitrine magnifique...
Revenant à moi je commençais à lui masser lentement les reins en me demandant depuis combien de temps elle aussi rêvait de moi.
Cela sembla lui plaire car elle s'assît sur moi, ma verge tendue dans son dos et retira délicatement le haut de son maillot. Je ne pus réprimer un couinement admiratif dont elle s'apperçut : "Ils te plaisent ? Tu sais je t'ai vu hier quand j'étais dans la piscine ! "
A ce moment la je crois que j'ai rougi car la veille en allant au toilette je l'avais vu pendant qu'elle et Marine se faisait bronzer entièrement nues alors que Romain Thomas et moi étions sencés jouer au foot. J'avis alors abandonné toute envie de courir derrière un ballon pour masturber mon sexe qui semblait près à exploser.
Elle se retourna alors et m'offrant une vu magnifique sur sa fleur recommença à me pomper le dard pendant que j'essayais de la faire jouir avec ma langue en recommençant à lui masser les reins au meme rythme qu'elle me suçait.
Un instant plus tard sa croupe faisait des va-et-viens le long de mon membre et mes mains étaient posées sur ses globes magnifiques. Nous contiuâmes longtemps ainsi ralentissant lorsque je ne pouvais plus tenir et Romain et Thomas durent nous voir s'en se faire remarquer car au bout d'un moment je remarquais que leurs affaires n'étaient plus sur le rocher à cotés des notres...au bout d'un moment j'éjaculais en elle
et elle resta allongée sur moi.
"tu baises comme un Dieu tu sais?
-c'est vrai?
-non, tu baises encore mieux ! répondit elle en éclatant de rire
-merci mais toi aussi et puis ... tes fellations...
-he pas de ça entre nous ! t'as cas dire "quand tu me tailles une pipe"!! et elle rit de nouveau
-alors si je te demande de te sodomiser tu va me dire "encule moi ! " ?
-oui
-alors puis-je t'en..heu..t'enculer?
-oui vas y sodomise moi mon lapin !
je sourit pendant qu'elle s'agenouillait dans le sable chaud en pensant qu'elle n'avait pas tort je n'étais pas précoce mais je récupérais très vite.
je m'aprochais derrière elle en regardant son cul magnifique puis je fis glisser mon gland le long de sa raie, lui arrachant des gémissement de plaisirs. au bout d'un moment n'y tenant plus elle cria "vas y , fuck !"
j'entrais alors délicatement dans son petit trou mais elle cria de nouveau en riant:
"plus fort ! tu me prends pour une vieille ou quoi?"
je ressortis alors pour la penetrer aussi violement et profondemment qu'elle me le demandait. Elle ne mit pas longtemps à jouir et m'arreta en me disant vas y je sais que tu en reves! et elle s'allongea sur le sable sans bouger.
"je reve de quoi?
-d'éjaculer sur ma poitrine,non ?"
j'ignore toujours comment elle a su ça mais je ne me fis pas prier pour me mettre à califourchons sur son ventre, mon sexe dressé entre ses deux seins avec lesquels elle se mit à me masser. Ce fut foudroyant et un instant plus tard elle léchait de nouveau mon gland en prenant bien soin de récuperer tout ce que je ne lui avais pas encore versé dessus. c'est alors que je me souvenais d'un léger détail :
Nous avions tous les deux un autre partenaire
mais rien ne leur fut dit et à chaque fois que nous nous trouvions seuls, nous recommencions à profiter des plaisirs de la vie et surtout de ceux que nous savions mutuellement nous donner!
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