Les Plaisirs Du Vin De Moselle
Mon dernier voyage outre - Rhin restera gravé dans ma mémoire. Le long de la Moselle, région réputée pour son vin
blanc, de nombreux petits villages typiques bordent le fleuve et les Allemand(e)s s'y retrouvent bien volontiers pour
gouter au nectar local. Je m' étais donc arrêté dans un de ces petits villages afin de déguster le dernier cru, et m'
installais à une table commune, comme cela se fait couramment en Allemagne.Ma voisine m'ayant demandé si
j'avais un briquet pour lui allumer une nouvelle cigarette, la conversation s'engagea d'autant plus rapidement quand
elle découvrit à mon accent que j' étais Français ! Elle me présenta à sa copine, de la même génération, un peu
moins de cinquante ans chacune, blondes comme on les fait en Allemagne, corpulentes à souhait, vêtues du
costume Dirndl national, blanc pour l'une, vert pour l'autre, jupe longue sur un jupon volumineux, un boléro ne
laissant que peu de mystère sur leurs poitrines telles que je les aime . Nous goutâmes les différents crus à la carte
agrémentés des traditionnels " Prosit" . Le vin blanc aidant, nos corps , puis nos lèvres se rapprochèrent et la
conversation fit vite place à des échanges que, même en Allemagne, nous ne pouvions honnêtement poursuivre
beaucoup plus longtemps en public . Hildegarde proposa donc que nous nous rendions chez elle, à peu de
kilomètres, où nous pourrions bénéficier de sa piscine et des crus millésimés de sa cave personnelle. Arrivés chez
elle, je découvris une petite propriété dans la verdure avec une vue magnifique et romantique sur la vallée . Nous
passâmes devant la piscine , au bord de laquelle une jeune femme, complètement nue, bronzait sur le ventre sur un
matelas. " Je vous présente ma fille Helena " me dit Hildegarde. Helena se souleva pour me serrer la main et exhiba
un corps de rêve. Ah ces seins ....
" Voulez-vous plonger dans la piscine ? " me proposa Hildegarde.
importance, ici c'est sans textile, à poil comme vous dites en France " Et, joignant le geste à la parole, elle commença
à me déshabiller cependant que sa copine Christine en faisait de même. Un peu gêné, j'entrepris néanmoins de
tenter de déshabiller Hidegarde, tâche complexe vu le costume qu'elle portait. Bien entendu, j'attaquais par le haut et
une fois le bolero enlevé , je découvris deux magnifiques seins logés dans un soutien gorge redresse - seins qui ne
faisait que les rendre encore plus attrayants. Mon trouble ne fit que compliquer l'enlèvement de la jupe puis du jupon.
Restait un petit slip noir qui cachait à peine un mont de venus rebondissant et velu. J'allais y déposer un chaste
baiser , mais Hildegarde réagit " Bernard, voyons, nous sommes entre gens du monde "
Nous plongeâmes alors allègrement dans la piscine et après quelques traversées, nous nous rejoignîmes tous les
trois, sous le regard d ' Helena. Comme nos corps se frottaient, j'en profitais pour passer mes mains autour du corps
de ces deux superbes Germaines. Ne sentant à l' évidence aucune résistance, je continuais en descendant le long
de leur corps jusqu' à leur intimité accueillante. Ne voulant pas être en reste, Hildegarde et Christine firent le même
chemin, de concert, vers ma verge en pleine érection. Leur regard croisé ne cachait rien de l'intérêt qu'elles portaient
à mon "emotion"
" Si nous allions poursuivre nos dégustations de vin ? " proposa Hildegarde et seulement vetus de peignoirs de bain,
nous nous dirigeâmes vers le salon, bien confortable, avec deux énormes fauteuils et un sofa en cuir.
Christine profita de l'absence momentanée de Hildegarde, descendue à la cave, pour s'installer à côté de moi sur le
sofa. J'avais sous les yeux une autre superbe poitrîne, certainement un bon 100D, restée bien ferme, deux aréoles
ovales assez larges et deux longs tétons proéminents qui ne demandaient qu'à être sucés, léchés, aspirés,
mordillés, ce que je m'empressais de faire .
le caresser avec agilité et à le décaloter. " Hé bien, vous n'avez pas perdu de temps" commenta Hidegarde à son
retour, un plateau à la main. Elle nous servit un délicieux blanc 1999 , et s'assit avec nous pour trinquer, gouter,
humer ,.... Une , puis deux autres bouteilles subirent le meme sort cependant que nous avions engagé un trio
sauvage, agrémenté de cris dignes des Walhallas. Mais de ceci , je vous raconterai plus tard et je vous laisse pour
l'instant à votre imagination ...
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