Elodie, Soumise Malgré Elle
J'ai 38 ans, plutot mignon, marié. Ma femme n'étant pas très portée sur le sexe, je me laisse facilement tenter par des aventures.
Je ne suis pas difficile. Les canons, c'est souvent dificille à draguer. Moi je préfère celle qui ne paye pas de mine, les 'un peu trop' ou les 'pas assez'. Comme elles n'ont pas l'habitude de se faire draguer, elles s'amourachent vite, et après je fais un peu l'indifférent et c'est elles qui me draguent !
Elodie, je l'ai dragué dans un supemarché. Je lui ai laissé mon portable. Elle m'a rappelé plusieurs fois. Elle voulait me voir.
Ce n'est pas un canon, baisable, sans plus. J'ai envie de m'amuser. Je lui donne rdv dans un bar. Elle se présente en jean, pull, bref l'horreur. En quelques minutes je lui fais remarquer qu'elle n'a fait aucun effort (moi, exprès je me suis habillé classe). Je lui dit qu'elle peut rentrer chez elle. Que je ne sors pas avec une pouf. Elle part en larmes.
Je laisse passer quelques jours. Elle finit par me rappeler. Elle s'excuse (le comble après ce que je lui ai fait). Me dit qu'elle fera un effort. Me supplie de lui donner une chance. Je fais mine d'hésiter et finis par accepter à une condition : c'est dans 20 mn. je la veux en mini jupe, sexy. Je passe la prendre en bas de chez elle. Elle accepte en me remerciant, me donne son adresse.
Je fonce chez elle. J'attends en bas de son immeuble. Elle me fait poireauter 3 mn de trop (ça se paiera)
Elle est sexy, presque ridcule boudinée dans sa jupe et son chemisier. Je l'emmène au resto (un resto chic pour qu'elle ait l'air cruche). Elle se rend compte qu'on la regarde bizzarement dès qu'elle entre. Elle me dit
'j'veux pas rester ici'.
Je répond 'tu choisis :
c'est ici ou chez toi'.
Courte reflexion...
OK chez moi'
On se lève. Je passe derrière elle, glisse ma main entre ses cuisses et remonte sa jupe sur ses fesses.
'excusez-nous, elle a envie de baiser'.
Une fois dehors elle me traite de salaud. Son visage est rouge de honte. Je l'embrasse à pleine bouche, presque violemment. Je relache l'étreinte, elle reste muette. Elle est matée. Je l'enmène vers ma voiture. Contre la carosserie je l'embrasse à nouveau en la pelotant presque sauvagement. Ensuite je la fais monter en voiture. Pendant le trajet je lui dis des mot crus, que j'ai envie de son cul, que je vais la baiser, qu'elle va me sucer.
Ma main court sur ses cuisses, sous sa jupe.
Ecarte Salope !
Une claque sur les cuisses pour qu'elle ouvre plus vite. elle s'exécute.
Enlève ta culotte ! Non ?
Elle le fait en chiallant. On arrive enfin. On descend. On prend l'ascenseur. En ressortant de l'ascenseur, son chemisier est ouvert, ses seins sortent à demi du soutif. Le pallier est, heureusement pour elle, désert. Troublée, elle a du mal à mettre ses clefs dans la serrure. J'en profite pour lui remonter totalement la jupe au dessus du cul. Elle est cul à l'air.
La porte s'ouvre, je la pousse, l'entraine au salon de son studio. Je lui arrache les vêtements qui lui reste. Je passe la main sur sa chatte. Ellle est trempée. Je lui fais sucer sa mouille sur mes doigts. Je la traite de pute, de chienne. Elle est complètement nue. debout les bras ballants. Je lui pince ses gros tétons dressés. Elle gémit de douleur en se penchant en avant. Une claque sur les fesses, elle se redresse. je la pousse sur le divan. Je baisse mon pantalon, mon slip. Je présente mon cul à hauteur de sa figure. Lèche moi la raie ! Elle rechigne. Une claque sur un sein. Elle chiale, mais se résigne.
Lèche bien, cochonne.
Doucement mais surement sa langue lèche mon anus. Je bande dur. Je me retourne et lui baise la bouche en position du 69.
'Non, pas çà'.
Son cul est accueillant, je rentre et sort de plus en plus vite. Je l'entends gémir de nouveau. De temps en temps je lui claque les fesses ou lui pince un sein que j'attrappe par en dessous. Elle est de nouveau prête à jouir. Cette fois elle ne m'aura pas. Je décule. Elle me supplie de continuer. Je l'a fais mettre sur le dos et me remet en position pour lui baiser la bouche. Je n'en peux plus, je gicle dans sa gorge.
'Avale tout !'
vu la position elle a pas tellement le choix. Elle reste frustrée, me traite de salaud. Des larmes coulent sans bruit sur sa joue.
Je la caresse pendant qu'elle récupère, aussi doucement que j'ai été brutal auparavant. Tout son corps est brulant. Les caresses apaisent les larmes, ses seins pointent à nouveau. Ma main frôle son sexe, son corps se tend vers la caresse, ses cuisses s'entrouvent imperceptiblement. Je continue, lentement mais surement. Mes caresses se font de plus en plus précises. Quelques minutes plus tard ma langue remplace mon doigt sur son bourgeon gonflé. Son corps ondule au rythme des succions. Des soupirs de bien être, des gémissements, elle revit. Encore quelques minutes, et son corps tout entier vibre au rythme de mon cunnilingus. Tandis que mes lèvres et ma langue s'activent sur son clitoris saillant, mes doigts investissent sa chatte béante. La réaction en chaine commence. Ses gémissements se transforment en cris, son corps ondule en cadence, chaque fois plus fort, encore et encore, enfin sa jouissance explose.
Le plaisir s'estompe lentement. Les yeux fermés, le visage détendu, un imperceptible état de bien être l'envahie. Je reste silencieux.
Plus tard la fatigue l'emporte dans un profond sommeil. elle s'endort. Je quitte son appartement en imaginant la prochaine fois...
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