Où Je Fais La Connaissance Des Deux Amies D'Edwige

J'arrivais vers 20h chez Edwige. Nous étions vendredi soir; Marc était partis pour le we. C'était ma seconde rencontre avec elle, depuis le soir où son mari me l'avait présentée.

Vient, allons au jardin. Ce soir là elle avait revêtu un short et un chemisier. A voir elle ne portait rien d'autre. Une fois au jardin, elle passa ses bras autour de ma nuque et m'embrassa goulûment. Après ce baiser, elle me dit.

- Finalement, l'autre soir, tu ne n'as pas prise dans ma chatte. Tu ne connais que mon petit cul et ma bouche.
- C'est vrai, mais j'espère que cela ne va pas tarder.
- Léa et Sonia ne viennent que vers 21h, nous avons le temps

Elle me retira tous mes vêtements puis ôta les siens. De voir ainsi son corps superbe, ses tétons complètement hérissés de désir, m'existait beaucoup.

- Tu veux me prendre ou c'est moi qui te prends?
- Prends moi
- Comme tu veux. Allonge toi sur le dos

Je m'installais sur la couverture et elle m'enjamba. D'une main elle glissa ma queue dans sa chatte et s'empala sur moi.

- Comme il me faut un moment pour bien mouiller je vais prendre mon temps, essaye de tenir.
- Je vais faire au mieux.
- Ne me touche pas et laisse toi faire, tu verra c'est bon.

Elle resta plantée sur moi sans bouger sauf qu'elle se massait sa poitrine. Par moment elle venait se caresser son clitoris avec un doigt qu'elle suçait ensuite. Enfin, lentement elle se mis à balancer son ventre d'avant en arrière. Je la sentais mouiller de plus en plus. Ensuite, elle commença de monter et de descendre le long de mon pieu. Elle caressait avec frénésie ses seins pinçant ses tétons entre ses doigts. Je jeux dura au moins 25 minutes. Je sentais monter la chaleur dans son ventre et déjà du jus coulait. Elle se mit alors à aller de plus en plus vite de gauche à droite et de haut en bas. Soudain elle se pencha en arrière et se planta très fort sur ma verge.

Je butais contre son utérus. Immédiatement son orgasme fût total. Elle hurla et sa sève coula comme une fontaine.

Elle s'allongea sur moi et m'embrassa en me disant

- C'était divin, tu as aimé
- Beaucoup

Nous nous sommes alors installés à la table et elle nous servis un verre. La sonnette de la porte retentit. Elle y alla, complètement nue et revint avec deux femmes splendides qu'elle me présenta.

- Voici Léa et Sonia, elles sont belles non?
- Merveilleuses.

Les deux devaient avoir un peu plus de trente ans.
Léa était la plus grande. Blonde, un visage très fin, des cheveux blonds noués derrière sa tête. Elle n'avait pratiquement pas de poitrine. Elle portait des escarpins une minijupe en cuir et un T-shirt.
Sonia était assez petite, environ 160cm. Elle était métisse, sa peau était assez foncée. Comme Léa, ses longs cheveux noirs était noués derrière sa tête. Par contre, sa poitrine était très volumineuse. Elle avait aussi des escarpins, un short et un T-shirt.
Nous avons pris place à la table et Léa me dit.

- Il parait que Marc vous a bien présenté Edwige l'autre soir.
- Oui mais pas totalement.
- Je suis certaine que cette lacune a été comblée.
- Oui, tout à l'heure.
- Elle vous a parlé de nous?
- Non pas vraiment. À part que…
- Que..
- Vous êtes de très bonnes baiseuses.
- On fait ce qu'il faut.

Sonia se leva et en s'approchant de la chaise d'Edwige lui dit.

- Il n'y a plus qu'à lui faire une petite démonstration. Vient Léa, on va s'occuper d'elle.

Les deux femmes se mirent alors à embrasser Edwige l'une après l'autre. Puis Léa retira son T-shirt et posa ses tétons sur la bouche d'Edwige. Sonia retira son short, écarta ses jambes et prit la main d'Edwige qu'elle plaça sur son sexe. Elle retira aussi son t-shirt et offrit sa poitrine à la bouche gourmande d'Edwige. Léa se mit alors à genoux, écarta les jambes d'Edwige et se mis à lui administrer un cunnilingus de première. Sonia dit alors à Léa.

- Mais c'est qu'elle aime bien ça cette salope. Deux femmes qui s'occupe d'elle.
- Oui les filles j'adore, continués, encore. Léa suce moi plus fort, enfile ta langue dans ma chatte.
"Toi aussi Edwige, suce ta petit Sonia". Et elle se redressa, posa un pied sur un accoudoir. Edwige posa sa bouche sur la chatte de Sonia et à son tour se mit à s'occuper de son abricot, pendant que cette dernière lui massait sa poitrine.

Je regardais cette scène, assit sur ma chaise en me masturbant. J'hésitais entre me faire jouir et venir sodomiser le ravissant petit cul de Sonia qui s'offrait à ma vue. J'allais me lever quand Sonia me dit.

- Ne fait rien sur ta chaise, on as presque finit et on va venir s'occuper de cette belle trique qui pointe fièrement.
- Je vous attends avec impatience les filles.

Edwige poussa un cri et elle jouit entre les lèvres de Léa. A son tour Sonia se vida dans la bouche d'Edwige. Elle restèrent un petit moment comme ça, puis se dirigèrent vers ma chaise. Elles se mirent debout devant moi, jambes écartées et mains sur les hanches. Léa demanda "Alors les filles, par quoi on commence", Edwige lui répondit "on pourrait le sucer toutes les trois" "Trop simple" dit Léa "j'ai une meilleure idée, allons dans ta chambre Edwige, là il y a tout ce qu'il faut pour lui".

Nous sommes allés dans la chambre d'Edwige. Il y avait un très grand lit deux mètres sur deux. Léa dit alors "Je vais commencer par lui faire un bouton d'Or, les hommes aiment ça aussi, Sonia tu te mettra sous lui et tu lui fera une fellation comme tu sais si bien les faire, quand à toi Edwige, installe-toi sur sa bouche pour qu'il te suce" Je me mis alors à quatre pattes, Sonia se glissa entre mes jambes. Edwige se mit à genoux sur mon visage, écarta les lèvres de son sexe qu'elle plaqua contre ma bouche. Léa demanda "on est prête les filles?" Comme réponse deux Oui.

Edwige me dit "aller maintenant suce ma petite chatte, lape-la bien". Sonia me prit dans sa bouche et commença sa fellation royale. Léa faisait tourner un doigt sur mon anus qu'elle léchait de temps à autre. Puis sa langue chercha à me pénétrer et ensuite elle enfila un doigt en moi. Je la sentis se pencher puis reprendre sa place. Je ne la voyais pas et se remit à me lécher, laissant sa salive couler sur mon bouton Moi, je suçais comme un fou cette moule collée à ma bouche et la langue de Sonia s'activait autour de mon gland. Soudain je sentis quelque chose de dur se poser sur mon anus et d'un cou s'enfoncer. Léa cria "voilà notre petit cochon aime aussi les vibro" et elle le mit en marche le faisant aller et venir en moi. Je me mis alors à sucer de plus en plus vite Edwige et Sonia me pompait de plus en plus.
Soudain en poussant un long cri Edwige m'offrir son orgasme ce qui déclencha alors le miens. Léa elle arrêta le vibro et le retira de mon anus en disant "pour un début c'est pas si mal les filles. Edwige alla nous chercher un verre que nous avons siroté dans sa chambre. J'avais la très nette impression de n'êtres qu'un jouet au bon plaisir de trois femmes. Mais ce n'était finalement pas si désagréable que ça.

Nous sommes restés ainsi un moment tranquille sans parler à boire nos verres. Léa dit alors "bon les filles faut qu'il nous baise maintenant. Mettons-nous cote à cote à quatre pattes et il nous prendra l'une après l'autre". Les trois femmes s'installèrent et j'étais à genoux derrière elle. Sonia à gauche, Léa au milieu et Edwige à droite. Elles avaient ouvert leurs chattes avec les doigts et elles s'offraient totalement à moi. Je ne savais pas par laquelle commencer. Je me délectais à la vue de ces magnifiques trois petits culs et ces ravissantes chattes ouvertes. Finalement je décidais pour Léa où un léger flot de cyprine s'échappait de sa grotte. Je la besognais un moment puis je passais à Sonia. Un cour instant plus tard je pris Edwige à son tour. Elle dit "Il trique pas mal, mais il pourrait y aller plus fort", "c'est aussi se que je pense lui répondit" Léa "car il bute pas contre ma matrice": je pris alors Sonia par les hanches et je me mis à la défoncer. Elle ne s'y attendait pas et hurla avant de s'affaler sur le lit. Je passais alors à Léa et je fît de même. J'étais à la limite de jouir, je me sortis et attendit un instants avant d'enfiler Edwige à son tour pour lui faire subir le même sort. Près à exploser Sonia me cria " Vide-toi sur ses fesses, on veux lécher ton foutre". Je donnais encore deux violents coups de reins, et je me retirais de ce merveilleux fourreau. Je vidais alors toute ma semence sur les fesses d'Edwige. Léa et Sonia vinrent lécher mon foutre avant d'aller embrasser goulûment Edwige et partager avec elle mon jus.

Nous étions crevé. Il était 23 heures. Nous nous sommes endormis allongés tous les quatre cote à cote.

Dans le milieu de la nuit un léger murmure me tira de mon sommeil. Il n'y avait que Léa sur le lit. Je me dirigeais vers la cuisine d'où provenait ce bruit. En passant la porte, je vis Edwige allongée sur la table et Sonia qui avait passé un énorme gode ceinture à sa taille. Elle sodomisait Edwige qui gloussait de plaisir tout en se masturbant d'une main et de l'autre elle tordait ses tétons l'un après l'autre Sonia m'entendit et arrêta sa sodomie en me disant "tu tombes bien, on va la prendre à deux".

Elle me fît m'allonger sur le dos sur la table et Edwige s'empala sur moi. Sonia repris alors sa sodomie. Je sentais l'engin entre les parois aller et venir dans son anus. Ma tête penchait légèrement en bas de la table. C'était le bonheur et j'avais fermé les yeux. Quand soudain je senti quelque chose se poser sur mes lèvres. J'ouvris les yeux et mon regard ne vis qu'une chatte qui se frottait contre ma bouche. C'était Léa. Elle dit "Vous n'aller quand même pas le garder que pour vous deux, je veux en profiter aussi" Je suçais avec bonheur cette douce chatte, sous les coups de boutoir que lui infligeait Sonia, la grotte d'Edwige glissait d'avant en arrière le long de ma queue. La première à atteindre l'orgasme fût elle et un torrent de sève coula le long de ma bique. Ce spectacle combla Léa qui à son tour m'offrir tout son plaisir entre mes lèvres. La seule un peu frustré fût Sonia, mais pour ne pas la laisser en reste elle lui pris sa tête qu'elle porta à sa chatte en lui disant "tient suce mon jus et son foutre, lèche toit les babines avec".

J'avais vraiment affaire à trois merveilleuses salopes et vraiment j'adorais ça. Je n'avais encore rarement baisé de la sorte et je n'avais qu'un regret, celui de ne pas les avoir rencontrée plus tôt.