Autobondage A La Plage
À 45 ans je suis obligé de constater que je nai pas rencontré les femmes que jaurais aimé rencontrer.
Malgré maintes annonces dans des journaux de sexe ou sur internet. Il ny a rien à faire : les femmes attachantes, passionnées de bondage dun homme nexistent pas.
Il y a les femmes qui se font payer pour cela
elles se font passer pour des « maitresses » mais ne font que profiter dun fantasme masculin pour gagner leur pain.
Jai toujours recherché des femmes passionnées et pleines dinitiatives qui souhaitent attacher un homme pour lavoir livré sans défense à leurs fantasmes.
Les passionnées, les vraies : ces femmes capricieuses, libertines et émancipées qui aiment attacher un homme et peuplent mes fantasmes nexistent pas.
Quelles soient voyeuses, exhibitionnistes, profiteuses, perverses, vicieuses, sadiques ou tout simplement nymphomanes, elles nexistent pas, soit elles ont honte
soit elles nosent pas vivre leurs phantasmes.
Peu importe, rien ne mempêche de les faire vivre dans mes récits.
À la plage
Il a plu pendant une semaine presque sans interruption mais ce matin il fait beau et aussitôt la chaleur de lété revient. Lair reste humide et le fond de lair est encore frais, ce qui ninvite pas encore à la baignade à la piscine et encore bien moins dans une rivière.
Je profite donc de ces conditions climatiques idéales pour aller faire un tour au bord du fleuve, jai en vie de moffrir une petite séance de bondage.
Je prends un sac en toile avec quelques ustensiles : des cordes synthétiques dont les extrémités sont soudées ensemble de manière à me faire des anneaux de poignets ou de chevilles et même de coudes, dautres cordes normales, des serre-câbles de 6mm de large et 50cm de long, une pince délectricien qui peut maider beaucoup et sans oublier une pince coupante pour sectionner les serre-câbles.
Je longe le fleuve jusquà un barrage qui la déviée de son lit naturel pour alimenter une centrale électrique hydraulique.
De puis la construction de ce barrage, le fleuve a dû se creuser un nouveau lit dans le sable fin déposé à cet endroit. Le nouveau lit est environ trois mètres en dessous de lancien lit ce qui fait que lon peut profiter de la plage de sable qui est là ou bien monter dans lancien lit qui lui aussi était une plage
et où la végétation à repris le dessus.
Comme les gens préfèrent la plage du bord du fleuve, cest une végétation principalement composée de quelques arbres, de bosquets, de ronces, herbes, orties, etc.
qui sest formée.
Ce que la plupart des baigneurs ignorent cest que lancienne plage était beaucoup plus longue que la nouvelle et que, pour peu que lon se donne un peu de peine et arrache quelques herbes et orties, il est possible de recréer un joli petit coin de plage en hauteur, discret, à labri de tous les regards.
Le seul accès est celui de la nouvelle plage ce qui fait quil faut longer le lit du fleuve depuis la plage avant descalader le mur de sable et se retrouver enfin tranquille.
Et donc ce matin, jai envie de profiter pleinement des conditions idéales pour minstaller à un endroit que jentretien pour mes ébats quelques peu particuliers.
Aujourdhui, comme je suis certain de ne pas être dérangé, jai envie de me faire un cadeau spécial.
À peine arrivé à la plage, avec mon sac, je me mets nu et je longe le fleuve jusqu'à « ma plage » ou jinstalle une couverture et je redescends me baigné
il fait bon sentir le vent courir sur mon corps mouillé, les rayons du soleil commencent à bien se faire sentir, je cois que la journée va être parfaite.
À oui, mon cadeau
. Ce matin, jai envie de mattacher avec les cordes en serrant le plus fort possible, jai envie de sentir les cordes entrer dans ma peau.
Remonté à « ma plage », je minstalle sur le sable humide des pluies dernières qui colle encore mieux sur corps mouillé et je commence par mattacher les chevilles avec une corde en anneau ajusté pour mes chevilles : je glisse lanneau autour de mes chevilles puis avec un serre-câbles que je passe entre mes chevilles, je resserre la corde autour de mes chevilles
je tire le plus possible et fais la même chose pour mes poignets dans mon dos
je narrive cependant pas à serrer la corde autour de mes poignets comme jen ai envie : très fort.
Cela me déçoit un peu mais ma foi tant pis.
Je suis allongé à plat ventre sur le sable humide qui colle à ma peau, je caresse mon gland dans le sable, je me roule dans le sable qui rentre dans la raie de mes fesses, le soleil me réchauffe de la fraîcheur matinale, je suis bien, je suis excité mais je reste quand même sur ma faim dattache sévère.
Après environ deux heures, je cherche la pince coupante dans mon sac et je sectionne le serre câbles de mes poignets puis celui de mes chevilles
je suis de nouveau libre de me déplacer
Je vais nager dans leau encore froide du fleuve pour me débarrasser du sable puis jattends que le soleil ait séché ma peau pour enfiler mon pantalon
je rentre à la maison.
Je suis le fleuve jusqu'à la plage normale, il ne me reste plus quune dune à passer quand jentends des voix et des rires : dhomme et de femme.
Y aurait-il des amoureux en train de sébattre sur la plage
je regarde prudemment car je pourrais peut-être me transformer en voyeur
Rien de cela, il y a effectivement un couple sur la plage, elle dans la vingtaine, lui peut-être les trente ans passés, et elle se laisse photographier par lui.
Je dois dire que personnellement, ce nest pas le genre de photos que je ferais avec une femme.
Il faut dire que le modèle nest pas non plus ce qui se fait de mieux : trop niaise et bien que mignonne, elle est vêtue dun short qui lui descend jusquaux genoux et dun chemisier à carreaux, les pieds nus
il ne lui manque plus quun chapeau colonial et je pourrais croire que je me suis trompé de continent et que jassiste à un safari.
Je les regarde quelques minutes, elle : à prendre des poses absolument ridicules et lui à sappliquer à faire des photos qui ne doivent pas être mieux
à sa place je naurais rien pu faire, enfin ce nest pas mon problème
Une idée me vient soudain à lesprit : et si je lui demandais de serrer le serre câbles sur lanneau de mes poignets
niais comme ils semblent lêtre tout les deux, je ne crois même pas quil dirait non, ni que lun ou lautre ne se saisirait de la situation pour profiter de moi
ce qui ne peut être désagréable avec des personnes intéressées, mais avec eux je ne crois pas prendre de risque, ils semblent tout les deux beaucoup trop innocents.
Ni une ni deux, je sors lanneau de poignet et un serre câbles de mon sac.
Je passe mon sac autour de mon cou, jinstalle les cordes autour de mes poignets avant de sortir de derrière la dune et de me diriger directement vers lui.
Je les salue tout les deux et arrivé près de lui, je me tourne et lui demande de serrer le serre câbles le plus fort quil le peut.
- Pourquoi voulez-vous que je fasse cela ?
- Simplement parce que je vous le demande, lui dis-je dun ton sec.
- Comme vous le voulez
Il se saisi du serre câbles et tire
- Cela suffit comme ça ?
- Cest tout ce que vous pouvez faire, ce nest pas beaucoup.
Je ne sais pas si je lai piqué au vif toujours est-il quil reprend le serre câbles et cette fois, il serre vraiment de toute ses forces
je sens les cordes mordre mes poignets. Mon sexe enfle dans mon pantalon mais ni lui, ni elle ne sattache à ce détail.
- Monsieur est servi comme ça, ça vous suffit ?
- Oui, je vois quil suffit de vous le demander plus directement
. Merci.
Et de méloigner en direction de la dune sans demander mon compte et surtout, avant quils ne se mettent à me poser des questions.
De lautre coté de la dune je me retourne pour contrôler quils ne me suivent pas
ils doivent penser quils ont eu à faire à un fou et je ne crois pas quils se posent davantage de question.
Je rejoins « ma plage » préférée en jetant un coup dil en arrière de temps en temps au cas où
mais rien, ils me laissent en paix.
Enfin arrivé, je sens ma verge tendue vers le haut
comme je ne porte pas de slip, elle a trouvé son chemin toute seule en pressant contre mon pantalon
En gesticulant, je me débarrasse du sac contenant mes autres ustensiles et entreprend de me mettre à laise et dinstaller de nouveau la couverture. Ceci terminé je me tortille pour ouvrir mon pantalon et le faire tomber à mes chevilles
je suis de nouveau nu comme un vers et le soleil réchauffe maintenant le vent qui caresse mon corps.
Les cordes à mes poignets son tendues par le serre câbles, cest exactement la sensation que je voulais avoir ce matin.
Bon quest ce que je fais maintenant ? Je réfléchi un moment et je décide de me faire un grand jeu. Ce nest pas le photographe de mes deux et sa nana qui vont me déranger, ils sont trop préoccupés à trouver ce qui leur convient.
De mon sac je sors le bracelet de chevilles et le bracelet de coudes ainsi quun serre câbles.
Je passe les corde autour de mes bras et essaye de les remonter jusquà mes coudes
ce nest pas facile car je ne peux plus bouger les poignets du tout.
Je maide dune branche dun arbre mort et malgré cette aide, ce nest pas facile
enfin jarrive à un résultat qui me satisfait approximativement
les cordes sont remontées sur mes avant-bras juste au dessous de mes coudes, il ne manque que deux ou trois centimètres. Je narrive pas à passer mes coudes mais quimporte.
Mes épaules sont quand même fortement tendues en arrière, mon torse est bombé comme à la parade.
Jenfile le dernier anneau de cordes autour de mes chevilles et après de farouches contorsions je réussi à passer le serre câbles entre mes chevilles
je tire le plus fort que je le peux, je maide de la pince délectricien
je ne retrouve pas la pression de ce matin de bonne heure mais je dois me considéré comme satisfait car attaché comme je le suis, il y a longtemps que je ny était pas parvenu seul
heureusement que cet idiot ma aidé.
Mon sexe est toujours au garde à vous, il se détache même de plus belle devant mon torse bombé.
Et si je faisais encore plus
Au point où jen suis, je me fais la totale
je vais me mettre en position de « hogtied».
Péniblement, je cherche encore deux serre câbles dans mon sac, je les assemble entre eux et à genoux dans le sable je les glisse entre mes chevilles et entre mes poignets avant de les refermer puis je me laisse tomber le ventre dans le sable
Bon sang que latterrissage est dur.
Je tire délicatement sur les serres câbles car la position est maintenant intransigeante.
Allongé à plat ventre dans le sable, les poignets très serrés par un idiot vexé, les coudes qui se touchent presque et en « hogtied »
il ny a que les chevilles qui pourraient être encore mieux serrées.
Je suis quand même satisfait du résultat, je bande, je sens ma verge pressée dans le sable, je me gigote comme pour me masturber.
Que cest bien dêtre comme ça, heureusement que les deux autres idiots ne sintéressent pas à ce genre de chose
Je serre le « hogtied » un peu plus, mes poignets frôlent maintenant mes chevilles
mon corps es tendu comme un arc
je suis bien
je reste un long moment allongé dans cette position avant de me coucher sur le côté pour soulager la tension de mes bras et de mes épaules qui commencent à être insupportable
Nest ce pas ce que je voulais ce matin
pour prendre mon pied, alors, je nai pas à me plaindre
Je décide de rester le plus longtemps possible attaché comme ça quand soudain un bruit me fait tourner la tête.
Bon sang : la nana de la plage de tout à lheure
ce nest pas possible, quelle retourne près de son mec faire un safari en Afrique.
- Excusez-moi
Me dit-elle dun ton naïf :
- Je ne veux pas vous déranger, je voulais seulement massurer que tout allait bien. Dites-moi, vous vous êtes attaché comme ça tout seul ?
- Oui, comme tu peux le voir, je suis seul et maintenant retourne près de ton photographe, il va sennuyer sans toi.
Toujours dun ton aussi innocent :
- Comment aller vous pouvoir vous détacher, ce nest pas dangereux de faire des choses comme ça ?
- Jai une pince coupante pour couper les serres câbles et maintenant fout moi le camp, ton copain tattends.
- Il est en train de rapporter les affaires à la voiture, il mattend là bas. Comme je vous lai dit je voulais seulement massurer que tout allait bien
cest avec cette pince là que vous allez vous détacher ?
Elle est vraiment conne.
- Non, ça cest une pince délectricien, la pince coupante est dans mon sac.
- Cest pour quoi faire la pince délectricien ?
- Pour maider à tirer sur les serres câbles quand je suis seul.
Elle vide mon sac sur la couverture à côté de moi et se saisissant de la pince coupante.
- À oui, cest celle là la pince coupante, je la reconnais maintenant.
Elle jette la pince coupante hors de ma portée
Elle prend alors la pince délectricien et samuse à tirer encore plus fort sur le serre câbles de mes poignets.
- Eh ça suffit, arrête tes conneries
- Il a de la force mon copain, ça na fait que deux fois clique.
Elle se met à faire la même chose avec mes chevilles, et là elle peut serrer encore beaucoup plus, les cordes senfoncent dans mes chevilles. Ce qui ne me déplait pas du tout : ma verge fait encore plus des siennes, coincée entre mon ventre et le sable.
- Eh ça suffit maintenant, fout le camp, ton ami doit sinquiéter.
- Ce nétait pas beaucoup serré, heureusement que je suis venue. Et là vous ne mettez pas de serre câbles.
Et de passer ses doigts sur lanneau de corde entre mes avant-bras.
- Certainement pas, je ne suis ni fou, ni contorsionniste, si je fais ça, je narriverai pas à me détacher tout seul.
Elle se saisit dun serre câbles quelle passe autour des cordes entre mes coudes.
- Je suis certaine que vous vouliez passer la corde au dessus de vos coudes.
- Eh ça ne va pas non, je ne suis pas une poupée Barbie pour une petite fille comme toi.
Sans se laisser impressionnée par mon ton, elle glisse la corde par-dessus mes coudes sur mes bras, mes coudes seffleurent maintenant puis elle ferme le serre câbles autour des cordes et saidant de la pince délectricien elle tire de toutes ses forces, mes coudes sont ligaturés lun contre lautre.
- Arrête, détache-moi tout de suite.
- Je ne fais que terminer ce que tu nas pas achevé. Et ceux là, cest pour quoi ?
Elle se met à tirer sur les serres câbles du « hogtied ».
- Non, pas ceux-là, si tu tires dessus, ça va me faire trop mal.
- Et alors, tout à lheure, tu voulais que mon copain serre très fort, tu ne vas pas te plaindre maintenant.
Elle a changé de ton, elle me tutoie, toutes mes réclamations sont vaines.
Elle bascule mes mains par-dessus la pointe de mes pieds et tire sur les deux serres-câbles jusqu'à ce que mes chevilles soient parfaitement rassemblées avec mes poignets puis impitoyablement elle serre les serres câbles en saidant de la pince délectricien. Ça me fait mal.
Je gigote de douleur.
- Ça suffit maintenant, tu arrêtes et tu me détaches.
Elle prend la pince coupante comme si elle voulait exécuter mon ordre, elle sapproche de moi et sectionne les bouts dépassants des serres câbles.
La salope. La douleur se fait de plus en plus forte dans mes épaules et mes bras... mes reins aussi.
Je commence à la supplier.
- Sil te plait détache-moi, la plaisanterie a assez durée.
- Jaime mieux quand tu me parles comme ça, je vais tavouer quelque chose, je préfère les hommes polis, alors à toi de me montrer que tu es poli.
- Bon si tu veux, pour te faire plaisir, je peux le répéter dix fois : mais sil te plait détache-moi.
- De mieux en mieux, mais cest dommage : je nai plus de temps, jaurais aimé que tu me le dises encore plus.
Je dois men aller maintenant.
Et de faire mine de sen aller.
- Eh
ne me laisse pas comme ça, je ne peux pas me détacher tout seul.
- Ce nest pas mon problème
tu aimes bien être attaché
Et de nouveau elle fait semblant de séloigner.
- Non arrête, ne me laisse pas comme ça
- Comme tu veux. Jaccompagne mon ami à laéroport et si tu le veux bien je reviendrai tout à lheure voir si tu es encore là et comment tu vas
à plus. Tu peux crier si tu veux, personne ne va tentendre ici sauf peut-être un vieux pêcheur bedonnant à moustache, à toi de choisir
Déjà elle dévale vers le lit du fleuve, je ne la vois plus, ne lentends plus
je suis seul prisonnier de mon propre jeu, prisonnier dune femme inflexible.
Jai mal
très mal, je ne peux pratiquement plus bouger
de quelques centimètres et encore cela est tellement douloureux que je suis prêt à tout pourvu que je sois libéré.
Mes poignets me font mal, les chevilles aussi
mais ce qui est atroce, cest la traction sur mes bras, sur mes épaules
les cordes à mes coudes sont abominables et si encore cette salope navait pas passé mes poignets par dessus mes chevilles pour tendre mon corps davantage
.
Je perds toute notion de temps, je ne sais plus si cest encore le matin ou si cest laprès midi, ce que je sais, cest la douleur épouvantable de mon corps en entier.
Un bruissement, est-ce elle ?
Non, cest probablement une souris, un oiseau, un écureuil ou quelque chose comme ça.
Le bruit se rapproche, jai envie de lappeler, de lui dire de se dépêcher mais, si cétait un vieux pêcheur bedonnant à moustache ?
Je ne dis pas un mot, jécoute seulement, enfin il me semble que les bruits se dirigent vraiment vers moi
. Encore quelques secondes et je laperçois.
Elle finit de gravir la bute, ce que je vois me coupe le souffle, ce nest pas la demoiselle du safari qui mapparaît là.
Elle porte une paire de bottine de cowboy en cuir, une minijupe en cuir pour ne pas dire une macro-jupe qui me laisse découvrir ses longues jambes fines. Au lieu de son affreuse chemise à carreaux, elle porte maintenant un petit bustier en cuir lui aussi, noué juste sous la poitrine. Grâce à un décolleté généreux il laisse entrevoir, plus quil ne la cache, une poitrine ferme et généreuse, agréable au regard.
Quelle est belle maintenant, si je navais pas ces douleurs partout, je lui demanderais bien de faire quelques photos delle.
Mais pour le moment, il ny a pour moi quune urgence, quelle me libère de ces liens, devenus insoutenables, le plus rapidement possible.
- Détache moi, je nen peux plus, et dépêches-toi
- Les ordres, cest moi qui les donne, cest compris ? Alors, quest-ce que tu voulais me dire tout à lheure
je crois me rappeler que cétait quelque chose de doux à mes oreilles.
- Je voulais juste te dire : sil te plait, détache-moi.
- Je crois me rappeler que tu voulais me le dire dix fois
alors, jattends
Cest une ordure mais que puis-je faire dautre que de lui obéir, je répète donc dix fois la phrase : sil te plait détache-moi, pendant quelle compte.
- Tu saurais même obéir je crois
tu sais, tu pourrais même être très, très poli, jai un petit faible pour le vouvoiement, après tout nous ne nous connaissons pas, répète encore la phrase en me vouvoyant.
- Tu es une pute.
- Certainement pas, une pute se fait payer alors que moi je fais ça gratuitement, uniquement pour taider à sortir de la mauvaise posture dans laquelle tu tes foutu.
En plus de ça, une pute ne prend pas de plaisir alors que ça commence à me plaire.
Et pour bien me faire comprendre que je lui suis livré sans condition, elle pose sa bottine sur mes poignets et appuie impitoyablement sur mes membres endoloris par la douleur.
Je grimace et me tortille sur le sable de douleur
- Oui, mais sil vous plait, détachez-moi, je nen peux plus.
- Répète le encore dix fois.
Je lui obéi.
- Alors, tu vois, ce nest pas difficile.
- Non, mais sil vous plait, détachez-moi.
- Qui vous?
- Vous
- Qui ?
- Vous madame.
- Alors, on reprend : tu recommences ta demande en étant le plus poli possible, tu as compris.
Bien sure que jai compris, il ne me reste de toute façon quà faire ce quelle me demande, cest la seule solution qui me reste si je veux quelle me détache. Ma position commence à être insupportable, et elle le sait, elle en profite, lingénue sest transformée en démone.
- Sil vous plait madame, pouvez-vous me détacher.
- Tu me plais comme ça, quand tu es très poli.
Vous pouvez vous imaginer la suite
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