Frivole, Frivole, Vous Avez Dit Frivole ( Suite )

La sonnette de l'entrée du magasin de sous-vêtements érotiques interrompit notre trio. La vendeuse se rhabilla subrepticement, se donna un coup de peigne, rectifia son rouge à lèvres et descendit au rez de chaussée du magasin, me laissant seul avec Béatrice. Son petit ensemble érotique aux seins nus ne faisait qu'accroître mon excitation. Je m'étais assis sur un fauteuil et ma femme vint me rejoindre et s'assit sur moi les jambes écartées, le slip fendu ne cachant rien de son intimité, ses deux superbes lèvres largement gonflées et imbibées de son excitation.

Je la pénétrais sauvagement tout en lui entourant le corps de mes deux bras. Mes mains descendirent très vite le long de ses reins, jusqu'à sa petite rose en chaleur. La préparation avait été bien faite par la vendeuse puisque je n'eus aucune difficulté à lui entrer un, puis deux doigts dans le cul, et en profitais au passage pour me masturber le sexe.

Ce nouvel exercice combla d'aise Béatrice qui se mit à hurler de plaisir, puis me prit le sexe et se le planta dans sa petite rose grandement ouverte. Je ne pus résister à cette nouvelle découverte en terrain inconnu et me mit à jouir tout en criant à mon tour. Béatrice s'affala sur moi, couverte de transpiration. Le silence revenu, nous entendîmes quelques pas feutrés dans l'escalier. La vendeuse n'avait rien perdu du spectacle que nous venions de donner et en avais profité pour se masturber. Un peu gênée, mais pas trop en fait, elle vint vers nous.

« Je suppose que l'essayage a été concluant" commenta-t-elle. »

« Oui, oui, et nous allons vous faire l’économie de l'emballage, Béatrice va garder l’ensemble sur elle. En compensation, donnez-moi votre string dans lequel vous venez de jouir. Dès que je l'aurai nettoyé et séché, passez donc à l’appartement, je vous le rendrai » ajoutai-je, surpris de ma hardiesse.

Mais Béatrice ne s'en vexa pas, son sourire en coin valait approbation .