Un Meeting National Memorable

Comme chaque année, mon collègue Fred et moi étions montés à Paris pour la réunion nationale des filiales du groupe. Cette année, nous étions en charmante compagnie, avec Catherine, la responsable des achats et Eva, nouvelle responsable de l'administration des ventes.
Eva, d’origine polonaise, découvrant la capitale pour la première fois, j'avais demandé au concierge de l'hôtel de nous réserver une table dans une boîte sympa, après le dîner du groupe.
Le dîner avait déjà été copieusement arrosé, dès l’apéritif et Eva n'avait pas été la dernière à multiplier les toasts à l'amitié franco-polonaise, à L' Europe, à la femme, aux hommes, à notre président ....
Dès le repas terminé, un taxi nous emmena tous les quatre dans une boîte proche des Champs Elysées. Eva avait été impressionnée par Paris illuminé et quelle ne fut pas notre surprise d'entrer dans une boîte sombre, très chic, dont le concierge nous avait réservé une loge donnant directement sur la scène. Une serveuse très légèrement vêtue vint nous apporter la carte des boissons et nous optâmes pour un Dom Pérignon millésimé (sur note de frais !)
Sur une musique langoureuse, un premier strip tease démarra, avec beaucoup de classe et de chic. Fred et moi, fascinés par la strip teaseuse, nous interrogions néanmoins sur la réaction de nos deux collègues femmes.
Lesquelles étaient beaucoup plus intéressées de nous observer .... Le mini string de la strip teaseuse s'envola sous des applaudissements nourris en direction de Fred, beau gosse, je dois le concéder. Alors que je venais de commander une deuxième bouteille de champ, une sculpturale noire entra sur scène et commença un déshabillage de feu.
Eva glissa un mot à l'oreille de Catherine et, à notre grand étonnement, nos deux collègues commencèrent à s'enlever les hauts talons dans une synchronisation parfaite et à s'enlever leurs bas langoureusement.Histoire de prouver qu'elles étaient capables de faire aussi bien que sur scène.

Eva portait des bas à résille auto collants, Catherine une paire de bas haut de gamme attachés à un magnifique porte-jarretelles La Perla.
J'osais un timide " on peut vous aider ? " qui me valut une cinglante réplique : " regardez devant vous ".
Nous pûmes néanmoins, Fred et moi, récupérer les bas de ces dames qui, ma foi, respiraient une odeur envoûtante.
En guise de récompense, je pris l'initiative de commander une bouteille de vodka afin d'honorer notre Polonaise. Eva est une fille blonde, comme on les imagine, grande, mince, un corps de rêve. Elle portait une petite robe de cocktail qui lui allait comme un gant. Alors que Catherine, plus petite mais aussi plus en formes, portait une jupe noire longue et un chemisier blanc échancré apte à faire fantasmer tout homme digne de ce nom ...
Les toasts à la vodka enivraient Eva : " après les bas, que puis-je enlever ? " nous susurra Eva à l'oreille ?
Fred proposa la petite culotte
" Ah non, pas maintenant, petits canailloux "
Et, après avoir descendu cul sec un autre verre de vodka, Eva commença à baisser les bretelles de sa petite robe noire, à descendre discrètement le haut de sa robe jusqu'à la ceinture, découvrant ainsi un magnifique petit soutien gorge en dentelles, abritant deux petits seins que nous ne tardâmes pas à découvrir progressivement. Ils étaient à l’évidence bien fermes, dotés de superbes aréoles marron surmontées de deux magnifiques tétons en pleine érection sous l'excitation. Je tentais bien d'aider Eva à enlever son soutien gorge mais me voyais offrir un refus catégorique.
Le soutien gorge atterrit sur la table et Eva remonta sa robe dans un grand sourire. Nous portâmes un toast à la Pologne, à Eva et à celui qui garde ses seins. Et Fred commanda une bouteille de cognac.
Sur scène, l'ambiance était de plus en plus torride, un couple Black and White ayant succédé à la strip teaseuse black.
Mais tout à nos toasts, cette fois au cognac, nos yeux n’étaient que pour Catherine, qui, au rythme de la musique de scène, commençait à dégrafer son chemisier afin, à l’évidence, de ne pas être en reste avec Eva.

Nous découvrîmes alors, malgré le noir auquel nous étions quand même habitués, une poitrine d'enfer logée dans un soutien gorge redresse seins qui ne faisait que rendre plus désirables deux seins que nous avions tous hâte de découvrir complètement. Catherine recula dans le fond de la loge, enleva subrepticement son chemisier et se débarrassa magnifiquement de son soutien gorge noir agrémenté de liserés rouges. Elle remit aussitôt son chemisier dont elle omit de reboutonner le haut, nous laissant sans voix devant ces seins magnifiques, excités, dont la tenue ne nécessitait pas vraiment le port d'un soutien gorge.
Nos toasts furent cette fois portés à la France, à Christine, à ses seins et à celui qui les abrite, lequel avait entre temps rejoint le soutien gorge d' Eva sur la table.
Cette fois, ce fut Christine qui glissa un mot à l'oreille d’Eva et, joignant le geste à la parole, nos deux collègues enlevèrent, qui un string, qui une toute petite culotte en dentelles, puis nous prirent par la tête, nous obligèrent à nous agenouiller devant elles, cuisses largement écartées et nous dirigèrent la bouche vers leur sexe tout humide en nous disant : " mes seigneurs, pouvons-nous vous offrir à boire à notre tour ?"
J’héritais de l'intimité de Christine dont le sexe était abondamment mouillé tant par la boisson que l'excitation. A l’évidence, Christine s’épilait, laissant seulement un petit triangle (suivez la flèche ?) Je n'eus aucun mal à découvrir ses lèvres largement ouvertes et gonflées de sang. Etant dans le noir complet sous sa jupe, je ne pouvais qu'imaginer ce que je léchais, suçais, susurrais, quand, au hasard de mon parcours, j'arrivais sur un clitoris, véritable turgescence, dont l’extrémité dégoulinait de plaisir. Je supposais que c’était le toast offert par ma collègue et m'empressais de boire ce nectar imprévu. Cela ne fut pas pour lui déplaire puisqu'elle me pressa plus fort la tête de ses deux mains, afin que je la lèche plus profondément.
Au fur et à mesure que ma langue pénétrait plus profondément dans l'intimité de Christine, je sentais de multiples petits mouvements d'excitation. Jusqu'à ce que, au plus fort de l'extase, une immense giclée se produisit dont j'eus le plus grand mal de recueillir la totalité , tant elle était abondante. Je me retrouvais la tête coincée entre les deux cuisses de ma collègue, elle les serrait très fort afin de ne pas hurler de plaisir ....
Quant à Fred et Eva, je vais laisser la plume à mon bon vieux copain dans un prochain épisode…

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