Dominé Par Un Homme
B. déjeune chez moi quand le téléphone sonne. Cest E., la fille que jaime et dont B. fut lamant autrefois. Un amant fantastique, si lon en croit les propres dires de ce dernier (il a toujours été très fier de lui !) mais également celles dE., qui ma déjà confié les prouesses sexuelles de B., capable de la prendre six ou sept fois de suite. De telles performances mont toujours laissé envieux, de même que je le suis de son physique de playboy. Alors, quand E., apprenant quil est chez moi (elle ne la pas revu depuis deux ans) propose que lon passe tous les deux la voir, je dois refuser cette invitation. Pourtant, je laccepte. Tel le héros de « Léternel mari » de Dostoïevski, qui ne peut résister à présenter lex-amant de sa femme décédée à sa nouvelle conquête, jéprouve une fascination morbide à lidée de les remettre en contact.
E. nous accueille vêtue du mini kilt que je lui ai offert pour son anniversaire, dun collant et dun simple tee-shirt blanc. Détail révélateur, elle navait jamais osé porter ce kilt en ma seule présence, le jugeant trop indécent
« Attention, tu as la ceinture mais tu as oublié le pantalon », plaisante dentrée B. en faisant référence à la longueur dérisoire de cette jupe. Celle-ci sesclaffe aussitôt et je sens déjà renaître leur ancienne complicité.
La discussion sinstalle, jai limpression dêtre transparent face aux sourires entendus et aux illades que sadressent les deux ex-amants. Eux qui ne boivent que très rarement se resservent abondamment des digestifs et les rires fusent tandis que jenrage en silence devant ce jeu de séduction. Arrive alors le moment de savoir à qui revient un dernier gâteau qui traînait sur la table. B. et moi nous nous jetons dessus en même temps. Je men empare en premier mais une poigne puissante me saisit au poignet.
« Ça suffit les s, vous nallez pas vous battre quand même ? », déclare E. dun ton qui se veut maternel. Je saisis loccasion au vol.
« Et pourquoi pas ? »
« Oh oui, battez vous ! Jaurais préféré que ça soit pour moi et non pas pour un gâteau mais battez-vous ! » rit E. en battant des mains pour nous encourager.
B. et moi nous nous regardons fixement. Chacun de nous sait quen dépit de sa plaisanterie cest bien elle lenjeu du soi-disant combat. Jenvie à B. son passé damant fougueux et il jalouse mon présent dami intime. Loccasion est belle déliminer un rival. Mais comment ?
« On ne va quand même pas se taper dessus ? », avance B. mi-amusé, mi-incrédule.
« On na quà lutter. Le premier qui va au sol a perdu », réponds-je, déjà décontenancé à lidée de me frotter à un homme.
« Daccord mais nos fringues ? » interroge-t-il en touchant sa chemise et son pantalon de toile.
« En slip ! », sécrie E., « battez-vous en slip ! Allez, aidez-moi à faire de la place dans ce salon ! » B. paraît hésiter tandis quune force malsaine me pousse à accepter ce défi.
« Ça peut être drôle mais on risque de se râper sur la moquette», dis-je en poussant un canapé tandis quE., bondissante, revient de la chambre avec une couverture quelle installe par terre.
« Vous navez plus dexcuses maintenant ! Déshabillez-vous
», lance-t-elle dune voix provocatrice. Cette voix a le don de réveiller les vieux démons de B., qui semble enfin se faire une raison et accepter limminence de laffrontement. Lentement, lascivement, il enlève sa chemise pour laisser apparaître son torse musclé et poilu avant de déboutonner son pantalon. Un slip blanc dune marque très connue le galbe de manière outrancière, laissant deviner tous les détails de son anatomie. Cest du moins limpression quil me donne, moi qui me suis déshabillé très rapidement pour me retrouver avec un boxer noir classique, beaucoup mois suggestif que le slip blanc de B. Pas un instant E. ne ma regardé pendant que je retirai mes habits. Sans avoir commencé le combat, B. a déjà remporté la première manche.
Déjà elle ne regarde plus que lui.
« Cest quoi les règles ? » dis-je pour détourner leurs regards.
« Le premier qui maîtrise lautre a gagné » me réplique-t-elle avant de fixer ses yeux sur lentrejambe de B.
« Daccord, limmobilisation doit durer 10 secondes. Tu fais larbitre et tu comptes », dis-je dune voix tremblante. « Tu ne veux pas quon commence à genoux », propose-je à B, « comme ça si on tombe, ça sera de moins haut
»
« Ah, le dégonflé », rigole B, avant de tirer son slip qui lui rentrait dans les fesses.
Nous voilà à genoux, E. trônant légèrement au dessus de nous, ses petits pieds sagitant nerveusement au dessus du sol.
« Allez cest parti ! », sécrie-t-elle.
On se fait face avec B, qui ne se départit pas de son sourire. On savance tous les deux lun vers lautre et nous nous saisissons tous les deux par les épaules. Je teste sa force. Impossible de le faire bouger. Bien campé sur ses genoux, il se penche en avant pour me faire reculer. Nous sommes oreille contre oreille, comme deux béliers, aucun de nous ne voulant céder un pouce de terrain. Tête basse, je regarde les cuisses poilues de mon adversaire, son sexe moulé, avant de lever un il vers Emma. Elle sest redressée et je la surprends en train de regarder le bas du dos de B.
Cen est trop. La poussée de B. me fait reculer et, avec la friction de la couverture, mes genoux se brûlent. Je nai dautre choix que de décrouler ma ligne dépaules. Me voilà face contre sol, je surprends un « whoua » dadmiration de la part dE. Avec lavancée de B., celle-ci se trouve maintenant éloignée de moi. Je me surprends à penser quelle a désormais une vue plongeante sur les fesses de B.
« Alors cest qui le boss ?», demande B. plus à lintention dE. que de la mienne.
De trois quart par rapport à moi, E. a les yeux qui pétillent au spectacle de ce mâle qui domine son rival.
« Un, deux, trois
», Commence-t-elle.
« Non ça ne compte pas », parviens-je à souffler, « je ne suis pas sur le dos !»
« Ah bon, je ne connaissais pas cette règle. Ça tarrange bien on dirait ! », Glapit-elle.
« Moi non plus, je ne savais pas », dit B. en serrant encore un peu plus son étreinte. Sa strangulation me fait grimacer et je me dis que le contraste entre B., triomphant sur mon dos, et moi, en train de suffoquer, doit être saisissant. Avec lénergie du désespoir, je me mets à ramper à laide de mes coudes.
« Cest un sale petit ver de terre », rigole B. « Tu vas où comme ça ?»
Je vais jusquaux pieds dE. Me voilà juste sous elle, qui sest avancée sur son canapé, au point que, doù je suis, je peux voir tout larrière de ses cuisses.
« Embrasse-lui les pieds » ordonne B.
« Cest bien, bon chien », dit-il. « Mais est-ce que cest une bonne chienne ? », demande-t-il ensuite en commençant à faire des mouvements de bassin le long de mes fesses. La situation a le don de faire exploser de rire E. De rage, je fais une ruade qui nous éloigne brusquement du canapé mais B. est toujours sur moi.
« Ah elle se débat la cochonne », dit-il avant de reprendre ses mouvement suggestifs. Je glisse un regard à E. qui encercle à présent ses tibias, laissant apparaître le triangle du collant qui lui cache le sexe. Elle ne rit plus à présent mais rougit devant limage de son ex-amant en train de mimer le coït. B. a compris la situation et accentue encore ses coups de boutoir. Je sens son pénis sur mes fesses, la sueur de ses aisselles sur mes omoplates, les poils de son torse sur mon dos
Regroupant mes forces, jentreprends de me relever progressivement. Je parviens à me mettre à quatre pattes, bien aidé par B., qui me laisse faire tout en gardant le contrôle de la situation. Que je sois à plat ventre où sur mes genoux ne change rien, il continue dexercer son emprise totale et son sexe continue de battre régulièrement mon postérieur dans un simulacre de levrette. Soudain, il décide que le spectacle a assez duré et, avec force, il marrache du sol pour me faire basculer sur le dos ! Alors quil sapprête à menjamber, jai juste le temps de lui saisir le slip et de lui baisser jusquaux cuisses. Il est arrêté net dans son mouvement mais plutôt que de le remonter, il se tourne vers E., son sexe, lourd mais harmonieux, se balançant nonchalamment entre ses jambes. Celle-ci glousse nerveusement à cette vue avant de jeter un regard plus quévocateur à B. qui bombe le torse.
« Allez, tout le monde à poil, pas de jaloux », clame-t-elle en me regardant le bas-ventre. Résigné et rougissant, je baisse mon boxer rapidement, laissant apparaître un sexe recroquevillé sur lui-même.
« Ah bah daccord, ya pas vraiment photo », dit-elle en faisant aller son regard dun pénis à lautre. Le slip toujours sur les genoux, B. le fait glisser négligemment jusquà ses pieds sans quitter des yeux lentrejambe dE., qui sest encore légèrement entrouverte. Le kilt est complètement retroussé sur ses hanches, cest comme si elle ne portait quun collant.
« On y retourne ? », dis-je en me mettant à genoux pour reprendre le combat.
« Tu veux me sucer ou quoi ?» me demande B. en me voyant ainsi. Satisfait de sa blague et de lemprise physique et surtout mentale quil possède, il prend également position sous les encouragements dE. qui sest mise debout et mime larbitre qui siffle le début du match.
Je me jette aussitôt vers lui, tête baissée vers son ventre. Il réalise alors un léger mouvement latéral et, sans difficulté, parvient à me saisir le bras. La clé est immédiate, fatale. Ses deux mains tordant mon bras gauche, il se relève en repliant celui-ci derrière mon dos. Je suis de nouveau face contre terre, le bras et les fesses en lair alors que B. se tient debout juste au dessus de moi, une jambe de chaque côté de mon corps en boule.
« Ne lui fais pas mal », souffle E tandis que jhalète.
Jentends B. lui dire en riant : « Tu nas pas un concombre ou un truc comme ça dans ta cuisine ? Regarde, il est tout offert » et je pense à mon cul, dressé, écarté et livré à la vue de cette fille que jaime tant et qui nen peut plus de rire.
Cette fois, mes dernières forces mabandonnent. Je sais que quoiquil arrive désormais, je ne pourrai plus inverser la situation. Il est trop fort pour moi. Je nai plus quà mincliner devant lui. Alors quand il relâche son emprise, matt aux épaules et saffale ensuite sur mon ventre, je sens que je vais être battu pour de bon. Ses mains tiennent les miennes, nos ventres, nos tétons, nos sexes se touchent.
« Allez, bats-toi ! Il te domine complètement ! » E. sest accroupis, son visage à vingt centimètres des nôtres et elle fait mine de mencourager. Jai bien conscience que cest pour la forme, les regards quelle lance à lhomme qui est sur moi étant dune toute autre nature
Je résiste encore pour lui faire plaisir, ce qui oblige B. à venir coller ses genoux sur mes épaules. Il se dresse devant moi, sa bite raclant ma gorge, ses fesses écrasant mon thorax. Je suis totalement à sa merci. E. est tellement sous son charme viril quelle en oublie de compter les dix secondes qui auraient scellé ma défaite. Elle est à présent debout, les hanches au niveau du visage de B. qui se tient toujours à genoux sur mes épaules. Mes jambes sagitent dans le vide et cest à peine si je sens encore mon sexe. Je surprends de nouveau les yeux dE. vers celui-ci puis elle a un sourire contrit qui me vexe encore plus. Ostensiblement, je porte alors mon regard sous sa jupe, dans lespoir de retrouver une certaine vigueur sexuelle. B. sen rends immédiatement compte. Il saisit son slip qui traînait par terre et me le colle sur le visage !
« Dis donc vilain mateur, je vais tapprendre, moi, à regarder sous les jupes des filles ! »
Je ny vois plus que du blanc. Conscient de ma résignation, B. prend tout son temps pour ajuster le slip sur ma tête. Il fixe les élastiques derrière mes oreilles et laisse les deux trous pour les jambes au niveau de mes yeux. Je retrouve ainsi la vue pour voir E. se tenir les côtes à force de rire et jimagine de quoi jai lair avec un sous-vêtement dhomme sur le nez.
« Eh, il faudrait peut-être que tu commences à compter
», dit B. en retirant son slip et en le lançant à E.
« Pour toi, public », déclame-t-il dans un ton théâtral. E. att lobjet au vol, le porte à son visage, le renifle avec un regard coquin, le pose délicatement et sapproche de nous pour compter. Comme je gigote encore un peu, B. savance encore plus sur moi. Ce ne sont plus ses genoux que jai sur les épaules mais ses tibias ! Si bien que ses cuisses ruisselantes entourent maintenant ma tête tandis que ses testicules reposent sur ma bouche et son sexe sur mon nez !
Est-ce limminence de ma défaite et de ma soumission (E. a commencé à compter très lentement), ou bien est-ce ce sexe si massif qui balaye mon visage ? Toujours est-il que je ressens tout à coup une érection incompréhensible ! Plus jessaie de la faire disparaître, plus je vois le sexe de B. et moins lérection faiblit
Je respire sa queue, je tends même furtivement la langue pour la lécher.
« Eh mais il bande ! » E. vient de sen apercevoir et sest arrêtée net de compter. Mon humiliation est désormais totale.
« Quoi ??? » B. tourne la tête. Et les voilà partis à rire comme des fous.
« Je le crois pas », répète B. Et comme il narrête pas de retourner son buste pour constater leffet quil produit sur moi, jen profite pour le pousser. Je sais ce que je veux en faisant cela. Je veux que ma défaite soit complète. Mon plan marche à merveille : basculé en arrière, B. vacille un temps et cest moi qui, lagrippant aux hanches le fait revenir vers mon visage. Je me retrouve là où je voulais finir. Sous ses fesses. Ses tibias sont de nouveau fixés sur mes épaules sauf que cette fois-ci, cest son cul, et non plus sa bite, qui mécrase le visage. Un cul musclé, bombé et blanc. Je vois aussi sa raie poilue à quelques millimètres de ma bouche.
« Et mon cul tu laimes aussi ? Tiens prends ça ! » B. matt larrière du crâne avec ses deux mains libres et enfouis mon nez entre ses deux fesses. Je sens ses poils humides de transpiration tandis quil imprime un mouvement de bassin comme sil voulait se torcher avec mon visage. Mon nez se plante dans son anus et il accentue encore la pression. Il la relâche deux secondes pour me laisser respirer (jai juste le temps de voir E. qui sest approchée et qui sourit toujours) avant de recommencer à m. Ces fesses si dures, je nen peux plus, je continue de bander. Abandonné par toute lucidité, jarrive même à lécher lanus de B. en regardant E. dans les yeux. Celle-ci soutient mon regard.
« Il me bouffe le cul, dépêche-toi de compter, ça va mal finir ! », rit B. alors quil se penche en avant afin déviter que ma langue ne puisse plus le toucher. Et tandis quE. va se placer face à B. et à mon sexe toujours dressé, jessaie dattr la tête de mon adversaire avec mes jambes. Ce dernier voit le coup venir, me saisit les deux chevilles et tire vers lui mes deux pieds en même temps quil redresse le buste. Jai de nouveau ses fesses sur le visage mais mes jambes sont désormais rabattues vers moi, écartées. Sous la pression exercée par B., mon bassin se soulève et cest mon anus entièrement ouvert qui soffre à E.
« Oh la la », pouffe-t-elle avant de venir se placer à côté de nous. A genoux, elle reprend alors le compte.
« Un, deux, trois, quatre
»
Le regard vers elle, la bouche tordue par les fesses de B. et le nez chatouillé par ses poils, je suis totalement maîtrisé.
« Cinq, six, sept, huit
»
B. continue dappuyer sur mes chevilles. Je suis plié en deux, je lui dis « Pitié »
« Neuf, dix ! Vainqueur ! » E. prend et soulève le bras gauche de B. qui lâche aussitôt son emprise sur mes jambes qui retombent lourdement à terre.
« Whou, whou, bravo !» E. ne lâche pas le poignet du gagnant qui reste assis lourdement sur ma tête tandis quelle sautille de joie, faisant voleter son kilt et laissant apparaître le galbe de ses fesses. Puis B. se relève tranquillement. Toujours avec E. attachée au bras, il pose négligemment son pied sur ma poitrine haletante.
« Cest dommage que je nai pas mon appareil, ça aurait fait une belle photo ! », plaisante E. en regardant la jambe velue de B. reposer sur moi.
« Alors cest qui ton maître ? » me demande-t-il avec un air exagérément méprisant.
Jadmire son sexe se balancer au dessus de moi, son torse musclé et le sourire complice quil adresse à E. Et je lui dis : « Cest toi ».
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