L'Inconnue
Linconnue
Nouvellement affecté à un poste dinstituteur dans une grande ville, jai été à la recherche dun logement pour quitter lhôtel, un enseignant de mon école mamena voir une chambre.
Jai 24 ans, célibataire, parlant larabe et le berbère, assez costaud par le sport que jai toujours fait.
Après le cours on a été voir cette chambre, elle est située sur la terrasse dun immeuble, cest une femme qui nous reçoit, elle nous amène à la chambre, la chambre doit faire quatre mètres sur quatre, des toilette et douche à côté, meublée dun lit une table et quelques ustensiles de cuisine. On se met daccord sur le prix et elle me donne la clef.
Jai été chercher mes affaires à lhôtel et je me suis installé dans cette chambre, jétais content davoir un logement non loin de mon école et seul sur la terrasse.
De temps en temps je rencontre des femmes qui étendent le linge tout près de ma chambre, je passe mon chemin, jétais sûr dêtre poursuivi de leur regard, je ne tourne jamais la tête, ce sont des femmes mariées. Il y a 8 appartements et je nai jamais rencontré dhommes, après avoir demandé à lépicier du coin il ma dit que les hommes travaillent à la cimenterie et se lèvent tôt et ne reviennent que tard le soir.
Cétait un jour de vacances scolaires, je me suis levé tard, jai entendu du bruit tout près et jai ouvert la porte de ma chambre doucement, il y avait une femme qui étendait son linge, elle ne portait quune simple chemise de nuit courte, elle a tourné la tête quand elle ma vu et elle ma souri, je lui ai souri, elle sest excusé pour mavoir réveillé, je lui ai dit que cétait lheure de me réveiller. Notre discussion a continué sur des banalités, ensuite elle ma demandé qui me faisait le ménage, je lui ai répondu que je le faisais moi-même, elle ma demandé si javais du linge à laver je lui dit que non. Et de fil en aiguille elle sest approché de moi, elle sentait bon, elle a regardé dans ma chambre et elle ma dit je vais tarranger la chambre, elle a tellement insisté quelle est presque entré de force, et rien quà la frôler jai eu une érection, elle a fait un tour dans la chambre, ramassé quelques affaires qui traînaient par terre, arrangé le lit qui était encore défait, ouvert une fenêtre pour aérer et rangé les quelques ustensiles quil y avait dans la chambre.
- tu nas pas encore pris ton café ?
- non, pas encore
- moi non plus, attends, je reviens...
et elle est partie, au bout dun moment elle est revenue avec un plateau avec du café, des galettes et du miel, on a pris notre petit déjeuner ensemble.
Elle devait avoir 25 ans,nétait ni maquillée, ni parfumée, mais je la trouvais belle, elle est de petite taille, avec un buste moyen,un gros cul,ses cheveux étaient enfouis sous un foulard mis à la hâte laissant échapper quelques mèches rebelles, lodeur du henné se dégageait delle me rappelant lodeur de ma mère, cela augmenta ma libido.
Elle sest assise sur le lit et ma invité à masseoir à côté delle, jétais gêné, je ne connaissais même pas son nom, je me suis assis, elle a retroussé sa chemise de nuit jusquau dessus des genoux, moi, jétais encore en pyjama, cela ma fait de leffet, jai commencé à avoir une érection. Elle a regardé du côté de mon entrejambe et ma dit :
- il parait que je te fais de leffet...
- oh oui bien sûr, ça fait des jours que je nai pas approché une femme !
- et maintenant que je suis là
- eh bien
Sur ce elle se leva et ferma la fenêtre et ôta sa chemises de nuit et est venue vers moi, je ne savais que faire, javais peur de scandale.
- je veux faire ce que jai toujours voulu faire...
- quoi ?
- te sucer, mon mari ne ma jamais laissé le faire...
- et ton mari ?
- il travaille, il est à la cimenterie, il ne rentre que le soir.
- des s ?
- pas encore, on sest marié il y a deux mois.
elle se plaça entre mes genoux, me baissa mon pantalon ,sorti mon sexe et le regarda un moment,le prit en main, le soupesa et commença par le lécher, jétais hors de moi, Oh Que cest Bon, je narrêtai pas de répéter mais doucement, et toute seule elle la engouffré dans sa bouche et a commencé une succion, qui, malgré le manque dexpérience de ma partenaire, je trouvais fantastique, jétais sur le point déjaculer, mon orgasme se préparait, je lai dit à la femme mais elle na pas sorti mon engin de sa bouche, je lui ai envoyé tout le foutre, jet par jet dans sa gorge, elle a tout avalé, Oh quil est bon ce lait le matin, cest un bon petit déjeuner elle me dit et elle rota.
Je ne croyais pas mes yeux, après cela elle sétendit sur le lit enleva sa culotte, je me suis mis sur elle et je lai embrassé,jai continué en lembrassant, je suis arrivé à ses seins, il étaient érigés,je les ai caressé, elle a gémi, jai continué mes caresses sur tout son corps jusquarrivé à son pubis,il était peu peuplé,dune couleur châtaigne, jai caressé les grosses lèvres de son vagin et jy ai enfoncé un doigt,elle a gémi,jai engagé ma langue et jai commencé à lui lécher la foufoune, elle gémissait, je lui ai demandé de gémir doucement ,jai attrapé son clitoris entre mes dents et je lai mordillé doucement, elle à gémi et a poussé un râle et a cessé de bouger, elle venait davoir un orgasme, tout son corps étaient secoué par des spasmes, Oh que cest Bon elle me dit,je nai jamais joui de la sorte,elle minonda la bouche de cyprine, son jus coula à flots, je lui ai laissé un temps pour se calmer, entre-temps mon érection a repris, je me suis mis entre ses jambes et jai présenté mon zob à sa foufoune et je lai engagé jusquà la garde, cétait tellement lubrifié,lui faisant lâcher un râle de plaisir et jai commencé à la pistonner, pour de bon, nos gémissements étaient continus, on gémissait tout les deux, on dirait des affamés de sexe, elle mentoura la taille avec ses jambes memprisonnant, elle haletait tout en levant ses hanches pour avoir tout mon sexe dans le sien
- vas-y, vas-y je vais jouir, oh oui
- moi aussi je vais jouir
et on a joui ensemble, je me suis affaissé sur elle, elle a lâché son étreinte et étendu les bras en croix, elle avait les yeux fermés, les traits relâchés comme si elle dormait dun sommeil profond, elle est restée dix minutes dans cet état jusquà ce que je me sois retiré delle et quitté le lit. Elle se leva, ma demandé de regarder dehors sil y a quelquun, et elle est partie.
Je suis resté pensif, me demandant si cétait vrai ce qui sest passé, effectivement cétait vrai, jétais encore nu et mon sexe était mouillé.
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