Ma Prof Isobelle
Je navais jamais été un très bon élève en classe. Non, on pouvait même dire que jétais très mauvais. Le plus drôle dans tout ça était que je nétais pas stupide, non loin de là. Jétais nulle à lécole tout simplement parce que je mennuyais, parce que je ne trouvais rien dintéressant dans ce que lon nous enseignait ou plutôt de la façon dont on nous lenseignait. Je passais donc mes journées de cours à rêvasser ou à faire le strict minimum, ce qui eut bien évidemment des conséquences sur mes notes et ma relation avec mes parents. Néanmoins, je men foutais royalement. Cétait mon quotidien, du moins jusquà ce fameux jour où javais été convoqué par ma prof principale.
Je me retrouvais donc devant la porte de mon professeur sur laquelle je cognai trois fois de suite.
- Entrez ! entendis-je.
Je saisis donc la poignée de porte, entrai dans son bureau, puis refermai derrière moi. Je me retrouvai par la suite devant un de mes enseignants madame Isobelle, une très belle femme aux formes généreuses malgré sa trentaine dannées au compteur. Dailleurs, cette dernière ne me laissait absolument pas indifférent. A vrai dire, le cours de français quelle donnait était le seul dans lequel je faisais leffort de suivre.
- Bonjour madame. Vous mavez convoqué, lui dis-je au moment où je la vis.
- Oui, prends place, me répondit-elle.
Je tirai donc la chaise se trouvant devant moi puis je massis. Ma professeure principale tapa alors quelque chose sur son clavier dordinateur, regarda lécran quelques secondes, puis se retourna vers moi. Je me demandai alors la raison de ma présence dans son bureau.
- Si je tai convoqué ce matin, cest pour te parler de quelque chose de sérieux, rétorqua-t-elle.
La femme tourna par la suite son écran dordinateur vers moi et je pus voir apparaitre mon dossier scolaire avec toutes les notes et les différentes appréciations que javais obtenues durant lannée en cours.
- Que remarques-tu ? me demanda-t-elle ensuite.
- Rien de particulier hormis les résultats dun élève lambda, répondis-je.
- Une élève lambda dis-tu ? Ecoute, jai récemment reçu un appel de tes parents me demandant pourquoi tes résultats scolaires étaient aussi décevant et si tes profs donnaient des cours particuliers. Ils en sont même arrivés à penser que tu te fais martyriser à lécole. Je leur ai dit que javais vérifié puis jai jeté un il à ton dossier scolaire et cest là que jai remarqué cette anomalie. Tu tarranges à avoir tout juste la moyenne et de façon très habile en plus. Une bonne note par-ci, une mauvaise par-là. Donc, ce que tu appelles les résultats dun élève lambda, je dirai plutôt quil sagirait de ceux dune personne très intelligente faisant le strict minimum. Ai-je tort ? dit-elle.
Face à ses déclarations, je restai complètement muet. Que pouvais-je dire à cette femme qui avait passé au peigne fin tout mon dossier scolaire ? Devant mon silence, madame Isobelle se leva de son fauteuil puis vint sassoir à côté de moi sur son bureau.
- Voilà ce que nous allons faire. Toi et moi allons passer un marché, me dit-elle à nouveau.
- Quel genre de marché ? rétorquai-je par la suite.
- Un marché qui devrait beaucoup tintéresser. Si tu parviens à remonter tes notes et à obtenir tes examens de fin dannée avec mention alors toi et moi passerons un agréable moment tous les deux, déclara-t-elle.
- Un moment agréable ? Vous entendez quoi par un moment agréable ? lui demandai-je, confus.
- Pas de ca entre nous. Penses-tu vraiment que je nai pas remarqué la manière dont tu me reluques pendant les cours ? rétorqua-t-elle.
A ce moment, je me sentis à la fois bête et très gêné. Jamais je naurais pensé quelle me remarquerait durant les cours quelle nous donnait, dautant plus que je nétais pas exactement assis au premier rang. De plus, bien que javais très envie daccepter son marché, tout au fond de moi, je me disais que cétait sûrement un piège, un moyen de me faire travail pour une chose que je nobtiendrais sans doute jamais.
- Alors, marché conclu ? dit-elle en me tendant la main.
Ses mots résonnaient en moi tel un échos dans un tunnel complètement vide. Je finis cependant par céder et acceptai son marché, espérant tout au fond de moi quelle tiendrait sa promesse si jobtenais mon examen de fin dannée avec mention. Ce fut donc une certaine réticence que je serrai sa main.
- Jespère que vous ne reviendrez pas sur votre promesse plus tard, dis-je.
- Tu nas pas à tinquiéter pour ça. Je nai quune parole, répondit-elle.
Le marché entre madame Isobelle et moi étant conclu, je me levai de mon siège et pris la direction de la sortie. Toutefois, avant que je natt de nouveau la poignée de porte, la femme minterpela.
- Une dernière chose. Cet accord que nous venons de conclure doit absolument rester entre toi et moi. Tu sais ce qui se passerait pour nous deux sil venait à être divulgué à quiconque, déclara madame Isobelle.
- Bien entendu madame. Je ne le dirai à personne, déclarai-je.
Je me retournai, ouvris la porte, et quittai finalement son bureau. Jétais toujours sur le choc et avais du mal à croire que je venais tout juste de passer un tel accord avec lune des femmes qui me faisait le plus deffet. Ce fut donc avec de nombreuses idées farfelues en tête que je pris la direction de la maison.
-----*-----
Sur le trajet pour chez moi, je ne cessai de penser à laccord que je venais de conclure. Même dans mes rêves les plus fous, je naurais jamais imaginé que ce genre de choses allait marriver. Jévitai cependant de trop fantasmer sur le sujet de peur de me choper une érection en pleine route. Quinze minutes après mon départ du lycée, jarrivai finalement chez moi. Ni mon père, ni ma mère nétant encore rentré, la maison était vide. Je déposai donc mon sac dans ma chambre puis allai jeter un coup dil dans la cuisine pour voir sil y avait quelque chose à manger. Je regardai dans le frigidaire et trouvai les restes du repas de la veille que je réchauffai immédiatement.
Assis sur mon bureau, mon assiette vide à côté de moi, je regardai mon cahier de cours avec difficulté. Toutes les deux minutes, javais soit envie de faire autre chose, soit jétais distrait par mon téléphone portable. Il fallait dire que réviser était une activité particulièrement ennuyeuse pour moi. Ce fut donc au fond de moi que jallai chercher la motivation de mettre de côté qui ce qui pouvait me distraire pour me concentrer. Cela ne fonctionna cependant pas. Je mécroulai de sommeil quelques minutes plus tard, plongeant alors dans le monde des rêves.
Dans cet univers aux lois farfelues, je me retrouvai sans surprise en face de madame Isobelle. Celle-ci était cependant dépourvue de tout vêtement, ce qui activa toutes les pulsions possibles de tout mon être. La femme de mes rêves sapprocha alors de moi, prit ma tête, et la plaça entre ses énormes seins. Ils étaient si doux que javais à ce moment limpression dêtre au paradis. Je mis donc mes mains autour de sa taille avec pour objectif de descendre un peu plus bas plus tard. Elle prit de nouveau ma tête, me regarda droit dans les yeux avant dapprocher ses douces lèvres à coté de mon oreille.
- Tu ne profiteras jamais de ce magnifique corps si tu ne travailles pas mieux, murmura-t-elle par la suite.
Ce fut à ce moment précis que je fus comme éjecté de mon propre rêve et me redressai brusquement sur mon siège. Jétais légèrement perturbé par ce que je venais de voir, mais en même temps, je savais quelle avait raison. Je devais donc sérieusement me mettre au travail si je voulais passer un bon moment avec elle. Pour cela, il me fallait trouver un moment de bosser tout en mamusant et je savais exactement comment faire. Je mefforçai donc à reprendre mon boulot où je métais arrêté.
Quelques heures plus tard, jentendis les ronronnements dun moteur, celui de la voiture de ma mère, suivis des coups habituels de klaxon.
- Junior, ça va ? me demanda-t-elle subitement.
- Oui, oui, je vais bien, répondis-je.
- Tu en es sûr ? insista-t-elle en posant cette fois-ci sa main sur mon front.
- Maman ! Je te dis que je vais bien, rétorquai-je de nouveau en retirant sa main.
Bien que je comprenais sa réaction, cela mennuyait un peu quelle agisse de la sorte. Je la rassurai donc à nouveau, lui expliquant que je ne faisais que réviser pour un contrôle que je devais avoir le lendemain. Il fallut un certain temps avant que ma mère ne sorte de ma chambre et me laisse finalement travailler. Toutefois, je savais tout au fond de moi que cette histoire nétait pas encore terminée, mon père nétant toujours pas rentrer de son boulot.
Je me remis donc au travail et mémorisai tout ce que javais à retenir. Par la suite, je me mis à faire quelques exercices afin de massurer que tout était bien rentrer. Cela me prit tellement de temps que lorsque je me levai finalement de mon siège, la nuit était déjà tombée. Au même moment, les ronronnements dun second moteur retentirent à lextérieur. Mon père venait tout juste de rentrer. Comme avec ma mère, je partis ouvrir le portail.
- Alors fiston, comment était la journée ? me demanda mon père après être descendu de la voiture.
- La routine comme dhabitude, lui dis-je.
Nous primes ensuite la direction du salon où maman mettait la nourriture à table. Mon père déposa son sac sur un des canapés, embrassa ensuite son épouse, puis alla dans sa chambre pour se changer. Je navais pas vraiment faim donc je mexcusai auprès de maman et retournai dans ma chambre.
- Tu retournes travailler ? me questionna-t-elle avant que je franchisse la porte du couloir.
- Non, jsuis fatigué. Je vais juste prendre un bain et mendormir, répondis-je.
- Ok. Bonne nuit alors, me souhaita ma mère.
- Merci beaucoup, dis-je.
Arrivé dans ma chambre, je fis exactement comme prévu et pris une bonne douche. Après ça, jattrapai mon téléphone portable, me couchai sur mon lit, et regardai les dernières actualités des réseaux sociaux. Jen profitai également pour envoyer quelques messages à mes potes pour leur dire quon travaillerait sûrement le lendemain. Bien évidemment, certains dentre eux pensèrent que je leur faisais une blague. Je spécifiai que ce nétait pas le cas et que jétais très sérieux vis-à-vis de ça. Ils ne me crurent toujours pas, ce qui allait me pousser à leur prouver le contraire le lendemain.
Je finis de discuter avec eux et mis mon téléphone en charge. Je fermai ensuite les yeux et me laissai progressivement emporter dans le monde des rêves où jespérai revoir madame Isobelle.
-----*-----
Comme tous les matins, le réveil fut très difficile pour moi. Jétais le genre délève à avoir plusieurs réveils programmés sur son téléphone. Chacun deux avait cinq minutes décart avec les autres. Ce fut donc après la quatrième sonnerie que je me levai finalement de mon lit et prit la direction de la salle de bain. Une bonne douche froide et une vingtaine de minutes plus tard et je revenais dans ma chambre frigorifié comme jamais. Jattrapai mes vêtements que jenfilai précipitamment puis rangeai mon sac à dos avant de prendre la direction de lécole.
Sur le chemin, jattrapai largent qui avait été laissé sur une des commodes du salon pour moi, souhaitai une bonne journée à mon père et à ma mère qui prenaient à ce moment leur petit-déjeuner, puis sortis du domicile familial. Une quinzaine de minutes plus tard, me revoilà dans mon établissement. En me rendant dans ma salle de classe, je tombai comme par hasard sur madame Isobelle qui était ce jour-là vêtue dun pantalon jean bleue qui épousait parfaitement ses formes et une chemise blanche. Au moment où nous nous croisâmes, celle-ci me fit un clin dil qui provoqua quelques palpitations chez moi, me rappelant à nouveau le marché quon avait conclu la veille. Je marrêtai un instant et la regardai séloigner progressivement de moi, ses fesses bougeant magnifiquement au loin.
Jarrivai finalement en classe et fut comme dhabitude accueilli par du bruit. Chacun parlait de ce quil avait fait ou vu la veille. Ce jour était plutôt animé à cause de la récente victoire dun club de foot face à leur rival de toujours. Personnellement, ce genre de choses ne mintéressait pas et jallai donc massoir à ma place.
- Donc tu as décidé de te mettre au travail ? Qui laurait cru, entendis-je soudainement alors que je venais de fermer mes yeux.
Reconnaissant la voix dHenry mon pote, je me redressai donc et lui fit face.
- Yeah ! Cest bien le cas. Dailleurs, je parie que je serai même meilleur que toi, répondis-je sur un petit ton moqueur.
Le moyen que javais trouvé pour travailler en mamusant était de faire participer mes amis. Je savais que si on se lançait des défis quotidiens, non seulement on allait rigoler comme à notre habitude, mais on allait le faire en apprenant et mémorisant nos leçons.
- Aux dernières nouvelles, je pensais que tu ne voulais faire que le strict minimum et ne pas te tracasser avec tout ce que lon apprend ni même de lavis de tes parents. Quest-ce qui ta fait changer davis ? rétorqua-t-il.
- Disons que jai eu une sorte dillumination après être rentré chez moi. Mes parents se font vieux et donc faire des conneries comme je le fais actuellement ne serait pas bien pour leur santé, me justifiai-je.
- Je vois. En tout cas, cest cool de penser à eux. Tu deviens un peu responsable, me dit-il.
Je souris légèrement, pensant à la véritable raison de mon brusque changement de mentalité. Au même moment, la sonnerie retentit, poussant tout le monde à se taire et à regagner sa place. Le premier cours de la matinée marquant le début de mon combat vers le plaisir le chair venait de commencer.
-----*-----
La première semaine fut plutôt agréable. Comme je lavais prévu, le fait de se donner des défis avec mon pote rendait mon travail beaucoup plus marrant et joyeux. Je retenais beaucoup plus facilement les cours et cela se sentait dans les quelques résultats que javais obtenus après ma subite reconversion. Cela étonna beaucoup certains de mes profs et de mes camarades de classe, mais ce furent surtout mes parents qui furent les plus surpris dans lhistoire. Ma mère pensait à un miracle tandis que mon père se disait que je métais enfin pris en main. Il était même fier que je passe moins de temps devant ma console pour madonner un peu plus à mes révisions. Ils étaient très loin de se douter que ce brusque changement dans mon quotidien était dû à une personne. Une très belle femme aux formes généreuses qui mavait fait la promesse de me conduire au 7ème ciel si jobtenais de meilleurs résultats scolaires et une mention à mes examens de fin dannée.
Petit à petit, les jours se transformèrent en semaines et les semaines en mois. Finalement, le jour des examens finaux pointa le bout de son nez. Jétais généralement une personne qui ne stressait pas face à cela. Toutefois, les épreuves que jallai passer ce jour étaient complètement différentes des autres. Cétait le genre dobstacle qui décidait de la vie de tout élève du second cycle. Donc, soit je la surmontais et entamais par la même occasion mon cycle universitaire, soit je le laissais me dominer et reprenais de nouveau ma dernière année de lycée. Le choix était vite fait pour moi. Il fallait absolument que je réussisse cet examen pour moi, pour mes parents, et surtout pour madame Isobelle.
Ce jour-là, je me réveillai plus tôt que dhabitude. La stress mavait empêché de fermer correctement lil durant la nuit. Je quittai donc mon lit et pris la direction de ma salle de bain. la fatigue habituelle de mon corps semblait ne pas être présente au rendez-vous. Le bain que je pris dans par la suite ne servit donc quà nettoyer mon corps. Une quinzaine de minutes plus tard, je sortis de la douche et commençai à enfiler mes vêtements. Une fois cela fait, je vérifiai une dernière fois que tout le nécessaire à mon examen se trouvait dans mon sac à dos avant de sortir de la chambre.
Je marrêtai au rez-de-chaussée où mes parents se trouvaient déjà pour prendre mon petit-déjeuner, chose que je navais jamais faite au cours de lannée scolaire.
- Alors champion, prêt pour aujourdhui ? me demanda mon père lorsque je massis.
- Non, loin de là, répondis-je.
Jétais tout sauf prêt. A vrai dire, ma mentalité ce jour-là était celle dune personne qui savait juste ce quelle avait à faire sans pour autant avoir envie de le faire. Dans ma tête, jétais du genre, peu importe ce qui arrivera, je ferai tout ce que je peux faire.
- Je vois. En tout cas, tu nas pas à tinquiéter. Si tu travailles de la manière dont tu las fait au courant de lannée en cours, je suis sûr que tu lauras doffice, rétorqua mon paternel.
- Ton père a raison. Il suffit de croire en toi-même et tout te réussira, ajouta par la suite ma mère.
Jétais très content de voir que javais leur soutien. Je les remerciai donc et finis de manger mon petit-déjeuner. Par la suite, je me levai de table, attrapai mon sac à dos, et pris la direction de mon lycée sous les encouragements de mes parents.
Sur le trajet, japerçus mon pote Henry devant moi. Je pressai donc le pas et allai le rejoindre. Ce dernier ne semblait pas être dans son assiette. Comment ne pas sidentifier à lui ? Plus je me rapprochais de mon établissement et plus je sentais mon niveau de stress augmenter.
- Alors mec, pas trop stressé ? lui demandai-je après avoir tapoté son épaule.
- Très drôle ! Tu as oublié quel jour on est ou quoi ? Être stresse aujourdhui est tout ce quil y a de plus normal, répondit-il.
- Si tu les déjà autant, comment tu seras quand les résultats sortiront dans deux semaines ? Je parie que tu seras complètement tétanisé, rétorquai-je alors en me moquant un peu.
- Finissons dabord avec cette semaine et après on verra, dit Henry.
Nous tournâmes dans une ruelle non loin de notre position et nous retrouvâmes en face de notre lycée. En le voyant, mon pote devint un peu plus nostalgique dans sa manière de parler.
- On revient tout de même de loin. Je me souviens de cette époque où tu ten foutais littéralement des cours et de tes notes. Maintenant, regarde toi. Tu es maintenant parmi le top 5 de notre classe, sexclama-t-il.
- Ce sont des choses qui arrivent. Les gens changent parfois, lui répondis-je.
- Je sais mais la transformation était beaucoup trop radicale chez toi. Maintenant que jy pense, cétait juste après ta convocation chez la prof principale. Je me demande ce quelle a bien pu te dire, rétorqua Henry.
- Bof ! Elle ma juste passé un sermon et parlé de mes parents qui voulaient me prendre un prof particulier à ce moment. Et comme je détestais déjà les profs à lécole, je voulais pas en avoir un de plus chez moi. Jai donc fait un choix, lui dis-je.
Bien évidemment, ce nétait pas la vérité. Toutefois, le marché que javais passé avec madame Isobelle devait rester un secret connu uniquement de nous deux.
- Je vois. En tout cas, cétait une bonne chose à faire. Maintenant, nous devons affronter le boss final. Oh putain ! Je jure que je vais me bourrer la gueule une fois que tout ça sera terminé, sexclama le jeune homme.
- Moi je vais par contre jouer à la console non-stop pour décompresser, ajoutai-je.
- Cest cool. Cest aussi un bon plan. Bon, il est temps quon y aille, dit-il.
- Yep !
Henry et moi se saluâmes et nous souhaitâmes bonne chance une dernière fois avant que chacun de prenne la direction de sa salle dexamen. Jarrivai donc en classe et massis sur le siège qui comportait mon numéro. On nous expliqua à nouveau les règles quelques minutes avant le début des épreuves avant de nous dire déteindre nos téléphones portables et de les ranger dans nos sacs. Une personne rentra alors dans la salle de classe avec de nombreuses copies dans ses mains quil déposa sur chaque table. A ce moment, mon stress atteignit son niveau le plus haut. Mes mains devinrent subitement plus froides et moites. Je ne pouvais également pas mempêcher de trembler alors que lhomme venait dentamer son dépôt sur ma rangée.
La copie fut finalement déposée devant moi. Je la retournai par la suite et lus lénoncée de lépreuve trois fois. Dans ma tête, je me dis alors quelle était facile. Dailleurs, je la trouvai même beaucoup trop facile, un peu comme si on voulait nous donner une certaine assurance avant de finalement nous faire vivre lenfer. Je fis donc leffort de ne pas trop penser à ça et commençai à travailler. 4 heures plus tard, la sonnerie retentit, marquant ainsi la fin de la première épreuve. Je métirai alors tandis quune autre personne récupérait toutes nos copies et brouillons. Dès quelles furent toutes prises, nous fumes autorisés à quitter la salle dexamen. Jallais donc me dégourdir un peu les jambes et manger quelque chose avant le début de la seconde épreuve.
Dans la cour, je vis de nouveau Henry. Jallai donc taper la discute avec lui.
- Alors mec, comment cétait ? lui demandai-je.
- Plutôt pas mal. Et de ton coté ? répondit-il.
- Jai trouvé ça facile donc je me dis quil y avait sûrement un piège quelque part. Je nai rien trouvé danormal et jai répondu à toutes les questions sans souci, dis-je.
- Cest cool. Moi jai pas eu le temps de finir, rétorqua-t-il par la suite.
- Du moment que tu aies répondu à plus de la moitié des questions correctement, ça devrait bien se passer, expliquai-je.
- Ouais, tas sûrement raison.
Mon pote et moi continuâmes notre discussion tout en nous rendant au réfectoire où nous primes quelque chose à manger. Le temps de la pause finit par sécouler et la sonnerie retentit de nouveau, nous signalant que la seconde épreuve était sur le point de commencer. Henry et moi nous dimes au revoir et chacun retourna dans sa salle dexamen.
4 heures plus tard, je rentrai chez moi complètement épuise. Je fuis accueilli par ma mère qui prépara mon repas favoris en guise de remontant. Je la remerciai pour le geste, mangeai un tout petit peu, puis retournai dans ma chambre pour réviser. Il me restait encore quatre jours à tenir avant de pouvoir enfin me reposer.
-----*-----
Les examens de fin dannée venaient de se terminer. Comme je lavais si bien dit à Henry, quand je rentrai chez moi le dernier jour, jallai dabord dans ma chambre où je jetai mon sac comme sil sagissait dordures quon mettait dans une benne puis retournai au salon. Jallumai par la suite ma console de jeu.
- Salut ma belle ! Ca fait tellement longtemps, mexclamai-je comme si elle comprenait ce que je lui disais.
Je lançai mon jeu et commençai ma partie. Ce jour-là, jétais tellement concentré dans ce que je faisais que je ne vis pas le temps passé et nentendis même pas ma mère entrer dans la maison. Ce fut uniquement lorsquelle prononça mon prénom que je me rendis compte de sa présence, sursautant pas la même occasion.
- Albert ! Tu nas pas entendu comment je ne faisais que crier ton nom, dit-elle, légèrement en colère.
- Non, maman. Jsuis désolé. Jétais concentré dans ma partie de jeu, me justifiai-je.
- Javais remarqué. En tout cas, viens maider à ranger les courses, mordonna-t-elle.
- Ok, jarrive tout de suite.
Je mis donc pause à mon jeu, me levai du canapé, et partis la rejoindre à lextérieur. Pendant que je prenais les sacs en plastique, celle-ci me demanda comment mon dernier jour dexamen sest déroulé. Je lui répondis alors quil sétait bien passé, que le sujet sur lequel jétais tombé faisait partie de ceux sur lesquels javais travaillés.
- Je vois. On attend maintenant les résultats, dit-elle.
- Oui, oui ! mexclamai-je.
Cétait vrai que jattendais également les résultats, mais pas pour le même but quelle. il me restait en effet 7 jours avant de savoir si jallais mériter oui ou non mon moment intime avec madame Isobelle. Chaque nous, je limaginais en train de me faire tout plein de baisers et de gâteries. Je rangeai donc les articles que maman avait achetés à leurs emplacements respectifs et retournai sur ma console.
A la veille des résultats, ma tête nétait pas posée. Javais passé toute la semaine très détendu et, à quelques heures de lannonce des résultats, je stressais comme jamais. Jétais très pessimiste vis-à-vis de mes notes et me disais que je nallais pas obtenir mon examen ou que jallais lobtenir mais sans mention, ce qui allait me priver de quelque chose que je désirais énormément. Toutes ces pensées négatives mempêchèrent de trouver le sommeil cette nuit. Je pris donc mon téléphone portable et regardai des vidéos sur internet. Finalement, ce ne fut quaux alentours de 3 heures du matin que le marchand de sable décida de faire un tour dans ma chambre.
Le matin, je me réveillai avec toute la fatigue du monde installée dans mon corps. Ce fut donc avec beaucoup defforts que je quittai mon lit pour aller prendre une douche. Après cela, je mhabillai et récupérai quelques préservatifs dans la boite que javais achetée quelques jours auparavant. Après cela, je descendis au rez-de-chaussée où mes parents mattendaient.
- Fiston ! Aujourdhui cest le grand jour, sexclama-t-il.
- Oui, papa ! répondis-je.
- Peu importe les résultats que tu obtiendras aujourdhui, saches nous serons toujours avec toi, rétorqua ma mère par la suite.
- Mais oh ! Parle pas comme ça maman ! Jai limpression que je pars pour voir mon nom sur la liste des échoués, dis-je.
- Non, ce nest pas ce que jinsinuais, déclara-t-elle.
- Je sais maman. Je sais.
Mes parents ayant du travail en ce jour, ils ne purent maccompagner au lycée. Je leur dis alors au revoir, leur promettant également de les appeler dès que jobtiendrais mes résultats. Je quittai donc mon domicile et pris le chemin de mon établissement. Une quinzaine de minutes plus tard, japerçus un attroupement délèves devant les tableaux. Jentendis également des cris de joie et de tristesse. Cétait vraiment un moment dans la vie de tout un chacun où des émotions contradictoires étaient aussi présentes.
Un nouvelle cris de joie retentit dans la foule. Je reconnus immédiatement le timbre de ce dernier. Mon ami Henry sortit ensuite du groupe en hurlant. Quand il me vit, il se précipita directement vers moi.
- Je lai eu ! Jai eu mon bac ! cria-t-il à mes oreilles.
Jétais vraiment très content pour lui mais stressais également pour moi-même. Je le laissai donc dans son euphorie et me faufilai à travers les autres élèves. Après un certain effort, jarrivai devant les listes des candidats. Je cherchai mon nom et soudain, la joie sempara de moi.
- Albert
, candidat numéro
, admis doffice avec mention assez bien, prononçai-je à haute voix.
Cétait bon, je lavais fait. Javais obtenu mon bac et accompli ma part du marché. Il était désormais temps que madame Isobelle respecte la sienne. Je méloignai donc des autres élèves et appelai dabord mes parents. La joie quils éprouvèrent quand je leur annonçai la nouvelle me remplit de fierté. Je leur dis par la suite que jallais trainer un peu et que je rentrerai tard à la maison. Ils me demandèrent de ne pas trop faire le fou puis je raccrochai. Je partis ensuite à la recherche de madame Isobelle. Je la trouvai quelques minutes plus tard dans un des couloirs de lécole.
- Madame Isobelle ! criai-je.
Celle-ci se retourna alors et me sourit, se doutant peut-être de lorigine de ma présence. Chose curieuse, elle était vêtue de la même manière que la fois où elle et moi conclûmes le marché.
- Je lai fait madame Isobelle. Jai tenu ma part du marché, lui dis-je.
- Je vois. Tout dabord, mes félicitations pour avoir obtenu ton bac. Tes efforts ont finalement porté leurs fruits. Maintenant que tu es officiellement au troisième cycle, plus besoin de mappeler madame Isobelle. Isobelle ou Iz suffira amplement, déclara-t-elle.
Elle regarda ensuite autour de nous pour voir sil ny avait personne dans les parages. Une fois cela fait, elle me demanda de la suivre. Mon cur se mit alors à battre très vite alors que janticipais la suite des évènements. Le moment était enfin venu.
-----*-----
Mademoiselle Isobelle et moi
ou plutôt Isobelle et moi entrâmes dans son bureau. Cette dernière referma la porte à clé derrière moi puis se dirigea vers son bureau sur lequel elle sassit.
- Tu te souviens, nest-ce pas ? Jétais assise dans la même position le jour où toi et moi avons passé notre accord, me dit-elle.
Comment pourrais-je oublier cela ? Durant les derniers mois, je navais fait que me repasser cette scène encore et encore dans ma tête.
- Je men souviens parfaitement. Dailleurs, je pensais que vous
que tu plaisantais à ce moment, lui dis-je.
Elle me sourit par la suite, ce qui me donna limpression quelle préparait quelque chose de pas net. Isobelle me fit ensuite signe du doigt dapprocher et, dès que je fus proche delle, posa ses deux mains sur mon visage avant de me regarder droit dans les yeux.
- Pourtant jétais trop sérieuse, rétorqua ma prof principale avant de membrasser subitement.
Ses lèvres étaient encore plus douces que dans mes rêves et son parfum beaucoup plus exquis. Je me laissai donc emporter par ce fantastique moment tout en plaçant mes mains autour delle. Isobelle écarta alors légèrement ses jambes, me permettant ainsi de me rapprocher encore plus delle.
Nous finîmes déchanger ce premier baiser et la femme de mes rêves me regarda à nouveau droit dans les yeux. Elle lâcha par la suite mon visage et commença à déboutonner sa chemise. Alors que je la regardai faire, je sentis lexcitation grandir de plus en plus en moi et mon pantalon devenir de plus en plus étroit. Quelques instants plus tard, je me retrouvai en face de son énorme poitrine. Isobelle prit ensuite ma main et la déposa dessus.
- Alors, comment tu la trouves ? me demanda-t-elle par la suite.
- Parfaits ! Ils sont parfaits, répondis-je.
La jeune femme me sourit de nouveau avant de me dire de venir les voir dun peu plus près. Elle prit ensuite ma tête et vint directement la mettre en ses deux obus. Je me demandai alors comment ils pouvaient être aussi fermes tout en étant aussi gros. Lenvie se fit vite ressentir et je commençai à appuyer ses magnifiques seins. Cela ne me suffit cependant pas. Quelque chose me gênait. Je retirai donc ma tête, attrapa la chemise dIsobelle, et la baissai. Ma soudaine réaction la surprit légèrement mais je nen tint pas compte. Tout ce que je voulais à cet instant était dêtre au plus près delle.
Je plaçai mes mains dans le dos de ma professeur principale et dégrafa son soutien-gorge, libérant par la même occasion sa somptueuse poitrine. Je me précipitai de nouveau vers cette dernière, plongeant encore ma tête dedans. Cette fois-ci, cétait parfait. Je nétais plus gêné par cet horrible soutien-gorge qui mempêchait de profiter au maximum de ces merveilles de la nature et dapprécier leur forme et leur fermeté à leur juste valeur. Je me mis donc à les caresser délicatement, les malaxer, et les sucer.
- Eh bien ! On dirait que tu en avais vraiment envie, me dit-elle sur un ton très sensuel.
- Tu nas pas idée à quel point jai rêvé deux durant ces derniers mois, rétorquai-je.
- Alors profites-en autant que tu veux, mautorisa-t-elle.
Je pris donc ce quelle venait de me dire à la lettre, me redressai subitement, et la poussai. Elle se retrouva par la suite coucher sur son bureau, ce qui fit tomber quelques-unes de ses affaires sur le sol. Je ne men préoccupai pas et allai de nouveau sucer ses seins. Je remontai doucement vers son cou et lui donnai de nombreux baisers. Pendant ce temps, Isobelle passa ses jambes autour de moi. La femme de mes rêves et moi finîmes par nous regarder à nouveau dans les yeux avant de nous embrasser pour la seconde fois.
Tandis quIsobelle et moi nous embrassions, celle-ci glissa lentement ses mains vers ma taille et essaya de défaire la boucle de ma ceinture. Constatant quelle avait quelques difficultés à le faire, je cessai de lembrasser et me redressai. Elle parvint finalement à ses fins et en profita également pour soccuper de mon pantalon. Isobelle mit ensuite sa main dans mon caleçon et attrapa ma bite.
- Hum ! Intéressant, sexclama-t-elle en souriant.
La jeune femme sortit mon pénis à lair libre et se mit à faire des mouvements de va-et-vient avec sa main. Du liquide séminal fit alors son apparition, ce qui sembla lamuser énormément.
- On dirait quil veut que je prenne soin de lui, dit-elle à nouveau.
Je lui fis un simple oui de la tête en guise de réponse. Elle me sourit à nouveau puis minvita à massoir dans une des chaises. Je mexécutai donc et pris place. Isobelle retira pendant ce temps sa chemise et son soutien-gorge puis sagenouilla devant. La jeune femme saisit de nouveau ma bite et recommença avec ses mouvements de va-et-vient. Javalai nerveusement ma salive alors quelle approchait délicatement ses lèvres de mon gland. Elle le mit ensuite dans sa bouche, descendit légèrement, puis remonta. La sensation que je ressentis à ce moment fut si exquise que je ne voulus absolument pas que cela sarrête. Javais limpression quun doux et agréable courant électrique parcourait tout mon corps.
Isobelle continuait de me sucer tout en me regardant droit dans les yeux. Elle descendait et remontait avec passion, léchait tout le long de ma bite, gobait mes couilles dune traite, et passait sa langue de nombreuses fois autour de mon gland. Même dans mes rêves les plus fous, jamais je naurais imaginé que ma prof principale était capable de tels exploits. Cela dépassait tout simplement lentendement.
- Alors, ça te plait ? me demanda-t-elle.
- Oh oui ! Ne tarrête pas sil-te-plait, répondis-je.
Elle rigola un peu avant de reprendre où elle sétait arrêtée. Moi qui pensais alors avoir atteint le summum nétait clairement pas prêt pour ce qui allait suivre. Isobelle plaça mon pénis entre ses seins, puis les poussa lun vers lautre. La jeune femme se mit par la suite à faire des mouvements de va-et-vient tout en continuant de me sucer. Assis sur mon siège, jattrapai les accoudoirs et les serrai de toutes mes forces.
- Putain cest bon ! mexclamai-je dans ma tête.
Javais envie delle, envie de la prendre ici et maintenant, envie de ne faire plus quun avec elle. Je mavançai donc vers elle, lattrapai au niveau du menton, et lembrassai de nouveau.
- Professeure, jai envie de vous ici et maintenant, lui dis-je juste après.
Après cela, Isobelle se redressa et commença à retirer le reste de ses vêtements devant moi. Javais alors limpression dassister à une séance de strip-tease. Lorsquelle se retrouva uniquement vêtue de sa petite culotte, ma prof principale se retourna soudainement. Elle attrapa cette dernière et lenleva très doucement, me montrant par la même occasion son énorme et ferme postérieur et tout ce qui allait avec. Elle me lança par la suite son sous-vêtement que jattrapai en vol tout en étant un peu surpris par son geste.
Tandis que jétais encore légèrement confus par ce que je tenais dans mes mains, Isobelle se rassit sur son bureau. Elle écarta de nouveau ses jambes et minvita à la rejoindre.
- Quest-ce que tu attends ? Il sennuie tout seul, me dit-elle, faisant référence à son vagin.
Jacceptai donc volontiers son appel mais, avant de la pénétrer, jallai moccuper un peu delle. Je vins daccroupir devant elle, écartai délicatement ses lèvres avec mes deux pouces, posai ma langue sur son clitoris. Je lui rendis donc le charmant service auquel javais eu droit précédemment. Mouvements circulaires et linéaires, je nen oubliai aucun. Comme cétait ma toute première fois de faire une telle chose, je navais aucune expérience dans ce domaine et ne sus donc pas si je le faisais correctement. Cétait du moins ce que je pensais jusquà ce quIsobelle pose brusquement sa main sur ma tête quelques instants.
- Humm ! Continues, ne tarrête surtout pas, sexclama-t-elle tout en gémissant.
Encouragé par ses mots, je décidai de mettre un peu plus dentrain. Jintroduisis donc mes doigts dans son vagin et commençai à faire des mouvements de va-et-vient. Ce dernier, qui était légèrement chaud et humide lors de mon insertion, le devint encore plus. Je pris ensuite quelques instants pour observer ma professeure, uniquement pour me rendre compte que celle-ci avait plié le poing et lavait placé devant sa bouche, sûrement pour ne pas faire de bruit.
De nombreuses minutes passèrent et Isobelle avait retiré sa main de ma pour se caresser la poitrine avec. De mon côté, je continuais ce genre je faisais, la léchant, suçant, et doigtant. Lorsque je retirai mes doigts de son vagin, ceux-ci furent recouverts dune substance gluante. Je les remis en place et repartis pour plusieurs autres minutes.
Mon désir et celui dIsobelle atteignirent finalement leur summum. Elle en avait envie et cétait également le cas pour moi. Je me redressai donc, retirai mon pantalon et mon caleçon qui trainaient au niveau de mes chevilles, puis fouillai mes poches à la recherche des préservatifs que javais mis dedans la matinée. Jen pris un avant de jeter mes vêtements dans un coin. Je lenfilai ensuite et me retournai vers la femme de mes rêves qui mattendait impatiemment.
Après tant de mois dattente, la tête de ma bite se retrouva à lentrée de son vagin. Petit à petit, celle-ci se fraya un chemin à lintérieur dIsobelle. La chaleur et lhumidité que je ressentis alors avec mes doigts me procurèrent alors une sensation que je ne pus décrire mais que jappréciais et savourais énormément. Je me retrouvai complètement en elle quelques instants plus tard. A cet instant, je me dis que cétait le plus beau jour de toute ma vie.
Ne voulant pas me précipiter, je commençai à bouger doucement. Je voulais profiter de chaque instant durant lesquels Isobelle et moi ne formions plus quune seule et unique entité. Je rentrai, allai le plus profondément en elle, puis revins. Je réitérai le mouvement encore et encore. Je posai ensuite ma main sur mon visage et rapprochai mes lèvres des siennes. Nous nous embrassâmes passionnément tandis que la jeune femme resserrait progressivement ses jambes autour de moi. Cétait bon, cétait même exquis.
Isobelle et moi continuâmes de nous embrasser. Je lui donnai également des baisers dans le cou tandis quavec ma main, je caressai un de ses seins. La jeune femme se coucha ensuite sur son bureau. Je posai alors ma main sur sa joue et descendis progressivement au niveau de son cou, puis de sa poitrine, de son ventre. Je marrêtai finalement au niveau de ses hanches que je saisis. Je mis alors plus dentrain dans ce que je fais, accélérant mes mouvements et les rendant plus intenses. Je me penchai de nouveau vers elle pour lembrasser puis repartis de plus belle.
Les minutes passèrent et Isobelle et moi décidâmes de changer de position. Je retirai donc mon pénis de son vagin et cette dernière se redressa. Elle se retourna par la suite et montra son énorme boule. Jinsérai de nouveau ma bite en elle et agrippa par la suite ses hanches. Je recommençai avec mes mouvements de va-et-vient qui me procuraient énormément de plaisir. Jespérais également que ce fut le cas pour elle bien que je navais pas à trop minquiéter à cause des gémissements quelle commençait à émettre. Elle et moi étions si déchainés à ce moment que lon faillit faire tomber son ordinateur fixe.
Alors quIsobelle bougeait allègrement son cul sur ma bite, une partie de son corps attira soudainement mon attention. Je mis alors mon index dans ma bouche pour lhumidifier légèrement avant de lintroduire dans son trou du cul.
- Hé ! Non, non, pas aujourdhui. Ce sera peut-être pour une prochaine fois, sexclama-t-elle en se retournant brusquement.
- Donc il y aura bien une prochaine fois, rétorquai-je.
- Ca va dépendre, reprit-elle.
- De ? ajoutai-je.
- Si tu arrives à me faire jouir ou pas, me dit-elle par la suite.
Je compris à ce moment que mes chances de passer un autre bon moment avec madame
avec Isobelle était dêtre performant dans ce que je faisais en ce moment. Jacceptai donc de relever le défi et allai massoir sur une des chaises. Je linvitai par la suite à ce rejoindre, ce quelle fit quelques instants plus tard. Elle sassit donc sur moi et nous repartîmes pendant plusieurs minutes durant lesquelles je plaçai ma tête en ses seins, les suçai, les malaxai, et lembrassai. Malheureusement pour moi, je fis tout mon possible pour me retenir mais, au bout dun moment, je ne pus plus et finis par tout décharger en elle. Isobelle sentit ma soudaine raideur et comprit immédiatement ce qui venait de se produire, dautant plus que je respirais fortement.
- Dommage ! Tu étais à ça dobtenir un autre moment avec moi, me dit-elle de nouveau comme pour se moquer.
Ne pouvant accepter cette défaite, je décidai de passer au plan B. Je demandai donc à la femme de mes rêves de se relever. Ma bite toute flasque sortit alors de son vagin mais bon, ce nétait pas grave. Je nen allais pas en avoir besoin pour la suite. Je la tirai avec moi vers son bureau sur lequel je linvitai à sassoir. Jécartai par la suite ses jambes et magenouillai devant elle. Si je ne pouvais pas la faire jouir avec ma bite, je le ferais avec ma langue. Je mattaquai donc de nouveau à son clitoris et je la doigtai en même temps. Comme elle était déjà sur le point de venir, je devais juste fournir un dernier petit effort.
Je cavai Isobelle encore et encore. Ses gémissements devinrent si importants que quelquun à lextérieur du bureau aurait pu nous entendre. Je nen avais cependant rien à cirer et me concentrai sur ma tâche. Finalement, après quelques minutes de travail, le moment tant attendu arriva. Je ne mattendais toutefois pas à ce que la jeune femme resserre brusquement ses jambes, coinçant alors ma tête. Javais réussi, je lavais obtenu. Isobelle et moi allions nous revoir pour un second round. Il ne me restait plus quà me libérer de son emprise et de parler avec elle.
-----*-----
Il fallut un certain à la demoiselle pour reprendre ses esprits. Dès que ce fut le cas, elle se redressai et aperçut alors le petit sourire que javais au coin des lèvres.
- Alors, pour quand devons-nous programmer notre second rendez-vous ? lui demandai-je.
- Récupère dabord ton diplôme après nous en parlerons, me répondit-elle.
Je ne compris pas vraiment pourquoi elle retardait léchéance mais ce nétait pas grave. Du moment que je savais quun tel évènement allait se reproduire, jétais en paix avec moi-même. Isobelle et moi nous rhabillâmes et nous apprêtâmes à sortir de son bureau après avoir rangé tout le bordel que nous avions fait. Au moment où je mapprêtai à attr la poignée de porte et à la tourner, cette dernière me stoppa brusquement. Elle prit ensuite un stylo et écrivit quelque chose sur un bout de papier quelle vint me donner. Toutefois, avant de le placer dans ma main, elle membrassa subitement.
- Prends-en bien soin, me dit-elle après.
Je regardai alors le bout de papier quelle venait de me remettre et constatai quun numéro de téléphone était inscrit dessus. Je tournai ensuite mon regard vers elle, la voyant ouvrir la porte. Je ne pus alors pas mempêcher dafficher un sourire, réalisant quelle et moi devions nous revoir encore de nombreuses fois.
- Alors, quest-ce que tu attends ? Tu viens ou pas ? rétorqua-t-elle.
- Oui, jarrive, répondis-je.
Je quittai le bureau de mon professeure principale et tous deux prirent différentes routes. En sortant de mon lycée, je le regardai une toute dernière fois, me rappelant alors de tous les bons moments que javais passés à lintérieur et imaginant tous ceux que jallais avoir grâce à lui. Quelques instants plus tard, je rentrai finalement chez moi, heureux comme jamais.
FIN !!!
Et n'oubliez pas de vous abonner à mon blog fantasyaworld.com pour ne rater aucune de mes nouvelles sorties.
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!