Ma Prof Isobelle

Je n’avais jamais été un très bon élève en classe. Non, on pouvait même dire que j’étais très mauvais. Le plus drôle dans tout ça était que je n’étais pas stupide, non loin de là. J’étais nulle à l’école tout simplement parce que je m’ennuyais, parce que je ne trouvais rien d’intéressant dans ce que l’on nous enseignait ou plutôt de la façon dont on nous l’enseignait. Je passais donc mes journées de cours à rêvasser ou à faire le strict minimum, ce qui eut bien évidemment des conséquences sur mes notes et ma relation avec mes parents. Néanmoins, je m’en foutais royalement. C’était mon quotidien, du moins jusqu’à ce fameux jour où j’avais été convoqué par ma prof principale.
Je me retrouvais donc devant la porte de mon professeur sur laquelle je cognai trois fois de suite.
- Entrez ! entendis-je.
Je saisis donc la poignée de porte, entrai dans son bureau, puis refermai derrière moi. Je me retrouvai par la suite devant un de mes enseignants madame Isobelle, une très belle femme aux formes généreuses malgré sa trentaine d’années au compteur. D’ailleurs, cette dernière ne me laissait absolument pas indifférent. A vrai dire, le cours de français qu’elle donnait était le seul dans lequel je faisais l’effort de suivre.
- Bonjour madame. Vous m’avez convoqué, lui dis-je au moment où je la vis.
- Oui, prends place, me répondit-elle.
Je tirai donc la chaise se trouvant devant moi puis je m’assis. Ma professeure principale tapa alors quelque chose sur son clavier d’ordinateur, regarda l’écran quelques secondes, puis se retourna vers moi. Je me demandai alors la raison de ma présence dans son bureau.
- Si je t’ai convoqué ce matin, c’est pour te parler de quelque chose de sérieux, rétorqua-t-elle.
La femme tourna par la suite son écran d’ordinateur vers moi et je pus voir apparaitre mon dossier scolaire avec toutes les notes et les différentes appréciations que j’avais obtenues durant l’année en cours.


- Que remarques-tu ? me demanda-t-elle ensuite.
- Rien de particulier hormis les résultats d’un élève lambda, répondis-je.
- Une élève lambda dis-tu ? Ecoute, j’ai récemment reçu un appel de tes parents me demandant pourquoi tes résultats scolaires étaient aussi décevant et si tes profs donnaient des cours particuliers. Ils en sont même arrivés à penser que tu te fais martyriser à l’école. Je leur ai dit que j’avais vérifié puis j’ai jeté un œil à ton dossier scolaire et c’est là que j’ai remarqué cette anomalie. Tu t’arranges à avoir tout juste la moyenne et de façon très habile en plus. Une bonne note par-ci, une mauvaise par-là. Donc, ce que tu appelles les résultats d’un élève lambda, je dirai plutôt qu’il s’agirait de ceux d’une personne très intelligente faisant le strict minimum. Ai-je tort ? dit-elle.
Face à ses déclarations, je restai complètement muet. Que pouvais-je dire à cette femme qui avait passé au peigne fin tout mon dossier scolaire ? Devant mon silence, madame Isobelle se leva de son fauteuil puis vint s’assoir à côté de moi sur son bureau.
- Voilà ce que nous allons faire. Toi et moi allons passer un marché, me dit-elle à nouveau.
- Quel genre de marché ? rétorquai-je par la suite.
- Un marché qui devrait beaucoup t’intéresser. Si tu parviens à remonter tes notes et à obtenir tes examens de fin d’année avec mention alors toi et moi passerons un agréable moment tous les deux, déclara-t-elle.
- Un moment agréable ? Vous entendez quoi par un moment agréable ? lui demandai-je, confus.
- Pas de ca entre nous. Penses-tu vraiment que je n’ai pas remarqué la manière dont tu me reluques pendant les cours ? rétorqua-t-elle.
A ce moment, je me sentis à la fois bête et très gêné. Jamais je n’aurais pensé qu’elle me remarquerait durant les cours qu’elle nous donnait, d’autant plus que je n’étais pas exactement assis au premier rang. De plus, bien que j’avais très envie d’accepter son marché, tout au fond de moi, je me disais que c’était sûrement un piège, un moyen de me faire travail pour une chose que je n’obtiendrais sans doute jamais.

- Alors, marché conclu ? dit-elle en me tendant la main.
Ses mots résonnaient en moi tel un échos dans un tunnel complètement vide. Je finis cependant par céder et acceptai son marché, espérant tout au fond de moi qu’elle tiendrait sa promesse si j’obtenais mon examen de fin d’année avec mention. Ce fut donc une certaine réticence que je serrai sa main.
- J’espère que vous ne reviendrez pas sur votre promesse plus tard, dis-je.
- Tu n’as pas à t’inquiéter pour ça. Je n’ai qu’une parole, répondit-elle.
Le marché entre madame Isobelle et moi étant conclu, je me levai de mon siège et pris la direction de la sortie. Toutefois, avant que je n’att de nouveau la poignée de porte, la femme m’interpela.
- Une dernière chose. Cet accord que nous venons de conclure doit absolument rester entre toi et moi. Tu sais ce qui se passerait pour nous deux s’il venait à être divulgué à quiconque, déclara madame Isobelle.
- Bien entendu madame. Je ne le dirai à personne, déclarai-je.
Je me retournai, ouvris la porte, et quittai finalement son bureau. J’étais toujours sur le choc et avais du mal à croire que je venais tout juste de passer un tel accord avec l’une des femmes qui me faisait le plus d’effet. Ce fut donc avec de nombreuses idées farfelues en tête que je pris la direction de la maison.
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Sur le trajet pour chez moi, je ne cessai de penser à l’accord que je venais de conclure. Même dans mes rêves les plus fous, je n’aurais jamais imaginé que ce genre de choses allait m’arriver. J’évitai cependant de trop fantasmer sur le sujet de peur de me choper une érection en pleine route. Quinze minutes après mon départ du lycée, j’arrivai finalement chez moi. Ni mon père, ni ma mère n’étant encore rentré, la maison était vide. Je déposai donc mon sac dans ma chambre puis allai jeter un coup d’œil dans la cuisine pour voir s’il y avait quelque chose à manger. Je regardai dans le frigidaire et trouvai les restes du repas de la veille que je réchauffai immédiatement.
Une fois cela fait, je retournai dans ma chambre avec ma nourriture faire une activité que je n’avais pas pratiqué depuis des lustres à savoir réviser.
Assis sur mon bureau, mon assiette vide à côté de moi, je regardai mon cahier de cours avec difficulté. Toutes les deux minutes, j’avais soit envie de faire autre chose, soit j’étais distrait par mon téléphone portable. Il fallait dire que réviser était une activité particulièrement ennuyeuse pour moi. Ce fut donc au fond de moi que j’allai chercher la motivation de mettre de côté qui ce qui pouvait me distraire pour me concentrer. Cela ne fonctionna cependant pas. Je m’écroulai de sommeil quelques minutes plus tard, plongeant alors dans le monde des rêves.
Dans cet univers aux lois farfelues, je me retrouvai sans surprise en face de madame Isobelle. Celle-ci était cependant dépourvue de tout vêtement, ce qui activa toutes les pulsions possibles de tout mon être. La femme de mes rêves s’approcha alors de moi, prit ma tête, et la plaça entre ses énormes seins. Ils étaient si doux que j’avais à ce moment l’impression d’être au paradis. Je mis donc mes mains autour de sa taille avec pour objectif de descendre un peu plus bas plus tard. Elle prit de nouveau ma tête, me regarda droit dans les yeux avant d’approcher ses douces lèvres à coté de mon oreille.
- Tu ne profiteras jamais de ce magnifique corps si tu ne travailles pas mieux, murmura-t-elle par la suite.
Ce fut à ce moment précis que je fus comme éjecté de mon propre rêve et me redressai brusquement sur mon siège. J’étais légèrement perturbé par ce que je venais de voir, mais en même temps, je savais qu’elle avait raison. Je devais donc sérieusement me mettre au travail si je voulais passer un bon moment avec elle. Pour cela, il me fallait trouver un moment de bosser tout en m’amusant et je savais exactement comment faire. Je m’efforçai donc à reprendre mon boulot où je m’étais arrêté.
Quelques heures plus tard, j’entendis les ronronnements d’un moteur, celui de la voiture de ma mère, suivis des coups habituels de klaxon.
Je me levai donc de ma chaise et allai lui ouvrir le portail. Dès que son véhicule fut à l’intérieur de notre domicile, je vérifiai si elle n’avait rien à transporter puis retournai dans ma chambre. Lorsque maman rentra dans la maison, elle fut grandement surprise de ne pas me voir affalé dans le canapé et jouer à ma console. Sa surprise fut encore plus grande quand elle vint dans ma chambre et vit que j’étais occupé à bosser mes leçons.
- Junior, ça va ? me demanda-t-elle subitement.
- Oui, oui, je vais bien, répondis-je.
- Tu en es sûr ? insista-t-elle en posant cette fois-ci sa main sur mon front.
- Maman ! Je te dis que je vais bien, rétorquai-je de nouveau en retirant sa main.
Bien que je comprenais sa réaction, cela m’ennuyait un peu qu’elle agisse de la sorte. Je la rassurai donc à nouveau, lui expliquant que je ne faisais que réviser pour un contrôle que je devais avoir le lendemain. Il fallut un certain temps avant que ma mère ne sorte de ma chambre et me laisse finalement travailler. Toutefois, je savais tout au fond de moi que cette histoire n’était pas encore terminée, mon père n’étant toujours pas rentrer de son boulot.
Je me remis donc au travail et mémorisai tout ce que j’avais à retenir. Par la suite, je me mis à faire quelques exercices afin de m’assurer que tout était bien rentrer. Cela me prit tellement de temps que lorsque je me levai finalement de mon siège, la nuit était déjà tombée. Au même moment, les ronronnements d’un second moteur retentirent à l’extérieur. Mon père venait tout juste de rentrer. Comme avec ma mère, je partis ouvrir le portail.
- Alors fiston, comment était la journée ? me demanda mon père après être descendu de la voiture.
- La routine comme d’habitude, lui dis-je.
Nous primes ensuite la direction du salon où maman mettait la nourriture à table. Mon père déposa son sac sur un des canapés, embrassa ensuite son épouse, puis alla dans sa chambre pour se changer. Je n’avais pas vraiment faim donc je m’excusai auprès de maman et retournai dans ma chambre.
- Tu retournes travailler ? me questionna-t-elle avant que je franchisse la porte du couloir.
- Non, j’suis fatigué. Je vais juste prendre un bain et m’endormir, répondis-je.
- Ok. Bonne nuit alors, me souhaita ma mère.
- Merci beaucoup, dis-je.
Arrivé dans ma chambre, je fis exactement comme prévu et pris une bonne douche. Après ça, j’attrapai mon téléphone portable, me couchai sur mon lit, et regardai les dernières actualités des réseaux sociaux. J’en profitai également pour envoyer quelques messages à mes potes pour leur dire qu’on travaillerait sûrement le lendemain. Bien évidemment, certains d’entre eux pensèrent que je leur faisais une blague. Je spécifiai que ce n’était pas le cas et que j’étais très sérieux vis-à-vis de ça. Ils ne me crurent toujours pas, ce qui allait me pousser à leur prouver le contraire le lendemain.
Je finis de discuter avec eux et mis mon téléphone en charge. Je fermai ensuite les yeux et me laissai progressivement emporter dans le monde des rêves où j’espérai revoir madame Isobelle.
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Comme tous les matins, le réveil fut très difficile pour moi. J’étais le genre d’élève à avoir plusieurs réveils programmés sur son téléphone. Chacun d’eux avait cinq minutes d’écart avec les autres. Ce fut donc après la quatrième sonnerie que je me levai finalement de mon lit et prit la direction de la salle de bain. Une bonne douche froide et une vingtaine de minutes plus tard et je revenais dans ma chambre frigorifié comme jamais. J’attrapai mes vêtements que j’enfilai précipitamment puis rangeai mon sac à dos avant de prendre la direction de l’école.
Sur le chemin, j’attrapai l’argent qui avait été laissé sur une des commodes du salon pour moi, souhaitai une bonne journée à mon père et à ma mère qui prenaient à ce moment leur petit-déjeuner, puis sortis du domicile familial. Une quinzaine de minutes plus tard, me revoilà dans mon établissement. En me rendant dans ma salle de classe, je tombai comme par hasard sur madame Isobelle qui était ce jour-là vêtue d’un pantalon jean bleue qui épousait parfaitement ses formes et une chemise blanche. Au moment où nous nous croisâmes, celle-ci me fit un clin d’œil qui provoqua quelques palpitations chez moi, me rappelant à nouveau le marché qu’on avait conclu la veille. Je m’arrêtai un instant et la regardai s’éloigner progressivement de moi, ses fesses bougeant magnifiquement au loin.
J’arrivai finalement en classe et fut comme d’habitude accueilli par du bruit. Chacun parlait de ce qu’il avait fait ou vu la veille. Ce jour était plutôt animé à cause de la récente victoire d’un club de foot face à leur rival de toujours. Personnellement, ce genre de choses ne m’intéressait pas et j’allai donc m’assoir à ma place.
- Donc tu as décidé de te mettre au travail ? Qui l’aurait cru, entendis-je soudainement alors que je venais de fermer mes yeux.
Reconnaissant la voix d’Henry mon pote, je me redressai donc et lui fit face.
- Yeah ! C’est bien le cas. D’ailleurs, je parie que je serai même meilleur que toi, répondis-je sur un petit ton moqueur.
Le moyen que j’avais trouvé pour travailler en m’amusant était de faire participer mes amis. Je savais que si on se lançait des défis quotidiens, non seulement on allait rigoler comme à notre habitude, mais on allait le faire en apprenant et mémorisant nos leçons.
- Aux dernières nouvelles, je pensais que tu ne voulais faire que le strict minimum et ne pas te tracasser avec tout ce que l’on apprend ni même de l’avis de tes parents. Qu’est-ce qui t’a fait changer d’avis ? rétorqua-t-il.
- Disons que j’ai eu une sorte d’illumination après être rentré chez moi. Mes parents se font vieux et donc faire des conneries comme je le fais actuellement ne serait pas bien pour leur santé, me justifiai-je.
- Je vois. En tout cas, c’est cool de penser à eux. Tu deviens un peu responsable, me dit-il.
Je souris légèrement, pensant à la véritable raison de mon brusque changement de mentalité. Au même moment, la sonnerie retentit, poussant tout le monde à se taire et à regagner sa place. Le premier cours de la matinée marquant le début de mon combat vers le plaisir le chair venait de commencer.
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La première semaine fut plutôt agréable. Comme je l’avais prévu, le fait de se donner des défis avec mon pote rendait mon travail beaucoup plus marrant et joyeux. Je retenais beaucoup plus facilement les cours et cela se sentait dans les quelques résultats que j’avais obtenus après ma subite reconversion. Cela étonna beaucoup certains de mes profs et de mes camarades de classe, mais ce furent surtout mes parents qui furent les plus surpris dans l’histoire. Ma mère pensait à un miracle tandis que mon père se disait que je m’étais enfin pris en main. Il était même fier que je passe moins de temps devant ma console pour m’adonner un peu plus à mes révisions. Ils étaient très loin de se douter que ce brusque changement dans mon quotidien était dû à une personne. Une très belle femme aux formes généreuses qui m’avait fait la promesse de me conduire au 7ème ciel si j’obtenais de meilleurs résultats scolaires et une mention à mes examens de fin d’année.
Petit à petit, les jours se transformèrent en semaines et les semaines en mois. Finalement, le jour des examens finaux pointa le bout de son nez. J’étais généralement une personne qui ne stressait pas face à cela. Toutefois, les épreuves que j’allai passer ce jour étaient complètement différentes des autres. C’était le genre d’obstacle qui décidait de la vie de tout élève du second cycle. Donc, soit je la surmontais et entamais par la même occasion mon cycle universitaire, soit je le laissais me dominer et reprenais de nouveau ma dernière année de lycée. Le choix était vite fait pour moi. Il fallait absolument que je réussisse cet examen pour moi, pour mes parents, et surtout pour madame Isobelle.
Ce jour-là, je me réveillai plus tôt que d’habitude. La stress m’avait empêché de fermer correctement l’œil durant la nuit. Je quittai donc mon lit et pris la direction de ma salle de bain. la fatigue habituelle de mon corps semblait ne pas être présente au rendez-vous. Le bain que je pris dans par la suite ne servit donc qu’à nettoyer mon corps. Une quinzaine de minutes plus tard, je sortis de la douche et commençai à enfiler mes vêtements. Une fois cela fait, je vérifiai une dernière fois que tout le nécessaire à mon examen se trouvait dans mon sac à dos avant de sortir de la chambre.
Je m’arrêtai au rez-de-chaussée où mes parents se trouvaient déjà pour prendre mon petit-déjeuner, chose que je n’avais jamais faite au cours de l’année scolaire.
- Alors champion, prêt pour aujourd’hui ? me demanda mon père lorsque je m’assis.
- Non, loin de là, répondis-je.
J’étais tout sauf prêt. A vrai dire, ma mentalité ce jour-là était celle d’une personne qui savait juste ce qu’elle avait à faire sans pour autant avoir envie de le faire. Dans ma tête, j’étais du genre, ‘peu importe ce qui arrivera, je ferai tout ce que je peux faire.’
- Je vois. En tout cas, tu n’as pas à t’inquiéter. Si tu travailles de la manière dont tu l’as fait au courant de l’année en cours, je suis sûr que tu l’auras d’office, rétorqua mon paternel.
- Ton père a raison. Il suffit de croire en toi-même et tout te réussira, ajouta par la suite ma mère.
J’étais très content de voir que j’avais leur soutien. Je les remerciai donc et finis de manger mon petit-déjeuner. Par la suite, je me levai de table, attrapai mon sac à dos, et pris la direction de mon lycée sous les encouragements de mes parents.
Sur le trajet, j’aperçus mon pote Henry devant moi. Je pressai donc le pas et allai le rejoindre. Ce dernier ne semblait pas être dans son assiette. Comment ne pas s’identifier à lui ? Plus je me rapprochais de mon établissement et plus je sentais mon niveau de stress augmenter.
- Alors mec, pas trop stressé ? lui demandai-je après avoir tapoté son épaule.
- Très drôle ! Tu as oublié quel jour on est ou quoi ? Être stresse aujourd’hui est tout ce qu’il y a de plus normal, répondit-il.
- Si tu l’es déjà autant, comment tu seras quand les résultats sortiront dans deux semaines ? Je parie que tu seras complètement tétanisé, rétorquai-je alors en me moquant un peu.
- Finissons d’abord avec cette semaine et après on verra, dit Henry.
Nous tournâmes dans une ruelle non loin de notre position et nous retrouvâmes en face de notre lycée. En le voyant, mon pote devint un peu plus nostalgique dans sa manière de parler.
- On revient tout de même de loin. Je me souviens de cette époque où tu t’en foutais littéralement des cours et de tes notes. Maintenant, regarde toi. Tu es maintenant parmi le top 5 de notre classe, s’exclama-t-il.
- Ce sont des choses qui arrivent. Les gens changent parfois, lui répondis-je.
- Je sais mais la transformation était beaucoup trop radicale chez toi. Maintenant que j’y pense, c’était juste après ta convocation chez la prof principale. Je me demande ce qu’elle a bien pu te dire, rétorqua Henry.
- Bof ! Elle m’a juste passé un sermon et parlé de mes parents qui voulaient me prendre un prof particulier à ce moment. Et comme je détestais déjà les profs à l’école, je voulais pas en avoir un de plus chez moi. J’ai donc fait un choix, lui dis-je.
Bien évidemment, ce n’était pas la vérité. Toutefois, le marché que j’avais passé avec madame Isobelle devait rester un secret connu uniquement de nous deux.
- Je vois. En tout cas, c’était une bonne chose à faire. Maintenant, nous devons affronter le boss final. Oh putain ! Je jure que je vais me bourrer la gueule une fois que tout ça sera terminé, s’exclama le jeune homme.
- Moi je vais par contre jouer à la console non-stop pour décompresser, ajoutai-je.
- C’est cool. C’est aussi un bon plan. Bon, il est temps qu’on y aille, dit-il.
- Yep !
Henry et moi se saluâmes et nous souhaitâmes bonne chance une dernière fois avant que chacun de prenne la direction de sa salle d’examen. J’arrivai donc en classe et m’assis sur le siège qui comportait mon numéro. On nous expliqua à nouveau les règles quelques minutes avant le début des épreuves avant de nous dire d’éteindre nos téléphones portables et de les ranger dans nos sacs. Une personne rentra alors dans la salle de classe avec de nombreuses copies dans ses mains qu’il déposa sur chaque table. A ce moment, mon stress atteignit son niveau le plus haut. Mes mains devinrent subitement plus froides et moites. Je ne pouvais également pas m’empêcher de trembler alors que l’homme venait d’entamer son dépôt sur ma rangée.
La copie fut finalement déposée devant moi. Je la retournai par la suite et lus l’énoncée de l’épreuve trois fois. Dans ma tête, je me dis alors qu’elle était facile. D’ailleurs, je la trouvai même beaucoup trop facile, un peu comme si on voulait nous donner une certaine assurance avant de finalement nous faire vivre l’enfer. Je fis donc l’effort de ne pas trop penser à ça et commençai à travailler. 4 heures plus tard, la sonnerie retentit, marquant ainsi la fin de la première épreuve. Je m’étirai alors tandis qu’une autre personne récupérait toutes nos copies et brouillons. Dès qu’elles furent toutes prises, nous fumes autorisés à quitter la salle d’examen. J’allais donc me dégourdir un peu les jambes et manger quelque chose avant le début de la seconde épreuve.
Dans la cour, je vis de nouveau Henry. J’allai donc taper la discute avec lui.
- Alors mec, comment c’était ? lui demandai-je.
- Plutôt pas mal. Et de ton coté ? répondit-il.
- J’ai trouvé ça facile donc je me dis qu’il y avait sûrement un piège quelque part. Je n’ai rien trouvé d’anormal et j’ai répondu à toutes les questions sans souci, dis-je.
- C’est cool. Moi j’ai pas eu le temps de finir, rétorqua-t-il par la suite.
- Du moment que tu aies répondu à plus de la moitié des questions correctement, ça devrait bien se passer, expliquai-je.
- Ouais, t’as sûrement raison.
Mon pote et moi continuâmes notre discussion tout en nous rendant au réfectoire où nous primes quelque chose à manger. Le temps de la pause finit par s’écouler et la sonnerie retentit de nouveau, nous signalant que la seconde épreuve était sur le point de commencer. Henry et moi nous dimes au revoir et chacun retourna dans sa salle d’examen.
4 heures plus tard, je rentrai chez moi complètement épuise. Je fuis accueilli par ma mère qui prépara mon repas favoris en guise de remontant. Je la remerciai pour le geste, mangeai un tout petit peu, puis retournai dans ma chambre pour réviser. Il me restait encore quatre jours à tenir avant de pouvoir enfin me reposer.
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Les examens de fin d’année venaient de se terminer. Comme je l’avais si bien dit à Henry, quand je rentrai chez moi le dernier jour, j’allai d’abord dans ma chambre où je jetai mon sac comme s’il s’agissait d’ordures qu’on mettait dans une benne puis retournai au salon. J’allumai par la suite ma console de jeu.
- Salut ma belle ! Ca fait tellement longtemps, m’exclamai-je comme si elle comprenait ce que je lui disais.
Je lançai mon jeu et commençai ma partie. Ce jour-là, j’étais tellement concentré dans ce que je faisais que je ne vis pas le temps passé et n’entendis même pas ma mère entrer dans la maison. Ce fut uniquement lorsqu’elle prononça mon prénom que je me rendis compte de sa présence, sursautant pas la même occasion.
- Albert ! Tu n’as pas entendu comment je ne faisais que crier ton nom, dit-elle, légèrement en colère.
- Non, maman. J’suis désolé. J’étais concentré dans ma partie de jeu, me justifiai-je.
- J’avais remarqué. En tout cas, viens m’aider à ranger les courses, m’ordonna-t-elle.
- Ok, j’arrive tout de suite.
Je mis donc pause à mon jeu, me levai du canapé, et partis la rejoindre à l’extérieur. Pendant que je prenais les sacs en plastique, celle-ci me demanda comment mon dernier jour d’examen s’est déroulé. Je lui répondis alors qu’il s’était bien passé, que le sujet sur lequel j’étais tombé faisait partie de ceux sur lesquels j’avais travaillés.
- Je vois. On attend maintenant les résultats, dit-elle.
- Oui, oui ! m’exclamai-je.
C’était vrai que j’attendais également les résultats, mais pas pour le même but qu’elle. il me restait en effet 7 jours avant de savoir si j’allais mériter oui ou non mon moment intime avec madame Isobelle. Chaque nous, je l’imaginais en train de me faire tout plein de baisers et de gâteries. Je rangeai donc les articles que maman avait achetés à leurs emplacements respectifs et retournai sur ma console.
A la veille des résultats, ma tête n’était pas posée. J’avais passé toute la semaine très détendu et, à quelques heures de l’annonce des résultats, je stressais comme jamais. J’étais très pessimiste vis-à-vis de mes notes et me disais que je n’allais pas obtenir mon examen ou que j’allais l’obtenir mais sans mention, ce qui allait me priver de quelque chose que je désirais énormément. Toutes ces pensées négatives m’empêchèrent de trouver le sommeil cette nuit. Je pris donc mon téléphone portable et regardai des vidéos sur internet. Finalement, ce ne fut qu’aux alentours de 3 heures du matin que le marchand de sable décida de faire un tour dans ma chambre.
Le matin, je me réveillai avec toute la fatigue du monde installée dans mon corps. Ce fut donc avec beaucoup d’efforts que je quittai mon lit pour aller prendre une douche. Après cela, je m’habillai et récupérai quelques préservatifs dans la boite que j’avais achetée quelques jours auparavant. Après cela, je descendis au rez-de-chaussée où mes parents m’attendaient.
- Fiston ! Aujourd’hui c’est le grand jour, s’exclama-t-il.
- Oui, papa ! répondis-je.
- Peu importe les résultats que tu obtiendras aujourd’hui, saches nous serons toujours avec toi, rétorqua ma mère par la suite.
- Mais oh ! Parle pas comme ça maman ! J’ai l’impression que je pars pour voir mon nom sur la liste des échoués, dis-je.
- Non, ce n’est pas ce que j’insinuais, déclara-t-elle.
- Je sais maman. Je sais.
Mes parents ayant du travail en ce jour, ils ne purent m’accompagner au lycée. Je leur dis alors au revoir, leur promettant également de les appeler dès que j’obtiendrais mes résultats. Je quittai donc mon domicile et pris le chemin de mon établissement. Une quinzaine de minutes plus tard, j’aperçus un attroupement d’élèves devant les tableaux. J’entendis également des cris de joie et de tristesse. C’était vraiment un moment dans la vie de tout un chacun où des émotions contradictoires étaient aussi présentes.
Un nouvelle cris de joie retentit dans la foule. Je reconnus immédiatement le timbre de ce dernier. Mon ami Henry sortit ensuite du groupe en hurlant. Quand il me vit, il se précipita directement vers moi.
- Je l’ai eu ! J’ai eu mon bac ! cria-t-il à mes oreilles.
J’étais vraiment très content pour lui mais stressais également pour moi-même. Je le laissai donc dans son euphorie et me faufilai à travers les autres élèves. Après un certain effort, j’arrivai devant les listes des candidats. Je cherchai mon nom et soudain, la joie s’empara de moi.
- Albert ……, candidat numéro ……, admis d’office avec mention assez bien, prononçai-je à haute voix.
C’était bon, je l’avais fait. J’avais obtenu mon bac et accompli ma part du marché. Il était désormais temps que madame Isobelle respecte la sienne. Je m’éloignai donc des autres élèves et appelai d’abord mes parents. La joie qu’ils éprouvèrent quand je leur annonçai la nouvelle me remplit de fierté. Je leur dis par la suite que j’allais trainer un peu et que je rentrerai tard à la maison. Ils me demandèrent de ne pas trop faire le fou puis je raccrochai. Je partis ensuite à la recherche de madame Isobelle. Je la trouvai quelques minutes plus tard dans un des couloirs de l’école.
- Madame Isobelle ! criai-je.
Celle-ci se retourna alors et me sourit, se doutant peut-être de l’origine de ma présence. Chose curieuse, elle était vêtue de la même manière que la fois où elle et moi conclûmes le marché.
- Je l’ai fait madame Isobelle. J’ai tenu ma part du marché, lui dis-je.
- Je vois. Tout d’abord, mes félicitations pour avoir obtenu ton bac. Tes efforts ont finalement porté leurs fruits. Maintenant que tu es officiellement au troisième cycle, plus besoin de m’appeler madame Isobelle. Isobelle ou Iz suffira amplement, déclara-t-elle.
Elle regarda ensuite autour de nous pour voir s’il n’y avait personne dans les parages. Une fois cela fait, elle me demanda de la suivre. Mon cœur se mit alors à battre très vite alors que j’anticipais la suite des évènements. Le moment était enfin venu.
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Mademoiselle Isobelle et moi…ou plutôt Isobelle et moi entrâmes dans son bureau. Cette dernière referma la porte à clé derrière moi puis se dirigea vers son bureau sur lequel elle s’assit.
- Tu te souviens, n’est-ce pas ? J’étais assise dans la même position le jour où toi et moi avons passé notre accord, me dit-elle.
Comment pourrais-je oublier cela ? Durant les derniers mois, je n’avais fait que me repasser cette scène encore et encore dans ma tête.
- Je m’en souviens parfaitement. D’ailleurs, je pensais que vous…que tu plaisantais à ce moment, lui dis-je.
Elle me sourit par la suite, ce qui me donna l’impression qu’elle préparait quelque chose de pas net. Isobelle me fit ensuite signe du doigt d’approcher et, dès que je fus proche d’elle, posa ses deux mains sur mon visage avant de me regarder droit dans les yeux.
- Pourtant j’étais trop sérieuse, rétorqua ma prof principale avant de m’embrasser subitement.
Ses lèvres étaient encore plus douces que dans mes rêves et son parfum beaucoup plus exquis. Je me laissai donc emporter par ce fantastique moment tout en plaçant mes mains autour d’elle. Isobelle écarta alors légèrement ses jambes, me permettant ainsi de me rapprocher encore plus d’elle.
Nous finîmes d’échanger ce premier baiser et la femme de mes rêves me regarda à nouveau droit dans les yeux. Elle lâcha par la suite mon visage et commença à déboutonner sa chemise. Alors que je la regardai faire, je sentis l’excitation grandir de plus en plus en moi et mon pantalon devenir de plus en plus étroit. Quelques instants plus tard, je me retrouvai en face de son énorme poitrine. Isobelle prit ensuite ma main et la déposa dessus.
- Alors, comment tu la trouves ? me demanda-t-elle par la suite.
- Parfaits ! Ils sont parfaits, répondis-je.
La jeune femme me sourit de nouveau avant de me dire de venir les voir d’un peu plus près. Elle prit ensuite ma tête et vint directement la mettre en ses deux obus. Je me demandai alors comment ils pouvaient être aussi fermes tout en étant aussi gros. L’envie se fit vite ressentir et je commençai à appuyer ses magnifiques seins. Cela ne me suffit cependant pas. Quelque chose me gênait. Je retirai donc ma tête, attrapa la chemise d’Isobelle, et la baissai. Ma soudaine réaction la surprit légèrement mais je n’en tint pas compte. Tout ce que je voulais à cet instant était d’être au plus près d’elle.
Je plaçai mes mains dans le dos de ma professeur principale et dégrafa son soutien-gorge, libérant par la même occasion sa somptueuse poitrine. Je me précipitai de nouveau vers cette dernière, plongeant encore ma tête dedans. Cette fois-ci, c’était parfait. Je n’étais plus gêné par cet horrible soutien-gorge qui m’empêchait de profiter au maximum de ces merveilles de la nature et d’apprécier leur forme et leur fermeté à leur juste valeur. Je me mis donc à les caresser délicatement, les malaxer, et les sucer.
- Eh bien ! On dirait que tu en avais vraiment envie, me dit-elle sur un ton très sensuel.
- Tu n’as pas idée à quel point j’ai rêvé d’eux durant ces derniers mois, rétorquai-je.
- Alors profites-en autant que tu veux, m’autorisa-t-elle.
Je pris donc ce qu’elle venait de me dire à la lettre, me redressai subitement, et la poussai. Elle se retrouva par la suite coucher sur son bureau, ce qui fit tomber quelques-unes de ses affaires sur le sol. Je ne m’en préoccupai pas et allai de nouveau sucer ses seins. Je remontai doucement vers son cou et lui donnai de nombreux baisers. Pendant ce temps, Isobelle passa ses jambes autour de moi. La femme de mes rêves et moi finîmes par nous regarder à nouveau dans les yeux avant de nous embrasser pour la seconde fois.
Tandis qu’Isobelle et moi nous embrassions, celle-ci glissa lentement ses mains vers ma taille et essaya de défaire la boucle de ma ceinture. Constatant qu’elle avait quelques difficultés à le faire, je cessai de l’embrasser et me redressai. Elle parvint finalement à ses fins et en profita également pour s’occuper de mon pantalon. Isobelle mit ensuite sa main dans mon caleçon et attrapa ma bite.
- Hum ! Intéressant, s’exclama-t-elle en souriant.
La jeune femme sortit mon pénis à l’air libre et se mit à faire des mouvements de va-et-vient avec sa main. Du liquide séminal fit alors son apparition, ce qui sembla l’amuser énormément.
- On dirait qu’il veut que je prenne soin de lui, dit-elle à nouveau.
Je lui fis un simple ‘oui’ de la tête en guise de réponse. Elle me sourit à nouveau puis m’invita à m’assoir dans une des chaises. Je m’exécutai donc et pris place. Isobelle retira pendant ce temps sa chemise et son soutien-gorge puis s’agenouilla devant. La jeune femme saisit de nouveau ma bite et recommença avec ses mouvements de va-et-vient. J’avalai nerveusement ma salive alors qu’elle approchait délicatement ses lèvres de mon gland. Elle le mit ensuite dans sa bouche, descendit légèrement, puis remonta. La sensation que je ressentis à ce moment fut si exquise que je ne voulus absolument pas que cela s’arrête. J’avais l’impression qu’un doux et agréable courant électrique parcourait tout mon corps.
Isobelle continuait de me sucer tout en me regardant droit dans les yeux. Elle descendait et remontait avec passion, léchait tout le long de ma bite, gobait mes couilles d’une traite, et passait sa langue de nombreuses fois autour de mon gland. Même dans mes rêves les plus fous, jamais je n’aurais imaginé que ma prof principale était capable de tels exploits. Cela dépassait tout simplement l’entendement.
- Alors, ça te plait ? me demanda-t-elle.
- Oh oui ! Ne t’arrête pas s’il-te-plait, répondis-je.
Elle rigola un peu avant de reprendre où elle s’était arrêtée. Moi qui pensais alors avoir atteint le summum n’était clairement pas prêt pour ce qui allait suivre. Isobelle plaça mon pénis entre ses seins, puis les poussa l’un vers l’autre. La jeune femme se mit par la suite à faire des mouvements de va-et-vient tout en continuant de me sucer. Assis sur mon siège, j’attrapai les accoudoirs et les serrai de toutes mes forces.
- Putain c’est bon ! m’exclamai-je dans ma tête.
J’avais envie d’elle, envie de la prendre ici et maintenant, envie de ne faire plus qu’un avec elle. Je m’avançai donc vers elle, l’attrapai au niveau du menton, et l’embrassai de nouveau.
- Professeure, j’ai envie de vous ici et maintenant, lui dis-je juste après.
Après cela, Isobelle se redressa et commença à retirer le reste de ses vêtements devant moi. J’avais alors l’impression d’assister à une séance de strip-tease. Lorsqu’elle se retrouva uniquement vêtue de sa petite culotte, ma prof principale se retourna soudainement. Elle attrapa cette dernière et l’enleva très doucement, me montrant par la même occasion son énorme et ferme postérieur et tout ce qui allait avec. Elle me lança par la suite son sous-vêtement que j’attrapai en vol tout en étant un peu surpris par son geste.
Tandis que j’étais encore légèrement confus par ce que je tenais dans mes mains, Isobelle se rassit sur son bureau. Elle écarta de nouveau ses jambes et m’invita à la rejoindre.
- Qu’est-ce que tu attends ? Il s’ennuie tout seul, me dit-elle, faisant référence à son vagin.
J’acceptai donc volontiers son appel mais, avant de la pénétrer, j’allai m’occuper un peu d’elle. Je vins d’accroupir devant elle, écartai délicatement ses lèvres avec mes deux pouces, posai ma langue sur son clitoris. Je lui rendis donc le charmant service auquel j’avais eu droit précédemment. Mouvements circulaires et linéaires, je n’en oubliai aucun. Comme c’était ma toute première fois de faire une telle chose, je n’avais aucune expérience dans ce domaine et ne sus donc pas si je le faisais correctement. C’était du moins ce que je pensais jusqu’à ce qu’Isobelle pose brusquement sa main sur ma tête quelques instants.
- Humm ! Continues, ne t’arrête surtout pas, s’exclama-t-elle tout en gémissant.
Encouragé par ses mots, je décidai de mettre un peu plus d’entrain. J’introduisis donc mes doigts dans son vagin et commençai à faire des mouvements de va-et-vient. Ce dernier, qui était légèrement chaud et humide lors de mon insertion, le devint encore plus. Je pris ensuite quelques instants pour observer ma professeure, uniquement pour me rendre compte que celle-ci avait plié le poing et l’avait placé devant sa bouche, sûrement pour ne pas faire de bruit.
De nombreuses minutes passèrent et Isobelle avait retiré sa main de ma pour se caresser la poitrine avec. De mon côté, je continuais ce genre je faisais, la léchant, suçant, et doigtant. Lorsque je retirai mes doigts de son vagin, ceux-ci furent recouverts d’une substance gluante. Je les remis en place et repartis pour plusieurs autres minutes.
Mon désir et celui d’Isobelle atteignirent finalement leur summum. Elle en avait envie et c’était également le cas pour moi. Je me redressai donc, retirai mon pantalon et mon caleçon qui trainaient au niveau de mes chevilles, puis fouillai mes poches à la recherche des préservatifs que j’avais mis dedans la matinée. J’en pris un avant de jeter mes vêtements dans un coin. Je l’enfilai ensuite et me retournai vers la femme de mes rêves qui m’attendait impatiemment.
Après tant de mois d’attente, la tête de ma bite se retrouva à l’entrée de son vagin. Petit à petit, celle-ci se fraya un chemin à l’intérieur d’Isobelle. La chaleur et l’humidité que je ressentis alors avec mes doigts me procurèrent alors une sensation que je ne pus décrire mais que j’appréciais et savourais énormément. Je me retrouvai complètement en elle quelques instants plus tard. A cet instant, je me dis que c’était le plus beau jour de toute ma vie.
Ne voulant pas me précipiter, je commençai à bouger doucement. Je voulais profiter de chaque instant durant lesquels Isobelle et moi ne formions plus qu’une seule et unique entité. Je rentrai, allai le plus profondément en elle, puis revins. Je réitérai le mouvement encore et encore. Je posai ensuite ma main sur mon visage et rapprochai mes lèvres des siennes. Nous nous embrassâmes passionnément tandis que la jeune femme resserrait progressivement ses jambes autour de moi. C’était bon, c’était même exquis.
Isobelle et moi continuâmes de nous embrasser. Je lui donnai également des baisers dans le cou tandis qu’avec ma main, je caressai un de ses seins. La jeune femme se coucha ensuite sur son bureau. Je posai alors ma main sur sa joue et descendis progressivement au niveau de son cou, puis de sa poitrine, de son ventre. Je m’arrêtai finalement au niveau de ses hanches que je saisis. Je mis alors plus d’entrain dans ce que je fais, accélérant mes mouvements et les rendant plus intenses. Je me penchai de nouveau vers elle pour l’embrasser puis repartis de plus belle.
Les minutes passèrent et Isobelle et moi décidâmes de changer de position. Je retirai donc mon pénis de son vagin et cette dernière se redressa. Elle se retourna par la suite et montra son énorme boule. J’insérai de nouveau ma bite en elle et agrippa par la suite ses hanches. Je recommençai avec mes mouvements de va-et-vient qui me procuraient énormément de plaisir. J’espérais également que ce fut le cas pour elle bien que je n’avais pas à trop m’inquiéter à cause des gémissements qu’elle commençait à émettre. Elle et moi étions si déchainés à ce moment que l’on faillit faire tomber son ordinateur fixe.
Alors qu’Isobelle bougeait allègrement son cul sur ma bite, une partie de son corps attira soudainement mon attention. Je mis alors mon index dans ma bouche pour l’humidifier légèrement avant de l’introduire dans son trou du cul.
- Hé ! Non, non, pas aujourd’hui. Ce sera peut-être pour une prochaine fois, s’exclama-t-elle en se retournant brusquement.
- Donc il y aura bien une prochaine fois, rétorquai-je.
- Ca va dépendre, reprit-elle.
- De ? ajoutai-je.
- Si tu arrives à me faire jouir ou pas, me dit-elle par la suite.
Je compris à ce moment que mes chances de passer un autre bon moment avec madame…avec Isobelle était d’être performant dans ce que je faisais en ce moment. J’acceptai donc de relever le défi et allai m’assoir sur une des chaises. Je l’invitai par la suite à ce rejoindre, ce qu’elle fit quelques instants plus tard. Elle s’assit donc sur moi et nous repartîmes pendant plusieurs minutes durant lesquelles je plaçai ma tête en ses seins, les suçai, les malaxai, et l’embrassai. Malheureusement pour moi, je fis tout mon possible pour me retenir mais, au bout d’un moment, je ne pus plus et finis par tout décharger en elle. Isobelle sentit ma soudaine raideur et comprit immédiatement ce qui venait de se produire, d’autant plus que je respirais fortement.
- Dommage ! Tu étais à ça d’obtenir un autre moment avec moi, me dit-elle de nouveau comme pour se moquer.
Ne pouvant accepter cette défaite, je décidai de passer au plan B. Je demandai donc à la femme de mes rêves de se relever. Ma bite toute flasque sortit alors de son vagin mais bon, ce n’était pas grave. Je n’en allais pas en avoir besoin pour la suite. Je la tirai avec moi vers son bureau sur lequel je l’invitai à s’assoir. J’écartai par la suite ses jambes et m’agenouillai devant elle. Si je ne pouvais pas la faire jouir avec ma bite, je le ferais avec ma langue. Je m’attaquai donc de nouveau à son clitoris et je la doigtai en même temps. Comme elle était déjà sur le point de venir, je devais juste fournir un dernier petit effort.
Je cavai Isobelle encore et encore. Ses gémissements devinrent si importants que quelqu’un à l’extérieur du bureau aurait pu nous entendre. Je n’en avais cependant rien à cirer et me concentrai sur ma tâche. Finalement, après quelques minutes de travail, le moment tant attendu arriva. Je ne m’attendais toutefois pas à ce que la jeune femme resserre brusquement ses jambes, coinçant alors ma tête. J’avais réussi, je l’avais obtenu. Isobelle et moi allions nous revoir pour un second round. Il ne me restait plus qu’à me libérer de son emprise et de parler avec elle.
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Il fallut un certain à la demoiselle pour reprendre ses esprits. Dès que ce fut le cas, elle se redressai et aperçut alors le petit sourire que j’avais au coin des lèvres.
- Alors, pour quand devons-nous programmer notre second rendez-vous ? lui demandai-je.
- Récupère d’abord ton diplôme après nous en parlerons, me répondit-elle.
Je ne compris pas vraiment pourquoi elle retardait l’échéance mais ce n’était pas grave. Du moment que je savais qu’un tel évènement allait se reproduire, j’étais en paix avec moi-même. Isobelle et moi nous rhabillâmes et nous apprêtâmes à sortir de son bureau après avoir rangé tout le bordel que nous avions fait. Au moment où je m’apprêtai à attr la poignée de porte et à la tourner, cette dernière me stoppa brusquement. Elle prit ensuite un stylo et écrivit quelque chose sur un bout de papier qu’elle vint me donner. Toutefois, avant de le placer dans ma main, elle m’embrassa subitement.
- Prends-en bien soin, me dit-elle après.
Je regardai alors le bout de papier qu’elle venait de me remettre et constatai qu’un numéro de téléphone était inscrit dessus. Je tournai ensuite mon regard vers elle, la voyant ouvrir la porte. Je ne pus alors pas m’empêcher d’afficher un sourire, réalisant qu’elle et moi devions nous revoir encore de nombreuses fois.
- Alors, qu’est-ce que tu attends ? Tu viens ou pas ? rétorqua-t-elle.
- Oui, j’arrive, répondis-je.
Je quittai le bureau de mon professeure principale et tous deux prirent différentes routes. En sortant de mon lycée, je le regardai une toute dernière fois, me rappelant alors de tous les bons moments que j’avais passés à l’intérieur et imaginant tous ceux que j’allais avoir grâce à lui. Quelques instants plus tard, je rentrai finalement chez moi, heureux comme jamais.
FIN !!!

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