Elodie Et Monsieur Le Gode

Elodie et moi nous nous sommes rencontrés en cours. Elle venait de se séparer de son amoureux (un pompier) et moi j’étais célibataire depuis un certain temps. Elle, 22 ans, brune, aux cheveux longs et ondulés, les yeux verts, le sourire coquin, la voix douce, petite poitrine mais fesses fermes et rebondis, 1m65, 55 kg, tout ce que j’aime. Moi, 21 ans, blond, yeux bleus, mignon mais petit, en effet, 1m50. Mais pour les inconditionnelles des gros sexes, je m’en sors pas mal avec mes 18 cm.

Cela faisait déjà 2 ans que nous vivions ensembles, et les journées entières passées au lit nous plaisaient toujours autant. Malgré tout, l’envi de piquant nous titillait. Pas très adepte de la sodomie, Elodie en prenait de plus en plus de plaisir. Pour ma plus grande joie je dois avouer. Pour pimenter nos câlins, j’ai acheté un beau jour un godemiché. Et à en prendre un, autant prendre LE godemiché. Bien gros, bien long. Le soir même, je le cachais sous mon coussin, sans le lui dire. Nous étions en plein ébat, elle allongé sur le dos, ses jambes reposant sur mes épaules puissante, mon membre dure dans sa chatte épilée, trempée de plaisir. Ses yeux roulaient déjà et ses soufflent se faisaient cours lorsque j’arrêta mes mouvements amples de va et vient, et que je sortis mon acquisition. Elle ouvrit de grands yeux, me fit un gigantesque sourire, et eu un orgasme rien qu’en imaginant les jeux qui s’offraient à nous.

Je le mis alors dans sa bouche, ses muscles se tendaient, j’avais a présent du mal à la pénétrer tant elle était serrée. Elle suça le gros sucre d’orge avec avidité. Elle me repoussa alors gentiment, me fit m’asseoir en bout du lit, me regarda droit dans les yeux, et planta le godemiché dans sa chatte. Elle se tortillait dans tous les sens, se l’enfonçant au maximum, le sortant et le remettant avec force. Je m’approcha alors d’elle et ne pouvant plus y tenir j’éjacula toute ma purée sur sa chatte lisse, en répandant partout sur le godemiché.

Elle le porta alors à ses lèvres et le suça avec plaisir.

Nous nous allongeâmes alors l’un contre l’autre et nous nous reposâmes quelques minutes. Elle s’amusait avec le god, lui faisait parcourir tout son jolie corps que j’avais le bonheur de « posséder ». Après quelques minutes, mon membre se redressait déjà, sous les douces caresses d’Elodie. Elle me suça, lentement, caressant mes couilles, titillant mon anus de ses doigts fins, s’attardant sur mon gland tendu. Puis elle vint sur moi, et porta mon membre dur dans son intimité douce, son clitoris tendu de désir, que je me mis alors à caresser entre mes doigts. Elle ondulait son bassin, jouait avec ses cheveux, se pâmait, jouissait, c’est alors qu’elle me fixa, droit dans les yeux, et enfonça 2 de ses doigts dans sa chatte alors que je la remplissait de mon sexe. Elle se mit alors à me branler à l’intérieur de sa chatte, et ce fut délicieux. Ca ne dura pas longtemps, elle en voulait plus. Elle se retira, s’étendit sur le dos, écarta ses cuisses, me montra sa chatte ouverte, pris le god et me dit :
- il y a une chose que j’aimerai mais j’ose pas.
- Mais si chérie, ose justement, n’hésite pas. Qu’aimerais-tu ?
- Te sentir dans ma chatte en même temps que je mets le gode. Je veux être remplie.

Elle se mit alors le gode dans sa chatte, déjà deux fois plus gros que mon propre sexe. Fit quelques va et vient, et me dit de venir en elle, avec le gode. Je m’approcha alors, pointa mon gland, et la pénétra lentement. Contrairement à ce que je pensai, ce ne fut pas bien difficile. Elle avait pourtant l’équivalent de trois bites au fond d’elle, et elle criait comme une dingue. C’est alors qu’elle mis le vibro, ce fut alors mémorable. Mon sexe était comprimé dans sa chatte douce, chaude et trempée, et le gode imprimait à ma queue des vibrations divines. Après une dizaine de minutes ainsi, et sous les cris hystérique de mon amoureuse, je me retirai prestement, ne pouvant plus tenir, et je portai mon sexe à son visage et tout gicla sur son visage, maculant son sourire de mon foutre chaud et abondant. Après cette expérience mémorable, nous nous sommes endormis complètement éreintés, réfléchissant déjà notre prochaine expérience.