Aventures D'Ados (Suite 10)
Il va sans dire quaprès avoir quitté Bob en train de récupérer suite à mon action vindicative sur ses couilles, nos relations se sont trouvées quelque peu refroidies. Je ne sais ce quil a raconté à sa femme, mais à mon avis, en rentrant, il nétait pas en mesure de la sauter.
Je crois que je lai calmé pour un certain temps, du moins en ce qui concerne lutilisation de mon cul. Ce con ma fait trop mal, je lui en veux !
Mais mon copain, lui, a trouvé quenculer Audrey lui avait fait découvrir dautres sensations. Je suis sur mes gardes.
Alors quon était en train de baiser, il a voulu menculer, autant dire que je ne me suis pas prêtée au jeu, et pourtant il a bien failli réussir. Sa bite a une dimension bien inférieure à celle de Bob (environ 4 x 16, alors que Bob ferait plutôt du 5 x 20). Ce jour là il me prend en levrette et, alors quil me burine sauvagement, sort subitement de mon vagin, appuie si fortement sa queue sur ma rosette que je la sens souvrir. Le salaud, il va réussir à entrer. Je donne immédiatement un coup de cul, me dégage, bascule sur le côté. Je suis sur le dos, cuisses largement ouvertes et remontées, sexe encore béant et offert. Il sinstalle de nouveau entre mes cuisses, je saisis sa bite, la tire pour la remettre en place dans le bon trou, me cambre et dun seul coup de rein, lenglouti jusquaux baloches. Surpris par cet assaut de ma part, il me donne des coups de butoir hargneux accompagnés de han, han, me défonce, se bloque, encore deux ou trois secousses, râle, minonde, je sens son foutre se répandre au fond de moi. Une autre secousse, cest fini, il est vide. On reste encastrés lun dans lautre jusquà ce que sa bite ramollisse, diminue, ressorte, entraînant avec elle le foutre qui sort de mon vagin et se met à couler dans ma raie des fesses. Je nai pas joui, tant pis, un coup pour rien, mais jai quand même évité le pire, me faire enculer !
Frustré, mécontent, il me demande ce qui ma pris.
Cest alors que je lui raconte ce que Bob ma fait subir, la double pénétration, la façon dont je me suis vengée. Sil tient à faire la même expérience, je nhésiterais pas à lui faire subir le même sort. À bon entendeur, salut ! Je ne veux absolument pas que lon touche à mon cul.
Ca fait longtemps que je nai pas eu de nouvelles de Bob et Audrey. Je délaisse Steve, je ne parviens plus à jouir quand on fait lamour. Je narrive pas à me détendre quand il me baise, je nai pas confiance, jai toujours peur quil me lenfile dans le cul au moment où je my attendrais le moins! Je ne crois pas quil y a renoncé, malgré la menace de men prendre à ses couilles.
En attendant de trouver mieux, je me suis offert un magnifique gode, un 5 x 20 en silicone rose, un vrai bijou que je planque dans ma chambre. Il ne faudrait pas que ma mère tombe dessus !
Je manque de bite, cest évident, mais je ne veux pas me faire sauter, comme ça, à la sauvette, par un mec qui ne sintéresserait quà mon cul pour se soulager. Sur mon lieu de travail, jai eu quelques invitations à me rendre dans la réserve, entre deux poses, mais il y a le risque de se faire prendre et je tiens à garder mon boulot à la caisse. Un coup vite fait entre deux cartons demballage, très peu pour moi.
Toutefois il y a un costume cravate qui mintéresse. Il est bel homme, la trentaine. Un jour il me convoque dans son bureau pour me proposer une autre affectation plus en rapport avec mes compétences.
Il y a quelques jours, Audrey ma aperçu en faisant ses courses. Elle est donc passée à ma caisse. Comme je termine à 20 h, elle propose de mattendre. Elle sétonne de ne pas avoir de mes nouvelles. OK, mais je ne sais pas si je vais lui donner la raison pour laquelle jévite son mari. Je crois quil ne lui a pas raconté ce que je lui ai fait subir lorsquil ma raccompagné.
En ce moment elle est souvent seule, Bob ne rentre que le vendredi soir pour repartir le lundi matin. Après le boulot, à la maison elle sennuie, na personne pour discuter, se plait en ma compagnie. Je lui promets de la rappeler. Mais attention, pas de coup fourré comme la dernière fois, juste entre amies, pas de mari ni de copain qui passe à limproviste.
Mélanie a encore changé de copain. Le nouveau a un emploi, une voiture, loue un petit appartement dans une tour. Il est beau mec, a une queue qui nest ni très grosse, ni très longue, maîtrise parfaitement les techniques de baise. Bref, ça lui convient. Elle doit me le présenter, mais jai limpression que pour le moment elle tient à en garder lexclusivité ! Elle passe souvent ses nuits chez lui, ses parents sen accommodent, ça na pas été sans mal (ni sans reproches !) Lorsque je la rencontre, elle mexplique en détails comment il la prend, et combien de fois.
Le samedi arrive. Je nai pas revu le chef de service depuis mon entretien. Je crois quil ma oublié. Toutefois je rentre chez moi après le boulot, prends une douche, me change, passe une robe toute simple, enfile un string noir, cest tout ce que jai sur moi. Il est 19 h, je regarde à la fenêtre. Juste à lheure, pas croyable, il arrive. Je descends en vitesse, ne pas le faire attendre. Il sort de voiture, mouvre la portière. La classe. On démarre, il me vouvoie, me complimente sur ma tenue, me propose de memmener dans une auberge où on aura tout notre temps pour discuter devant une bonne table. Nous voilà dans la campagne. Il me dit que sa femme et ses s sont chez ses beaux-parents pour le week-end. Le reste du trajet seffectue en silence. Je suis vraiment mal à laise, jai chaud, je crois quil sen aperçoit. Je me sens mal barrée, encore un qui ne pense quà me sauter. Décidément, jai le chic pour me fourrer dans la gueule du loup ! Enfin on arrive. Cest une auberge discrète, salle de restaurant décorée à lancienne, cadre merveilleux. Cest la première fois que jentre dans ce genre détablissement, il voit ma surprise, sen amuse. On choisit une table près dune fenêtre. Il me propose de prendre un apéritif, je lui dis que je ne bois pas dalcool. Alors ce sera un apéritif sans alcool pour mademoiselle ! Cest la première fois que quelquun me parle de cette façon, a autant dégards envers moi, ça me trouble.
Je crois quil lit dans mes pensées, je rougis quand il me regarde dans les yeux. Il commence à engager la conversation sur mes projets davenir. Jexpose mes idées, ma vision des choses. Il mécoute, intéressé, mencourage, me félicite. Il veut connaître ma façon de vivre, mes intérêts, me pose des questions sur ma jeunesse, mes fréquentations, mes études. Par contre, je ne lui ai pas fait mention de mes aptitudes à la baise, ni de mes envies de sa queue en ce moment. Il ne sest pas trompé, est surpris par ma détermination.
Il commande le repas, me propose des plats inconnus pour moi. Bien sûr, tous ces mets se dégustent avec du vin, jen prends quand même un verre pour lui faire plaisir, mais reste surtout à leau. Si je dois y passer, ce dont je ne doute pas, autant être en forme pour déployer mes talents de baiseuse.
Ce soir, comme il se sentait seul, il apprécie vraiment ma compagnie. Si cela mintéresse, il minvite à le contacter lorsque jaurais mon diplôme, il aimerait mavoir dans son service de gestion et dapprovisionnement.
Il est 22 h, il me propose, non pas de passer la nuit avec lui, mais de me raccompagner, je nen reviens pas. Et cest effectivement ce quil fait, paye laddition. Cet homme me plait, je nose pas lui demander de prendre une chambre, jai une sacrée envie de lui, de sentir sa bite en moi, jen mouille mon string. Le retour se fait comme à laller, en silence. Je ne parle pas de peur de montrer mon trouble. Je voudrais quil sarrête là, dans la campagne, quil me prenne sauvagement dans la voiture. Je ne crois pas que ce soit son genre, dommage !
À 23 h il me dépose devant chez moi, me serre la main. Je le remercie pour cette soirée, rentre chez moi.
Je suis excitée, regrette de ne pas lui avoir demandé de me sauter, me déshabille, prends mon gode dans larmoire.
Tout en me lintroduisant, je repense à la soirée. Enfin quelquun qui sintéresse à moi, pas à mon cul. Je crois que jai bien fait de ne pas lui dire que javais envie quil me baise, jaurais gâché toute chance dêtre embauchée par la suite. Je pense quil est sincère, cest quelquun de bien qui minspire confiance. Jai peut-être un boulot assuré lorsque jaurais terminé mes études.
Encore une semaine, et cest la fin de mon contrat. Ensuite jentre à la Fac, je vais avoir dautres préoccupations que la baise. On verra bien !
Suite dans un prochain épisode, si ses aventures vous intéressent
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