Avant Le Service Militaire 2
Résumé : Je me retrouve seul avec Ludo mon ami denfance et deux militaires. Nous sommes dans le train qui nous amène à la caserne
Après avoir fait connaissance avec le sexe de mes trois compagnons en leur prodiguant une fellation à chacun, je leur dis que je voudrais me coucher et dormir
- Et tu ne vas pas te coucher alors que tu nas pas joui me lance Ludo, y a pas de raison je vais moccuper de toi, je vais te rendre ce que tu mas donné !
- On va soccuper de lui rajoute Karl en se levant et se plaçant tout près de Ludo
. mais pas de la façon dont tu crois ! Ton copain cest pas un mâle comme nous, il a pas besoin quon lui suce la queue pour jouir, la preuve tu las vu se branler pendant quil nous suçait ?
- Non !
- Ton copain cest une nana qui signore et qui a envie de le savoir, pourquoi ta-t-il raconté ces conneries avec ce mec hier soir, pourquoi sest il laissé sucer par Marcel et accepter quil lui foute ses doigts dans le cul ? Ton pote cest une femelle quon va faire jouir mais pas par sa bite !
- Déconne pas Karl , Jean est mon pote et cest pas un PD.
- Jnai jamais dit quil était PD, jai dit que cétait une femelle.
- Arrête tes conneries, je connais Jean depuis des années.
- Tu connaissais Jean, mais tu ne connais pas JEANNE, mais tu viens davoir un aperçu ce soir, il ta bien fait jouir ?
- Cétait un jeu entre mecs sans plus !
- Jeu que tu voudrais bien poursuivre à en juger par ta bite qui na pas arrêter de sallonger depuis quon parle, il te branche ton copain, ou plutôt
. ta copine. Marcel va te montrer à quel point Jeanne a envie quon soccupe delle. A toi Marcel.
Marcel me fait me relever, il matt la nuque et me roule une pelle denfer. Je mabandonne et le laisse prendre possession de ma bouche. Javais embrassé des filles auparavant mais je navais jamais connu un baiser aussi fougueux. Je mabandonnais complètement.
- Regarde ton pote, Marcel lui fait réellement de leffet. Marcel est marié, il a trois gosses. Au niveau sexe, il na pas de tabou, ça ne fait pas de lui un PD. En tout cas ton pote apprécie et toi aussi à en juger par la trique que tu as. Tas jamais eu envie de faire lamour avec lui, ça ne ta jamais traversé lesprit, vraiment jamais ?
- Tu fais chier avec tes questions et bien oui une fois et ce fut la dernière sous la douche, on avait commencé à se branler et je ne sais pas ce qui mest passé par la tête, je me suis mis derrière lui et jai mis mon sexe entre ses jambes. Je me suis frotté à lui pendant que je le masturbais. Jai éjaculé et pris de honte, je me suis rincé et rhabillé très vite le laissant se terminer sa branlette. On nen a plus reparlé depuis.
- Et aujourdhui encore, tu te poses la question de savoir sil taurait laissé lenculer, tu te demandes toujours quel aurait été ton plaisir déjaculer dans son cul ? Je suis sûr que tu as baisé bien des nanas mais tu nen as sodomisé aucune, je me trompe ?
- Non mais quest-ce que tu cherches à la fin, fous moi la paix !
- Regarde ton pote, regarde son cul qui nattend quune chose, un zob et il serait dommage que le gland de Marcel ne lui bousille le fion avec la forme de capot de voiture quil a, et le mien ne causerait pas moins de dégâts.
Karl se mit a genoux et sans perdre de temps, emboucha ma verge tendue.
- Ca me fait quelque chose de voir Ludo sabandonner à Karl , Marcel me donne beaucoup de plaisir, mais jaurais tant aimé que ce soit Ludo qui me donne ce bonheur , il a lair de préférer Karl ? Cest bizarre son regard ? Pourquoi mobserve-t-il avec tant dinsistance ?
Marcel memportait au paradis, me suçais tantôt avec passion, tantôt avec fougue, mes copines navaient jamais eu autant dattention pour mon sexe, elles faisaient ça parce que çétait supposé devoir se faire, des coups de langues, des mordillements, de brusques saccades de la main mimant la masturbation. Elles avaient presque toutes limpression quen en passant par là, la bite était plus dure pour les pénétrer. Jai eu parfois mal et leffet contraire provoqué, je ramollissais. Mais ce soir, putain que dattention, cest mon plaisir que Marcel recherchait tout en désirant que je lui offrirait mon cul.
Ludo avait-il les mêmes sensations que moi avec Karl. J avais tellement espéré lors de la soirée du match de Hand dans les douches quil me baise pour de bon, mais il est resté entre mes jambes et quand il a éjaculé, il sest sauvé comme un voleur.
Oui jai vraiment envie de savoir ce que ça fait dêtre sodomisé, oui ce soir je prends mon pied en suçant des mecs, en me faisant sucé et ce soir je comprends lexpression « lhabit ne fait pas le moine » Marcel aime le sexe, je ne pense pas quil naime que les hommes et je pense la même chose de Karl.
Les doigts de Marcel coulissaient maintenant en moi, mon cul sétait maintenant largement ouvert et le plaisir que jen tirais se traduisait par le jus que mes entrailles secrétaient.
Je sentis deux mains se poser sur ma poitrine, une langue qui me léchait le cou. Javais fermé les yeux tout abandonné que jétais au plaisir qui grandissait en moi. Une barre dure glissait sur mes fesses et vint rapidement se placer sur la voie que les doigts venaient dabandonner.
Elle senfonçait doucement en moi. La douleur que jappréhendais ne vint pas, mon anus se moulait à elle facilitant même sa pénétration. Je ne cherchais pas à savoir qui de Ludo ou de Karl commençait ma sodomisation. La racine de cette barre était maintenant bien perceptible, les boules damour touchaient maintenant mes fesses. Après sêtre aventuré doucement, le sexe reculait maintenant, je craignais quil ne sorte mais la brusque poussée vers lavant me rassura. Le sexe prenait plus dassurance, ses va et vient menflammaient les entrailles et mon cerveau avait rejoint louverture aussi relâché quun sexe de femme. Il était entièrement concentré sur les nouveaux plaisirs qui naissaient. Mon sexe avait perdu de sa raideur, Marcel le gardait au chaud et sa langue sétait arrêtée de lexciter.
Le souffle chaud dans mon cou saccélérait, je sentais que mon amant nallait pas tarder à jouir. Je tournais la tête, Ludo, cétait Ludo, mon bonheur décupla et je me surpris à onduler à aller au devant de ses assauts je voulais quil hurle de plaisir.
Jallais exploser mais je voulais que ce soit son orgasme qui déclenche le mien.
Nous nen étions plus très loin
.les contractions de son membre capté par ma corolle déclencha une onde incroyablement forte tout le long de ma colonne vertébrale et sans bander, je me mis à éjaculer dans la bouche de Marcel qui se mit à me pomper comme sil voulait ne rien perdre de ma jouissance.
Quand il sécarta de moi, mes yeux se portèrent sur son sexe qui bien quayant perdu de sa raideur me parût impressionnant, comment mon petit trou avait-il pu accepter un tel membre.
Je sortis de mes pensées quand Karl, son mât fièrement dressé sapprocha en disant à Ludo, « ça te dis dessayer ? »
« Non je ne suis pas prêt »
Karl sourit et se plaça derrière moi
« Lui est prêt, après ce que tu lui a mis. »
Il mempala sans difficulté et ses coups de boutoir réveillèrent le plaisir qui sétait éteint. Marcel se leva, Karl lui céda la place. Je ne sais plus combien de temps cela dura, ils échangèrent souvent leur place. Je ne savais plus qui était en moi. Je jouis plusieurs fois mes sphincters se contractant sur les membres durs avant quils ne me fassent agenouiller. Ils se branlaient au dessus de mon visage et les jets épais de foutre minondèrent le visage.
Ayant tous joui, chacun regagna sa couchette. Il fallait que je me rince le visage et pour cela sortir du compartiment. Jenfilais rapidement mon pantalon et sans bruit me glissa dans le couloir heureusement éteint.
La porte à peine refermée, je me heurtais à un grand mec, au moins 2 têtes de plus que moi et son visage sombre dans la pénombre me dit que ce devait être un black.
« Excusez moi, jai trop envie de pisser » lui dis-je pour toute excuse. Je navais pas envie quil découvre mon visage maculé du foutre si généreusement versé par Karl et Marcel. Jaccélérais le pas vers les toilettes. Chacun deux me révélant les meurtrissures commises à mon anus.
Je neus pas le temps de refermer la porte que le grand black, la retint et entra.
Jétais tétanisé et sans voix.
- Putain la soirée, ils tont bien baisé tes potes, jai tout vu, le rideau était mal tiré et comme jai entendu des couinements de plaisir, je me suis dit quune nana devait être à la fête. Et merde quand jai vu que cétait un mec qui se faisait mettre, je nen ai pas perdu une miette. Tu devrais te laver, tas du foutre partout sur la gueule.
Il ferma le loquet de la porte et appuya sur la manette du robinet. Je remplis mes mains deau à plusieurs reprises et maspergea le visage. Il me tendit du PQ et je messuyais le visage. Tout cela sans quaucun mot ne soit prononcé.
- Ton cul aussi doit avoir besoin dun sacré ménage, baisse ton froc, je men occupe.
Comme un automate, je lui obéis et retire mon pantalon. Jétais nu devant lui.
Il me fit me baisser, mouilla du PQ et me nettoya du sperme qui sétait répandu sur le haut de mes cuisses, il sattarda sur ma rosette.
- T es trop bandant mec, jai des envies graves mais je te préviens ma bite est bien plus grosse que celle de tes potes, jai jamais réussi à garder une nana. Je leur faisais trop mal en les baisant.
- Je suis trop crevé et puis tout ça cétait une parenthèse dans ma vie, cest fini javais envie de savoir ce que cétait dêtre baisé et finalement même si jai aimé, jai pas envie de recommencer. Je remis mon pantalon et sortis des toilettes, il ne fit rien qui puisse me retenir.
Jouvre la porte et je ne sais pourquoi, je lui demande sil a une cigarette.
Nous nous installons devant une vitre, la baissons et comme si de rien était, comme si nous nous connaissions depuis longtemps, nous tirons chacun une cigarette quil avait extraites dun paquet. Je mabandonnais à ce plaisir uniquement rythmé par le bruit du train.
Il rompit le silence
- putain jaurai jamais pensé que cétait aussi bandant que de voir des mecs faire lamour entre eux
.
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!