Avant Le Service Militaire 1
Gare de lest 20 h 53
Service militaire en Allemagne
Le carton jauni arrivé il y a quinze jours était accompagné dun bon de transport. Ludo un ami denfance et moi même (Jean) allions vivre pendant 16 mois une vie militaire, heureusement nous serions ensembles. Nos familles, amis, au soir dune fête bien arrosée nous avaient remis un supplément couchette. Nous serions frais et dispos pour laccueil à la caserne lors de notre arrivée.
La veille du départ je refusais la biture traditionnelle et menfonça dans les clubs de la capitale, seul comme si ce devait être le dernier jour de ma vie.
Sur le quai la famille, de gros bisous, des paroles de corps de garde (les copains et copines étant là) puis un sifflet et le train sébranla. Un dernier au revoir de la main, il était temps de trouver notre couchette.
Compartiment 19 le rideau est tiré, la lumière éteinte, deux mecs occupent les couchettes du bas, leurs têtes rasées nous amènent à penser que ce sont des bidasses. Ils semblent déjà dormir et cest dans la mi obscurité que lon range notre sac, nous nous déshabillons et montons dans notre couchette sans bruit autre que celui du train.
Je repense à ma soirée de la veille, je nai pas sommeil. Jai envie den parler à Ludo et ne peux mempêcher de descendre de léchelle avant quil ne sendorme.
- Ludo cest incroyable ce que jai vécu hier soir dans un club
- Merde, jai sommeil, on en parlera demain
- Non cest trop important, hier soir au club des *******, jai rencontré un couple complètement taré, jétais bourré et il mont demandé de les accompagner chez eux pas très loin du club.
- Et alors tas baisé sa femme ?
- Oui devant lui mais ce nest pas le pire, cest quaprès il ma sucé
..tu timagines, je baise sa femme et il me suce après
- Quoi tu tes fait sucer par un mec ?
- Oui, jai rien compris, mais dès que je me suis retiré de sa chatte, il ma saisit popaul et sest mis à me sucer
le pire cest que jai apprécié et je lai laissé faire.
- Arrête tes conneries demain il fera jour.
- Non crois moi et le pire cest que jai vraiment apprécié car jai balancé mon foutre et il a tout avalé
- Va dormir tu déconnes.
- Non je tassure
une main était entrain de remonter sur ma jambes, le mec endormi sur sa couchette sétait réveillé, depuis un certain temps je pense, et il avait tout entendu. Sa main remontait et sarrêtait maintenant sur la bosse de mon slip
. Merde le souvenir de la veille avait réveillé mon sexe et il ne me vint pas à lidée de stopper cette ascension.
- Javais de plus en plus de mal à raconter
..Heureusement que Léo me demandait de plus en plus de détails
jen rajoutais
.
- Mon slip glissait maintenant le long de mes jambes, je soulevais les pieds lun après lautre, jétais nu
.les mains avaient maintenant saisi mon sexe, le pétrissaient, caressaient mes couilles quand une bouche sempara de mon gland, je revivais intensément ma dernière soirée, je fermais les yeux et me laissais aller.
- Arrête ton histoire porno Jean, vas te coucher tu me perturbes regarde je bande, cest malin maintenant je vais avoir du mal à dormir.
La bouche me dévorait le sexe, les mains pétrissaient mes fesses, les écartaient permettant à des doigts que jimaginais par centaine de caresser et de pénétrer ma corolle. Mes jambes avaient du mal à me tenir. Un doigt avait réussi à sintroduire en moi déclenchant mille et une décharges dans mes reins. Jallais à sa recherche, souhaitant quil senfonce encore plus loin. Je me mis à oublier Ludo tout concentré que jétais à ce plaisir nouveau.
- Ben Marcel on ne se refuse rien !
- Merde le gars dà côté sest réveillé et de sa couchette il ne peut pas ignorer mon balancement sur les deux doigts qui me vrillaient le cul
je tourne la tête pour le voir sextirper de sa couchette. Un grand gaillard à poil dont le torse est traversé dun serpent tatoué mais qui exhibe un sexe énorme pour moi, il sapproche et sadressant à Ludo :
- Tu vois ton copain est super bandant et apparemment il aime ça, la preuve Marcel la bien ouvert vous allez où comme ça ?
- A Constance.
- Jai limpression quon ne va plus se quitter pendant quelques temps, je suis Karl, sergent instructeur. Ton copain a vraiment envie quon soccupe de lui. Si ça te dis nhésite pas, Marcel est ladjudant de la compagnie et il vaut mieux quil vous ait à la bonne apparemment il en pince déjà pour ton copain
vous avez déjà baisé ensemble ?
- Non ! Ludo rougissait, il faut dire quil nétait plus question de dormir, Karl avait allumé la lumière.
- Vous vous êtes déjà branlés ensemble ?
- Non !
- Ca fait longtemps que vous vous connaissez ?
- Depuis toujours
- Et tu veux me faire croire que vous ne vous êtes jamais touchés la bite ?
- Oui juste une fois dans les douches du lycée on voulait voir qui avait la plus grosse et qui balançait son foutre le plus loin.
- Qui a gagné ?
-
Moi
..
La bouche de Marcel abandonna ma bite, une de ses mains se retira de mes fesses, et tel un félin, il se leva de sa couchette. Nous étions maintenant trois à regarder Ludo. La situation navait pas lair de lui déplaire vu le mat qui se dressait sous le drap. Les doigts de Marcel continuaient de sagiter dans mon cul, une main plus rugueuse vint se poser sur ma fesse, Karl avait lui aussi envie de me caresser.
-Dis moi Ludo on pourrait peut être voir qui à la plus grosse dit Karl tout en rabattant rapidement le drap qui cachait la virilité de Ludo.
Elle était vraiment impressionnante, rien à voir avec celle de mes souvenirs de lycéen. Il la tenait à la base, sa main enveloppant ses couilles. Le plus hallucinant cest que le Ludo très réservé que je connaissais se mit à dire tout en la secouant :
- Elle vous plaît ?
- Belle bite
.ça va être difficile de nous départager, mais ton pote va nous servir darbitre.
- Je me tourne vers Karl, étonné
.
- Toi tes hors course et attrapant ma bite, tes pas dans la cour des grands. Linstrument de mesure sera ta bouche, 3 mesures : le gland, la base et la longueur avec un peu de gymnastique tu devrais pouvoir le faire.
- Jétais tétanisé, ma bite nétait pas comparable à la leur mais en plus je devais commencer par Ludo. Ludo dis quelque chose
Dis que tu nes pas daccord
.Je me rendais compte maintenant de la situation, des doigts dans le cul, dinconnus et Ludo qui exhibait une bite denfer.
- Marcel qui navait rien dit jusquà présent mintima ce que je compris comme un ordre : le gland de ton copain, le nôtre après.
- Et les mecs, faudrait dabord quon soit tous dans les mêmes conditions, les mesures doivent être prises dans les mêmes conditions, je propose donc que Jean nous suce pendant deux minutes avant de se prononcer
.. Incroyable cétait Ludo qui proposait les règles du jeu.
- Pas de problème dit Karl.
- Ca me va dit Marcel.
- Ludo se rapproche du bord de la couchette, je nai pas dautre alternative que de le prendre en bouche, putain quelle est bonne sa bite.
- Deux minutes, pas plus et on ne triche pas
- Pris de frénésie, je me mis à sucer Ludo, il y avait longtemps que jen rêvais, je gardais les yeux ouverts et regardais Ludo qui sabandonnait à ma fellation.
- Deux minutes
.le gland, la base, la longueur
- Je mémorisais chacune des mesures, elle était vraiment généreuse la bite de Ludo.
- A moi dit Marcel dont je ne connaissais que la bouche et la langue quand il me suçait.
Il était trapu, tout en muscle des cuisses dhaltérophile et surtout une grosse bite généreusement dressée, plus courte à première vue que celle de Ludo mais bien plus épaisse.
- Deux minutes de préparation. Je lèche la hampe sur toute sa longueur, prends en main les grosses couilles et attirée par le gland luisant, jouvre grand la bouche et labsorbe non sans mal, pour le gland, Ludo repassera, Celui de Marcel est bien plus massif, bien plus large, est-ce le résultat de la circoncision ?
- 2 minutes écoulée ! Oui le gland est plus large mais le vit plus court et la base est plus fine que le gland.
- A moi maintenant, Karl était impatient à voir son sexe au garde à vous, aucune préparation nétait plus nécessaire. Je navais jamais vu un sexe aussi dressé, le gland touchait le nombril. La queue était longue surmonté dun gland large qui semblait la protéger de la pluie. Mais Karl voulait ses deux minutes. Ma bouche sétait adaptée et le gland pénétra sans trop deffort. Karl me prit la tête et dune brusque poussée, menfonça son vit qui vint frapper ma gorge, un haut de cur vite réprimé, Karl me limait la bouche. Ludo était descendu de sa couchette il ne voulait certainement rien perdre du spectacle.
Karl mabandonna il attendait le verdict.
- Il a certainement oublié, il va maintenant mesurer nos glands.
Je repris chacun dentre eux en bouche, pas dex æquo Marcel avait le plus large suivi de Karl. Ludo nétait pas loin mais cest sans doute lui qui avait le gland le mieux proportionné. Javalais ensuite leur vit le plus loin possible risquant l à chaque fois. Là encore Marcel était le plus épais suivi cette fois par Ludo.
Pour évaluer la longueur, Karl décida que je devais garder la bouche grande ouverte et de les laisser la pénétrer. Il commença. Son vit pénétra loin jusquau fond de ma gorge, javais la tête relevée ce qui dégageait ma gorge. Marcel se présenta ensuite, mes lèvres touchaient sa toison mais son vit ne vient queffleurer ma glotte.
Puis ce fut le tour de Ludo, il était devenu en peu de temps le comparse des deux autres, quen était-il de notre amitié.
- Ouvre grand la bouche, Jean, je vais te la mettre jusquà lestomac ce qui fit rire les deux autres.
Je métais complètement relâché et je sentais la progression de son sexe dans ma bouche, quelques contorsions et celui-ci me descendait dans la gorge. Je retenais ma respiration. Le doux parfum de son duvet me fit dire quil mavait tout enfoncé.
« Gorge profonde » jétais lacteur principal de ce navet X. Je réalisais soudain la situation, jétais la pute de ces mecs et ils ne sarrêteront pas à un « bizutage ». Le pire cest que cest moi qui avais déclenché tout cela, à faire le malin et à raconter mes frasques de la veille. Je men voulais terriblement dautant que le mec ne mavait pas sucé.
Ludo était le vainqueur suivi de Karl.
- Voyons si Jean va savoir nous reconnaître maintenant que sa bouche à nos mensurations.
Karl sorti un foulard de son sac et me banda les yeux, il éteignit la lumière. Les bites vinrent me frapper le visage à plusieurs reprises et on nentendait plus aucun autre bruit que ceux quelles émettaient à chaque passage sur mes joues.
Un pouce ouvre ma bouche sans ménagement, un sexe la pénètre, cest Karl, jen suis sûr puis un autre dont lépaisseur porte la signature de son propriétaire, Marcel. Ludo termine la série. Je nen peux plus, je veux le garder et je me surprends à lui prodiguer une fellation digne dune pute, pute que je suis devenu. Mes mains se posent sur ses fesses et le force à senfoncer en moi. Je le sens au bord de la jouissance, jaccélère mes mouvements, jaspire, ma langue trouve le rythme
.une explosion, javale le foutre qui sépand, je me rassasie de cette crème
Ludo pousse un cri de jouissance. Sa verge se détend, perd de son volume et moi je continue de téter. La lumière se rallume, je retire mon foulard, jai encore la bite de Ludo dans la bouche.
- et bien, pour des mecs qui nont jamais fait ça avant, vous nous en bouchez un coin dit Karl en repoussant Léo. Y a pas de raison pour oublier les potes. Tas apprécié son sperme maintenant tu vas nous dire qui est le meilleur juteur.
Intimement cest ce que je voulais, je pris Karl en bouche et tel une pro, je lui prodiguait les soins que nécessitait son état, mes mains semparèrent de ses couilles, je le masturbais pendant que ma langue mettait fin à ces dernières résistances, ce fut bref, par saccades son énergie vitale rejoignit celle de Ludo. Son sperme était plus épais mais tout aussi généreux que celui de Ludo. Je le pompais jusquà ce quil rende grâce. Il se recula et sorti de ma bouche en jurant : « elle suce comme un dieu ».
Marcel ne se fit pas prier. Contrairement aux autres, ma langue sortit de son antre pour le titiller, après quelques essais, javais compris quil était sensible du méat. Plus ma langue sactivait, plus celui-ci se dilatait, son gland était devenu violet du fait de lexcitation, mes lèvres le caressaient, mes dents imprimaient des mordillements. Il ne pus plus se retenir et méjacula sur le visage.
- Faut rien perdre dit-il en me ramenant son foutre dans ma bouche. Bon sang quil était épais et fort en goût.
Ludo est adossé à la fenêtre du train, Karl est assis sur la banquette, et Marcel, les yeux fermés le sexe posé sur ma joue se remet de sa jouissance. Tout est calme, trop calme et sans le pressentir, je déclenche la tempête en disant simplement « bonne nuit je vais me coucher. »
A suivre
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