Le Plaisir Trouve

J'avais alors 19ans, cheveux longs châtains et je me rendais dans le sud chez des amis.
Notre rendez-vous était fixé de longue date, et je n'avais pas pris la peine de confirmer.
Parti de paris avec le train, j'arrivai dans cette ville le soir. Il était plus de 22 heures, et il me fallait rapidement trouver le lieu de résidence de mes amis.
Après avoir pris quelques renseignements, il fallait faire encore une vingtaine de kilomètres.
Après avoir cherché vainement une cabine téléphonique et m'être aperçu un peu tard, que je n'avais ni adresse exacte, ni téléphone, j'avais donc repéré approximativement, la voie à suivre pour me rendre dans ce village.
Je décidais au bout de quelques kilomètres de faire du stop, mais il était déjà tard, et je cherchais un hôtel pour passer la nuit.
En effet, je me voyais mal rechercher un lieu sans adresse précise à minuit.

Peu de temps après ma tentative de stop, une voiture s'arrête.
Je lui explique mon problème et ma recherche, et me propose gentiment de m'héberger pour la nuit.

Peu de dialogue s'instaure entre-nous, quelques banalités, puis nous arrivons chez lui.
Il me propose un verre et je prends de l'eau. Je suis vanné, et lui aussi semble t’il.
Un seul lit dans ce petit appartement, et nous nous y rendons, et je dirai que nous commençons à nous dévêtir pour la nuit.
Calmement, je retire tout en restant en petite culotte.
Lui se met au lit avec un maillot de corps et un slip blanc.

Le lit est grand, agréable, le silence est d'or...
Quelques minutes avant que je sombre, je sens une main bien agile qui commence à tenter de caresser mon pénis à travers mon slip bien sec.
Ma première réaction, est d'écarter cette main bien baladeuse.
Alain, et oui, ce nom me poursuivra bien souvent après, se dit désolé, et si je le souhaite vraiment, m'affirme qu'il me laissera tranquille, si je ne souhaite pas qu'il recommence.


J'avoue, qu'instinctivement, je lui ai dit que j'avais été surpris, mais qu'en fait, j'aimais beaucoup cela.
Je lui dis aussi que j’étais très timide, et que c'est cela qui a motivé ma première réaction.

Alors donc....et je me masturbe encore aujourd'hui en pensant à cette nuit, il remis sa main ferme et grande sur ma petite culotte, et je crois que mon pénis vierge d'un tel câlin d'homme mur a réagi tout de suite et s'est dressée entre le slip et les paumes de cet homme...
Il m'a demandé assez rapidement de lui rendre ses caresses, ce que je fis avec beaucoup d'entrain. Je cherchais son pénis, et senti à travers son beau slip blanc, un sexe d'homme mature, bien ferme, grand, long...
Tout excité par cette manoeuvre, pendant que lui continuait à me caresser, je lui enlevais son slip et pris l'engin à pleine main.
Quelle satisfaction de toucher se sexe si protubérant, si épais, de caresser ces belles bourses si douces, même si par ailleurs elles étaient poilues.
Alors, pendant que je le caressais et presque en anticipant sa demande, il me pria de le sucer...
Sans calcul, je me mis à la tache avec beaucoup d'envie, de découverte, et quel plaisir de sentir dans ma bouche ce sexe si bon...
Il me pria alors que je lui montre mes fesses douces, non poilues, et apprécia lui que je sois épilé. Il commença à me doigter, puis à me lécher mon petit trou.
J'avoue que j'étais aux anges, même si j'ai été d'abord surpris de la manoeuvre.
J'étais dans un état d'excitation incroyable. Je continuai à le sucer, à caresser ses bourses, et lui me doigtait et embrassait mes petites fesses...Parfois il me lançait quelques mots très coquins en m'encourageant à le sucer à fond...

Je le fis...et peu de temps après, il vint dans ma bouche en poussant un petit cri de bonheur.
J'avais du mal à me retenir, et grâce à ses caresses, tout en caressant son sexe plein de sperme, j'ai aussi joui très rapidement.

Voilà cette histoire qui m'a révélé les hommes murs avec qui je recherche toujours les plaisirs.


Bisous...

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