Elodie, Soumise Malgre Elle (Episode 2)

Quatre jours passent.
Elle me rappelle un soir, me dit que je lui manque, souhaite me voir.
Je lui dis qu'elle sera ma soumise, que je l'humilierais, et que je l'attends demain à 12h vêtue d'un seul habit dans un bar de son quartier.
Je raccroche sans lui laisser le temps de répondre.
Quand j'entre dans le bar, elle est déjà là, assise dans le fond, une tasse de café devant elle. Elle porte un manteau boutonné jusqu'en haut malgré la chaleur. Elle se lève en me voyant. Je m'avance vers elle. Je l'embrasse sauvagement, longuement, le temps de lui ôter les boutons de son manteau. Sans lui laisser le temps de réagir, je lui prends la main et l'emmène dehors. Le manteau s'écarte sur sa nudité. Le serveur a tout vu. Quelques clients placés au bon endroit profitent aussi de la scène, éberlués.
Dehors je la fais courir. Elle tente tant bien que mal de retenir son manteau qui s'écarte. On va jusqu'à la voiture, elle s'assoit, se réajuste machinalement.
'Découvre tes seins, tout de suite'
Le ton est brutal, sans appel, mais elle n'obéis pas. Je démarre. On sort de la ville. La route traverse les champs. Un croisement avec un chemin. Je ralentis, prends le chemin et arrête la voiture un peu plus loin.
'Descends'
Je sors de la voiture et fais le tour. Elle est tout juste sortit. Je lui enlève son manteau sans ménagement. Elle est nue au milieu des champs. Je la pousse vers le devant de la voiture et l'oblige à se courber sur le capot. Je claque ses fesses violemment. 5, 10, 15... 20 fessées, jusqu'à les faires bien rougir.
'Ecartes les cuisse' Elle s'exécute.
Ma main découvre une chatte trempée. Je lui fais sucer sa mouille sur mes doigts.
'Monte en voiture'
'Non, pas sur le siège, entre les deux. Branle toi sur le levier de vitesse'
Elle hésite à peine la salope. Elle monte et descend son cul sur le levier. Ça rentre et sors avec un bruit de succion. Elle commence à gémir.


Quand elle est bien chaude, prête à jouir je lui demande d'arrêter. Dans son regard je peux lire 'je te déteste'.
'Allez, par derrière maintenant'
'Non'
'Si, et sans discuter'
Elle se positionne, résignée, fais la grimace. Ca finit par rentrer.
'Plus vite'
J'peux pas'
Je lui pince violemment un sein. Elle hurle
'Plus vite'
Elle s'exécute
'Encore plus vite'
Son plaisir monte à nouveau. Elle met sa main sur son sexe pour jouir.
Je l'en empêche.
'Stop ! Sors de la voiture. Je la tire vers moi en même temps que je lui ordonne de sortir.
Elle décule en hurlant. Des larmes perlent enfin à ses yeux... de douleur ou de frustration ?
Une fois dehors je l'emmène vers le coffre. J'y prends une corde. Je l'attache, les bras le long du corps, assez serrée.
La corde passe au dessous et en dessous de la poitrine, faisant ressortir ses nichons.
Elle passe également dans la raie du cul et dans la chatte comme un string bien serré.
Enfin elle l'enserre jusqu’aux genoux pour qu'elle ne puisse marcher qu'à tout petit pas.

Une fois saucissonnée de la sorte, je la pousse dans le coffre en veillant à amortir la chute pour ne pas qu'elle s'assomme.
'Si tu continus à gueuler, j'te bâillonne'
Elle me supplie de la détacher. Je referme le coffre.

Je démarre. Une heure de route avant d'arriver chez un pote. Ca me laisse le temps de lui parler, de lui rappeler qu'elle était prévenue, que si elle est là, c'est qu'elle aime ça...

Guy, mon pote, c'est un grand costaud un peu bourru. Il est meccano dans un pt'it bled. Sa femme l'a plaquée y'a 3 ans. Depuis il se tape 2-3 clientes en échange de quelques réparations. Y'a quelques mois il m'a fait partager une bourge quasi ruinée qu'avait plus vraiment les moyens d'entretenir sa Porsche.
Alors aujourd'hui je lui rends la monnaie de sa pièce.

Je me gare direct dans son garage.
Je l'avais prévenu. Il ferme derrière moi pour ne pas être déranger par un éventuel client.
'Zieute dans l'coffre, j’ai un cadeau pour toi'
Il va ouvrir. Siffle en voyant la pétasse ficelée comme un poulet.
'Viens ma belle'
Il l'aide à sortir, non sans en profiter pour la peloter.
Elle me supplie de nouveau.
'Ca va trop loin. T'es qu'un salaud. Laisse moi partir'
Guy n'en tient pas rigueur. Une claque sur les cuisses entre les cordes.
'Viens ma salope on va s'amuser un peu'
Il la pousse en avant, elle manque de trébucher. Il la ratt de justesse. Avec ses cordes, elle ne peut marcher qu'à tout petit pas.
'Aller, avance'
Il saisit la pointe de ses seins et tire pour la faire avancer. Elle crie, elle chiale, elle est à bout.
Il l'emmène dans un réduit derrière le bureau du garage. C'est là qu'il baise les clientes qui ne peuvent pas payer les factures. Un simples matelas, à même le sol, pour les humilier un peu plus.
Il défait les liens comme on le fait d'un rôti, laissant la peau blanche marquée par la corde.
Il lui laisse à peine le temps de se frotter les membres ankylosés. Il la pousse au sol. Elle tombe à genou. Il la force à se mettre à quatre pattes et lui administre plusieurs fessées en l'injuriant. Ses mains énormes claquent fort sur les fesses qui passent rapidement du rouge (à cause de la fessée que je lui ai administrée tout à l'heure) au cramoisi. Elle encaisse les coups, d'abord en gémissant, puis en poussant un cri à chaque nouvelle fessée.
Guy s'arrête enfin. Il défait son pantalon, il ne porte pas de slip. Son sexe est à son image, imposant, dressé, le gland saillant. Une capote vient le recouvrir.
Il la saisit par la taille, la tire brutalement à lui. Il la pénètre en un coup, brutalement, de toute sa longueur. La situation a dû l'exciter au plus haut point. Il est comme enragé. Il la pilonne comme un animal en rut. Le rythme est infernal, endiablé. Elodie subit en hurlant.
D'abord ses yeux me supplient, puis on sent que l'envie est plus forte, que cette domination lui permet de dépasser ses limites. Les râles répondent à chaque nouvel assaut. Le visage se crispe en cadence. La jouissance se rapproche. Elle est palpable chez ces deux corps maintenant unis pour un même but. Par moment le sexe de Guy ressort complètement luisant de mouille. C'est pour mieux la défoncer l'instant suivant.
Elodie part la première en un long râle telle la bête qu'on égorge. L'effet sur Guy est immédiat. Quelques coups plus marqués, quelques injures, puis le cri d'un fauve. Il jouit longtemps sans s'arrêter.
Puis, il se laisse tomber sur elle. Le tumulte laisse place à 2 corps inertes, mouillés de sueur. Il roule sur le coté, remonte le pantalon qu'il n'avait même pas enlevé. Il marmonne quelques mots.
'Elle est bonne cette salope...' puis... 'J'y vais j'ai du boulot'
Il sort. Elle ne bouge pas. Je m'approche d'elle, mon sexe dressé dans ma main. Elle est là, sur le ventre, jambes écartées, sexe béant. Elle n'a plus aucune pudeur. Je pose ma main sur sa chatte. Elle est brûlante et glissante. Je la caresse en étalant sa mouille, de son clito à son p'tit trou. A chaque aller retour, je force un peu plus sur son oeillet. Ses cuisses ne tentent pas de se refermer. Elle reste silencieuse, comme évanouie. Mais à sa respiration, je sais qu'elle est consciente, encore sur un nuage après sa jouissance passée.
Mon doigt se fait plus insistant. La rosace s'ouvre en douceur. Elle est prête. Je me rapproche, colle mon sexe à la place du doigt. Et doucement, tout doucement, je m'enfonce sans ses entrailles, sans forcer. Lentement.
Elle pousse un soupir comme si elle n'attendait que ça. Je l'embrasse dans la nuque en remontant vers son oreille. J'entame un va et vient sur un rythme aussi lent que celui de Guy pouvait être rapide tout à l'heure. Mes mains parcourent son corps au même rythme, l'enserrent, tantôt fortement, tantôt plus légèrement.
Elle glisse une main sous son ventre, donnant à son sexe les caresses ultimes. Son corps ondule, sa bouche laisse échapper des râles et des gémissements, de plus en plus forts. Sans doute Guy les a entendus. Il nous regarde, souriant, dans l'entrebâillement de la porte. Elle approche du point de non retour. Moi aussi. Elle s'abandonne totalement. Son corps se crispe. Son orgasme explose d'un coup dans un cri. Elle jouit longuement. Je l'accompagne quelques instants après...
Quand je rouvre les yeux, Guy est parti. 2 heures plus tard je l'a raccompagne chez elle. Je ne prends pas la peine de monter. Elle cherche un baiser sur mes lèvres. Je pose un doigt sur ses lèvres en guise de réponse. Son sourire s'efface.
Elle sort de la voiture en me traitant de salaud...

Avis, suggestions...
Qu'auriez vous fait à ma place ou à la sienne ?
Envoyer moi un email... Réponse assurée.

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!