Remerciements Particuliers

Je n’aurais jamais pensé me retrouver dans ce genre de situation, agir comme je l’ai fait, sans retenue, sans pudeur, comme une chienne en manque, et mouiller encore en me remémorant cette première aventure, qui allait en appeler tant d’autres…

Plutôt pudique, un brin timide, excessive uniquement dans mes colères avec mon homme. C’est l’une d’elles qui m’a fait claquer la porte, une nuit d’août. Marre de son manque de créativité, de son peu de sensualité, de ses manques d’excès, de cette espèce de passivité permanente, dans tout. Une bagatelle, la goutte d’eau qui avait fait déborder le vase, et me voilà dans la rue, un minuscule sac avec quelques affaires jetée en vrac, et une forte envie de mer, de partir loin, quelques jours. Partir loin, c’était bien, mais il me fallait un moyen pour l’atteindre. Pouce levé, mais pas de voitures, ça me faisait une belle jambe…
N’y croyais plus trop, lorsqu’une petite camionnette s’est arrêtée. Deux gars, la cinquantaine, décontractés, sourires sympathiques, jeans et t-shirts. Pas mon type du tout, mais bon, étais pas là pour être séduite, et j’allais pas faire la fine bouche. Se rendaient à Marseille. Parfait pour moi. Certes le trajet allait être long, mais bon. Pourrais peut-être dormir, coincée sur la banquette avant entre le conducteur et son pote ? Ça devait faire longtemps déjà qu’ils roulaient, odeur de transpiration assez forte dans la cabine, dans laquelle il faisait vraiment chaud, malgré l’heure tardive. On a bavardé un peu, de tout et de rien. Avais pas spécialement envie de parler, mais comme ils me rendaient un chouette service en m’emmenant…
« Je participerai aux frais d’essence » ai-je lâché. « Pas de souci, on trouvera bien un moyen pour toi de nous remercier » a répondu le pote du conducteur, un sourire entendu sur les lèvres. Sur le moment je n’ai pas relevé, mais je trouvais que le regard que ces deux gars s’étaient lancés un peu bizarre. Me suis endormie à moitié, ma tête ballottait et à fini sur l’épaule de mon voisin de droite.

Les entendais de loin, ils parlaient d’un film de cul qu’ils avaient vu la veille, et semblaient bien s’échauffer. J’ai commencé à ressentir une drôle d’excitation, un désir qui montait entre mes jambes, ma petite chatte tout en éveil. Imaginais une main se glisser entre mes cuisses, une langue rude me lécher le clito, le titiller. Sur ses pensées, ai fini par m’endormir vraiment.
Main sur mon épaule, le conducteur m’a réveillée : « petite, on arrive bientôt. T’as du faire des rêves érotiques, tu gémissais à fond ». Il faisait encore nuit, il n’a pas du voir à quel point j’étais rouge. « On va pas te demander de l’argent pour l’essence, mais si tu veux bien, juste un petit souvenir », a poursuivi l’autre. « On prends souvent des auto-stoppeuses, ça nous fait de la compagnie, et on leur demande toujours de laisser une trace dans notre book ». Il a sorti alors un album photo et me l’a remis entre les mains. « Vas-y, feuillette, ça te donnera des idées »… et gros éclat de rire que j’ai trouvé super gras, vulgaire. Je le trouvais soudainement vachement moins sympathiques. J’ai tourné les pages… ouah, stupeur. Sur la première photo une femme, la soixantaine, se faisait lécher le cul par le conducteur, et avait l’air d’aimer vraiment ça. La seconde à quatre pattes, avait en pleine bouche la bite de son pote, sur le point d’exploser. Les 69 et autres prises à trois se succédaient. Je commençais à être fascinée, excitée, alors que ces deux mecs étaient plutôt crades. « T’as pas l’air d’une vraie salope, contente toi juste de te désaper un peu, et caresse toi, ça nous suffira ». « On pourra toujours se branler en te regardant » continua l’autre. On s’est arrêté sur une aire de repos, déserte. Un des mecs a pris son appareil. Ils sont sortis du véhicule, portières ouvertes, et m’ont dit de rester à l’intérieur et de commencer mon show. Je me suis prise au jeu, ma foi assez facilement. J’ai enlevé mon petit top moulant, ôté mon soutien gorge, et commencé à me caresser les seins, toucher leurs pointes déjà bien dures, les tordre un peu, en me passant la langue sur les lèvres.
J’avais l’impression d’être une pute, et d’aimer ça à fond. J’ai enlevé mon jeans avec difficulté, mon string était trempé. Je me suis mise à quatre pattes et ai commencé à remuer mon cul, qui avait franchement l’air de leur plaire. Les photos se succédaient, et les ordres des deux hommes aussi « Vas y salope, glisse tes doigts dans ton slip, touche toi la chatte », « lèches tes doigts » « mets toi à califourchon sur le frein à main et fais comme si tu voulais t’empaler ». Je ne me contrôlais plus. Ces mecs n’étaient pas terribles, mais je pense que ça m’excitait encore plus. « Tu mouilles salope, je suis sûre que t’es toute chaude. T’avais pas l’air comme ça, mais t’as l’air bien en manque, comme une vraie chienne ». Comme je ne répondais pas, le conducteur est monté dans la cabine, et a mis sa main sur ma chatte, écarté mes lèvres. « ouhais, elle est bien à point ». Il a glissé sa tête sous moi et à darder sa langue, grosse, rude. Qu’est-ce qu’il léchait bien. Lui ai présenté mon cul, qu’il a continué à lécher avec gourmandise. Son pote avait sorti sa bite, toute raide, énorme, et prenait des photos, toujours plus prêt. On était bien à l’étroit, alors on est sorti de la cabine. Le mec a posé son appareil. Il s’est mis dans mon dos et a pris mes seins à pleine main. Je sentais sa bite contre mon cul, dure. Son pote s’est mis à genoux devant moi et a repris, avec sa langue, son petit va et vient. J’avais moi aussi envie de lécher… J’ai repoussé le conducteur et me suis retournée vers son ami, la queue bien dressée. Avec la langue, juste les bourses, puis le cône, puis à pleine bouche, tout en remuant mon cul que l’autre continuer à lécher. « ouaih, cochonne, tu fais ça bien, vais t’éjaculer à la gueule, umhhh, t’es bonne, t’arrête pas ». Ai avalé goulûment le tout, jusqu’à la nausée, presque, mais n’étais pas satisfaite, et le conducteur lécheur avait toujours sa bite bien dure. « Mets la moi là où tu viens si bien de lécher ». Fallait pas insister. Il m’a prise par les hanches et me labourait le cul en poussant des cris de bûcheron.
J’avais mal, mais j’aimais ça. Son pote avait repris son appareil et ne ratait pas un cliché. Lorsqu’il a lâché sa bordée, j’ai eu un orgasme puissant…

Ils m’ont laissé à l’entrée de Marseille, le cul encore en feu.

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