Une Mission Particuliere : Exhibition
Javais rendez-vous à 15h30 dans un parc sur une aire dautoroute en dehors de ma ville. Je devais venir seule avec lenveloppe et attendre sur ce banc quon me contacte.
Jétais là depuis déjà 10 bonnes minutes qui me paraissaient interminables, le téléphone portable à la main et lenveloppe près de moi. Il faisait une chaleur incroyable, le banc nétait pas complètement à lombre. Mais quand ce téléphone allait-il se décider à sonner ?
Comment avais-je pu me retrouver dans cette situation ? Javais un peu peur de ce qui allait se passer, mon patron mavait demandé de me rendre à ce rendez-vous parce quil avait une totale confiance en moi. Cest vrai que nous travaillons ensemble depuis déjà quelques temps et que notre relation est pour le moins particulière. Jacceptais de me plier à tous ses caprices sexuels et en échange javais un salaire et des horaires confortables. Lhomme nétait pas non plus pour me déplaire. Cette situation était donc parfaite pour moi. Il ma fait découvrir des facettes de ma personnalité que je ne soupçonnais pas et à chaque fois mes limites sont dépassées. La première fois que nos rapports professionnels ont changé, je lai aidé à faire signer un gros contrat. Il avait organisé un dîner daffaire chez lui auquel jétais conviée. Je suis arrivée habillée en parfaite petite secrétaire, tailleur avec jupe droite, chignon, talons, bas et sous vêtements sages. Nous étions à la fin du dîner et toujours pas de signature, il a demandé à ses clients ce qui pourrait leur faire changer davis pour la signature du fameux contrat. Et il leur a dit « je peux vous proposer les services personnels de ma secrétaire ». Jai pris un air outré et jai failli sortir de table. Mon patron a mis la main sur mon bras pour mapaiser, je me suis dit que cétait une blague et quil ne fallait pas que je fasse ma mijaurée. A ma grande surprise, ils ont pris loffre de mon patron au sérieux, ils ont accepté à condition que ne soit pas contre ma volonté.
Nous nous sommes éloignés mon patron et moi même pour en « discuter ». Au fond de moi une petite voix me disait daccepter car les hommes étaient plutôt attirants et que je naurais peut être jamais loccasion de revivre un moment pareil, et ma raison et ma bonne éducation me poussaient à refuser. Mon patron ma promis monts et merveilles et ma promis quil arrêterait si ça tournait mal. Javais confiance en lui, jacceptais. Mon patron est retourné vers eux en leur disant que jétais daccord contre une petite compensation (mon argent de poche
). Laffaire était dans le sac. Et moi, javais la trouille.
Jai dû faire ce quils me demandaient. Quand ils me demandèrent de me déshabiller, je retirais ma veste en hésitant et lentement pour gagner du temps. Du temps pour quoi, je ne sais pas exactement, mais ça me donnait bonne conscience. Je ne cédais pas trop vite. Mais au fond de moi je sentais lexcitation monter. Les quelques verres de vin que javais pris à table, ny étaient pas pour rien. Jouvrais mon chemisier et le laissais tomber par terre. Jétais en jupe et soutien gorge. Je me retournais pudiquement pour retirer ma jupe et de dos, je la fis glisser le long de mes jambes. Jétais en sous vêtements, sobres mais classes et en bas auto collant. Javais gardé mes talons, sachant que cela mettait en valeur mes fesses. Je défis mon chignon et restais de dos, je commençais à onduler du bassin doucement en écartant les jambes. Mes mains se posaient sur mon dos, mes fesses, mes jambes lentement comme si je suivais le rythme dune musique. Je fis mine de descendre mon string en plaçant deux doigts de chaque coté et je me ravisais, ils eurent la vision de mon cul pendant quelques secondes et je replaçais mon string en suivant le tracé avec le doigt. Je dégrafais mon soutien gorge et descendais les bretelles de mon soutien gorge, toujours de dos. Je gardais une main sur mes seins pudiquement en me retournant et continuais à me caresser le corps. Ma main allait sur ma nuque, dans mes cheveux, je renversais la tête et fis mine de me caresser le sexe à travers mon string.
Et jeus un orgasme phénoménal. Javais les jambes qui tremblaient. Je ne savais plus où jétais. Je voulais juste revivre ce moment. Jétais en nage.
Ils ne me laissèrent pas le temps de reprendre mes esprits, lun deux me fis mettre à genoux et me plaça sa bite dans ma bouche et me disant « Tu la voulais, hein, tu lattendais, elle est belle, cette grosse queue, tu voulais la goûter ». Lautre se plaça derrière moi et me pénétra dun coup. Cétait trop bon, je bougeais pour bien le sentir au fond de moi, tout mon corps était en ébullition. Ils me pistonnaient en même temps. Ils changèrent de position et celui qui était dans ma bouche se plaça derrière moi, il rentra plusieurs fois rapidement dans ma chatte, je sentais lorgasme venir. Il ralentit et lautre retira sa bite de ma bouche, il me dit « demande la, dis nous que tu la veux dans ta bouche ». Je répétais « oui, viens, je te veux dans ma bouche », et javançais la tête vers ce sexe tendu et offert. Il reviens dans ma bouche tandis que lautre se retirais et se plaçais sur mon cul et me pénétra lentement, Jallais protester mais je reçu une claque sur les fesses.
Il avait assisté à la scène et avait le sexe bien tendu. Je ne savais pas quoi faire, il ne me donna pas le temps de réfléchir, il rentra dun coup dans mon cul déjà tout dilaté et commença ses va et viens. Jétais encore tout excitée, il mettais des claques sur mes fesses, sans violence et fermement. Jétais penchée en avant sur les coudes et je le laissais faire, jétais sur un nuage, javais déjà eu plusieurs orgasmes daffilée et sentais un nouvel orgasme arriver.
Il ralentit la cadence et repris plus vite, je sentais son sexe gonfler en moi et il saccrochait à mes fesses en les griffant, jeus un nouvel orgasme en même temps que lui.
Voilà la première fois que mon patron ma prise, cétait par derrière
Depuis, nous avons eu dautres occasions, mais en restant toujours professionnels. Nous ne nous voyons pas en dehors du boulot et nous avons chacun nos vies.
Le fait de penser à cette première fois ma fait complètement oublier où jétais, ça fait maintenant plus de 20 minutes que jattendais. Jallais prendre mon téléphone pour appeler mon patron et lui demander ce que je devais faire quand mon téléphone sonna. Je répondais le cur battant.
- Allô
- Tu vas bien écouter ce que je vais te dire.
- Euh
Ou...Oui
- Je veux être sur que tu nas pas de micro, retire ton haut et ta jupe
- Pardon ?
- Je ne répèterai pas ! Fais-le maintenant !
Cette voix était très autoritaire, je ne savais pas quoi faire. Je savais que ces documents étaient important mais me déshabiller ainsi au milieu de nulle part où tout le monde pouvait me voir. Je navais vu personne, mais on ne sait jamais.
Je regardais autour de moi et je posais le téléphone et mode haut parleur à coté de moi. Je retirais mon t-shirt et ma jupe. Ca faisait du bien, javais tellement chaud que je transpirais. Jimaginais que la personne pouvait me voir, je le cherchais des yeux mais ne vit personne.
- Très bien, maintenant, fait un tour sur toi-même doucement
Je mexécutais lentement pour bien lui montrer que je navais pas de micro. Je me dis quil avait du voir et que maintenant je pouvais me rhabiller. Je commençais donc, à prendre mon t-shirt. Et là, je lentendis crier au téléphone.
- Quest ce que tu fous salope ? Je ne tai pas dit de te rhabiller !
Je restais pétrifiée. Ce type me faisait peur. Je regardais autour de moi. Ma voiture était garée un peu plus loin, mais courir comme ça en slip jusquà elle, me paraissait un peu difficile. Dautant que je ne savais pas où était lhomme. Jen étais là de mes réflexions lorsquil repris.
- Tu retires ton soutien gorge et ton slip, on ne sait jamais, les femmes sont vicieuses.
Je restais sans voix. Je décidais de le faire néanmoins, si je lui montrais que je navais rien, je pourrais me rhabiller ensuite. Je retirais mon soutien gorge et mon slip rapidement. Javais mouillé en pensant au contrat que nous avions signé mon patron et moi même. Et il y avait une trace sur mon slip. Jeus un peu honte mais me dit que lhomme ne pouvait pas le voir doù il était.
- Je vois que la situation texcite salope ! Tu fais les mijaurées et tu mouilles !
- Non, pas du tout, je
Je ne savais pas quoi dire, il devait être très près de moi pour voir ça. Je restais debout les bras ballants, droite comme un « i », essayant de garder un peu de contenance.
- Tu es bandante, tu sais ! Jette tes vêtements aussi loin que possible derrière toi et assied-toi !
Je fis ce quil me dit et fus contente de masseoir, je croisais les jambes.
- Qui tas dit de croiser les jambes ? ! Assieds toi et écarte les jambes que je vois bien si tu nas rien sur toi. Mets toi au bord du banc, je veux voir ta chatte mouillée.
Ses paroles et son ton me faisaient mouiller encore plus. Cétait gênant, je luttais, mais mon corps me rappelait à lordre. Jaimais la situation et je la trouvais excitante. Le danger, le fait que nimporte qui pouvait arriver dun moment à lautre mexcitait. Mes seins commençaient à pointer malgré la chaleur.
- Je vois que ça texcite ! On va bien samuser tous les deux.
- Non, je ne suis pas venue pour ça. Prenez votre enveloppe et donnez moi les documents en échange et je men vais.
- Ta gueule ! Cest moi qui décide ici ! Tu vas écarter tes cuisses salope et tu vas me montrer ta chatte en écartant avec tes doigts !
Il avait lair furieux, je me dis que ce pauvre type voulais se rincer lil et quil avait peut être une arme. Je fis ce quil me dit. Jécartais au maximum les cuisses au bord du banc et posais ma main au dessus de mon sexe. Jécartais avec les doigts.
- Tu vas te toucher les seins avec ton autre main.
- Mais quelquun peut arriver, je vous en prie, prenez lenveloppe, donnez moi les documents et laissez moi partir
- Je ne veux plus tentendre ! Cest moi qui parle maintenant. Je te dis de te toucher les seins salope ! Maintenant !
Je posais ma main libre sur mes seins mouillés de transpiration, javais de plus en plus chaud à cause de la situation. Ma main caressait mes seins. Et instinctivement mes doigts touchèrent mon clitoris. Je men rendis compte et retirais ma main.
- Qui tas dit darrêter ! ? Remets ta main et branle toi, je veux te voir te caresser le clito alors écarte bien et pince toi tes gros seins !
Je ne disais plus rien, je replaçais ma main sur mon sexe et écartais mes lèvres. Je ne savais pas sil pouvait bien voir. Je mis mon clito à jour et commençais des va et viens lentement. De lautre main je caressais mes seins et pinçais mes tétons.
- Vas plus vite, je veux te voir mouiller encore plus, je sais que ça texcite de te montrer comme ça salope !
Les mots crus quil utilisait me faisaient mouiller, jallais plus vite comme il me demandait et bien entendu je mouillais de plus en plus. Ca coulait entre mes fesses. Ne pas savoir où il était mexcitais encore plus. Savoir que quelquun pouvais arriver en voiture et me voir ainsi les cuisses ouvertes de manière indécente sur ce banc, mexcitais aussi.
- Taimes ça hein de te branler dans la rue ? Dis le !
Je ne répondis pas.
- Dis le ! Répète après moi « je suis une salope, jaime me branler dans la rue »
Je répétais sans conviction. Il sénerva et jeus peur quil ne vienne alors je me repris vite.
- Je suis une sa.. salope, jadore me branler dans la rue
- Ah ben voilà
je le savais. Arrête. Retourne toi et met toi face au le banc. Le cul tendu en arrière. Penche toi bien.
Je renonçais à me rebeller. Jétais pressée que ça finisse. Et je commençais à trouver ça agréable. Je navais quune peur cest que quelquun arrive. Alors autant aller vite.
- Cest bien écarte les cuisses, je veux voir ton cul. Mets tes mains pour me montrer ton cul. Tu aimes te faire enculer ?
réponds !
- Je
euh
je
- Réponds salope ! Taimes sentir des bites dans ton cul ?
- Je
oui jaime
- Taime quoi, je veux tentendre
- Oui, jaime sentir des bites dans mon cul
- Bien
écarte plus, je veux voir si ton petit trou est dilaté
Jécartais avec mes mains le plus que je pouvais vu la position inconfortable. Cela mobligea à me pencher plus.
- Oui, on voit que tas lhabitude de te faire défoncer le cul. Mouille un doigt et met le dans ton cul.
Je mouillais un doigt avec beaucoup de salive et le plaçait devant mon anus. Je poussais et le fis rentrer.
- Ouais cest bien salope ! Maintenant sors ton doigt et mets le dans ta bouche. Retourne ta tête je veux te voir le faire. Oui cest ça, cest bon, tu aimes ça, hein ?
Je neus pas le temps de répondre.
- Maintenant mets deux doigts et fait les bouger, je veux quils rentrent complètement.
Je mouillais deux doigts, jécartais toujours avec ma main, je rentrais deux doigts et les faisaient bouger davant en arrière. Ils glissaient facilement, et cétait bon, jaimais me faire ça quand jétais seule. Je me caresse le clito en même temps et ça me fait jouir.
- Cool, tes trop bonne, tes trop salope ! Tu prends ta bouteille de coca vide à coté de toi et tu te la mets dans le cul. Je ne veux pas tentendre, rappelle toi, je te regarde.
Je pris ma bouteille et la mouillais avec ma bouche. Heureusement javais déjà pris de trucs plus gros que ça. Le goulot était petit. Je le fis entrer doucement et le ressortais.
- Qui tas dit de le retirer ? Tu te le mets dans le cul et tu pousses jusquà ce que ça tienne tout seul. Oui cest ça, pousse, taime ça. Imagine que cest une grosse queue qui te défonce le cul. Je sais que tu aimes ça salope !
Je poussais jusquà ce que ça tienne tout seul, heureusement, ce nétait pas trop gros. Mais ce gode improvisé me faisait du bien. Je ne voulais pas le montrer. Il mavait excité le bougre, jétais pressée de rentrer pour recommencer et me caresser jusquà lorgasme.
- Cest bien redresse toi ! Je veux te voir marcher avec ton gode dans le cul. Tes bandante comme ça.
Je faisais quelques pas le long du banc, le bouteille bougeait dans moi, cétait trop bon.
- Mets toi sur le bord du banc écarte les cuisses et caresses toi. On arrêtera quand tauras jouis en me criant que tes une salope qui aime se branler dans la rue avec une bouteille de coca dans le cul.
Je massis sur le bord du banc, la bouteille pendait entre mes cuisses. Jécartais les jambes et me caressais le clito en écartant pour bien lui montrer. De temps en temps je rentrais un doigt dans ma chatte et je le faisais aller et venir. Je savais que cela me ferait venir plus vite.
- Vas y cries ! Je veux tentendre crier salope ! Dis le que taime ça, te faire défoncer par des godes et te caresser dans la rue !
- Oui, oui ! Ouuuuuuuuuuuuiiiiiiii ! Jai.. Jaime ça ! Jaime me faire défoncer le cul par un gros gode et me caresser le clito dans la rue ! Je suis une salope !
Et jeus un orgasme, dans cette position du liquide coula entre mes jambes tellement javais jouis.
Javais perdu pied avec la réalité. Je regardais autour de moi. Lenveloppe avait disparu !!! Mince, je regardais partout. Il y avait une autre enveloppe à la place. Et un petit mot « bravo pour cette performance, mademoiselle ». Cétait étrange ce ton solennel après tout ce quil mavait dit au téléphone. Je ramassais mes affaires et constatais que mon string avait disparu. Etait-ce lui ou un spectateur chanceux ? Je ne saurais jamais. Mais je ramenais lenveloppe à mon patron. Mission accomplie !
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!