Mission 3
Jentends le téléphone sonner dans une semi brume. Jai dormi dune seule traite pendant 12 heures et bien sûr, je nai pas entendu mon réveil sonner. Jouvre un il et tente désespérément de remettre mes idées en place, quel jour sommes-nous ?
Mince ! On est mercredi, et il est
11h00 !!!! Je saute hors de mon lit, enfin, je crois que je saute hors de mon lit, en fait, je me lève péniblement et me dirige vers la machine à café.
Je fais une toilette rapide pendant que mon café se prépare. Et enfin, devant mes tartines de confiture, la mémoire me revient.
La journée dhier a été pleine dévènements surprenants et surtout épuisants, mais tellement
comment dire
oui, tellement inimaginables. Cest vrai, comment aurais-je pu imaginer un instant quen acceptant daller échanger une enveloppe pour mon patron je me serais trouvée mêlée à une histoire de... Mais une histoire de quoi au fait ?
Ces flics hier mont simplement dit que je devais venir témoigner, mais je ne savais absolument rien de cette histoire. Quavait fait mon patron ?
Récapitulons : Hier je me rends sur une aire dautoroute pour échanger une enveloppe, le type en profite pour mexhiber et me faire me caresser dans un lieu public, je nai pu arrêter que quand jai eu atteint lorgasme. Certes, jaime beaucoup ces situations qui mexcitent beaucoup, mais je nétais pas venue pour ça, et je nai même pas vu la tête du type à lenveloppe. Il a profité de mon trouble pour faire léchange.
En rentrant chez moi jai été suivi par deux autres types qui en voulaient aussi à lenveloppe, ils sont entrés chez moi, jétais dans mon bain, ils en ont profité pour se faire sucer et me baiser à deux. Cétait des flics, ils me lont dit seulement en partant, et ils doivent mappeler pour que je fasse une déposition au commissariat.
A ce moment là de mes réflexions, le téléphone sonne de nouveau. Jai un peu peur de répondre. Et si cétait mon patron qui réclame son enveloppe ? Comment lui dire que je me la suis faite confisquer ? Et si cétaient les flics qui veulent me mêler à une affaire dans laquelle je nai rien à voir ?
Je réponds tout de même de peur de voir débarquer quelquun chez moi.
- Allô ?
- Mademoiselle T. ?
- Oui
- Commissaire D. à lappareil, nous nous sommes vus hier lors dune perquisition à votre domicile.
- Oui
- Vous devez vous rendre au commissariat ce soir à 18h00 pour une déposition.
- Euh
Mais, je nai rien à dire, je ne sais rien
- Ne discutez pas ! Soyez là à 18h00
Le type raccroche, je fais de même. Et le téléphone sonne de nouveau. Je décroche un peu machinalement.
- Allô
- Allô, cest moi. Quest ce que tu fous ? Tu es allé chercher lenveloppe ?
Cest mon patron. Quest ce que je peux répondre ? Je suis sûrement sur écoute. Je ne sais pas quoi dire.
- Oui, je suis allé chercher lenveloppe.
- Pourquoi nes tu pas revenu directement au bureau, je tai attendu. Cest très important tu le sais. Je tattends dans une heure dans mon bureau.
Et le voilà qui raccroche lui aussi. Tant mieux, ainsi je nai pas eu à lui dire que la police avait confisqué lenveloppe par téléphone.
Je me rends à son bureau un peu comme une automate. De toutes façons, il navait quà aller chercher son enveloppe tout seul. Je frappe à la porte du bureau de mon patron et jentre. Il est au téléphone, il ne lève même pas les yeux sur moi. Je mapproche de son bureau, il était là assis, avec sa bite à lextérieur et une de ses secrétaires lui taillait une pipe. Il avait la main sur ses cheveux. La pauvre fille en avait plein la bouche, il tirait sur ses cheveux pour la faire aller à son rythme, elle avait les seins à lair. Une grosse poitrine dailleurs. De temps en temps, il lâchait sa tête pour toucher ses seins. Elle était à quatre pattes le chemisier ouvert et la jupe relevée sur son string et ses fesses. Nimporte qui aurait pu entrer.
Je regardais le spectacle complètement subjugué. Jen oubliais ma pauvre enveloppe. Il prit une nouvelle fois la tête de la fille dans sa main et la maintint un instant, il était en train déjaculer dans sa bouche.
Il raccrocha enfin, il me fait signe de masseoir. Je nattends pas quil parle et je lui déballe tout. Le type qui fait léchange et que je nai pas vu (je ne donne pas les détails), les flics qui me suivent et me prennent lenveloppe (là non plus je ne donne pas les détails) et le rendez-vous ce soir, au commissariat.
Il ne dit rien, il semble réfléchir. Puis dun coup, il frappe du poing sur son bureau, faisant voler les papiers et tomber les stylos.
Je sursaute et mapprête à menfuir à toute jambes. Il crie que je ne suis quune incapable, quil mavait fait confiance pour cette mission et que je ne valais rien. Je nétais bonne que pour sucer les queues de ses clients pour faire signer les contrats.
Il prend son téléphone et appelle quelquun. La personne est sommée de venir tout de suite dans son bureau.
Je me lève et lance un timide :
- Je suis désole, je ne savais pas que les flics me suivaient. Je suppose que cela veut dire que je suis virée ? De toutes façons, je ne peux rien leur dire puisque je ne sais rien. Restons en là.
Et je me dirige vers la porte rapidement.
- Qui est-ce qui ta dit de bouger ? Reviens ici ! Nous navons pas fini de discuter.
Son ton sétait radoucit, mais bizarrement, il me parut plus dangereux comme ça. Le type quil avait appelé arriva et entra, me forçant à faire demi tour et me rasseoir sur ma chaise.
Comment ai-je pu ne pas mapercevoir que ce type était dangereux. Il avait lair tellement normal. Enfin, je vous laccorde, normal au tant que faire se peut. Certes il me demandait des choses inhabituelles pour laider à signer ses contrats, mais dans le jargon, on appelle ça faire appel à des call girls, ça se fait dans le métier.
Mais je navais aucune idée du genre de business quil faisait. Je ne men étais jamais soucié.
Jétais assise, le type était placé derrière moi. Il avait une main sur mon épaule.
- Alors, tu vas me raconter précisément ce quil sest passé hier et tu vas me dire exactement ce que les flics tont dit.
- Ben, je te lai dit. Je suis allée chercher lenveloppe, le type a fait léchange sans que je men aperçoive.
Il tape du poing sur la table, ça me fait sursauter de nouveau.
- Comment cest possible ?!!! Tu te fous de ma gueule !!??
- Ben, ben, je ne sais pas, il a voulu voir si je ne portais pas de micro. Il ma demandé de me déshabiller. Je lai fait. Il a ensuite voulu voir comment je me caressais
Et je me tus. Je navais pas envie de raconter ça devant le molosse qui me tenait lépaule. Jai senti une légère pression de sa main quand jai dit que je métais déshabillée.
- Continue.
- Il en a profité pour faire léchange pendant que je me
- Pendant que quoi ?
- Que je me masturbais
dis-je sur un ton à peine audible
- Tu veux me faire croire que le type ta demandé de te caresser comme ça sur une aire dautoroute et que tu las fait ? Et quensuite il en a profité pour faire léchange des enveloppes ? Tu te fous de moi ?
- Non... non, je te jure, cest vrai
Je commençais à vraiment avoir peur. Je baissais la tête.
- Et bien tu vas nous montrer ce que tu as fait pour que tu sois si absorbée pour ne pas voir un type faire léchange des enveloppes.
Jallais ouvrir la bouche pour protester quand il cria :
- Maintenant !
La différence avec hier, cest que là je nétais pas du tout excitée. Et je nen avais pas du tout envie. Hier jétais insouciante, je ne savais pas tout ce qui allait arriver ensuite. Cependant, je comprenais quil valait mieux obéir. Et puis, mon patron mavait déjà vu plusieurs fois nue dans des situations bien plus excitantes quune simple masturbation.
Je me levais, retirais mon chemisier et ma jupe, sous lil vicieux du molosse. Je retirais mon soutien gorge et mon slip et me plaçait au bord de la chaise. Je fis mine de me caresser pour leu montrer et refermais mes jambes.
- Tu te moques de moi jespère ? Répète exactement chaque geste. Nous nen perdons pas une miette.
- Il ma dit de lui monter ma chatte en louvrant avec deux doigts et de me caresser les seins.
- Jimagine quil na pas dit ça comme ça
- Il ma dit de me caresser la chatte et mes gros seins et que jétais une salope qui aimait ça, se montrer devant tout le monde et se caresser dans la rue.
- Cest mieux
montre nous
Le type derrière moi sétait placé devant pour ne pas perdre une miette, il fixait mes seins et mon doigt qui caressait mon clito lentement. Je voyais que la situation commençait à lexciter. Il y avait une bosse qui se formait dans son pantalon.
- Ensuite il ma dit de me lever et de lui montrer
mon cul, il voulait coir mon trou pour voir si il aimait prendre des bites. Et il ma demandé si jaimais ça.
- Et tu lui a dit quoi ?
- Jai
jai dit que jaimais ça. Que jaimais sentir des bites dans mon cul. En suite il ma dit de me mettre des doigts pour vérifier.
- Très bien
montre nous
Je me suis relevée, je me suis mise debout de dos. Je me suis penchée en avant et jai écarté mes fesses. Ils avaient une vision de ma chatte et de mon anus. Le molosse était à peine à 50 centimètre de mes fesses, il pouvait juste tendre la main pour me toucher. Cette situation et limpression de danger mexcitèrent de nouveau. Mais jessayais de ne pas le montrer. Je mouillais mon index comme hier et le rentrais dans mon anus, je fis quelques aller retour et le ressortit de nouveau pour le mettre dans ma bouche. Je retournais ma tête pour le faire. Autant leu en donner pour leur spectacle. Et puis ça maiderait peut être à men sortir.
Le molosse nen pouvait plus, il avait sorti sa grosse bite et se caressait carrément en regardant mon doigt entrer et sortir de mon cul.
- Ensuite, il ma demandé de mettre une bouteille de coca dans mon cul et de men servir comme dun gode.
- Très bien
voyons, nous navons pas de bouteille de coca
Nous navons pas de gode non plus
Et bien cest Bernard qui va te servir de gode, hein Bernard ?
- Mais, non, je heu, je veux dire, heu
Jai du masseoir avec la bouteille et me caresser ensuite.
- Mais cest possible... Bernard ! Vas-y encule-la. Mets lui ta bite bien au fond pour que vous puissiez vous asseoir ensuite pour la suite du spectacle.
Il sapprocha de moi, me pencha en avant, cracha tout de même sur mon anus, et senfonça dun coup. Je criais de douleur, son sexe était énorme. Voilà donc le but. Me punir pour hier. Il avait fait venir ce type pour me punir. Je préférais cela aux coups, cest vrai, mais son sexe était vraiment énorme. Il rentrait bien au fond de moi, et il fit quelques aller retour rapide pour se faire plaisir. Je restais penchée en avant sans bouger, ce type se servait de moi.
Il nous retourna ensuite pour montrer à son patron.
- Ainsi donc tu tes assise avec la bouteille dans ton cul et tu tes caressée
Bernard, je te laisse faire
Il me souleva comme une plume, faisant entrer encore plus son membre en moi, si cétait possible. Et il me fit faire quelque aller retour sur son membre tendu vers moi. Ca nétais plus douloureux. Jappréciais davoir ce gros engin en moi qui bougeait et me procurait des sensations que jaimais. Je mouillais carrément maintenant et ma mouille coulait sur mes jambes.
Il sassit en me portant doucement et je me retrouvais assise sur ce type avec sa queue dans mon cul. Elle était un peu ressortie, vu la position, mais elle était tellement énorme que je la sentais bien quand même.
- Vas-y caresse toi.
Je mis ma main sur mon sexe et caressait mes lèvres dabord puis mon clito lentement au rythme des aller et venues du fameux Bernard. Il allait de plus en plus vite, jétais comme possédée, je sentais ma jouissance venir, et je me foutais complètement de lendroit où je me trouvais. Je me caressais comme une folle en criant des « oh oui ! Vas-y ! Défonce moi le cul ! Vas-y plus fort ! Oui cest bon ! ». Bernard mavait empoigné les seins et les malaxait, ça nétait pas dans le scénario mais cétait trop bon.
Je finis par jouir et les contractions de mon anus sur son sexe firent venir Bernard au fond de moi.
Mon patron nous regardait sans rien dire, jétais complètement en nage. Je nosais plus bouger, Bernard se retira avec douceur (bizarre pour un type de cette taille
).et je restais là debout sans bouger. Je sentais le sperme de Bernard couler le long de mes cuisses.
Je savais quil y avait un lavabo dans un coin du bureau de mon patron, mais je nosais pas bouger sans demander la permission.
- Je peux aller me laver ?
- Vas y, il te reste à me raconter lhistoire des flics et ce que tu leur as dit.
Ah non ! Alors cette fois, je ne lui raconterai pas ce qu sest passé avec les flic en détail. Jallais vers le lavabo et me nettoyais. Bernard sétait rhabillé et replacé derrière la chaise. Je reviens et fis mine de reprendre mes vêtements.
- Qui tas dit de te rhabiller ? Tu le feras quand je laurais décidé.
Le salaud, jétais plus vulnérable ainsi, nue devant eux. Et avec ce qui venait de se passer, je létais encore plus.
- Les flics mont suivi chez moi, ils ne mont pas dit quils étaient flics, ils mont montré leurs flingues et ils ont voulu que je leur donne lenveloppe. Je lai fait parce que javais peur.
- Ah ouais, ils sont rentrés comment ? Et comment ça se fait que tu ne maies pas appelé ensuite pour tout me raconter ? Et pourquoi jai eu le sentiment ce matin en tappelant que tu venais de te réveiller ? Tu te fous de moi !!! Tu es de mèche avec eux ! Salope !
Et vlan ! Une gifle, pas du tout méritée et cuisante ! Je crie.
- Non, je tassure, ils sont entrés par surprise, jétais dans mon bain, ils mont e à leur filer lenveloppe. Et ils sont partis.
- Ouais, je nai pas le temps de moccuper de ça. Tu vas rentrer chez toi. Ce soir tu vas chez les flics et tu me racontes ensuite ce quils savent sur moi. Tas pas intérêt à leur raconter quoi que ce soit, ou Bernard viendra te rendre visite et il sera un peut moins doux que tout à lheure. Tas compris ?
Jétais tellement contente de men sortir comme ça, que jacquiesçais et filais sans demander mon reste.
Je sortis nue sur le palier et fonçais aux toilettes me rhabiller. Personne ne semblait trouver ça bizarre. Je rentrais chez moi et me fis un café. Javais quelques heures devant moi pour réfléchir à tout ça
Comment cela allait-il finir ?
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