Aventures D'Ados 11
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Maintenant je prends des cours à la Fac, ce qui ne me laisse pas beaucoup de temps pour menvoyer en lair. Je rentre chez moi chaque jour, et jai peu de chance de rencontrer ma copine Mélanie. Elle passe la plupart de ses nuits dans le lit de son copain, ce qui fait que je nai plus loccasion dutiliser sa chambre. Sa mère pourrait sen apercevoir. Je ne vois plus Steve, il na pas apprécié que je lui refuse mon cul. Lorsque je sens que jai vraiment besoin dun bon petit ramonage, je prends mon gode.
Audrey ma appelé un samedi près midi. Elle était seule et ma invité à courir les magasins avec elle. Elle est venue me chercher et on a passé laprès midi ensemble comme de vielles copines. Le soir nous sommes allées au resto, puis elle ma raccompagné. Ah ! jai oublié de dire quelle vient de sacheter une voiture, une bonne occasion semble-t-il. Je lai fait monter dans ma chambre et on a déballé nos achats. Cest la première fois que jy amène quelquun dautre que Mélanie. On sest assises sur le bord du lit. Je lui ai parlé de mes journées à la Fac, mais aussi de linvitation du chef de gestion de la grande surface dans laquelle jai travaillé pendant 3 mois. Je lui raconte que cet homme me plait. Javais une furieuse envie quil me prenne dans la voiture, jespérais quil me le propose. Bref, je nai pas osé lui demander de coucher avec lui, jétais quelque peu intimidée. Pourtant je croyais quen minvitant au resto, cest ce quil attendait de moi, me baiser. Il ne sest rien passé, cest peut-être mieux comme ça.
Soudain elle maplatit sur le lit, prend ma bouche, cherche ma langue et me murmure à loreille » jai envie de toi » Ca me rend toute chose. Déjà sa main pétrit mes seins, glisse dans mon jean, passe derrière ma culotte, arrive dans ma fente, louvre. Je mouille, elle presse mon clito, il sérige, un doigt puis deux sont dans mon vagin, le fouillent. Je me redresse, jai chaud, mon cur semballe, je me déshabille.
Il est tard, elle se rhabille, jenfile une robe de chambre, la raccompagne en bas, sa voiture est devant la porte.
Elle membrasse, je rentre et trouve ma mère qui mattend dans ma chambre, lair courroucé
. - Quest ce tu foutais ?
- Jétais avec une copine.
- Tu es nue sous cette robe de chambre, explique-moi pourquoi ?
- Je me suis déshabillée pour me mettre au lit.
- Avant de la raccompagner ? Tu me prends pour une conne !
- Avant ou après, quest ce que ça change ?
- Jai bien comprit ce que vous avez fait ! Elle me montre le gode resté sur le lit.
- Les hommes ne te suffisent plus, il te faut des femmes maintenant !
- Quest ce que ça peut te faire !
- Je ne veux pas de ça chez moi Ca passe pour cette fois, mais ne recommence pas !
Je ne pouvais quand même pas lui avouer quon venait de se gouiner, quon sétait fait du bien. Manifestement elle nous a entendues. Ce soir on n'a pas été très discrètes. Dans le feu de laction, jai oublié que mes parents dorment dans la chambre à côté. Elle aussi est nue sous sa robe de chambre.
Ca va faire près de 6 mois que je nai pas rencontré Mélanie. Je ne sais pas comment la contacter, je nai pas ladresse ni le téléphone de son mec.
Pour ma part, à la Fac, je pourrais trouver des verges pour mentretenir la moule, mais ça ne me dit rien, je suis bien trop occupée à suivre les cours. Pourtant mon conduit a besoin de se faire ramoner, ça fait quelque temps quil na pas servi. Si je me fais allumer, je crains le feu de cheminée !
Il y en a bien un qui me plait, mais il est en mains, je ne vais pas lui faire du rentre-dedans, ça serait mal vu par sa copine.
Lautre jour, pendant le cours, le mec assis à côté de moi me chuchote :
- Va mattendre aux chiottes, ferme pas la porte.
- Non mais ça va pas, faut te faire soigner !
- Fait pas ta mijaurée, je vois bien quten as envie !
- Si je veux me faire sauter, ça sra pas par toi !
- Aller, soit pas bégueule, tu ne le regretteras pas !.
- Va te faire foutre ! Jai ce quil me faut !
- Menteuse, tes en manque !
- Quest ce ten sais ? Fout moi la paix !
Il est bien foutu, pas très grand, un peu trop sûr de lui, pense que cest arrivé, quil suffit de claquer les doigts pour me sauter. Il peut toujours courir, il ne faut pas quil compte sur moi pour lui vider les couilles. Un peu plus de romantisme, voyons !
Jai quand même fait une nouvelle provision de condoms, fini le temps de se faire monter à cru !
Cet après midi je nai pas cours, il fait froid dehors, je me ballade tranquillement dans le centre commercial. Seule, je mennuie. Alors que je suis dans un magasin de lingerie fine, un mec dans la trentaine, bien mis, manteau, costume, cravate, pull léger, maccoste et me demande de laider à choisir des sous-vêtements pour faire un cadeau à sa femme.
- Avec ce cadeau, vous allez avoir droit à un très gros remerciement.
- Jespère bien, cest demain son anniversaire !
- En tout cas, si cétait pour moi, je sais ce que je ferais !
- Il fait froid dehors, je vous offre une boisson chaude ?
- Je veux bien.
- Allons-y !
On sort, il memmène à sa voiture. Je le regarde, il est beau mec, élégant, je me le ferais bien. Je ne sais pas comment le lui faire comprendre. Je ne le connais pas, jai pris un risque en montant avec lui en voiture. On arrive en centre ville, on sarrête devant un salon de thé, il me demande si ça me convient. Une serveuse nous ouvre la porte, on entre, il quitte son manteau, moi ma parka, on sinstalle à une table. Je prends un chocolat chaud, il me propose de choisir une pâtisserie. On parle de choses sans importances, la pluie et le beau temps, je suis en fac, nai pas de petit ami, habite chez mes parents. Il ne me parle que peu de lui.. Il paye, on sen va.
- Où puis-je vous déposer ?
- À un arrêt de bus, sil vous plait, je vais rentrer chez moi.
Cest foutu, jy aurais pas droit, il me plait. Jai soudain besoin dun coup de bite sauvage, tout de suite, mon ventre réclame, jaimerais quil me prenne là, dans sa voiture, à sec ! On roule, négligeament je pose une main sur sa cuisse. Il me regarde, ne réagit pas, jenlève ma main, mexcuse.
Il sarrête, se gare, coupe le contact. On est à quelques pas de lentrée dun grand hôtel. Il se tourne vers moi, a un regard interrogateur, ne dit pas un mot. Je tourne la tête vers lui, me sens rougir, je ne suis pas à laise.
On reste allongés, je récupère, il vire la capote, je lui caresse la queue, les couilles. Elle reprend doucement du volume, de la raideur, moi je mouille de nouveau. Jen veux encore un coup, cest trop bon !
- Suce-moi !
- Non, jaime pas ! Autant te le dire tout de suite, je ne veux pas non plus quon mencule !
Alors cest lui qui se met entre mes jambes, mécartèle, sempare de ma vulve gonflée, aspire ma mouille, bouffe mon clito, sa langue sactive, ses doigts mouvrent, je viens, chavire, jouis, il sait y faire. Je le repousse, reprends un préservatif, grimpe sur lui, enfourne sa pine, et cest reparti pour une chevauchée fantastique. Un hurlement, je mécroule, cest trop fort, un autre orgasme. Il me bascule, ses assauts sont fulgurants, sa bite grossit encore, se bloque au fond, donne des à-coups, gicle, je sens les jets de foutre malgré la capote, cest chaud, cest bon, jen perds la tête, défaille, crie ma jouissance. On reste allongés, lun dans lautre, anéantis, silencieux, je goûte les instants magiques qui viennent de sécouler.
On prend une douche ensemble, il menfile de nouveau, debout, liane grimpant à larbre, mes bras autour de son cou, jambes sur ses hanches. Il me tient sous les fesses, est planté dans moi, me fait monter et descendre sur sa tige, quelle santé ! Je pousse un cri, je suis partie, je jouis de nouveau. Mais cette fois, si la branche est encore solide, larbre na plus de sève. Heureusement, car ce dernier coup nétait pas prévu, il me la introduite nue ! Je nai jamais trouvé un mec qui met autant dardeur à me sauter, qui me fait autant jouir, il est toujours en forme.
Ca fait plus de 3 h quon baise, toutes les positions y sont passées, sur et hors du lit, ma tuyauterie na jamais été aussi bien ramonée ! Manque dentraînement, goupillon trop actif, je nen peux plus. Je suis affamée, je lui dis, jai dû perdre au moins un kilo, je me suis trop donnée.. Nos vêtements traînent sur le sol, on se rhabille. On quitte la chambre, le lit est ravagé, il y a des capotes partout, certaines sont pleines de foutre. Il minvite au resto pour finir la soirée. Je bois même du vin, cest contraire à mes habitudes. Je suis un peu pompette, jai besoin de métourdir. Il nest pas tard, jai hâte de rentrer, il me reconduit chez moi, aimerait quon se revoie jeudi prochain, si je suis libre. Il a quelquun à voir en province, compte ne pas rentrer chez lui ce soir là. Jaccepte, il viendra me chercher entre 8 et 9 h. On ira dîner, puis, si je le veux bien, il compte passer la nuit avec moi. Il a aimé ma prestation, je lui réponds que jai apprécié la façon dont il ma baisée. Je suis prête à recommencer, mais pour le moment jai besoin de récupérer.
Il me demande mon téléphone pour me joindre au cas où il aurait un empêchement. De lui je sais juste son prénom, Marc.
Une seule chose me gène : cest un homme marié, il ny a que ceux là qui mintéressent, pas les gamins de mon âge. Ce soir, quand il va retrouver sa femme, quelle excuse va-il invoquer pour expliquer quil a déjà dîné ? Ou alors, comme il a lui aussi perdu énormément de calories, se remettra-t-il à table en arrivant ! Ni vu, ni connu
Et une fois au lit, ça métonnerait quil la baise, il est reparti les couilles bien trop vides !
Jai trop baisé, je suis épuisée, vidée, les jambes molles, jai mal aux cuisses, je les ai trop fort et trop souvent écartées, je nen ai plus lhabitude. Jai limpression que mon trou est encore ouvert, que sa queue est restée en moi. Dommage que ça ne soit pas la réalité.
Je file dans ma chambre, me sens bien, me déshabille, me couche, mendort illico, heureuse !
Vivement jeudi prochain quil me la remette bien profond, jaime.
Si ce récit vous passionne, il y a encore une suite, puis une autre. A plus tard ...
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