Un Pour Tous Tous Pour Un
Lautre nuit, il men est arrivé une bien bonne
Ce soir là, bizarrement, Paulo avait demandé si on pouvait se coucher relativement de bonne heure -22h30 -. Je ny ai vu aucun inconvénient me disant même quil devait avoir envie de sexe plus que de coutume
Bizarrement là encore, il prétexta une grande fatigue pour quon ne fasse pas lamour comme on le faisait tous les soirs depuis son retour
On sendormit donc assez vite, dans les bras lun de lautre. Jaurais du me méfier
Dans mon sommeil, je me suis retrouvé plongé dans un rêve super érotique. Sûrement du au fait que je navais pas pu libérer ma tension sexuelle avant de mendormir. Je rêvais quon me titillait par tous les bouts. Ma rondelle était émoustillée par une langue pointue, mon gland était suçoté très très légèrement par des lèvres expertes et ma bouche et mon nez respiraient une bonne odeur de bite toute proche
Wouaaah ! Trop trop bon ! Jaurais voulu que ça dure et que ça dure
Par contre, je narrivais pas à identifier aucun des trois garçons qui sactivaient doucement sur moi, ni où je pouvais bien me trouver
. A un moment, jai cru que le rêve allait méchapper. Alors, jai tout fait pour rester dedans. Du coup, ça ma mis dans un état de semi conscience, moitié endormi, moitié conscient. Cest alors que je me suis dit que les sensations étaient vraiment très réalistes et trop trop bonnes. Surtout lodeur. Je navais jamais rêvé dodeurs.
Du coup, je sors un peu plus de ma léthargie et retrouve un état de semi-conscience. Sérieux, tout ça paraît VRAIMENT réel tant les sensations sont bonnes. Oui mais alors QUI pour me lutiner par tous les bouts ? Ca ne tient pas
Pour en avoir le cur net, je risque un demi il ouvert
En une seconde, je comprends tout. Dans le lit, en plus de Paulo, jentrevois Fabrice et Paul, nus, occupés sur ma rondelle et sur ma bite. Ainsi donc, tout était vrai ! Je ne peux mempêcher déclater de rire.
« -Attention, hein. On garde les distances
!
-Alors là, ça mintéresse de savoir comment vous allez vous y prendre cette nuit
»
On rigole tous les quatre. Cest vrai quil y avait un moment que Paul et Fabrice nétaient pas venus nous rendre visite. Ca fait plaisir. Même si, plusieurs dois par jour - et par nuit on se voit dappart à appart. On a une chance inouïe de les avoir juste en face de chez nous. Ca leur permet de vivre leur vie de gays pleinement. A nous aussi.
Aussitôt Paulo - organisateur dans lâme nous propose une disposition en carré sur le lit. Chacun suçant et se faisant sucer. Ca nous parait un bon début. Paulo nous précise quon a même le droit de changer de place et donc de partenaire ! Je me décide à sucer Fabrice. Jai toujours aimé sa longue bite bien droite. Paulo, lui, sest jeté sur Paul. On referme le carré. Et, pendant un bon moment, ce ne seront que gloussements, soupirs, gémissements et râles
Je nai pas besoin de regarder plus bas pour deviner que cest Paul qui me suce - chacun ayant une façon personnelle de faire la chose -. En fait, dinstinct, chacun a changé de partenaire habituel. Je me concentre sur le bâton de chair de Fabrice. Daussi loin que je men souvienne, jai toujours aimé sucer des bites. Jaime sentir leur chaleur dans ma main, dans ma bouche. Les sentir vibrer sous la caresse. Je promène la queue de Fabrice sur mon visage, dans mes cheveux
Je la respire, la flaire. Quelle bonne et douce odeur. Je promène mes lèvres humides sur sa toison coupée rase. Je joue avec ses boules quil a parfaitement rasées. Il a un sacré beau sac à couilles, bien pendant mais qui sait aussi se rétracter quand il le faut. Je décide de lui titiller dabord la hampe et de le gober en tout dernier ressort. Sa pine, ivre de désir contenu se dresse majestueusement et tremble sous mes lèvres.
Ca y est. Je lai complètement en bouche. Jenroule ma langue autour de sa tige. Je salive abondamment. Et je commence à le pomper somptueusement tout en maintenant la base de sa tige bien serrée dans ma main. Il ma empoigné les cheveux et accompagne mon va et vient
Après un agréable moment de pipes, Paulo nous demande si ça nous dirait de se faire lécher la raie ? Comme on na rien contre du tout, on lui obéit au doigt et à lil en nous redisposant. Jen profite pour me placer derrière Paul pour le rimmer. Cest reparti ! Grands coups de langues, petites poussées de langues pointées, doigtages
Tout y passe. Je dois reconnaître que Paul, lui aussi, a un cul fabuleux. Deux fesses super rebondies qui lui donnent une chute de reins
, séparées par une raie bien large au fond de laquelle se cache sa jolie rosette rose. On en mangerait. Son cul ressemble dailleurs beaucoup à celui de Paulo. Je dois reconnaître que, la première des choses que je regarde chez un mec, pour savoir si ce sera un bon coup, cest sa chute de reins puis son cou et ses mains.
Pour finir de nous préparer correctement, Paulo se détache et vient distribuer à chacun un gode et un petit tube de gel. Ce ne sont pas les godes qui manquent à la maison. Allons y pour la séance dilatation. Cest Paulo qui me gode. Mais, il ma dabord passé trois doigts. Autant dire que le gode de Rémi me pénètre comme une fleur. Rémi
Je propose alors quon senfile les uns derrière les autres, à la manière dun petit train. Je me mets devant, genoux écartés sur le lit. Fabrice vient me prendre délicatement puis Paulo et Paul en queue de train. Assez vite on trouve la cadence et on se synchronise très bien.
Pour varier les plaisirs, Paulo nous propose une variante à son goût. Il nous fait mettre tous les trois en levrettes, serrés les uns contre les autres, trous offerts. Lui se propose de passer rapidement de lun à lautre. Cest alors un festival de cris. Cri de joie de celui qui le reçoit, cris de réclamation des deux autres qui le réclament. Je dois reconnaître que Paulo virevolte de lun à lautre avec une certaine maestria. Bon prince, il cède sa place à Fabrice puis à Paul. Nous, on profite de la position pour se faire des bisous ou se caresser les bites par en dessous
Mais, voici venu le moment clé de la nuit. Celui pour lequel Paulo a invité Fabrice et Paul. Ca va être ma fête. On va chercher à me posséder ou à me faire jouir par tous les bouts, par tous les trous. Cest Paulo qui me la promis.
Il me fait mettre en levrette. Fabrice se positionne derrière moi, Paulo installe toute une série doreillers sous mon ventre puis il se glisse sous moi, en 69. Fabrice papillonne de ci de là, bite au vent. Sa bite, il la propose à la cantonade. Il commence par me la fourrer dans ma main droite pour que je la lui branle, puis dans la gauche. Pour rigoler, il va même faire mine de me la mettre dans loreille - cest un trou quil avait oublié ! -. Puis, il va aller fourrer Paulo qui sactive sur ma bite pendant que je lui suce la sienne pour enfin aller transpercer son amant régulier qui, lui, me bourre à grands coups de reins. Un sacré festival ! Paulo a juste demandé si on pouvait essayer de jouir tous à peu près en même temps
.
Ca dure ainsi un bon moment, avec de légères variantes de positions. Mais je suis toujours le roi de la fête, celui sur qui se concentrent toutes les attentions. Fabrice annonce quil va bientôt venir. Je le sens sactiver de plus en plus furieusement sur mon cul. Il me secoue comme un prunier. Paulo et moi redoublons alors notre cadence de suce pendant que Fabrice se déchaîne sur les fesses de Paulo. Bref, ça monte de plusieurs crans dun coup. Dans un hurlement de loup Fabrice se vide dans mon ventre. Je compte au moins quatre jets brûlants. Moi-même, je me sens venir dans la bouche de Paulo qui le réalise très bien - on se connaît trop bien depuis le temps -. Ca y est ! Je décharge longuement dans la bouche de Paulo qui avale tout jusquà la dernière goutte. Je redouble defforts sur la bite de Paulo. Il va venir, je le sens. Il vient. Moi aussi, javale tout. Presque en même temps Paul se vide dans Paulo en haletant. Pari réussi ! A peu de choses près, on a tous joui pratiquement en même temps. On sécroule tous, débranchés. On se serre les uns contre les autres, nus, pour sombrer dans un sommeil réparateur.
Plusieurs fois au cours du reste de la nuit je me réveillerai vaguement pour mieux me lover, tel un chat, entre les corps des uns et des autres. Je ferai même une photo avec mon portable tant je trouve le tableau charmant.
Au matin, douche collective prolongée pour tous et petit déjeuner pantagruélique. On se quitte en se promettant de se revoir rapidement.
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