Ardente Voisine
<< Ardente voisine >>
Ce dimanche de juillet promettait dêtre particulièrement torride, et à onze heures du matin le soleil dardait ses rayons avec déjà une rare violence. Lyon se trouvait écrasée sous une véritable chape de chaleur étouffante ; aucun brin dair ne circulait entre tous ces bâtiments de béton.
Guillaume, son sac de sport sur lépaule rentrait chez lui après les deux heures de natation quil sobligeait chaque dimanche matin. Le sport lui était devenu nécessaire pour « gommer » les dégâts causés à son corps part son métier de conducteur dengins sur les chantiers. Grâce à la nage et aux séances de musculation quil se forçait à effec deux fois par semaine, Guillaume à vingt-deux ans possédait un corps fin et musclé.
Tout en remontant la rue Garibaldi, le jeune homme éprouvait un certain plaisir à observer les jeunes femmes quil croisait. Celles-ci, en raison de la chaleur qui pesait sur la ville, avaient revêtu leurs toilettes les plus légères, qui dévoilaient plus quelles ne cachaient leurs affolants attraits féminins. Les croupes rondes, les hanches évasées, les cuisses nerveuses, les seins, ronds ou pointus, gros ou petits, se dessinaient avec une rare précision sous les fines tenues, pour la plus grande joie des promeneurs mâles, jeunes ou vieux.
Comme chaque dimanche matin, Laura, son panier rempli des courses quelle était allée faire aux Halles de la Part-Dieu sen retournait chez elle où son père handicapé lattendait. Tout en se pressant, la jeune femme sentait avec une certaine aversion la sueur lui poisser le dos, les aisselles et le creux des seins. Sa légère robe dété semblait lui coller à la peau, dessinant avec une netteté presque impudique les rondeurs de son corps. Sa lourde poitrine qui déformait dune manière arrogante le devant de sa fine robe, attirait invariablement les regards des hommes quelle croisait. La nature lavait en effet doté dappas mammaires nettement imposants par rapport à sa taille.
Ce matin particulièrement caniculaire, Laura pestait intérieurement contre cette chaleur qui la liquéfiait littéralement. La sueur lui ruisselait dans le dos, trempant sa fine robe imprimée, collant le mince tissu à sa volumineuse poitrine et à sa croupe rebondie. Tout en marchant, elle sentait la transpiration suinter entre ses seins et ses fesses, imbibant désagréablement son anus. Pressant le pas, elle songea à la douche ravigotante quelle allait sempresser de prendre sitôt arrivée chez elle.
Avançant dun pas nonchalant, Guillaume laissait errer son regard sur les jeunes femmes quil croisait, admirant au passage les longues jambes fuselées de celle-ci, la cambrure de reins de celle-là, le déhanchement lascif de cette autre ; larrogance dune poitrine, la finesse dune taille. Le corps féminin songea-t-il, était une parfaite prouesse de la création. Rien dans la nature ne pouvait rivaliser avec cette beauté féminine, faite de tant de grâce, de charme, de courbes, de fluidité et de rondeurs sensuelles. Ce merveilleux corps féminin qui avait inspiré tans de peintres et de sculpteurs célèbres à travers les âges. Déjà les hommes de Cro-magnon sculptaient des représentations de la déesse Mère. La femme, paraissant si fragile au premier abord et pourtant si résistante devant les aléas de la vie.
Ayant atteint la rue Servient où il logeait, dans un modeste F2, situé dans un ancien immeuble, Guillaume fut soudain tiré de ses pensées philosophiques par une silhouette qui le devançait de quelques mètres. A la taille de linconnue ; à sa chevelure mi-longue dun noir éclatant, et aux rondeurs sensuelles quune simple robe imprimée ne parvenait pas à entièrement dissimuler, il crut reconnaître une voisine dimmeuble dont le corps aux formes généreuses le faisait fantasmer depuis longtemps. Pressant le pas il se porta à la hauteur de la femme. Son coeur saccéléra légèrement en constatant quil ne sétait pas trompé :
-- Madame Pertini, interpella-t-il... Vous me paraissez bien chargée, laissez moi vous aider !
-- Oh ! Monsieur Merval ! sexclama Laura en reconnaissant le jeune homme.
-- Permettez que je porte votre panier, proposa Guillaume chevaleresque. Il ma lair bien trop lourd pour vous.
-- Mais non, je vous assure, tenta de protester Laura, tout heureuse au fond delle-même de cette rencontre.
Ne tenant aucunement compte des protestations, bien faibles de la jeune femme, Guillaume se saisit du cabas, libérant Laura de son fardeau.
De son coté, Laura sentait son coeur battre follement, car elle aussi, lors de leur première rencontre, avait ressenti une certaine attirance pour ce jeune homme aux yeux étonnamment bleus, au sourire enjôleur et à la carrure impressionnante. Mais vu lâge du garçon, tellement plus jeune quelle, elle avait rejeté de son esprit toute idée daventure amoureuse avec ce merveilleux, mais trop jeune Adonis. Pourtant à quarante-deux ans, elle éprouvait encore de fréquents désirs charnels quelle devait dans la plupart des cas calmer à laide dune douche froide. Mais lorsque cela ne suffisait pas, elle employait alors des artifices qui la laissaient le plus souvent plus frustrée que comblée.
Cependant, tout en plaisantant, le couple se trouva bientôt devant limmeuble où il résidait. Et alors que Guillaume, dun geste galant lui ouvrait la porte dentrée, Laura ressentit un sentiment dangoisse à lidée quelle allait se retrouver seule chez elle avec son père cloué sur son fauteuil ; son merveilleux prince charmant allait disparaître et Dieu sait quand elle allait avoir loccasion de le revoir... Elle ne pouvait le laisser partir ainsi ! Le peu de temps quelle avait passé prés de lui avait suffit pour faire naître en elle un incontrôlable et insidieux désir, et la moiteur quelle sentait à la fourche de ses cuisses nétait pas entièrement due à la transpiration. Comprenant que si elle voulait garder prés delle le jeune homme, elle devait sy employer rapidement, car ce dernier noserait certainement pas faire le premier pas, elle se lança :
-- Vous ne désirez pas boire une boisson fraîche ? demanda-t-elle angoissée à lidée que Guillaume refuse son offre... Je vous dois bien ça, avec cette chaleur !...
Guillaume qui de son coté, ne savait comment prolonger ce tête à tête délicieux, mais nosait proposer à la jeune femme de venir un instant chez lui, sempressa daccepter linvitation :
-- Je ne voudrai pas vous déranger, tenta-t-il de protester pour la forme.
-- Non seulement vous ne me dérangerez pas, mais vous me feriez un immense plaisir, insista lourdement Laura.
Dans létroit escalier qui desservait les trois étages de limmeuble, Laura, le coeur battant à tout va dans sa poitrine, sempressa de gravir les marches devant son compagnon. Sans sen douter elle offrait à ce dernier le spectacle hallucinant de sa croupe ronde qui ondulait dune manière terriblement suggestive à chaque pas quelle faisait.
Guillaume qui éprouvait un réel plaisir à se trouver en compagnie de cette femme qui le faisait tellement fantasmer, sentit soudainement une bouffée de désir lenvahir à la vision des rondeurs fessières qui roulaient sensuellement à quelques centimètres de ses yeux. Avec émoi il sentit son sexe se gonfler inexorablement dans son slip. Affolé devant le spectacle de ces deux masses mouvantes, il crut même discerner sous le mince tissu de la robe les contours en relief de la culotte de la femme. Ce dernier détail vestimentaire terriblement affolant pour ses sens en éveils, lui donna lenvie de palper cette croupe superbe de ses deux mains, de la pétrir sauvagement, de louvrir afin daller découvrir le merveilleux orifice qui sy cachait. Heureusement larrivée sur le palier du premier étage où logeait Laura freina ses convoitises luxurieuses.
Suivant son hôtesse comme son ombre, Guillaume pénétra dans le logis de celle-ci quelque peu intimidé. Lun derrière lautre ils longèrent dabord un long couloir au bout duquel plusieurs portes donnaient accès à différentes pièces de lappartement. Laura poussa celle de droite pour disparaître dans ce qui sembla à Guillaume la salle à manger doù lui provenait le son dune télévision.
-- Cest moi Papa, entendit Guillaume. Monsieur Merval, notre voisin du dessus est là. Il a eu la gentillesse de maider à porter mon panier.
A ces mots, Guillaume avança dans la salle. Un homme dune soixantaine dannée sy trouvait, assis sur un fauteuil, une couverture sur les jambes, occupé à regarder la télé. De visage il ressemblait étonnamment à sa fille, les mêmes singuliers yeux gris tirant sur le vert. Ses cheveux étaient aussi blancs que la neige. Guillaume avait entendu dire dans limmeuble que madame Pertini vivait avec son père handicapé, mais jamais personne navait rencontré celui-ci et pour cause. Il perçut un sentiment de gêne sous le regard inquisiteur que lui lança lhomme cloué sur son fauteuil.
Comprenant le sentiment de malaise qui préoccupait son invité, Laura entraîna vivement celui-ci de lautre coté du couloir, dans une cuisine spacieuse judicieusement meublée et largement éclairée par une fenêtre orientée Sud-Est. Au centre de la pièce se trouvait lincontournable table de cuisine rectangulaire, en bois blanc recouvert de carreaux de faïence bleutés, entourée de quatre chaises métalliques de couleur blanche et au siège de plastique bleu. Sur le rebord de la fenêtre, dans une minuscule cage, un canari jaune orangé, pauvre oiseau prisonnier de la cruauté humaine, privé despace, ségosillait en trilles vibrantes, marquant ainsi son territoire et tentant vainement dattirer une hypothétique femelle.
-- Mes parents ont eu un accident de voiture lorsque jétais encore , tenta dexpliquer Laura... Ma mère en est morte tandis que mon père est resté handicapé... et depuis je moccupe de lui...
Mais comme Guillaume posait le cabas de légumes à même le sol, la jeune femme sexcusa :
-- Je vous laisse deux minutes, le temps de me changer, car je suis en nage... Mais faite comme chez vous. Les boissons sont dans le bas du meuble là, désigna-t-elle... Servez-nous en mattendant... Pour moi ce sera un Martini blanc...
Puis elle séclipsa par une des portes donnant dans le couloir.
A peine enfermée dans la salle deau, Laura retira vivement sa robe légère trempée aux aisselles et dans le dos. Puis constatant que ses sous-vêtements étaient eux aussi tout aussi humides de transpiration, elle décida de les ôter également. Se contorsionnant elle dégrafa son soutien-gorge, libérant ses volumineux seins moites de sueur, qui privés de leur soutien saffaissèrent mollement sur son torse. Puis ce fut au tour de sa culotte, quelle repoussa sur ses cuisses charnues et le long de ses jambes robustes, jusquau sol carrelé de la salle deau. Entièrement nue, magnifique dans sa nudité sculpturale, Laura dans un réflexe tout féminin examina lentrejambe de son vêtement intime. La large tache humide qui humidifiait la bande de nylon ne la surprit quà demi et comme pour sen assurer elle porta son slip souillé à ses narines pour le humer avec curiosité. Immédiatement elle reconnut lodorant fumet qui sen dégageait pour lavoir plusieurs fois flairés sur ses doigts lors de folles séances de masturbations. Inquisitrice elle glissa une main exploratrice entre ses cuisses et force lui fut de constater combien sa vulve, au centre de son abondante fourrure, était dilatée et abondamment mouillée. Affolée par ce constat, la jeune femme, dont les sens la travaillaient depuis sa rencontre fortuite avec son si séduisant voisin, songea à ce dernier qui lattendait à quelques mètres de là. Certaine que le jeune homme serait apte à éteindre le brasier qui lui consumait les entrailles à condition qui le veuille, elle décida quil ne quitterait pas son appartement avant davoir calmé lembrasement de ses sens, dont il était en quelque sorte responsable. Et pour quil se décide, Laura se sentait prête à toutes les audaces pour attirer le jeune homme dans ses filets où plutôt entre ses cuisses frémissantes. Elle était persuadée que ce dernier noserait faire le moindre geste déplacé envers une femme de son âge, même si comme elle sen était aperçue il était, comme tous les hommes quelle avait rencontré ultérieurement, follement attiré par ses appas mammaires au volume impressionnant.
Rejetant sa lingerie intime à lentrejambe largement imbibé de ses secrétions vaginales dans le lavabo quelle avait rempli deau, elle décrocha du portemanteau mural la blouse quelle mettait habituellement pour vaquer à ses travaux ménagers. Mais alors quelle sapprêtait à lenfiler, une bouffée de chaleur lenvahit en constatant quelle navait pas de sous-vêtement de rechange à sa disposition, ceux-ci se trouvant dans sa chambre. La question sur ce quelle devait faire se posa alors. Devait-elle demeurer nue sous sa blouse ou aller finir de shabiller dans sa chambre ? Limpérieux désir qui lui tenaillait les entrailles lui fit choisir la première solution. Le coeur battant elle boutonna rapidement sa blouse sur son corps moite démotion. Lorsquelle arriva au dernier bouton, une idée soudaine lui traversa lesprit, et avec un petit sourire pervers elle laissa la boutonnière libre, sachant quainsi elle allait dévoiler une bonne partie de ses cuisses à son admirateur, et peut-être un peu plus.
Guillaume qui avait rempli les verres, comme son hôtesse le lui avait demandé, attendait patiemment le retour de cette dernière, quelque peu ému. Tout regardant le malheureux canari ségosiller en pure perte, il sinterrogeait sur la conduite quil allait devoir adopter vis-à-vis de sa sensuelle hôtesse. Comment devait-il se comporter avec une femme du double de son âge ; comment pouvait-il lui faire comprendre quil la trouvait terriblement désirable sans passer pour un goujat. Si la femme devait léconduire suite à une maladresse de sa part, Guillaume songea avec désespoir quil ne sen remettrait pas. Tout accaparé par ses méditations, le jeune homme qui tournait le dos à la porte, nentendit pas lobjet de ses pensées pénétrer dans la cuisine.
Découvrant son invité de dos, Laura en profita, du fait que celui-ci ne lavait pas entendu arriver pour lobserver discrètement. Le jeune homme possédait de larges épaules de sportif, une taille étonnamment fine et surtout ce qui attira plus particulièrement le regard de la femme, un derrière rond et admirablement dessiné. Comme certains hommes étaient attirés par la croupe dune femme, Laura, elle, était spécialement appâtée par les fesses dun homme. Son regard était inévitablement attiré par cette partie de lanatomie masculine, lors de ses promenades.
-- Me voilà, lança-t-elle au bout dun moment
Excusez-moi de vous avoir laissé seul
Avez-vous tout trouvé ?
Sursautant au son de la voix de son hôtesse, Guillaume se retourna vivement. Immédiatement il saperçut dun changement dans la silhouette de sa sensuelle voisine. Sa poitrine, objet de ses fantasmes les plus fous, qui quelques instants plus tôt paraissait si arrogante sous la légère robe dété, semblait étrangement moins importante sous la blouse. Mais, même si elle se révélait moins considérable, elle attirait toujours le regard. Aux doux balancements qui agitaient le tissu du vêtement, Guillaume comprit avec émoi que la jeune femme avait retiré son soutien-gorge. A imaginer les lourdes mamelles libres de toutes entraves, le jeune homme sentit le désir qui sétait quelque peu assoupi durant labsence de son hôtesse, retrouver toute sa vigueur initiale. Une nouvelle érection se forma au bas de son ventre, tandis que tout son visage sempourprait : signe de son intense excitation.
Laura, à qui le trouble de son invité navait pas échappé, en conçue une formidable joie et un encouragement pour la réussite de son projet. Sasseyant à coté de sa jeune victime, elle sarrangea en prenant son verre, à ce que le bas de sa blouse sécarte suffisamment pour offrir à son invité la vision dune bonne partie de ses cuisses.
-- A votre santé, lança-t-elle en poussant son verre en direction de celui de son invité... Et à la réalisation de tous vos voeux, continua-t-elle perverse en écartant légèrement ses jambes.
Amenant son verre à ses lèvres, Guillaume ne put éviter de porter son regard sur les deux cuisses à demi dénudées que son hôtesse lui offrait généreusement : deux fuseaux larges et blancs entre lesquelles il avait si souvent rêvé de glisser son visage. Que de fois sétait-il imaginé coller ses lèvres à la faille sexuelle de sa si sensuelle voisine, et de sabreuver la source divine qui sen échappait. Tachant de cacher le trouble que lui inspirait la vision des cuisses dénudées, le jeune homme vida dun trait son verre de whisky sous le regard ravi de son hôtesse.
-- Resservez-vous, si vous le désirez, linvita cette dernière.
La gorge nouée, le sexe gonflé à lextrême, Guillaume sempressa de se verser une seconde rasade de whisky quil absorba par petites gorgées, le regard toujours attiré par cette chair nue que lui dévoilait la blouse écartée : véritable supplice de Tantale pour sa libido exacerbée.
Laura qui sétait rendue compte de lémotion que le spectacle de ses cuisses occasionnait à son jeune compagnon, décida de continuer, sans en avoir lair, daffoler un peu plus ce dernier. Il lui fallait absolument troubler suffisamment le jeune homme, afin que ce dernier, faisant fi des années qui les séparaient, lui fasse lamour. Tout en discutant normalement de tout et de rien, Laura porta négligemment sa main gauche au bouton qui tenait fermé le haut de sa blouse. Innocemment, menant la discussion, elle tripota dun geste naturel lattache de métal, la tritura jusqu'à la faire sauter de sa boutonnière. Sentant alors le haut de sa blouse sécarter imperceptiblement, elle se baissa légèrement de manière tout à fait naturelle face à son vis-à-vis. Dans ce mouvement, le haut de son vêtement, libéré de sa fermeture bailla plus largement, offrant au jeune homme qui lui faisait face, laffolant spectacle de ses volumineux seins libres de toutes entraves.
Médusé, Guillaume demeura un instant sans voix en découvrant la partie supérieure des lourdes mamelles, objets de ses fantasmes les plus fous, tanguer sensuellement à quelques centimètres de ses yeux. Se doutant que sa sensuelle voisine était consciente du spectacle terriblement aguichant quelle lui offrait aussi généreusement, il décida de profiter du panorama qui sétalait devant son regard ; puisque la femme lui dévoilait si généreusement ses appas, il aurait eu tord de ne pas en profiter. Mais très vite un dilemme se présenta à lui : que contempler ? Les cuisses longues et fortes, véritables colonnes de chair ou les magnifiques gros seins aux balancements si érotiques ? Lesprit complètement embrumé par lintense désir qui le tenaillait et surtout par lalcool ingurgité, il osa alors un geste en direction de sa si sensuelle voisine. Avançant une main frémissante, il referma ses doigts sur le genou largement découvert de son hôtesse, éprouvant un véritable délice à sentir cette chair féminine si douce et si ferme à la fois, chaude et veloutée. Comme la jeune femme navait pas bronché sous cet attouchement indiscret, il laissa alors sa main remonter insensiblement le long de la cuisse moelleuse et duvetée.
Le corps soudain parcouru par un long frisson de volupté, la respiration bloquée, Laura éprouva un bref sentiment de plaisir : son si séduisant voisin était enfin tombé dans ses filets ! Malgré lintense désir quelle ressentait à sentir cette main masculine remonter le long de ses cuisses pour atteindre son sexe en émoi, elle décida, à regret, de repousser cette main pourtant si tentante afin dexacerber encore un peu plus le désir du jeune homme.
-- Chut, soyez sage, murmura-t-elle dune voix néanmoins complice.
Dépité, Guillaume vida son verre de whisky pour la deuxième fois.
Jugeant sa jeune victime à point, Laura décida de sassurer que son père ne risquerait pas de la déranger pendant la demi-heure qui allait suivre. Se levant de sa chaise elle sarrangea pour que sa blouse sécarte largement sur ses jambes nues :
-- Je reviens, murmura-t-elle avec un sourire le plus enjôleur à son invité.
Dune démarche chaloupée, elle quitta la cuisine pour se rendre dans la pièce voisine.
Resté seul, Guillaume sempressa de se servir un troisième verre de whisky quil avala dun trait, tant ce qui lui avait semblé apercevoir lavait retourné... Lorsque la femme sétait redressée de sa chaise, sa blouse sétait largement écartée et il avait semblé au jeune homme apercevoir une tache sombre à la jointure des cuisses féminines. Cette vision à laquelle il ne sétait pas attendu, lui donna à penser que sa sensuelle compagne ne portait pas plus de culotte, quelle navait de soutien-gorge. A lidée que son hôtesse était entièrement nue sous sa blouse, une bouffée de chaleur lavait submergée. Tendant loreille en direction de la pièce où Laura avait disparue, il surprit la conversation quéchangeaient le père et la fille.
<< -- Ca va Papa ? disait Laura.>>
<< -- ..... .... >>
<< -- Tu es bien ? Tu nas besoin de rien ? ... Cest bon, je te laisse regarder la télé ! Tu mappelles si tu as besoin de quelque chose ! Je suis à la cuisine !... Comment ? ... ... Oui, Monsieur Merval est encore là ! >>
Guillaume dont lintense désir lui vrillait le bas-ventre, le faisant bander comme un âne, surveillait dun oeil allumé la porte derrière laquelle son égérie avait disparu. Lorsque enfin il la vit réapparaître, son coeur semballa : Laura, avec un air complice tira derrière elle la porte de la salle de séjour, sans la fermer tout à fait. Puis pénétrant dans la cuisine, elle en fit autant, repoussant la porte derrière elle, sans non plus la fermer complètement. Posant un doigt sur ses lèvres, pour lui intimer le silence, elle savança rapidement jusquà lui.
Arrivée prés du jeune homme dont la mâle beauté avait mis le feu à ses sens le jour même où elle lavait croisé, Laura rejetant toute pudeur, se jeta plus quelle ne sassit sur ses genoux, à la grande surprise du garçon. Saisissant à deux mains le visage de sa victime, elle sempara goulûment de ses lèvres entre lesquelles elle infiltra sa langue souple et agile, avec laquelle elle entama un ballet terriblement sensuel. Telle une affamée, elle mit dans son baiser toute sa soif sexuelle, sa hargne de jouir, tandis que ses mamelons se gonflaient douloureusement et quentre ses cuisses le débit de sa fontaine intime samplifiait considérablement.
Cela faisait plus dun an quelle navait pas eu de rapport sexuel ; et encore, cela sétait passé de manière rapide, contre le mur du corridor.
« Ce jour là, elle sétait offerte à un représentant Antillais qui était venu lui proposer des statuettes en faux bois débène. Elle avait tellement aguiché le malheureux, par ses avances sexuelles, ses poses provocantes, que ce dernier complètement affolé lavait prise debout, à même le mur du couloir ; et son vagin sétait souvenu longtemps de lorgane masculin qui lavait pénétré. »
« Doté dun membre viril dune impressionnante longueur, lhomme lavait littéralement perforée de son pal de chair monstrueux. Du fait de son un mètre quatre-vingt lAntillais lavait brutalement soulevé du sol en la pénétrant et elle sétait retrouvée les pieds battant lair à dix centimètres du sol. »
« Profondément empalée sur lincroyable pieu de chair rigide, la seule solution quil lui était restée pour apprécier au mieux cette fougueuse pénétration avait été de saccrocher de ses bras au cou de lhomme et de lui ceinturer les hanches de ses cuisses. Ainsi accrochée au mâle, telle une liane à un tronc darbre, elle avait pu goûter pleinement le va-et-vient de limmense verge dans son vagin enflammé. Mais du fait de la longueur effarante de ce membre, chaque coup de boutoir que lAntillais lui avait dispensé lavait transpercé si profondément que le choc brutal du gland colossal lui avait meurtri lutérus. Il lui avait même semblé que la totalité de ses organes génitaux étaient ébranlés par les chocs sourds dispensés par la longue colonne de chair. Mais sous ces heurts brutaux et douloureux qui lui broyaient le fond du vagin, Laura avait pour la première fois de sa vie ressentie un début de plaisir sado-masochiste ; surtout que lhomme la maintenant fermement par les fesses, lui meurtrissait allègrement celles-ci ; a tel point quelle en avait garder des bleus pendant plus dune semaine. Cependant ces fulgurants coups de boutoir qui lui remontaient douloureusement les organes génitaux, avaient quand même réussis à déclencher en elle de longs spasmes voluptueux qui lui avaient irradié tout le corps. Jamais auparavant elle navait ressenti un plaisir si intense, si fulgurant que ce jour là ! Toutefois, au bout dun quart dheure dune pénétration sauvage, lAntillais trop excité pour se contenir davantage, avait eu une éjaculation dune telle violence que sa vulve avait été copieusement emplie par le sperme chaud et abondant. Et lorsque lhomme, soufflant comme une forge, avait retiré son fabuleux membre de son ventre meurtri, un véritable flot avait jailli de sa chatte dilatée. Cela avait été un flot impétueux où se mêlaient labondante semence de lhomme et ses propres sécrétions vaginales qui navaient jamais été si copieuses. Ce torrent vaginal lui avait aspergé lintérieur des cuisses avant de souiller le carrelage du sol dune large flaque blanchâtre. »
Après cette folle séance amoureuse, ses sens apaisés lavaient alors laissé tranquille quelque temps ; jusquau jour où ce nouveau voisin était apparu dans sa vie. Son corps dathlète, sa chevelure blonde et bouclée, ses immenses yeux bleus et surtout son sourire dangelot avaient fait renaître dans son corps un afflux de désir dévastateur.
Revenu de sa surprise, Guillaume entreprit alors de répondre au bouillant baiser de sa chaude hôtesse ; sa langue repoussa celle de la femme pour aller fouiller à son tour la bouche accueillante de cette dernière. Habilement il accrocha la langue agile de sa sensuelle voisine pour la sucer avec délice, senivrant du goût de la chaude salive parfumée dans un baiser plein de fougue et de passion. Ses lèvres aspirèrent celles de Laura pour les lécher avec gourmandise, éprouvant un délicieux plaisir à les mordiller délicatement, comme il laurait fait avec un fruit juteux pour en extraire son suc rafraîchissant. Sentant la jeune femme mollir dans ses bras sous son baiser plein dexaltation, Guillaume se laissa alors guider par ses désirs. Maintenant sa chaude partenaire contre lui de son bras gauche, il osa partir à la découverte de ce corps aux courbes si affolantes qui le faisait tellement fantasmer. Immédiatement il lança ses doigts en direction des volumineuses saillies qui déformaient le devant de la blouse à hauteur de la poitrine. A travers le tissu du vêtement il palpa avec ivresse les lourdes masses mammaires, augmentant encore son excitation. Aussitôt, sous cet attouchement, il sentit Laura se trémousser, comme si elle était prise dune soudaine démangeaison. Laissant ses doigts courir sur les lourds appas si proches, Guillaume ne tarda pas à rencontrer le premier bouton qui maintenait la blouse fermée. Ne pouvant résister au désir de palper enfin cette abondante poitrine quil sentait si proche, il le fit sauter de sa boutonnière, ouvrant un peu plus le vêtement. Comme Laura ne semblait pas soffusquer de son audace, Guillaume, la gorge nouée, laissa descendre sa main jusquà ce quil trouve le second bouton quil fit sauter à son tour. Laura se contenta de se trémousser un peu plus sur sa cuisse. Encouragé par le comportement complice de sa volcanique voisine, Guillaume sattaqua alors aux autres boutons, les faisant sauter de leurs boutonnières les uns après les autres, ne prenant plus aucune précaution.
Lorsque la blouse fut enfin complètement déboutonnée, Guillaume sempressa de remonter sa main jusquà cette gorge au volume impressionnant qui lobsédait tant. Ecartant le vêtement défait, il referma sa main sur la masse chaude et élastique dun sein quaucun soutien-gorge ne protégeait, comme il lavait deviné. Enfin il avait en main ce merveilleux fruit de chair étonnamment gonflé qui lui attirait le regard chaque fois quil croisait sa propriétaire dans lescalier. Que de fois avait-il souhaité palper cette gorge au relief surprenant. Ivre de volupté, il empauma avec passion le globe charnu, le malaxant avec ivresse, le pressant sensuellement tout en agaçant habilement de son pouce le téton qui se dressait fièrement au centre de son aréole granuleuse.
Sous cet attouchement précis et terriblement voluptueux, Laura sentit un long frisson de plaisir lui irradier les reins. Alors que son bas-ventre se crispait douloureusement, de sa chatte affolée une source brûlante séchappait. Saccrochant frénétiquement au cou de son compagnon, elle agita éperdument sa langue dans la bouche de ce dernier en un baiser plein dune fougue érotique qui la fit saliver avec abondance. De ses lèvres, pourtant étroitement unies à celles de son complice, un sourd gémissement où se mêlaient plaisir et impatience séchappa. Ses sens affamés par un trop long jeun sexuel se firent soudain pressant dans son corps torturé par le désir. Chaque frôlement du pouce masculin contre son téton douloureusement dressé, déclenchait en elle, de longs frissons voluptueux qui lui irradiaient les reins et le bas-ventre. Devant laffluence de ses secrétions vaginales, dues aux sensuels attouchements dont étaient lobjet ses seins gonflés, elle resserra vigoureusement ses cuisses lune contre lautre, tentant par ce biais de bloquer cet afflux décume sexuelle sourdant des profondeurs de son sexe liquéfié. Comme les ondes voluptueuses se faisaient de plus en plus suaves dans sa poitrine gonflée outrageusement, Laura éprouva le désir de caresses plus délicates. Abandonnant son baiser, elle recula son torse de son compagnon aux lèvres luisante de sa salive et saisissant celui-ci par le cou, elle attira son visage contre son sein douloureux à force dêtre malaxé :
-- Embrasse-le, grogna-t-elle dune voix enrouée par limpatiente.
Ne se faisant pas prier ; puisque linvite de la jeune femme allait dans le sens de ses désirs, Guillaume referma sa bouche autour du mamelon granuleux. Et tel un nourrisson affamé, il entreprit alors de téter avec passion lopulente mamelle à la douceur de satin. Tout en pressant la large aréole boursouflée entre ses lèvres humides, il singénia à titiller le téton érigé dune langue habile, lagaçant, le rendant plus sensible encore. Cette caresse ne tarda pas à arracher des petits gémissements de plaisir à sa chaude partenaire, qui se mit à se contorsionner convulsivement, agitant sensuellement sa croupe sur sa cuisse où elle était assise. Heureux de constater combien la jeune femme semblait apprécier les attouchements mammaires quil lui dispensait, Guillaume entreprit alors de refermer ses dents sur le bourgeon de chair qui se dressait insolemment au centre de son aréole bouffie. Il le mordilla tendrement, appuyant à peine sa morsure afin de ne pas blesser le fragile appendice mais serrant suffisamment ses dents afin de déclencher une réaction dans le corps frémissant de son hôtesse abandonnée. Aussitôt les gémissements langoureux qui séchappaient de la gorge de Laura se transformèrent en plaintes amoureuses. Les reins arqués, tendant frénétiquement sa lourde poitrine aux voluptueuses morsures dont elle était lobjet, la jeune femme referma sa main sur la nuque de son partenaire, lui écrasant le visage contre son sein douloureux.
-- Oh oui ! Grogna-t-elle dune voix soudain enrouée... Encore...
Comprenant quil venait de découvrir là, un des centres érotiques de sa sensuelle hôtesse, et que cette dernière avait lair dapprécier au plus haut point ce quil faisait subir à ses mamelons, Guillaume décida de poursuivre ses sensuelles morsures. Refermant plus durement ses dents sur le téton meurtri, il le mordit plus franchement. La réaction de la jeune femme fut alors aussi soudaine quinattendue : tressautant violemment elle poussa un petit cri où douleur et plaisir se mêlaient, tandis que ses doigts aux ongles effilés labouraient le crâne de son tortionnaire.
Laura, dont les mamelons avaient toujours été une zone érogène extrêmement sensible, accompagna chaque onde de plaisir par un petit cri. Tout son corps était parcouru par de longs frissons érotiques qui explosaient en une myriade dondes voluptueuses dans les profondeurs de son sexe liquéfié. Incapable de se contenir sous laffolant plaisir que lui procurait la morsure de ses bourgeons de chair, sabandonnant entièrement à ce ravissement dont elle avait été privé depuis si longtemps, elle en oublia tout ce qui lentourait. Oubliant jusquà son père, qui depuis la salle à manger où il se trouvait devait certainement entendre ses cris de volupté. Une seule chose comptait maintenant pour elle et la rendait impatiente. Que le garçon qui lui procurait un tel plaisir, la prenne le plus vite possible, quil vienne, à laide de sa puissante lance sexuelle, éteindre lincendie quil avait allumé dans son vagin. Elle aurait voulu lui crier quil lui fasse lamour, quil la baise, là, immédiatement : son vagin dilaté et débordant de sécrétion amoureuse réclamait un organe masculin... Ne désirant cependant pas passer aux yeux de son jeune compagnon pour une femme par trop dévergondée, elle se força à attendre que le jeune homme décide par lui même le moment où il planterait son membre gonflé dans la faille de sa vulve.
Envoûté par les plaintes amoureuses émises par sa sensuelle compagne, Guillaume continua de mordiller le téton maintenant exagérément dilaté. Songeant soudain au second sein momentanément abandonné, le jeune homme y porta sa main gauche pour saisir lexcroissance gonflée quil entreprit de presser. De délicate, la pression de ses doigts se fit de plus en plus fermement. Ayant compris combien sa volcanique partenaire appréciait les attouchements de ses tétons, Guillaume entreprit alors de vriller le bourgeon de chair entre son pouce et son index. Le chant amoureux de Laura grimpa aussitôt dun octave dans laigu, déclenchant aussitôt les trilles vibrantes du canari dans sa cage.
Guillaume ne put sempêcher de songer que dans la salle à manger voisine, le père de son ardente voisine ne pouvait ne pas entendre les plaintes amoureuses de sa fille. Comment celle-ci allait-elle pouvoir expliquer ses gémissements de plaisir à son géniteur. Rejetant de son esprit ce problème, qui en fait ne le regardait pas, il décida quil était temps daller se rendre compte de létat dexcitation de sa compagne, en glissant une main curieuse entre les cuisses de cette dernière. Aussitôt les jambes féminines sécartèrent largement lune de lautre pour lui faciliter son exploration. Il neut pas à tâtonner beaucoup pour trouver la longue fente sexuelle aux grandes lèvres gorgées dun suc chaud et onctueux. Comme il glissait son majeur le long de la vulve ruisselant, son doigt fut comme aspiré dans les profondeurs mystérieuse de la merveilleuse grotte. Lantre luxurieuse lui parut alors si vaste et si accueillante quil joignit son index à son majeur déjà fiché dans les chairs vaginales.
Sous cette pénétration tant espérée, Laura lança son bas-ventre en avant à la rencontre de ces doigts dispensateurs de volupté. Le corps arqué, les jambes largement ouvertes sur sa chatte affamée, les seins douloureusement gonflés, le bas-ventre frémissant de mille frissons sensuels, elle encouragea son jeune compagnon à la fouiller plus profondément dans un long râle de plaisir. :
-- Oh oui ! Continue !... Plus loin !...
Encouragé par les plaintes lascives que la jeune femme installée sur ses genoux émettait, Guillaume accéléra alors le mouvement de va et vient de ses doigts accolés à lintérieur de la chatte emplie de jus vaginal brûlant. Laura tressaillit de plus belle sous la vivace masturbation dont elle était lobjet. Comme son index et son majeur réunis coulissaient avec une réelle aisance dans cet océan de cyprine onctueuse, Guillaume décida dy joindre son annulaire. Même si ce dernier força quelque peu pour pénétrer dans la grotte sexuelle, dilatant un peu plus lorifice suintant, il ne sembla pas au jeune homme que sa compagne ne ressente une quelconque souffrance sous cette volumineuse pénétration digitale. Les trois doigts centraux de sa main droite fouillèrent et explorèrent avec adresse le vagin bouillonnant de la jeune femme à demi pâmée dans son cou. Profitant de limmobilisme de Laura, Guillaume glissa son auriculaire dans le profond sillon qui séparait les deux fesses pleines et encore fermes, pour aller frôler lanus qui sy cachait.
Sous ces différents attouchements, tous plus affolants les uns que les autres, Laura sabandonna alors entièrement au désir qui lavait saisi lors de sa rencontre avec son séduisant voisin et qui depuis une demi-heure lui taraudait cruellement les entrailles. Décidant dabandonner son rôle passif, elle projeta vivement sa main en direction de lentrejambe de son compagnon. Se doutant de ce quelle allait y trouver, elle ressentit quand même un immense émoi lorsque ses doigts se refermèrent sur lénorme protubérance que faisait le membre viril bandé de son compagnon. Cette constatation balaya ses dernières retenues. Rejetant alors toutes fausses pudeurs, elle sabandonna à ses pulsions sexuelles :
-- Donne-moi ta queue, grogna-t-elle à ladresse de son partenaire dune voix rendue rauque par le désir... Je la veux en moi
Maintenant !... Jen ai trop envie !...
Et comme pour mieux se faire comprendre par le garçon quelque peu abasourdi par ce changement dattitude, elle entreprit de repousser dune main impatiente le pantalon de survêtement qui lui cachait lobjet de ses désirs.
Soudainement aussi pressé que sa partenaire, Guillaume afin daider cette dernière à réaliser ses envies releva ses fesses de son siège afin que Laura puisse descendre son pantalon le long de ses cuisses.
Véritable femelle affamée sexuellement, la jeune femme se jeta littéralement sur le slip boursouflé, dernier rempart faisant obstacle à sa convoitise. Fiévreusement, elle tira le sous-vêtement, le repoussant le long des jambes du jeune homme, mettant enfin à jour ce sexe masculin tant convoité par ses sens enflammés. Devant la vision affolante de ce pal de chair orgueilleusement dressé et oscillant doucement dans une invitation terriblement érotique, Laura dont les organes génitaux impatients dêtre enfin comblés la torturaient, referma sa main autour de la puissante verge bandée. Lentement, elle fit coulisser ses doigts le long de limposante virilité quelle décalotta délicatement, faisant apparaître le gland bouffi quelle fixa dun oeil concupiscent. Le bourgeon de chair dilaté à la peau cramoisie la fascina. Un étrange envoûtement la saisit, comme à chaque fois quelle découvrait le gland gonflé de sève dun mâle en érection. Le minuscule orifice qui pareil à un cratère souvrait au centre du dôme charnu lhypnotisait sensuellement : que de cette minuscule ouverture puisse jaillir, pareil à un geyser flamboyant une telle quantité de lave létonnait et la troublait toujours. Prise dun désir incontrôlable, elle grogna dune voix sourde en fixant avec avidité le mandrin de chair :
-- Oh quel morceau ! ... Je le veux !... Je veux le sentir dans mon ventre !...
Et sans attendre lacceptation de Guillaume qui assit sur sa chaise, le bas-ventre dénudé la fixait avec envie, elle décida dassouvir immédiatement son besoin sexuel. Elle savança dun pas, les jambes largement écartées afin de chevaucher les cuisses musclées du garçon. Lançant sa main droite en direction du bas-ventre masculin elle sempara en frissonnant du long dard dressé quelle maintint verticalement au-dessous de sa chatte béante. Puis lorsquelle sentit lénorme gland turgide frôler ses grandes lèvres sexuelles, elle se laissa tomber de tout son poids, sempalant profondément sur le pieu de chair, dans un long râle de bonheur... Enfin un membre viril la pénétrait, lui emplissait entièrement le vagin. Combien de fois en avait-elle rêvé, lorsque dun doigt rageur elle se branlait telle une adolescente, seule dans son immense lit trop grand pour son corps fiévreux. Même ses godemichés avec lesquels elle se pistonnait régulièrement les entrailles ne pouvaient être comparés avec cette merveilleuse bite dure et douce en même temps. La puissante verge de son si séduisant voisin lui emplissait complètement le vagin dune présence chaleureuse. Rien ne pouvait remplacer un membre masculin raidi dans le sexe dune femme en chaleur, songea-t-elle ; et elle savait de quoi elle parlait pour avoir essayé toutes sortes dartifices pour palier à ce manque dorgane masculin.
Depuis la bougie de cire à la courgette, en passant par la banane, épluchée ou non, Laura avait pratiquement tout essayé. Même les vibromasseurs bruyants, quelle utilisait couramment et dont elle possédait toute une collection ne pouvaient, malgré leurs oscillations mécaniques, lui apporter lextase que lui procurait limposante bite de Guillaume plantée dans sa chatte en fusion.
-- Oh comme tu es gros, bredouilla-t-elle comblée, à lintention du jeune homme
Tu me remplis toute... Je sens ton gros bout jusquau milieu du ventre... Cest terrible...
Guillaume remarqua amusé, que dans sa folie érotique, Laura avait abandonné le vouvoiement du début. Le jeune homme percevait avec émotion la chaleur des muqueuses féminines autour de sa verge gonflée, comme si son membre se trouvait plongé au coeur même dune fournaise. Cétait la première fois, songea-t-il quil se trouvait fiché dans un sexe féminin aussi torride. Jamais encore il navait connu de femme au vagin aussi incandescent. Un étrange bien être sexuel lenvahit ; bien être qui saccentua lorsque la jeune femme impatiente dêtre labouré par son soc charnel commença à agiter sa croupe rebondie. Ahanant, tel un cheval fourbu, Laura entama une lente et sensuelle chevauchée, faisant coulisser les muqueuses gorgées de suc de sa vulve enflammée le long de son membre viril prisonnier. Laissant son hôtesse sempaler à son allure sur son dard raidi, Guillaume en profita pour contempler le spectacle affolant que cette dernière lui offrait.
Les yeux brillants dun éclat particulier, sétaient sous le plaisir irisés de reflets verts, donnant au regard de la jeune femme un chatoiement insolite et plein de mystère. Laura le fixait dun regard pâmé, les ailes fines de ses narines palpitaient doucement sous leffet dune respiration saccadée ; sa bouche aux larges lèvres sensuelles, mis en valeur par un rouge à lèvres dun ton brillant demeurait entrouverte sur de doux gémissements de plaisir. La femme possédait une bouche à faire des pipes songea Guillaume en fixant les lèvres pulpeuses bien en chair. Le torse féminin, fin et étroit paraissait presque malingre par rapport aux lourdes mamelles quil supportait et qui tressautaient allégrement de bas en haut au rythme de la folle chevauchée entamée par leur volcanique propriétaire. Laissant descendre son regard sur le corps féminin gigotant sur ses cuisses, Guillaume constata que son ardente hôtesse commençait avec lâge, à prendre du ventre. Mais ce léger embonpoint ne cachait pas une abondante toison brune qui tapissait le bas-ventre féminin. La fourrure crépue venait intimement se mêler à ses propres poils pubiens, chaque fois que lardente cavalière se laissait retomber sur ses cuisses pour sempaler avec une rage hystérique.
Après un moment passé à admirer ce corps féminin, encore terriblement sensuel, Guillaume dont le regard était attiré par la danse érotique des seins volumineux, avança les mains pour saisir ces outres de chair, les immobilisant dans leurs tressautements en les empaumant délicatement. Puis pressant fiévreusement les lourdes mamelles, il remonta ses mains jusquaux mamelons gonflés de désir, quil frotta doucement de ses paumes. Habilement, il agaça les tétons déjà fort érigés, les faisant ce durcir encore un peu plus.
Sous cette palpation précise, Laura ressentit, comme à chaque fois que ses seins étaient lobjet dattouchements, une bouffée de chaleur, qui prenant naissance depuis la surface granuleuse de ses mamelons se propagea jusquà son bas-ventre quil irradia de milles élancements voluptueux. Affolée par les réactions de son corps, dus aux frôlements que lui prodiguait son habile compagnon, la femme, les reins arqués afin de mieux offrir son opulente poitrine aux mains expertes qui la comblaient, activa la cadence de sa chevauchée, sempalant sur le pieu de chair avec de plus en plus de frénésie. Avec un réel enchantement elle sentait la puissante verge coulisser dans son sexe liquéfié, repoussant et comprimant les chairs juteuses de sa vulve. Lénorme gland dilaté, en venant sécraser dans le fond de son vagin en fusion, lui procurait un plaisir extraordinaire qui se répercutait jusquau plus profond de ses entrailles es. Incapable de contenir ses émotions, oubliant la présence de son père handicapé dans la pièce voisine, elle laissa échapper ses cris de jouissance qui résonnèrent dans la cuisine, couvrant les gazouillis mélodieux du canari dans sa cage.
Véritable amazone lubrique, Laura agita fiévreusement sa croupe nerveuse à la recherche de ce plaisir dont elle avait été privée depuis si longtemps. De sa chatte furieusement barattée, un affolant bruit de clapotis séleva, excitant un peu plus Guillaume qui sentait un chaud liquide sinfiltrer entre ses jambes et lui tremper les couilles.
Ivre de volupté, la bite plongée dans un magma incandescent, Guillaume comprit que si Laura ne ralentissait pas son allure, il ne pourrait contenir longtemps le plaisir quil sentait monter de ses entrailles. Abandonnant les volumineux seins quil malaxait avec fièvre depuis cinq minutes, il crocheta ses doigts dans les hanches rebondies de sa fougueuse écuyère, afin de tenter de ralentir les mouvements désordonnés de cette dernière :
-- Doucement ! grogna-t-il dans lespoir que le jeune femme ralentirait sa danse amoureuse.
Mais trop pressée datteindre elle-même lorgasme final quelle sentait naître au fond de ses entrailles enflammées, Laura continua sa folle cavalcade en poussant de véritables râle de jouissance :
-- Oh oui !... Cest bon !... Oui... oui ! ... Ooohh oui !... Aaahhh ! ... Chériiii ! Je vais jouir... Ça vient !... Ouuiii !...
Affolé par les cris de volupté que son ardente partenaire poussait et songeant au père de cette dernière, qui depuis la salle à manger ne devait rien perdre de la jouissance de sa fille, Guillaume songea un instant à bâillonner de sa main sa trop démonstrative compagne. Mais avant quil ait pu réaliser son idée, la jouissance le cambra soudainement sur sa chaise. Tressautant violemment son membre lâcha sa lave dans le vagin torride de sa volcanique partenaire :
-- Je jouis ! grogna-t-il à son tour dune voix enrouée... Rrrhhaaaaa !
Emporté par la jouissance il en oublia lui aussi la présence proche du géniteur de sa partenaire, qui ne devait certainement rien perdre du récital amoureux que sa fille et lui exécutaient de concert.
-- Moi aussi ! Hurla Laura en se cambrant frénétiquement... Aaaahhhh !... Ouuuiiiiii !... Oh ouiii, oui...Aaahh !...
Tétanisés les deux amants simmobilisèrent, mêlant leur jouissance ; pétrifiés dans la posture où lorgasme les avait saisis, haletants. Dans la cuisine où un semblant de silence était revenu, le canari entamait un chant modulé comme pour apaiser les deux amants intimement liés.
Reprenant conscience la première Laura déposa tendrement ses lèvres sur celle de son partenaire :
-- Cétait merveilleux, lui souffla-t-elle... Il y avait longtemps que je navais autant joui... Et toi ? Tu étais bien ? Tu as aimé ?
-- Cétait divin, la rassura Guillaume en lui bécotant amoureusement les lèvres... Tu es une amante parfaite, tu mas complètement vidé...
-- Cest vrai ? sexclama Laura amusé par laffirmation... Fais voir !
Perverse, elle sempressa de glisser une main curieuse entre leur deux corps encore unis par leurs sexes, afin daller tâter les bourses velues de son jeune amant. Mais pour y parvenir elle dut reculer son bas-ventre et dans ce mouvement le membre viril quelque peu ramolli séchappa de sa vulve inondée. Aussitôt un flot brûlant jaillit des profondeurs de son sexe, lui engluant lintérieur des cuisses.
-- Oh ça déborde, sexclama-t-elle alarmée en plaquant vivement sa main à sa chatte dégoulinante... Quest-ce que tu mas mis !... Tu en avais une sacrée réserve...
Guillaume songea quen effet cela faisait plus de trois mois quil navait eu de rapports sexuels, et à part quelques éjaculations nocturnes, il navait pas eut loccasion de vraiment se vider les couilles ces derniers temps. Cela expliquait peut-être la quantité de sperme quil venait de déverser dans les entrailles de sa nouvelle maîtresse.
La paume plaquée contre louverture de son ventre, Laura se redressa, libérant complètement la verge redevenue à des dimensions plus normales. Fixant cette virilité qui venait de lui dispenser autant de plaisir, la jeune femme éprouva le besoin tout féminin de la remercier. Aussi sagenouilla-t-elle pour lembrasser tendrement, la prenant délicatement dans sa bouche pour la sucer :
-- Pouah, sexclama-t-elle en lâchant le gland luisant. Elle est toute salée !
Puis comme prise dun désir soudain, elle retira sa main dentre ses cuisses, pour fixer sa paume souillée par une large tache blanchâtre, composée de ses secrétions vaginales auxquelles se mêlait la liqueur séminale de son partenaire. Portant sa main maculée à sa bouche elle la lécha avec gourmandise recueillant de la langue cette écume sexuelle.
-- Hum, ce serait dommage de perdre ça, plaisanta-t-elle en regardant amoureusement celui qui venait de lamener si rapidement au septième ciel.
-- Laura !... Lauraaaa !
Un appel impératif venant de la salle à manger ramena les deux amants à la réalité.
-- Mon Dieu, je lavais oublié, sexclama la jeune femme en se redressant vivement... Tu crois quil nous a entendu ?
-- Il aurait vraiment fallu être sourd pour ne pas entendre tes cris, confirma Guillaume.
-- Cest vrai ?... Je vais avoir droit à une sacré leçon de morale !... Mais ça ne fait rien, ça valait le coup, tu mas vraiment rendue heureuse et je suis prête à recommencer quand tu voudras...
Boutonnant rapidement sa blouse sur son corps nu et encore moite de ses ébats sexuels, elle se hasarda à émettre le désir qui lui venait à lesprit :
-- Tu voudrais recommencer ?... Tu pourrais revenir me voir si tu le désires ... A moins que tu es déjà quelquun... Jaimerais refaire lamour avec toi, tu es un amant formidable...
-- Je nosais te le demander, mentit Guillaume à qui lidée nétait pas venue, mais qui trouvait loccasion trop belle pour refuser... Non je nai personne...
Avoir une maîtresse pratiquement à domicile, même si celle-ci était plus âgée que lui, pouvait pendant le temps où il était célibataire laider à calmer ses sens. Surtout que la femme semblait particulièrement sensuelle et possédait un tempérament amoureux hors du commun. Il était sur de pouvoir avec elle assouvir ses penchants érotiques les plus fous, ce quil navait jamais osé demander aux jeunes filles quil avait fréquenté jusquà présent.
Arrivé à la porte dentrée où Laura lavait raccompagné, celle-ci saccrocha frénétiquement à son cou pour coller ses lèvres brûlantes aux siennes, dans un baiser passionné. Leurs langues se cherchèrent dans un ballet plein de sensualité, pour finalement se frôler, se caresser, se nouer étroitement. Haussée sur la pointe des pieds, Laura avait plaqué son corps sensuel au sien, et dans un déhanchement lascif elle frotta vicieusement son pubis bombé à son bas-ventre, dans un balancement des hanches plein dérotisme. Encouragé par ce comportement voluptueux, Guillaume referma ses deux mains sur la croupe rebondie quil malaxa fermement, pressant les chairs élastiques des fesses avec passion.
-- Laura !
De nouveau lappel retentit dans le silence de lappartement, brisant la magie du tête à tête amoureux.
-- Va-t-en maintenant, haleta Laura, les yeux brillants. Sinon je ne sais pas si je pourrais me retenir... Jai de nouveau envie de ta grosse queue...
-- Moi aussi, jai envie de ta chatte, lui répliqua Guillaume qui avait senti son membre se redresser lentement sous le frôlement affolant du bas-ventre féminin.
-- Cest vrai ? sexclama Laura surprise et ravie en même temps.
Voulant se rendre compte de la véracité de laffirmation de son compagnon la femme lança sa main droite en direction du bas-ventre de ce dernier :
-- Oh mais cest vrai !... Tu bandes de nouveau ! Sexclama-t-elle sidérée en sentant la dure colonne sous ses doigts... Tu mavais pourtant bien dit que je tavais vidé les couilles. Il ten reste encore ?... Quel dommage quil faille déjà se séparer. Il faut que jaille voir ce que me veux mon père. Tu reviendras me voir ?
-- Je te le promets, affirma Guillaume dans un dernier baiser.
-- Cette fois ci je te promets que je saurais te vider complètement les couilles !
-- Jai hâte de voir ça, lança Guillaume en se jetant dans lescalier qui le mènerait à son domicile
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