La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1410)

Kate au Château (devenue Chloris) - Saga se passant au Moyen-Age) – (suite de l'épisode N°1404) -

- Pourquoi pas ! J’accepte s’exclama le Seigneur d’Evans, enjoué...

Le dessert fut servi de la même façon que le reste du repas, si ce n’est que la cyprine des ‘soumises-plateau’ fut beaucoup plus utilisée pour agrémenter les fruits. Plus d’un Dominant un fruit en main, l’enfilait dans la chatte trempée d’une des soumises pour l’imbiber de mouille avant de le délecter en bouche et à leurs papilles gustatives. Tout en savourant donc ces mets sucrés Le Seigneur d’Evans demanda à Chloris assise à côté de Lui :

- Savez-vous ce que mes fils et Antonin m’ont préparé ? Ca fait déjà un petit moment qu’ils sont sorti.
- Mon Seigneur, je n’en n’ai pas la moindre idée. Antonin et Adrien n’ont rien voulu me dire. Même Félicienne à essayer Vous savez pourtant comme ils sont fusionnels nos jumeaux.
- Tout cela est bien mystérieux…. Ah … les voici de nouveau.

Le dessert fut enfin, terminé et tout le monde suivit le Seigneur d’Evans sur le perron. De part et d’autre des marches se tenaient des soumis nus portant un flambeau et une marche sur deux, était une soumise agenouillée formant ainsi une haie d’honneur. Puis, sortant doucement des écuries suivant un chemin fait de multiples bougies, arriva une magnifique calèche tirée par quatre superbes étalons blanc immaculé, jeunes et musclés, avec des fers dorés, placé l’après-midi même par le maréchal-ferrant, fers qui brillaient à la lueur des flammes. A l’intérieur, tout n’était que raffinements, banquettes étaient recouvertes de soie bleu roi, sur les dossiers, brodées en fil d’or les initiales SCE (pour Seigneur Charles d’Evans) et garnies de petites fleurs de lys dorées également. Tous étaient éblouis par un tel luxe et raffinement, quand soudain Edouard pris la parole.

- Grand-père, venez voir derrière, ça c’est d’Arthur et moi !

En effet à l’arrière, il y avait un blason (celui de la famille d’Evans) en argent portant l’inscription SCE.

Le Seigneur d’Evans était très ému Il n’aurait jamais imaginé une telle chose.

- Père, voulez Vous essayer cette magnifique calèche ?
- Non pas ce soir mais demain j’emmènerai les petits-s en balade dans Ma nouvelle calèche.

Tous applaudirent en chantant longuement ‘‘BON ANNIVERSAIRE AU SEIGNEUR D’EVANS’’

Puis ils rentrèrent à l’intérieur et le Maître offrit Ses esclaves à Ses invités sauf celles et ceux portant un bracelet rouge, qui eux restaient uniquement à Son service exclusifs et celui de Ses proches. Les s devenus adultes prirent part à l’orgie ainsi que le Seigneur d’Evans, Chloris et Antonin qui tous profitèrent amplement de ces festivités orgiaques presque toute la nuit et sans modération… Le lendemain en fin de matinée et après quelques heures de repos après une nuit de luxure, la soumise offerte la veille au Maître Lui fut amenée dans Son salon privé, où Il se trouvait seul comme Il l’avait exigé. Ce fut Messire Léon qui amena la soumise en question puis quitta la pièce. Déjà relativement bien dressée, elle se mit à genoux dans une parfaite position d’attente sans un bruit.

- Bien, je vois que tu as été partiellement dressée. Comment t’appelles-tu ?
- Le Compte de Forez ne m’a pas donné de nom afin que Vous puissiez le choisir Vous-même mais avant je m’appelais Marie.
- Marie ? Alors dès maintenant tu seras soumise Marie. Et plus tard, si je le juge utile, je changerais ton nom. Quel âge as- tu ? Et ou en es-tu de ton éducation ?
- J’ai 20 ans, Maître, et concernant mon éducation, c’est à Vous d’en juger. Tout ce que je peux dire, c’est que j’ai appris, je trouve, beaucoup de choses des attentes sexuelles des Dominants... La seule chose que je ne connais pas encore reste la sodomie.

Le Seigneur d’Evans sourit en se disant que Son ami le connaissait bien.

- D’accord, alors sache que le premier à te sodomiser, ce sera Moi et Moi seul quand je jugerai le moment venu.


Le Seigneur d’Evans appela ensuite, d’une voix forte, pour être entendu dans la pièce voisine.

- Marion, aux pieds.
- Oui Maître, dit- elle en entrant en quadrupédie.
- Emmène ta nouvelle sœur de soumission et présente-la aux autres. Ensuite elle ira en cuisine. Angélique manque de personnes et prévient Messire Léon que je veux lui parler. Ensuite revient ici.
- Bien Maître.

Marion quitta la pièce suivie par Marie, mais toutes les deux sortirent à quatre pattes… Après Son entretien avec Messire Léon où il fut question de faire faire un collier à Marie, qui en attendant porterait celui d’une ancienne soumise où il suffirait de retirer le nom. Après le diner, comme convenu le Seigneur d’Evans emmena Ses petits- s (Adrien et Félicienne inclus) en balade dans Sa nouvelle calèche…. Quelques jours plus tard le Seigneur d’Evans était de très bonne humeur. En effet, Il venait de terminer une affaire très délicate et entendait bien se détendre voir de se distraire. Il lui revint en mémoire l’histoire d’Emilie avec Messire Léon et alla donc aux écuries trouver Emilie. Elle avait pratiquement fini son travail et Il lui exigea.

- Déshabille-toi, je te veux nue entièrement et va Me chercher Mon cheval et ne t’occupe pas de le préparer, je le ferai Moi-même car tu pars en balade avec Moi.

Emilie, surprise mais excitée de cette perspective, fit ce que le Maître avait exigé. Le Seigneur d’Evans apprêta alors Son cheval qu’Il équipa d’une selle prévue pour monter à deux mais la place arrière était munie d’un olisbos vaginal solidement fixé à la verticale. Il aida Emilie à monter et exigea qu’elle s’empale par le cul sur ce sexe factice lui emplissant profondément son fondement anal... Puis ils partirent, Emilie qui avait les pieds dans le vide était très excitée par les mouvements provoqués par le pas du cheval et elle enserrait la taille du Maître afin de ne pas chuter, mais aussi par un sentiment de bien-être à enlacer le Seigneur qu’elle aimait profondément.
Soudain le Maître mit Son cheval au petit trot et le plaisir ressentit par Emilie fut décuplé et elle coulait littéralement de cyprine. Après avoir ainsi fait des tours dans le parc et Emilie s’enculant elle-même par l’olisbos qui la pénétrait analement et de plus en plus par les soubresauts du cheval qui provoquaient des va-et-vient irréguliers mais fort excitant, quand le Maître décida de rentrer, ils mirent pieds à terre, une fois la belle déculée de ce phallus factice.

- Tu t’occuperas du cheval plus tard, pour le moment tu vas retourner sur la selle que Messire Léon t’as fait découvrir l’autre jour et tu M’attends, salope, lui exigea-t-il tout en lui donnant une frappe sur les fesses nues...
- Bien Maître, répondit Emilie en se disant dans sa tête : « Calme-toi, si tu peux ma petite Marie, car ton excitation est bien forte en ce moment, hummm ! ».

Emilie était tellement excitée qu’elle se disait que le moindre mouvement sur cette selle la ferait jouir. Cela le Seigneur d’Evans le savait très bien et ne voulant pas, volontairement, la pousser à la faute Il lui laissa le temps de se calmer et de faire légèrement retomber son excitation. Lorsqu’Il la rejoignit, elle était assise et empalée par le sexe ainsi bien empli sur cette autre selle posée à même le sol sur une sorte de petite estrade peu haute, jusque 10 centimètres de hauteur. Ainsi pénétrée, elle avait les genoux relevés, les jambes bien écartées, le buste bien droit, tête baissée et mains dans le dos, l’ensemble faisant ressortir sa poitrine aux tétons rosis et dressés. La scène offrait au Seigneur une vision très érotique voire sensuelle…

- Penche-toi en avant et suce-Moi jusqu’à Me faire bander, ensuite je te prendrai par ton cul de chienne et si tu Me satisfais tu seras récompensée. Pendant que tu me prends en bouche, je t’autorise à te caresser ton clitoris de salope

Emilie faisant de son mieux pour exciter le Maître tout en essayant de faire durer le plaisir le plus longtemps possible.
La jeune soumise commença par Le masturber de ses mains douces et habiles tout en embrassant cette queue pour l’humidifier un peu puis lécha cette hampe dressée sur toute sa hauteur de bas en haut et de haut en bas, suçotant le gland gorgé de désir et lui donnant des petits coups de langue, titillant aussi le méat urinaire. Ensuite, elle put totalement le prendre en bouche avec des va-et-vient lents ou rapides, suivant les soupirs et réactions du Maître. Modifiant aussi la pression de ses lèvres, n’ouvrant la bouche que pour reprendre une bouffée d’air. D’une main alors qu’elle suçait toujours avec avidité, elle porta ses doigts sur son clito et le branlait, étant toujours bien empalée de la chatte sur cette selle, alors que le Maître émettait des râles de plaisir. Soudain Messire Léon entra intrigué par les bruits qu’il entendait. Voyant qu’il s’agissait du Seigneur d’Evans, il voulut tout d’abord s’en aller discrètement, ne voulant pas déranger. Mais le Seigneur d’Evans l’apercevant, l’arrêta :

- Reste et tu pourras profiter de la bouche de Ma salope, elle m’a tant fait durcir que je vais lui prendre le cul et toi aussi quand j’aurai terminé, tu pourras l’enculer...
- Volontiers Sire, avec grand plaisir, dit-il un sourire d’impatience sur les lèvres.
- Chienne Emilie, lève-toi de cette selle qui t’a déjà bien excitée, salope. Debout et cambre-toi bien en avant, tu vas sucer Messire Léon et Moi pendant ce temps, je vais t’enculer, salope de chienne.

Emilie s’exécuta rapidement. Alors Messire Léon prit la place du Seigneur d’Evans pour ce faire sucer et ce dernier passait derrière Emilie. Le Seigneur d’Evans commença par dilater son anus par des caresses de Ses doigts, même si cet anus était déjà bien élargi, tantôt, par l’olisbos lors de la balade à cheval. Encore une fois, il ne se souvenait pas avoir vu un anus tout juste dépucelé s’ouvrir aussi rapidement. Pourtant, Il en avait ouvert des culs depuis toutes ces années en tant que Maître. Alors qu’Emilie suçait Messire Léon, le Seigneur d’Evans s’introduisit dans son cul de chienne cm par cm, n’oubliant pas que même si la dilatation était rapide ce n’était là que sa deuxième sodomie par un vrai sexe d’homme. Quand le passage fut bien ouvert, Il augmenta la cadence, la puissance et la profondeur, Ses couilles frappant contre ses fesses, accélérant ses coups de reins virils et profonds. Il la prenait presque sauvagement. Emilie coulait littéralement de plaisir et aurait hurlé si elle n’avait pas eu la bouche encombrée par l’imposante queue de Messire Léon qui lui baisait la bouche, alors que le Maître lui labourait le cul à grand coups de boutoirs et lui claquait les fesses en même temps. Il était sur le point de jouir et Il savait qu’il en était de même pour Emilie, après un regard entendu avec Messire Léon, n’y tenant plus lui non plus, le Seigneur d’Evans exigea :

- Jouit Ma salope, je l’exige…

(A suivre …)

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!