Du Bol À La Baule ( Suite )
Le samedi matin, nous fûmes réveillés par une agréable odeur de café qui passait sous la porte de notre chambre.
Quelques minutes plus tard, on frappa à notre porte . Notre invitée , Virginie, apparut avec un grand sourire, juste
vétue d'un petit short blanc, porteuse d'un plateau se lequel on trouvait café, baguette fraîche, croissants, beurre,
miel, confiture, ....
Nous invitâmes Virginie à s'installer entre nous deux, au milieu du lit, afin que nous prenions ce magnifique petit-
déjeuner de concert.
Je ne pouvais détacher mon regard de la superbe poîtrine de Virginie. Un véritable rêve. Magnifiquement formés,
bien fermes, les tétons dressés , donnant toutes les envies possibles et imaginables.
Ma femme Véronique ne manqua pas de m'observer avec un petit sourire ironique
Très vite, le petit-déjeuner dégénéra . Ma femme et moi, sans se concerter, entreprirent d'enduire de miel les seins
de Virginie, chacun se réservant un sein.
De la confiture de cerises décora les aréoles brunes assez larges
Comme nous avions encore faim, Véronique et moi entamèrent la dégustation de la confiture et du miel répandus sur
les seins de Virginie, avec délectation, sensualité, et tout l' érotisme que peut générer une telle poîtrine de rêve,
100% naturelle, à l' évidence
Virginie appréciait à sa juste valeur la façon dont nous honorions ses seins
Elle commença à caresser , à son tour, d'une main les petits seins de ma femme , de l'autre mes tétons qui s 'étaient
bien durcis . Puis elle entreprit de couvrir de miel les seins de ma femme et m'invita à partager cette nouvelle
dégustation.
Je découvrais ainsi une nouvelle forme d'excitation de ma femme qui s'oublia complètement. La preuve que la
qualité de l' érotisme n'est pas liée nécesairement à la quantité. Quoique ....
Véronique et Virginie décidèrent alors d'aller se prendre une bonne douche avant d'aller à la plage, me laissant seul
au lit avec le reste du petit-déjeuner
Ah les coquines .
Il me revint alors avoir vu des affiches annonçant une soirée " seins nus" dans un club privé de la région pour le soir
même
Comme Véronique et Virginie revenaient de la douche, ceintes de leur serviette de bain, je leur proposais que nous y
allions tous les trois, non sans nous être rendus, en fin d'après -midi, à Nantes, à la recherche d'une boutique frivole,
car je tenais à ce que mes deux femmes soient vétues comme des princesse pour la circonstance
A suivre .....
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