Une Sacrée Vendeuse De Sex-Shop
Pour lanniversaire de ma femme, jai envie de lui acheter une paire de chaussures à talons hauts
très hauts
des pointes de danse avec talons !
Je me rends dans un magasin darticles exclusifs
sex-shop plus ou moins privé spécialisé dans des articles extravagants pour un public fantaisiste.
La vendeuse est une femme mignonne qui vit le style de son magasin : la trentaine, vêtue dune jupe courte de cuir noir fendue sur le coté jusquà la hanche, sa taille est serrée dans un bustier, également en cuir noir bordé au niveau de la poitrine dun filet de cuir rouge, généreusement court qui ne lui fait pas seulement une taille dabeille mais surtout rehausse sa poitrine généreuse en cachant tout au plus ses mamelons. Elle porte des bas noirs très fins tenus par un porte-jarretelle noir et rouge.
Ses pieds son enfermés dans une paire de bottines, elles aussi en cuir noir, avec de hauts talons dau moins 10 centimètres.
Il est environ dix heure du matin, le magasin est calme en ce mardi. Elle me conseille avec précision sur les matériaux, la meilleure forme, la pointure à choisir et me montre plusieurs modèles dont un qui me plait : une paire de chaussures à faire des pointes de danse à talons en cuir fermé autour de la cheville par une lanière et un petit cadenas dont la pointe est encore surélevée et le talon encore plus haut
dans la rehausse du bout de la chaussure il y a un trou de gauche à droite qui permet de passer une barre de fer chromé pour réunir les pointes ensemble (comme un clou sans la pointe mais avec un cadenas) autant dire quune fois la barre passée dans le pointe des chaussures, il nest plus possible de se déplacer beaucoup.
Comme étonnée de mon choix elle minforme que ce nest pas facile de marcher avec des talons aussi hauts de lus est sur la pointe des pieds et que de toute façon, si ma femme nest pas habituées, cela doit se faire progressivement.
Je lui réplique, presque un peu vexé, que quand je vois avec quelle aisance elle se déplace avec des talons qui son également très haut, ma femme va bien shabi rapidement.
- Si vous le voulez, vous pouvez en essayer une paire, les pointures vont jusquau 46. Quelle pointure avez-vous ?
Pris de vitesse.
- Normalement du 41.
Sur ce elle disparait dans larrière du magasin et revient avec un carton à chaussures contenant exactement la même paire de chaussures que celle que jai choisi pour ma femme mais dans ma pointure.
- Voila, si le cur vous en dit, si vous voulez savoir comment va se chausser votre femme.
Et déjà, sans attendre de réponse de ma part, elle ouvre le carton, sassied sur un tabouret devant moi et se saisit dun de mes pieds. Elle menlève ma chaussure, ma socquette et me met un mi-bas, dans la même matière que des bas de femme, qui moule mon pied parfaitement puis elle glisse mon pied dans la chaussure à pointes quelle ferme sur ma cheville et place finalement le cadenas
elle fait la même chose avec mon autre pied et lautre chaussure.
- Si vous voulez vous mettre debout ?
- Vous voulez vraiment que je me mette debout avec ces chaussures là ?
- Vous voulez certainement que votre femme se mette elle debout avec les chaussures que vous avez choisies ?
- Oui, mais ce nest pas la même chose, elle est une femme et elle porte déjà des chaussures à talons, même sils ne sont pas aussi hauts que ceux-ci, elle est déjà habituées.
- Pas dexcuses, mettez vous debout.
Avec beaucoup de précaution, je me lève du fauteuil dans lequel jétais installé. Comme pour ne pas que je puisse me rassoir daussi vite, elle le retire et la place hors de ma portée.
- Vous pouvez aussi essayer de marcher
Ce que je fais aussi
après tout pour qui me prend elle, après quelques pas :
- Alors, vous voyez, ce nest pas aussi difficile que vous le prétendez
je ne sais pas ce que vous avec les femmes de toujours vous plaindre.
- Ce nest pas souvent que je vois un homme perché sur des talons, vous pourriez marcher plus
aller et venir dans le magasin par exemple puisque vous trouvez cela facile.
Oh la vache, elle me prend à mon propre piège
je ne vais quand même pas me dégonfler
je vais lui montrer moi ! Et je me mets à aller et venir dans son magasin, dabord lentement puis de plus en sur de moi je me déplace de plus en plus vite
comme pour en finir le plus rapidement possible. Le tout sous sons regard amusé, presque moqueur
- Je vois que vous apprenez rapidement, vous êtes un bon élève.
- Merci des compliments
- Mais de rien, je trouve que vous vous débrouillez très bien pour la première fois. Si vous le voulez, je peux vous montrer aussi un accessoire qui passe parfaitement avec ces chaussures. Cest dailleurs produit par le même fabricant.
Sans attendre de réponse elle disparait quelques rayons plus loin et revient me montrant un objet en cuir plus rigide mais dont une partie rappelle exactement la pointe des chaussures avec le même rehaussement et le même trou dans la pointe, la grande différence est que cela ressemble plus à une botte quà une chaussure.
- Cest est un mono-gant
vous joignez la paume de vos mains et vous les glissez dans la « chaussure ». Cest un accessoire qui est souvent acheté avec ces chaussures
si vous le voulez, vous pouvez aussi lessayer
- Pourquoi pas, il a presque la même forme que les chaussures.
- Daccord
le mieux serait de retire votre chemise à cause de la gaine.
Je retire calmement ma chemise pendant quelle se place derrière moi puis elle me joint les mains et les glissent dans la « chaussure ».
- Vous voyez
comme ça. Pouvez-vous appuyer la pointe de la « chaussure » sur la table là ?
Trouvant ce mono-gant pas mal, je me dirige vers la table et appuie la pointe de la « chaussure » sur celle-ci de telle sorte que mes mains soient bien au fond de la « chaussure ».
- Vous voulez que jappuie comme ça ?
- Oui, cest parfait, il ne doit pas y avoir de place entre la pointe de vos doigts et le bout de la « chaussure »
appuyez le plus possible.
Et moi de mexécuter naturellement et dappuyer encore plus fort
Tout dun coup, je sens quelque chose se serrer autour de mes poignets
elle a fermé le mono-gant avec une lanière en serrant fortement.
- Maintenant, il faut que je ferme les le lacet autour de vos mains.
Je sens mes doigts être écrasés dans cette gaine qui forme la « chaussure », je fais une grimace quelle ne voit heureusement pas. Elle remonte alors la gaine de la botte autour de mes bras et tire le haut de celle-ci avec une lanière qui passe autour de mes épaules.
- Cest juste pour ne pas que cela glisse sur vos bras.
Et déjà je sens quelle ferme la gaine en serrant très fort le lacet
tellement fort que arrivée à seulement à mi- bras, mes coudes se touchent presque et elle continue de plus belle
je sens mes épaules se tendre, mon torse se bomber vers lavant, mes coudes se touchent maintenant
plus, ils sont écrasés lun contre lautre.
- Vous êtes certaine que cela doit aussi serré que ça ?
- Pourquoi ?
- Je ne savais même pas que mes coudes pouvaient se toucher dans mon dos mais cela me fait mal aux épaules
- Monsieur est douillet ???
- Certainement pas !
Sans continuer sur ce terrain :
- Est-ce que vous pouvez encore marcher avec les bras comme ça ?
- Bien sur, drôle de question.
Et moi de lui faire une démonstration, les bras attachés dans le dos et toujours perché sur la pointe des pieds quand quelques instants plus tard, la sonnerie de porte du magasin se fait entendre
- Un client
vous voulez rester là ?
- Ça ne va pas
dans cette tenue et dans cette position
détachez-moi que je me rhabille et enlève ces chaussures.
- Je nai pas le temps de vous enlever le mono-gant et si vous ne voulez pas que lon vous voie ainsi, venez avec moi
Elle mattire à coté des cabines dessayages, ouvre un placard denviron 50 cm au carré.
- Vous ne voulez quand même pas que je rentre là dedans ?
- Cest à prendre ou à laisser, moi ça ne me gène pas
- Bon mais dépêchez-vous
Et moi de mengouffrer dans ce petit placard.
- Vous avez oublié cela
Et de me montrer la barre métallique quelle enfile dans les pointes de mes chaussures avant dy mettre le cadenas et de fermer le placard avec une clé.
En fermant le placard, elle me presse les bras contre mon dos, ce qui me fait encore plus mal les épaules et me fait encore plus ressortir le torse.
Je lentends discuter avec le client qui ne semble pas très bien savoir ce quil veut
le temps passe
bon sang, je ne peux même pas massoir tellement cest petit et mes orteils me font me souvenir que je suis sur la pointe des pieds
La sonnerie de la porte du magasin retentit de nouveau
ce doit être le client qui sen va
elle va bientôt me faire sortir de ce placard
jécoute, tout est tranquille
pas un bruit
jappelle pour savoir si quelquun est encore là
pas de réponse si ce nest le bruit des cloches dune église du coin qui sonnent midi
cela fait plus dune heure que je suis debout sur la pointe des pieds, je commence à en avoir assez
Les cloches sonnent une heure puis deux heure, jai maintenant mal aux pieds, ou est-elle donc passée ???
Jentends la sonnerie de la porte du magasin
ce doit être elle. La clé du placard tourne dans la serrure et la porte qui souvre
elle est là avec un sourire des plus séducteur.
- Je ne vous ai pas oublié mais le client de tout à lheure ma invité à déjeuner, je nallais quand même pas dire non, vous en convenez ? Comment allez-vous, je vois que vous vous habituez bien à ces chaussures
vous navez pas encore envie de marcher un peu, je nai pas eu beaucoup de temps pour vous regarder tout à lheure ?
- Comme vous le voulez
Après quelle ait retiré la barre métallique qui rejoignait la pointe de mes pieds et tout en serrant les dents pour ne pas lui montrer que jai mal, vraiment mal maintenant, je déambule encore devant elle
une fois, deux, trois fois et estimant que cela suffisait, je retourne auprès delle.
- Vous ne trouvez pas que cela fait longtemps que je suis comme ça, vous pourriez me détacher le mono-gant maintenant.
- Je voulais encore vous montrer quelque chose, vous avec certainement encore quelques minutes ?
Et de me montrer un objet qui représente la forme de la pointe dune chaussure avec une longue lanière de cuir.
- Cest un bâillon en forme de pointe de chaussure, les personnes qui aiment les chaussures aiment aussi cet accessoires sympa
ouvrez la bouche.
Et de me serrer la mâchoire avec ses doigts pour que jouvre la bouche. Je la laisse faire car de toute façon je ne peux pas len empêcher.
Elle menfile la pointe de chaussure dans la bouche, ferme la lanière de cuir derrière ma nuque, me voila bâillonné
les bras attachés dans le dos le torse nu et bombé en avant et pour couronné le tout perché sur la pointe des pieds qui me font maintenant très mal.
- Ce bâillon peut même être gonflé.
Sans attendre elle presse sur la poire en caoutchouc et je sens le bâillon se gonflé dans ma bouche
mes mâchoires se tendent et me font mal.
- Humpf, humpf
- Tu veux me dire quelque chose ?
Je hoche de la tête pour lui faire signe que oui quand la porte du magasin souvre de nouveau.
- Un client, tu veux aller dans le placard ?
- Humpf, humpf
Je lui fais signe que non
je nai pas envie quelle moublie encore une fois
- Je nai pas envie quil tarrive un accident alors tu permets que je tattache les pointes des pieds ensemble
Et clic le cadenas se referme, je ne peux même plus marcher.
Je lentends saluer son client, sa cliente car la voix que jentends est celle dune femme
et blablabla et blablabla, elles discutent de sous-vêtements etc.
Après une demie heure à essayer des vêtements, sous-vêtements dans une cabine dessayage à lavant du magasin doù sa cliente ne peut pas me voir, je les entends se diriger vers moi, vers le coin accessoires.
- Vous avez un mannequin en chair et en os pour présenter vos collections maintenant, je trouve cela original.
- Monsieur a acheté une paire de chaussure identique à celles quil porte pour sa femme, je voulais seulement quil voie comment cest de marcher sur la pointe des pieds. Je dois avouer quil ne se débrouille pas mal.
- Je peux voir aussi ce que ça donne un homme qui marche sur la pointe des pieds ?
- Allez, tu as entendu, Madame veut te regarder marcher alors ne te fait pas supplier.
Elle enlève la barre métallique mais de la tête, je lui fais signe que je ne veux pas marcher
et pour cause, mes pieds me font trop mal.
- Je crois quil faut que je laide un peu.
- Humpf, humpf
Elle me met un collier en cuir noir autour du cou quelle ferme avec un cadenas, y met une laisse en chaîne et me tire au travers de son magasin.
- Vous voyez, il faut juste le dire avec les mots quil faut.
Puis de remettre la barre métallique.
- Est-ce que vous pensez que chez les hommes, marcher sur des talons hauts ça leur raffermit les mollets.
- Je ne peux pas vous dire mais on pourrait regarder !
Et la vendeuse de se baisser devant moi pour remonter mon pantalon pour mieux voir mes mollets.
- Cest un peu étroit, je cois que le mieux serait de baisser son pantalon mais je ne voudrais pas vous choquer.
- Je ne sais pas si monsieur va être consentant ?
- Humpf, humpf
- Vous voyez bien, monsieur est consentant, il en est tellement flatté quil en hoche la tête.
La salope, je lui fais signe que non, que je ne veux pas de cela dautant plus que jai pour habitude de ne pas porter de slip.
Mais il ny a rien à faire, ses doigts saffairent sur la ceinture puis sur les boutons à la taille de mon pantalon
ses doigts glissent sur mes fesses tout en faisant glisser mon pantalon sur mes jambes
- Monsieur na même pas de culotte, regardez moi cela
un petit cul épilé ou bien rasé fraichement
même ses couilles son rasées
.
- Il est mignon comme ça, il a un joli petit cul, et ses cuisses sont bien tendues, vous pensez que monsieur va vous laisser lui baisser son pantalon pour nous puissions regarder si ses mollets sont aussi raffermis.
- Je ne vais lui demander sil le veut, je sais quil en a envie.
Et de baisser mon pantalon par-dessus les chaussures.
- Comment avez-vous su quil en avait envie ?
- Regardez seulement, il nest même pas poli il vous montre du doigt le salop.
Et de monter ma verge tendue.
- En effet, je crois quil faut lui donner une leçon de politesse.
La vendeuse sempare dune cravache très fine et me donne des coups tout dabord léger puis de plus en plus fort.
- Humpf, humpf
- Quest ce quil dit ?
- Il dit quil aime ça
- Vous ne pensez pas que vous pourriez lui retirer son bâillon
- Vous avez raison
- Humpf
vous allez arrêtez vos conneries, détachez moi maintenant, jen ai assez, je ne peux plus rester debout, mes pieds me font trop mal et mes épaules aussi.
- Monsieur est douillet ?
- Absolument pas mais cela fait un bon moment que je suis comme ça.
- Vous voyez, cest ce que je vous avais dit, il ne faut exagérer dès le début, il faut faire des séances tout dabord courte puis de plus en plus longue
Si vous voulez que je vous détache il va falloir tout dabord être bien gentil avec moi et avec Madame
je pense que Madame a envie que vous soyez gentil et je suis certaine que vous allez être gentil.
De sa cravache elle caresse le creux de mes reins, mes fesses, mes cuisses
puis elle lève sa cravache et labat sèchement sur mes fesses.
- Aye ! ça ne va pas !
- Tu vas te taire espèce dimbécile je suis sûre que tu plais à Madame, nest-ce pas Madame. Je crois aussi pouvoir dire que tu nes pas aussi malheureux que tu veux le faire croire, si tu le veux, tu peux appeler ta maman au secours
comme ça : « au secours maman » alors je te détacherai tout de suite et tu nauras plus qua te casser avec ta paire de chaussures pour ta grosse. Je te laisse réfléchir
. Je vais fermer le magasin, je vous laisse avec monsieur.
Jai bien compris que je suis victime de mes propres envies. Ces deux femmes sont magnifiques, seuls ces chaussures sur lesquelles je suis toujours perché et mes épaules qui me font mal mempêchent de savourer cette situation
- Sil vous plait Madame détachez-moi, vous voyez bien que jai mal partout.
Mais déjà la vendeuse revient.
- Mademoiselle, vous nauriez pas une autre paire de chaussures, les miennes paraissent ternes avec la poussière quil y a dessus.
- Ce nest pas un problème Madame, je suis sûre que monsieur va se faire un plaisir de nettoyer vos chaussures
. Met toi à genoux !
Me dit-elle et comme pour prévenir mes réclamations, la cravache sécrase de nouveau crument sur mes fesses.
- Vous êtes deux salopes
- Peut-être mais pour le moment tu obéis.
Jexécute son ordre lentement mais le lui obéis elle en profite pour retirer mon pantalon complètement.
- Voila
comme ça ! Lèche les chaussures de Madame jusquà ce quelles soient propres.
Je me penche en avant pour lécher les chaussures de la cliente mais de nouveau la cravache siffle dans lair et claque durement sur une fesse puis sur lautre. Elle se saisi alors dun martinet avec de lourdes lanières de cuir
elle vise plusieurs fois mes fesses lune après lautre quand soudain les lanières du martinet sécrase lourdement et cruellement entre mes fesse sur mon petit trou.
- Aye, arrêtez, je vous en supplie.
- Vous voyez Madame comme il apprend rapidement la politesse.
- Et en plus de cela mes chaussures sont propres. Jai envie quil se relève
- Tu as entendu ce que Madame a dit ou bien préfères-tu que je taide ?
Je nai pas le temps de dire quoique ce soit, le martinet siffle et les lanières saplatissent méchamment sur mon petit trou de nouveau, je me redresse rapidement en criant de douleur et je me remets debout sur la pointe des pieds.
Madame sapproche de moi, elle caresse ses jambes contre les miennes pendant quelle roule mes tétons entre ses doigts ce qui me fait me tordre dune douleur qui provoque autant de plaisir si ce nest plus.
- Je trouve que Mademoiselle est gentille avec toi
vous nauriez pas des pinces pour ces petits tétons qui bandent ?
- Bien sur que si, lesquelles voulez vous ?
- Je trouve que ceux-ci en métal sont parfaits.
- Non, sil vous plait pas ça
Aye, non
Madame posait avec soin les pinces sur mes tétons
- Si tu veux que je te les retire, tu vas me sucer, jai envie dêtre sucer et vous Mademoiselle, vous veillerez à ce quil fasse sont travail correctement
. Met toi genoux de nouveau.
Elle écrase les pinces ce qui me fait encore plus mal les tétons
si je la supplie, elle narrêtera pas pour autant, si jappelle maman au secours
tout sarrêtera là
jai envie de la lécher alors je serre les dents et ne dit rien. Elle accompagne mon corps qui se baisse tout en triturant mes tétons jusqu'à ce que je sois à genoux
elle sallonge devant moi les jambes grandes ouvertes, elle aussi ne porte pas de culotte. Elle moffre son sexe mouillé à lécher.
- je veux dabord que tu me sèches.
Je me penche sur elle et mapplique du mieux que je peux.
- Fait-il cela correctement Madame ?
- Non absolument pas
aidez le
Le martinet siffle et sécrase lourdement sur mes fesses, sur mon petit trou, jessaye déviter les coups mais il ny a rien à faire, mes pieds sont reliés enter eux par la pointe et mes bras sont coincés dans ce fourreau de cuir.
Je nen peux plus, elle me fait trop mal, je me relève mais avant que je ne puisse dire un mot elle sempare de mes poignets quelle lève vers le haut
mon visage se retrouve de nouveau contre la chatte de Madame.
- Tu nas pas terminé ton travail, Madame nest pas encore sèche.
Elle tient mes poignets coincés vers le haut et continue de soccuper de mes fesses et mon anus
cette fois avec la cravache fine quelle semble apprécier
- Hum
tu as enfin terminé, je veux que tu me suces et me fasses jouir maintenant.
La vendeuse relâche sa traction sur mes poignets et je mapplique à lécher Madame pour la faire jouir
elle se tortille sous les caresses de ma langue, elle aime cela la salope.
- Applique toi encore mieux que ça.
- Je vais moccuper de lui un peu mieux Madame.
Je sens quelque chose de froid et de glissant contre mon anus
mon corps se raidit
elle veut sen prendre à mon petit trou. Je ne sais pas si Madame a vu cela mais elle sest emparée des pinces qui ornent toujours mes tétons et qui continuent de me faire mal
elle joue avec les pinces ce qui mempêche de me relever. Quelque chose glisse maintenant et cherche à sintroduire dans mon petit trou, je contracte les muscles de mon anus pour en rétrécir le trou au maximum
- Tu es parfait comme ça
mais ça ne va pas te servir à grand-chose !
En effet je sens quelle appuie plus fort sur ce qui est certainement un Plug
Madame appuie cruellement sur les pinces
de douleur, je relâche les muscles qui protégeaient jusqualors mon petit trou je sens quelque chose me pénétrer
mon trou souvre
cela me fait mal et puis dun coup, je sens que tout es entré dans moi
la tension contre mon anus se fait moins forte.
Ce nest pas pour durer longtemps, cest un Plug gonflant quelle ma mit entre les fesses et déjà je sens cet objet grossir dans mon ventre, grossir mon petit trou, je me débats mais Madame a toujours les pinces bien dans ses doigts, je ne peux pas me relever.
Mon petit trou se dilate, il doit être énorme à moins que cela ne soit quune sensation
elle continue à gonfler le Plug
jai limpression que mon trou va se déchirer quand elle arrêtera de pomper.
- Monsieur nest plus très vaillant Mademoiselle, pouvez-vous vous occuper de lui un peu mieux ?
La vendeuse sempare de mes testicules et les malaxent entre ses mains avant de les ligaturer durement jusqu'à ce quils ne ressemblent plus quà deux ufs bien dures
elle remonte la ficelle entre mes fesses en tirant sur mes ufs et appuie sur le Plug qui remplit mon ventre et mon trou
jai envie de me relever malgré les s à mes tétons et de crier « au secours maman » et pourtant je reste encore
juste encore un peu
elle passe la ficelle dans la pointe de la « chaussure » qui entour mes poignets et y attache mes ufs
elle sapplique à bien tirer ce qui me fait encore plus mal les épaules et je sens mes ufs offerts comme deux égarés, ma verge qui est toujours dure nest plus relevée contre mon ventre, elle pointe maintenant entre mes jambes et montre en direction du sol.
- Vous allez voir Madame, monsieur va retrouver son ardeur et vous lécher avec plus dardeur que jamais.
Jentends les lanières du martinet qui siffle avant de sabattre sur mes fesses
lune après lautre sans ménagement, elle vise ensuite avec une précision diabolique mes ufs puis ma verge
. À chaque coup reçu mon corps trésaille de surprise mais aussi de douleur. Madame cesse de jouer avec mes tétons, je continue de la sucer et me mappliquer quand tout dun coup son corps se cambre, elle appuie sa chatte contre mon visage pour mieux me faire sentir quelle joui.
- Madame, moi aussi jai envie de jouir
Comment cela va-t-il se terminer ?
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