Un Drôle De Coq
Il est dix-huit heure, je fais de lauto-stop sur une route départementale quasi déserte et les quelques voitures qui passent semblent conduites par des bougons qui se moquent pas mal de moi.
Je marche le long de cette route en attendant la prochaine voiture. Ce nest pas que jai envie darriver plus vite à destination, il me reste encore 150 km à faire, mais cest surtout parce que je suis en plein soleil et quil fait très chaud
au loin japerçois une forêt
cest là que je souhaite me rendre le plus vite.
Jentends une voiture au loin
je prends la pose du parfait auto-stoppeur et jattends
une vieille au volant avec son vieux qui doit être bourré
pas de chance
il ne me prête même pas attention, je ne sais même pas sils mont vus.
La forêt se rapproche maintenant, il ne me reste plus que quelques centaines de mètres à parcourir et je serai à lombre.
Voilà, cest fait, je suis à lombre
quil fait bon ici
je marche plus lentement, je nai plus ce soleil de plomb qui me tape sur la figure.
Ah, une voiture se dessine au loin
une camionnette dun quelconque entrepreneur qui a terminé sa journée et qui rentre à la maison... sil va sarrêter pour moi ? Et peut-être moffrir le logis car japerçois au loin des nuages dun noir pas très prometteur
il y a de lorage dans lair.
La camionnette est toute proche, une entreprise délectricité
je fais de lauto-stop et oh miracle la camionnette simmobilise une dizaine de mètres plus loin.
Je presse le pas, me rend à hauteur de la portière passager, la vitre est ouverte et une femme denviron 25 à 30 ans me sourit et me demande ou je vais
- Je peux te prendre un bout de chemin mais tu ne seras pas encore à destination.
- Ça ne fait rien, jespère tout au plus trouver de quoi me loger car je crois quun gros orage arrive
En effet, des éclairs menaçants zébrais le ciel qui sétait obscurcit et le tonnerre roulais au loin.
Je monte dans la voiture et lui demande en plaisantant.
- Cest toi lélectricienne ?
- Ça ne se voit pas ?
- Ce nest pas une profession où il y a beaucoup de femmes.
- Il est temps que cela commence.
Je réalise seulement quelle porte une salopette-short ainsi quun teeshirt à bretelle fine qui montre quelle ne porte rien dessous. Ses bras sont parfaitement bronzés et la partie short de sa salopette montre des cuisses également parfaitement bronzées comme si elle passait plus de temps au soleil quà travailler.
- Tu as beaucoup de travail ?
- En ce moment énormément, je viens de minstaller et je nai aucune envie de me faire piquer ma clientèle par un collègue
ce qui fait que je fais de grosses journées
aujourdhui est la première fois depuis longtemps que je rentre aussitôt, tu as de la chance.
- Nous voici arrivés.
Elle emprunte un petit chemin gravillonné qui conduit à une ferme rénovée à une centaine de mètres de la route à lentrée du village que japerçois au loin.
- Cest ici que tu habites ?
- Oui, cest également ici que je stock mon matériel
je dois juste faire le plein pour être prête pour demain. Cest plus facile pour moi de combiner domicile et lieu de travail surtout quil ne me faut que mon stock et un petit bureau pour la comptabilité.
Elle gare sa camionnette auprès de la grange et descend.
- Tu viens maider ou bien tu veux continuer ta route tout de suite ?
Et de me montrer le ciel qui est noir comme de la suie avec de temps en temps un éclair qui lillumine, je la suis donc et elle me donne des rouleaux de tubes et de fils à porter dans sa camionnette.
Elle est vraiment ravissante dans sa salopette-short
le short est coupé très court et découvre la base de ses fesses lorsquelle se penche en avant.
- Dis-moi, en tant que femme, tu nes pas importunée sur les chantiers où tu travaille ?
- Pourquoi veux-tu que lon memmerde sur les chantiers ?
- Oh, je dis cela comme ça
tu es une jolie fille et ta tenue nest exactement celle que lon attend dun électricien ?
- Eh bien tu vois, cest une différence, je suis une électricienne et jai aussi envie de le montrer.
- Et si part hasard un collègue ou un autre ouvrier sur le chantier venait à te faire des avances précises
est-ce que cela ne te dérange pas ?
- Tant que ce ne sont que des avances, cela ne me gène absolument pas.
- Et si cela devenait plus sérieux... car je dois te lavouer, avec ta tenue délectricienne je serais tenter de faire un pas de plus histoire de
- Rassure-toi, je naime pas les messieurs aux mains baladeuses et gare à ceux qui sy risqueraient.
- Il y a de costauds gaillards sur les chantiers
- Ne tinquiète pas pour moi, jai ce quil faut pour les calmer.
Et de me montrer un spray paralysant.
- Tu vois avec cela, je peux calmer les avances les plus audacieuses.
- Et si malgré cela ça ne suffisait pas ?
- Jai de quoi calmer les plus aventureux
- Comment cela ?
Et elle de sortir de la poche de poitrine de sa salopette un morceau de nylon blanc.
- Tu vois cela ?
- Quest ce que cest ce truc là ?
- Un serre câbles, jen utilise toute la journée pour assembler des câbles entre eux en faisceaux.
- Et quest ce que tu peux faire avec cela ?
- Attends un moment je vais te faire une démonstration.
Elle ferme la porte du la grange, ferme la camionnette à clé, puis elle sapproche de moi avec un serre câbles dans la main.
Nous passons derrière la maison, là ou il y a un joli coin de pelouse et un jardin bien entretenu.
- Mets tes mains dans le dos
Je mexécute mais avant que jaie eu le temps de réagir, jentends un cliquetis dans mon dos et quelque chose qui se serre autour de mes poignets.
- Voila
comme ça, finit les mains baladeuses.
- Tu parles, avec ce petit morceau de nylon, il suffit de tirer un peu fort dessus et il casse
- Essaye donc, tu vas être surpris de voir comme il est solide.
Je tire dabord doucement puis plus fort et enfin très fort, rien à faire, il résiste.
- Alors, tu vois, ça tient bon hein ?
- En effet, je ne laurais pas cru.
- Et pour ceux qui ne veulent pas encore se calmer, je peux forcer la dose.
Elle sapproche de moi avec deux serre câbles denviron cinquante centimètres de long, elle les enfile lun dans lautre comme un 69 ce qui forme un cercle
elle passe mes mains dans le cercle et le remontre jusqu'au dessus de mes coudes et là elle referme le cercle en tirant sur les serre câbles : mes coudes se resserrent lun contre lautre, je dois lempêcher de serrer trop fort
je gonfle mes muscles pour garder un peu de liberté mais elle sen aperçoit.
- Ce nest pas la peine de gonfler tes muscles comme ça, même les plus costaux ne me résistent pas.
De la poche de sa salopette elle sort ce qui ressemble à un pistolet.
- Cest un outil à serrer les serre câbles, avec ça je peux serrer sans me fatiguer.
Elle bricole derrière moi et je sens tout dun coup mes bras se resserrer encore plus.
- Eh, arrête ça me fait mal.
Mais rien à faire, elle écrase mes coudes lun contre lautre, mes épaules sont tendues en arrière ma poitrine bombée en avant
comme un militaire devrait être au garde à vous.
Mes poignets nétant plus croisés mais bien alignés lun conter lautre, elle utilise son « pistolet » pour serrer convenablement ceux-ci ensemble.
- Tu vois comme ça il ny en a plus beaucoup qui auraient encore envie de faire les malins.
- Et de te balancer un coup de pied dans le ventre ?
Elle prévient le danger en sécartant de quelques pas, je lance mon pied dans sa direction mais sans la toucher puis elle se met à courir comme pour minviter à la poursuivre. Jai envie de lui montrer que malgré les bras attachés comme cela je ne suis pas encore complètement handicapé
je cours de tout mon élan derrière elle, lécart diminue
je la ratt presque quand dun coup, elle stoppe en faisant un bond de coté et laisse trainer une jambe devant mes pieds qui se prennent dedans : un beau croque enjambe.
Je me retrouve à plat ventre sur la pelouse
elle pose victorieusement son pied sur mes fesses quelle pétrit de ses chaussures de chantier avant de sassoir sur mes jambes.
- Pour les petits malins comme toi, je peux encore faire quelque chose.
Elle passe un serre câbles légèrement serré à chacune de mes chevilles et mentrave les chevilles avec un troisième serre câbles
un peu comme la chaine entre des menottes.
- Allez, relève-toi, il va bientôt pleuvoir.
Nous nous étions rapprochés du village et de la bassecour du voisin ou toute une population de poules, coqs, canards, et autres animaux de tous genres se pressaient de rentrer se mettre à labri de lorage prochain. Nous les regardons se presser dans leurs abris respectifs comme sils étaient dressés. Malgré la précipitation le coq se presse près dune poule et lui monte dessus, faisant son travail de géniteur.
- Le salop, il ne peut même pas laisser les poules en paix.
- Il ne fait que son devoir conjugal
tu ne vas quand même pas le lui reprocher.
Nous rentrons à la maison, je la suis à pas très petits.
- Est-ce que tu veux que je te foute dehors sous la pluie ou bien veux-tu passer la nuit ici et repartir demain matin.
- Si cela ne te dérange pas, juserais volontiers de ton hospitalité mais de préférence détaché.
- Pourquoi ? regarde comme tu bombes le torse, on dirait le coq du voisin
montre moi ton torse.
Sans attendre ma réponse elle sactive à ouvrir les boutons de ma chemise quelle baisse sur mes bras jusquaux coudes
- Tu as de jolis tétons qui bandent.
En effet le fait dêtre attaché et de la voir sactiver sur les boutons de ma chemise à fait se durcir mes tétons mais de là a dire que je bande
cest un peu tiré par les cheveux. Ses doigts effleurent mes tétons avant de les triturer entre ses pouces et index ce qui me fait pousser un petit cri
de douleur ou de plaisir je noserai le lui dire.
- Dit-moi, tu dois certainement savoir cela : cest vrai quun coq peut à lui tout seul baiser une vingtaine de poules plusieurs fois dans une journée ?
- Je nen sais rien, ça ne mintéresse pas ce truc là
pourquoi tu me demandes cela.
- Comme ça, figure toi que tu me plais comme ça, le torse bombé comme le coq du voisin, jai envie dêtre baisée ce soir après avoir bien travaillée et je me suis demandée combien de fois tu pourrais me baiser.
- Eh, ça ne va pas
sûrement comme ça
attaché
si tu me détache je pourrai certainement te baiser plus que si je suis attaché.
- Non, jai envie de toi comme ça, tu mexcites, je suis déjà toute mouillée, je vais prendre une douche et après je te promets de passer une bonne soirée
attaché.
- Tes une salope !
- Et demain quest ce que tu me diras ? Merci ?
Elle se baisse près de mes chevilles les attachent bien serrées avec un autre serre câbles
- Je nai pas envie que tu tenvoles mon petit coq, à tout à lheure.
Et elle disparait dans sa salle de bain.
Comment imaginez- vous la suite ?
Attache-moi@hotmail.com
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