Aventures D'Ados ( 12 )
12
Ce week-end je reste à la maison, jétudie dans ma chambre. Il faut que je bosse dur si je veux obtenir mon diplôme. Je pense à laprès- midi de vendredi, ce mec me fait rêver. Jen reste troublée, jai encore limpression de sentir sa bite en moi. Cest la première fois quune partie de baise me fait cet effet. Sa queue est aussi importante que mon gode, mais elle est chaude et vivante, ça change tout !
Jattends jeudi soir avec impatience, pourvu quil ne me fasse pas faux bond, quil ne se soit pas moqué de moi en me faisant croire quil veut me revoir. Je noublie pas quil est marié, a peut-être des s, je ne voudrais pas briser un couple.
Je suis passée à la pharmacie reconsti mon stock ! Je prends une taille 3, la plus grande, vu limportance du membre à équiper. Regard étonné de la pharmacienne, mais pas de commentaires. Jai arrêté de prendre la pilule, je suis dans la période dangereuse ! Je ne pourrais recommencer à la prendre quaprès mes règles. Pas de conneries, pas question de se faire monter à cru !
A la fac, le mec de lautre jour a remis ça. Il réussit à me coincer dans un couloir, me pousse dans une salle vide dont la porte est ouverte.
Une fois entrés, il la referme, me plaque contre. Je me débats, il mimmobilise, à quoi bon résister, je risque de prendre un mauvais coup. Il passe sa main dans mon jean, atteint mon entrejambes. Je le laisse faire, il me triture la vulve, cherche à mintroduire ses doigts, involontairement, je mouille.
- Tu vois quten as envie !
- Tu veux mbaiser, vas-y !
- Tu regretteras pas !
- Toi si !
Il me lâche, recule, je ne bouge pas, jai ma petite idée. Il ouvre son jean, sort sa bite et ses couilles. Il est en érection, ridicule, trop insignifiante, cest avec ça quil veut memmancher, il na pas de quoi aller jusquau fond ! Quel vantard ! Je serais lui, je noserais pas la déballer devant une fille ! Je connais mieux.
Il me regarde, sapproche, se plaque contre moi, cherche ma bouche, je tourne la tête. Il sattaque à ma ceinture, louvre, passe sa main dans ma culotte. Jécarte un peu les jambes, un doigt glisse dans ma fente. Je ne cherche pas à le repousser, ça le met en confiance, il tente daller plus loin. Je prends sa queue, commence à lastiquer, il bande un peu plus, dommage pour lui
Car soudain
..patatras, je passe la main sous ses couilles et les sers énergiquement. Oh
le gueulement ! Il est plié en deux, tombe à genoux, se roule par terre, se les tient. Je referme mon jean, ouvre la porte et file. Cest ma botte secrète, cest la seconde fois que je lutilise. Au moins en voilà un qui va me foutre la paix, je ne crois pas quil va sen vanter ! Ou alors, si il le dit à ses copains et quils sy mettent à plusieurs, ça va être ma fête ! Je risque de passer à la tournante, les mains attachées.
Le soir, dans ma chambre, jai du mal à travailler, je pense à jeudi, espère, hésite, je crois que je fais une bêtise, jai envie de me dédire, je ne sais pas comment le joindre. Si je passe la nuit dehors, je vais avoir droit aux reproches de ma mère. Surtout si elle apprend que je me fais sauter par un homme marié. En plus jai cours vendredi matin, je risque de ne pas être en forme, de somnoler ! Mais mon ventre en redemande, je ne peux pas résister à son appel. Alors ? Oui ou non, cest dur !
On est jeudi soir, pas de nouvelles. A tout hasard, jai pris ma douche, mis une robe élégante, grand décolleté devant, Longue fermeture éclair dans le dos. Elle met en valeur ma silhouette, oublié la culotte. Je mets des chaussures à hauts talons, cest quand même mieux pour sortir. Je me suis un peu maquillée les yeux, juste ce quil faut, parfum discret, cest tout. Samedi dernier, je suis allée chez le coiffeur, ma coupe de cheveux était vraiment à revoir. Mes parents me voient comme ça, ma mère est offusquée, ne reconnaît plus sa fille. Je dis que je suis invitée au resto par un copain, que cest normal que je me mette un peu en valeur.
- Et tu vas passer la nuit avec ?
- Je ne sais pas, je vais peut-être rentrer tard. Il ne ma pas appelé, je ne sais même pas sil va venir !
Je suis dans ma chambre, nerveuse, guette la rue, il fait nuit. Huit heures et demi, rien. Il ma posé un lapin, cest tout ce que je mérite. Jai eu tord de memballer pour ce mec. Il voulait tirer son coup, sans plus.
Il est bientôt neuf heures, je me prépare à me déshabiller, je vais descendre à la cuisine manger un morceau. Mes parents regardent la télé, ne soccupent plus de moi.
Coup de klaxon bref, je jette un il dehors, il est là. Jenfile un manteau demi saison, jette un grand châle en laine blanche sur mes épaules, descends les marches 4 à 4 au risque de tomber, (avec des hauts talons ce nest pas évident) marrête, me calme, respire à fond, ouvre la porte. Il mattend, me prend par la main, me conduit à la voiture, ouvre la portière, la classe !
- Excuse mon retard, jai perdu beaucoup de temps sur la route.
- Je croyais que tu mavais posé un lapin.
- Jai dis que je tappellerais en cas dempêchement.
- On dit, on dit. Je ne croyais pas te revoir, mais enfin tu es là.
- Jai réservé pas très loin dici, dans une petite auberge sympa.
- Cest parce que jai mis ma main sur ta jambe que tu as eu envie de moi ?
- Ca ma troublé, jai réfléchi, hésité. Je crois toujours faire une erreur !
- Tu me plais, je ne savais pas comment te le faire comprendre !
- Toi aussi tu me plais, cest pour ça que je suis là, mais lautre jour, te baiser, ce nétait pas dans mes intentions.
- Et aujourdhui ?
- Jai bien réfléchi, jai envie de toi. On y va ?
On roule depuis une demi heure, on est hors de la banlieue. On arrive, il entre dans une grande propriété, on roule sur une longue allée en gravier bordée darbres, au bout une sorte de petit château, façade éclairée. Il ouvre ma portière, me prend la main, je descends de voiture, il ouvre le coffre, prend sa valise.
- Jai envie, il faut que tu me la mettes tout de suite, je ne tiens plus.
- Patience ! On a toute la nuit !
On arrive au dessert, génial comme le reste du dîner. Il est 11 h et demi, il me dit :
- Les dîners daffaires sont toujours très longs, il va falloir que tu thabitues !
- Si je tombe de sommeil, je ne serais plus bonne à rien !
- Pas de problèmes, je sais ce dont tu es capable, on y va !
On sort de la salle de restaurant qui est maintenant presque vide, il récupère sa clé, on monte à létage. La chambre, une pure merveille de décoration. Mobilier de style, lit grand large à dosseret, tapis, moquette, lourds rideaux, le rêve. Peignoirs et robes de chambre dans larmoire.
En entrant, il quitte sa veste, la met sur un cintre, je lance châle et sac sur le lit. Je fonce dans la salle de bains, laisse la porte ouverte, une urgence. Ouf, ça va mieux ! Jespérais quil me suive pour menfiler dès que soulagée, mais non, il est là, assis sur le bord du lit, à mattendre. Je balance mes chaussures dans la pièce et pieds nus je fonce vers lui, tombe à genoux, laplatit sur le lit, libère sa queue, ses couilles. Elle est au repos, jai faim de lui, je ne la suce pas, je la lui bouffe littéralement, aspire le gland, lèche les couilles, lenfourne en entier dans ma bouche. Quest ce quy me prend, je ne me suis jamais comportée comme ça ! Moi qui naime pas sucer ! Oh miracle, il se met à bander terrible, elle est impressionnante, je ne peux plus attendre, il me la faut. Jatt mon sac, sort une capote, lui enfile, je relève ma robe, monte sur lui, mencastre. Il est surpris par la soudaineté de lattaque, réagit, me bascule, on tombe du lit, il reste encastré dans moi, je me retrouve sur la moquette, écartelée. Il me défonce, sacharne, accélère, senfonce jusquà la garde, je sens sa pine grossir, durcir, il se lâche, je sens ses jets de foutre dans la capote, mon cur semballe, je crie, jouis en même temps que lui. On est là, lun dans lautre, par terre, encore habillés, haletants, il ma comblé, il y avait urgence. Il me quitte, se lève, vire la capote, me retourne, me met en levrette, me relève la robe sur le dos, me prend sous le ventre, tire, me soulève comme une plume. Il faut dire quil a un corps dathlète, mesure 1,83 m pour 70 kg. Je me retrouve la tête en bas, les jambes en lair. Il les passe sur ses épaules, sa tête est entre mes cuisses, il me bouffe la chatte, maspire le clito, entre sa langue dans mon trou, boit ma mouille. Jappuis mes mains sur ses jambes, sa bite est là, devant ma bouche, dune main je la saisis. Je labsorbe, la suce, elle est enduite de foutre, redevient raide, beurk ! jaime pas le goût, tant pis. La position est inconfortable, je gigote, jai le sang qui monte à la tête. Il a comprit, me dépose sur le lit, on se calme, cest trop violant, depuis le temps que jattendais ce moment. On est en travers du lit, côte à côte, il est minuit et demi, mes yeux se ferment. Il faut quon dorme. On se met debout, jouvre le lit, le déshabille, il se laisse faire. Son sexe est revenu au repos, je le caresse doucement, tire sur la peau, dégage le gland, je le branle doucement, il durcit, bande de nouveau, quelle merveille !
Il passe derrière moi, fait glisser la fermeture éclair, dégage mes épaules, ma robe tombe au sol, on se retrouve à poil tous les deux. Il membrasse, suce mes tétons, pétrit mes seins, caresse mon corps, fait bander mon clito, enfile ses doigts dans mon vagin. Je mouille. Il remet un préservatif, mallonge par terre, se place entre mes jambes, les relève, je me retrouve sur les épaules, cul en lair, pieds de part et dautre de ma tête, jappuie les bras au sol. Debout, jambes écartées, il menfile direct, sans ménagements, me burine dur, fait des han, han, je sens sa verge buter au fond de moi. Dans cette position je vois ma vulve bordée de poils enserrer sa queue. Elle entre et sort de mon vagin, me quitte, entre de nouveau, ses couilles battent mon cul. Je me sens partir, gémis, couine de plus en plus fort, oui, oui, vas-y, je jouis. Il me laisse retomber doucement, sallonge sur moi. Je ne suis pas refermée, il entre, coulisse facilement, va au fond de moi de plus en plus vite. Oui, oui, vas y, défonce moi, je sens que je vais jouir de nouveau. Cest aussi le moment pour lui. Il a un long un râle, sarrête, sa bite grossit, se raidit, quelques spasmes, il gicle, cest chaud, je crie oh, oh oui, ouiiiiiiii encore ! Cest trop bon.
On reste ainsi collés lun dans lautre jusqu'à ce que sa bite ressorte delle même.
Fatigués, on se relève, il retire la capote, je regarde lheure, une heure et demie du matin.. On va dans la salle de bain se préparer pur la nuit, il enfile son pyjama. On se couche, je me blottis contre lui, je veux sa chaleur. Délicatement je lui masse les couilles, je ne tiens pas à les briser, de celles là jen ai trop besoin, il ne réagit plus, on sendort.
Il est 5 h, je méveille. Il est là, allongé, dort paisiblement. Ca ne peut pas durer, mon ventre à faim de lui, avec lui je suis inrassasiable ! Jallume le chevet, soulève le drap et la couverture, regarde. Sa bite est là, à portée de main, molle, pendante sur la cuisse. Jai pitié, la sort du pyjama, soulève, caresse, tire sur la peau. Elle réagit, grossit, durcit, sallonge. Je le branle doucement, il se réveille.
- Quest ce que tu fabriques ?
- Je téquipe, jai envie.
- Je suis crevé, laisse moi dormir
- Daccord, on verra ça plus tard !
Je monte sur lui, mempale, commence un doux va et vient, il maide, cabre le bassin, suis ma cadence. Il me renverse, passe sur moi, se met à me pilonner sauvage Il me lenfonce profond, je serre ma gaine pour bien le sentir, mouille terrible. Il quitte le pyjama, je me mets sur le côté, cuisses serrées, lui présente mon cul. Il est derrière moi, écarte mes lèvres avec ses doigts, je saisis sa queue, la place devant mon trou, il me dilate en entrant, me burine dur. Jai chaud, accompagne ses coups de queue par des coups de reins. Il me termine à lénergie, je sens que je viens, chavire, gémis, jouit. Un râle, il a déchargé, sarrête, membrasse dans le cou, se lève, jette la capote, va aux toilettes, je laccompagne. Je le regarde pisser, prends la relève ,me soulage, passe sur le bidet, fais une toilette intime, je nai pas honte et pourtant cest la première fois quon me regarde dans cette position, de plus je suis nue. On se recouche, on sembrasse, on se tourne le dos, la nuit nest pas finie, demain
au boulot !
Il a demandé le réveil à 7 h. Le téléphone intérieur nous sort de notre léthargie. Il raccroche, sétire, se lève, prend un peignoir, se dirige vers la salle de bain. Mal réveillé, il ne marche pas très droit, on croirait quil est saoul. Il prend sa douche, moi je paresse un peu, le rejoins, prends une douche à mon tour, met un peignoir. Il a fini de se raser, je mapproche, le regarde, écarte les pans de son peignoir, att la queue, lagasse, il bande. Il me retourne, je mappuis sur le lavabo, il soulève le peignoir, me prend aux hanches. Je le vois dans le miroir, derrière moi, il se colle contre mon cul, senfonce, cest bon de la sentir nue, comme petit déj, que rêver de mieux. Soudain jy pense, pas de blagues. Je me redresse, le repousse dun coup de cul, il ne sest pas protégé, je lui dis, je suis dans la zone dangereuse.
Retour dans la chambre, je plonge sur le lit, à plat ventre. Il arrive derrière moi, relève le peignoir, mécarte les fesses. Il sest couvert au passage, je le sens sintroduire en moi, je redresse le cul, ça y est, il est en action. Je couine, crie ma jouissance, encore une fois je suis partie. Lui y va dard dard, na plus grand chose à éjaculer, sacharne pour y parvenir, sécroule, halète, bascule sur le dos à côté de moi, souffle, reprend des forces. Cest fini pour aujourdhui, on se rhabille, il met pyjama, linge de corps, chaussettes, trousse de toilette, dans sa petite valise. Je remets un peu dordre dans la chambre, ramasse les témoins de nos folies, les jette dans la poubelle de la salle de bain. Au passage, je me regarde dans le miroir, on peut lire les fatigues de la nuit sur mon visage. On quitte la chambre, descendons dans la salle du petit déjeuner.
On prend un petit déjeuner copieux, on a faim, faire lamour ça épuise. Il doit être à 9 h au bureau, il me dépose à la maison, on se roule un patin, il me dit : je tappelle. Ma mère commence à mentreprendre, je nai pas le temps, jai déjà manqué le premier cours, je me change, file. On verra ça plus tard !
Il y aura une suite
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