Dans Le Métro Et Dans Le Cul

Bonjour,

Je venais de fêter mes vingt ans lorsque cette aventure m'est arrivée. A l'époque, je travaillais à Paris et, c'est sur le chemin du retour ou plus exactement dans le métro que...
Comme tout les soirs, je me retrouvais sur le quai de la station à une heure de pointe, au milieu d'une foule compacte, à attendre la prochaine rame. De mes 1m70, je porte avec aisance la mini-jupe, faisant souvent converger les regards masculins sur mes jambes. Étant un peu exhibitionniste, cela n'était pas pour me déplaire. Ce jour-là, j'avais volontairement, peut-être par jeu ou défi, omis de m'être une culotte. Je reconnais que, je suis plus salope qu'une sainte nitouche mais, a vouloir tenter le diable, on finit par le rencontrer !
Dès que les portes s'ouvrirent, je me propulsais à l'intérieur du wagon, me saisissant de la barre d'appui, aussitôt imitée par une vague de voyageurs venant s'agglutiner autour et contre moi. Je me retrouvais littéralement coincé au milieu de cette marée humaine, pour la plupart composée de mâles dont je sentais leurs visages me fixés.
D'emblée, je sentis derrière moi, une main venir effleurée ma croupe, par réflexe, afin de me dégager, je bougeais légèrement mon fessier. Ce que je croyais salutaire pour moi, fut interprété visiblement comme une invitation par mon inconnu. Cette fois, ce n'était plus un effleurement de mes fesses mais bel et bien des caresses qui, prirent une tournure de pelotage en règle, quand celle-ci glissa sous le mince tissu de ma mini, découvrant que je ne portais aucun sous-vêtement. J'étais en train de me faire tripoter le cul dans un contexte plutôt insolite et, je reconnais que je commençais à apprécier vraiment la situation.
Maintenant, mon homme invisible, n'hésitait pas à titiller de ses doigts mon anus, je n'avais plus qu'une peur, d'être démasquée parce-que, a c'est instant, je n'envisageais plus de me dérober et, si j'osais même tendre un tant soi peu mon derrière, c'était a la recherche du plaisir.

Je n'avais plus aucune envie de rébellion quand un de ses doigts entreprit de forcer mon petit trou, je le laissais me pénétrer tandis que je mouillais abondamment. Rapidement, il introduisit un deuxième doigt et, aussi discrètement que possible, parfois en des va-et-vient désordonnés, il me sodomisa. De mon côté, j'en oubliais les autres passagers, me tenant fermement a la barre pour ne pas défaillir. Je ne sais combien de temps il me besogna le cul mais, c'était un vrai délice qui finit par m'emporter dans une intense jouissance.
A l'arrêt suivant, je descendais, ne sachant plus ou j'étais, m'enfuyant sans me retourner, les jambes chancelantes mais heureuse de cette expérience et déjà prête à recommencer...

Fleur.