Prise De Conscience

J’ai 36 ans, je n’ai l’air d’un pédé, pourtant j’en suis bien un. J’aime être avec un homme et faire l’amour avec. Je n’ai pas un physique extraordinaire : 1,67m pour 72 kg, châtain aux yeux bleus. Petit, poilu, un peu de bide, des poignées d’amour, mais je plais quand même, peut être est-ce dû à mon cul. Les mecs adorent mon cul. Surtout les actifs qui ont la chance de m’avoir pour partenaire !

Sexuellement, je suis plutôt passif. J’ai eu ma première expérience gay à 25 ans. Elle n’était pas préméditée, mais pour autant, je l’espérais depuis longtemps. Je ne pouvais nier que mon désir des hommes, et du sexe entre hommes remontait à ma plus tendre adolescence. Mon premier mec avait 25 ans, et dès mon premier mec, je me suis retrouvé passif. Après mon dépucelage, j’ai connu cinq autres mecs en l’espace d’à peine trois mois. Mes premiers pas dans l’homosexualité ont sûrement révélé, disons mes caractéristiques sexuelles : Je suis passif, préférant subir qu’agir. On peut me considérer comme un mec facile, dans le sens ou il suffit que le mec me plaise pour accepter de coucher avec lui. Je n’ai pas besoin d’être amoureux ou que l’on me promette des lendemains pour coucher. Chacun de mes six premiers partenaires connaissait au moins l’un des autres. J’ai couché avec la plupart d’entre eux plusieurs fois. Mais j’avais l’impression d’être dans un cercle fermé et cela a fini par me lasser. J’ai petit à petit coupé avec les ponts. Au début, j’ai cru que je me lassais de l’homosexualité. Mais me retrouvant seul, j’avais vraiment envie d’être avec quelqu’un et de même sexe.

Alors, au bout de trois semaines, je me suis rendu un vendredi soir dans le Marais, le quartier gay de Paris. Je suis allé dans un bar une première fois, mais je suis rentré seul chez moi. J’étais allé dans ce quartier et dans ce bar pour voir mon « pouvoir de séduction » et comment dire... si un autre mec pouvait me plaire et m’attirer dans son lit.

Ce premier soir fut donc un flop... J’y suis retourné le lendemain. Mais cette fois, l’après midi, j’avais fais les magasins et surtout, j’y suis retourné plus tard : vers 23h. Je portais donc un jean clair taille basse hyper moulant, sans ceinture avec un string dessous, et un t-shirt qui m’arrivait (à peine) à la taille. Au début, je n’étais pas à l’aise : il suffisait que je me penche à peine en avant pour que l’on devine ce que je portais sous mon jean. Mais j’ai fais fi de tout ça, car pour la première fois de ma vie, je ressentais vraiment l’envie de me faire sauter. Dans le même bar que la veille, quelques mecs m’ont abordés, mont souris mais sans plus. Jusqu’à Pierre. Il était à peine plus grand que moi, mince, plus âgé (dans la trentaine), un crâne de pirate tatoué sur l’avant bras. Il s’est invité à ma table.

- Tu étais là hier déjà, non ?
- Oui....
- Tu cherches quelque chose ?
- Non...
- Quelqu’un ?
- Non.
- Dommage. Tu es plus sexy qu’hier. Et moi je cherche quelqu’un.
- Ah oui ?... Qui ça ?
- Un mec avec un beau cul comme le tien.
- Merci...

Il m’intimidait légèrement et ne savais comment réagir. Pourtant, il me tentant à défaut de me plaire réellement.

- Ecoute, je ne vais pas tourner autour du pot. Je cherche un mec à tirer et tu es dans mes goûts. Et toi si tu es là, tu cherches un mec.... alors ça te dis ?
- Pourquoi pas....

Cinq minutes plus tard, nous étions dehors, au bout de quinze, j’étais à genoux dans le couloir de son appart en train de le pomper goulument. Il me tenait légèrement la tête et donnait de légers coups de bassin, m’encourageant à le pomper jusqu’à ce qu’il me jouisse dans la bouche. La première fois où je me suis retrouvé à goûter le jus d’un mec, j’ai marqué une certaine répulsion. Mais depuis, j’aime ça et prends toujours soin à bien essuyer le gland de mon partenaire. Il m’a entraîné sur le canapé pour nous retrouvés à poil, à nous caresser.
Je les lécher des pieds jusqu’à sa bouche pour nous rouler une pelle, puis deux, puis.... J’étais à poil, allongé sur un mec que je ne connaissais pas, nu lui aussi. Il m’ a allongé sur le dos pour me sucer à mon tour. Ses coups de langue, ses lèvres contre ma queue me faisaient pousser des cris d’extases ! Sa bouche était vraiment experte. Quand il a sentis que j’allais jouir, il m’a foutu un doigt dans le cul, me procurant un orgasme comme j’en avais rarement eu. J’ai jouis une seconde fois dans sa bouche pendant qu’il me fouillait le cul avec son doigt. Il est venu s’allonger sur moi et à posé ses lèvres contre les miennes. Ma bouche s’est ouverte et il a recraché mon foutre qu’il avait gardé en bouche. Il m’a roulé une de ces pelles baveuses.... après quoi, il m’a demandé de mettre à quatre pattes « pour gouter ton cul » m’a t-il dit. Il s’est mis alors à me lécher et à me doigter le cul avec dextérité. Il s’est enfilé un préservatif sortis de je ne sais où, puis s’est mis à saliver sur mon trou. Quand il placé son gland contre ma rondelle, je me suis bien calé dans le canapé.

Je savais que j’avais à faire à un mec qui avait l’habitude de s’occuper d’un cul. Il me l’a confirmé en me pénétrant en douceur. Il a donné deux coups de reins, presque sensuels histoire que sa queue rentre bien dans mon cul. Il a commencé à me limer doucement, puis en deux coups de rein brutaux, sa queue s’est introduite entièrement en moi. Il m’a limé de plus en plus violemment. A un moment, il s’est presque retiré pour m’agripper aux épaules. Là, il a donné un violent coup de rein, j’ai manqué de perdre l’équilibre, mais il me retenait fermement. A ce moment là, il s’est mis à m’enculer furieusement. Sa queue repoussait toute résistance de mes entrailles et ses couilles claquaient mes fesses. Je m’agrippais à ce que je pouvais, mais il n’en n’avait cure. D’ailleurs, je n’ai jamais pensé à lui demander de ralentir la cadence. Je savourais ce moment, celui de me faire enculer par un mec que je ne connaissais pas et juste croisé dans un bar.
Mais j’étais tombé là sur un mâle, un vrai, qui ne joue pas de rôle, qui soit nature, viril jusqu’au bout de la bite. Il s’est retiré juste avant de jouir pour lâcher tout son jus sur mes fesses. Là, il m’a laissé à quatre pattes pour me lécher la rondelle, m’écartant bien les fesses avec ses doigts. C’est à ce moment là que j’ai jouis à mon tour sur son canapé.

Je suis rentré chez moi vers 5 heures du matin. Cela lui a laissé le temps de m’enculer deux autres fois. Une fois sur le tapis au milieu du salon, une seconde allongé sur le dos sur la table du salon. Il m’a enculé à chaque fois avec la même énergie. Juste avant de le quitter, je l'ai pompé et suis donc repartis chez moi, le cul ouvert et le gout de foutre au fond de la gorge.

En me couchant, je me sentais enfin vraiment pédé.

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