Attaché Par Des Garnements, Libéré Par Leur Maman
Je lai rencontrée à la piscine, une femme mignonne dans la trentaine en compagnie de ses deux s, des jumeaux. À vrai dire des s terribles, heureusement quil ny avait pas beaucoup de monde ce vendredi là car je crois quelle aurait eue droit à une engueulade du maître-nageur.
Toujours est-il que après avoir reçu plusieurs fois leur balle sur la tête, jentre en conversation avec les s et partage leurs jeux ce qui apparemment soulage la maman et ramène un peu de calme sur la pelouse.
Lorsque leur mère décide daller se baigner elle prend les jumeaux avec elle, jespère pouvoir me reposer un peu mais cest sans compter sur les deux garnements qui me prenne par la main et minvite à les suivre.
- Avez-vous demandé à votre maman si elle veut que je vienne avec vous.
- Maman, maman, est-ce que Christian peut venir avec nous dans la piscine ?
- Sil le veut, pourquoi pas
mais nexagérez pas quand même.
Et vlan me voilà pris pour une bonne ds.
Enfin, je joue le reste de laprès-midi avec ces deux terribles. Je dois avouer que lorsquils sont occupés, ils ne sont même pas aussi désagréables.
Vers 18 heure, maman les appelle car il est lheure de rentrer à la maison,
- Maman, est-ce que tu crois que Christian pourrait venir chez nous demain pour jouer avec nous.
Eh, je nai rien demandé, là ils exagèrent un peu mais je nai pas le temps de donner mon avis que maman me demande un sourire séducteur si je veux tenir compagnie à ses s
pas très longtemps car de toute façon, leur papa vient les chercher en fin daprès-midi. Ils passent la soirée et le dimanche avec lui.
Maman est donc soit célibataire soit divorcée et vit ses deux s
seule ? Famille recomposée ?
Son sourire est tellement sollicitant que je nose lui dire non. Elle ne doit pas avoie la vie facile tous les jours avec deux durs-à-cuir comme ça.
Jaccepte donc de venir le lendemain. Elle mexplique où elle habite, à environ dix kilomètres de là à la sortie du village dans lancienne maison du curé.
Le lendemain matin, après avoir pris un bon petit déjeuner, je prends un bain et surtout je ras de près mon corps car les poils commençaient à repousser, cest quelque chose que jentretiens régulièrement car jaime bien sentir ma peau lisse sous mes vêtements.
Il fait un temps magnifique ce matin et pour laprès-midi je décide de porter un short ainsi quune chemisette. Comme dhabitude, je suis nu sous mon short, je naime pas porter de slip ou autre truc comme ça. De toute façon personne ne remarque rien.
Vers les quatorze heure, je me rends donc dans le village où elle habite et cherche lancienne cure au bout du village. Je trouve facilement
à vrai dire cest une grosse bâtisse entourée dun mur dau moins trois mètres de haut. Je pousse le portail à lentrée et me trouve dans un grand parc parfaitement entretenu avec de vieux arbres centenaires et un jardin qui fourni quelques légumes.
Jappuie sur la sonnette à lentré de la maison et demblée les cris des deux jumeaux emplissent les couloirs.
Jai juste le temps de dire bonjour à la maman quils mentrainent dans le parc où ils ont une construit une hutte dans un arbre. Nous jouons au gendarmes et au voleur, je suis naturellement le voleur et ils me capturent après une course effrénée dans le par et autour de la maison. À chaque fois, cest le même scénario, ils mattachent dans ce qui doit être ma prison
Les pauvres, à chaque fois, je me détache et je repars me cacher dans le parc
Le jeu dure toute laprès-midi et je commence à être fatigué, il fait surtout très chaud et rapidement jai enlevé ma chemisette, mes chaussures aussi je les ai enlevées, il est plus agréable de courir les pieds nus dans lherbe que de transpirer. Heureusement, il y a une douche deau froide pas très loin près de la cabane à outils de jardin.
Jai hâte que leur papa vienne les chercher
Nous prenons un quatre heure dans la hutte, ce qui nous repose un peu et redonne des forces
surtout à ces petits diables qui en redemandent encore plus.
Je repars me cacher, il ne leur faut pas longtemps pour me trouver et me capturer
ils vont de nouveau mattacher.
Comme à chaque fois, ils passent un nud coulant autour de mes poignets devant moi puis ils enroulent la corde plusieurs fois encore avant de passer la corde entre mes bras et mes mains et de faire plusieurs tours qui serrent la corde autour de mes poignets, ils vont certainement faire un nud qui sera aussi facile à défaire que les autres mais au lieu de cela, lun dente eux monte sur une branche assez haute du vieil arbre qui porte leur cabane pendant que lautre lui lance la corde quil attache à la branche
hum, il ne me sera pas difficile de me détacher mais ce nest pas un problème, je nai pas allongé les bras complètement au dessus de ma tête et la corde nest donc pas tendue.
Celui resté au sol, mattache de la même façon les chevilles et termine en fixant la corde après une grosse racine sur laquelle jétais monté. Il ne me laisse pas beaucoup de corde libre mais je peu quand même me déplacer dune vingtaine de centimètres autour du nud quil vient de faire.
Il montre dans larbre rejoindre son frère, et là les deux garnements détachent mes poignets de la branche qui sabaisse sous leur poids, la corde était complètement détendue
mais pas longtemps car à deux, ils tirent maintenant sur la corde, me soulèvent presque et lamarre fermement à la branche.
Oups, là, ça se complique
Ils descendent de larbre
à peine ont-ils quittés la branche que celle-ci se relève et me soulève presque du sol
je gigote pour essayer de soulager la traction sur mes bras mais il ny a rien à faire. Là, je sais que je ne pourrai pas me détacher, les garnements ont réussis leur coup
à force dessayer, cétait à parier.
Ils terminent alors tranquillement leur quatre heure en pariant que cette fois ci je ne pourrai pas me libérer.
En effet, jai beau secouer la branche pour faire se desserrer le nud, il ny a rien à faire.
Je réussi seulement à serrer la corde autour de mes poignets encore plus.
- Les s papa est là, vous venez !
- Oui maman tout de suite
Bien que je les appelle pour ne pas quils me laissent comme cela, ils disparaissent en quelques secondes.
Me voila dans une drôle de situation, je me débats comme un diable, jessaye de sauter en lair pour donner un peu de jeu à la corde autour de mes poignets mais je suis rappelé à lordre par la corde de mes chevilles fixée à la racine de larbre, il ny a rien à faire je ne peux pas me libérer seul.
Est que leur mère ne sest pas rendue compte que je suis encore là.
Je jure au fond de moi mais cela ne me détache pas. Je suis bel et bien prisonnier de ces deux vauriens.
Je ne sais pas combien de temps je vais rester comme ça, probablement longtemps, trop longtemps à mon goût. Je compte les quarts dheure : cela fait maintenant une heure et demie que je suis dans cette position, il ny a donc plus personne dans cette maison, les jumeaux nont même pas rapporté les restes du quatre heure, leur mère doit bien en être rendue compte.
Il doit être au moins dix-huit heure, le soleil commence à sétirer sous les arbres, je suis maintenant en plein soleil, je vais même prendre un coup de soleil si ça continue.
Soudain alors que je navais plus grand espoir, jentends des bruits de pas
il y a donc encore quelquun ici.
La maman
la maman apparait vêtue dune tunique courte, à ras des fesses, et transparente, elle porte un petit bikini.
- Je vois que mes deux sacripants ont bien suivis mes conseils
- Lesquels ?
- Lorsquils sont venus chercher le quatre heure, ils mont expliqués que vous vous détachiez toujours, que vous étiez un mauvais prisonnier. Alors, je leur ai expliqués quils pouvaient vous attacher comme ça
et même vous laisser comme ça lorsque je les appellerais. Mais ils nont pas oser faire tout ce que je leur ai dit.
- Détachez-moi tout de suite.
- Bien sur, jai même pu tobserver tous le temps et ne crois pas que je vais monter dans larbre pour te détacher maintenant. Je ne sais pas monter aux arbres, je vais donc aller chercher une échelle pour te détacher
. Mais certainement pas de suite, jai envie de profiter des derniers rayons de soleil.
Ce faisant, elle installe une chaise-longue en face de moi, retire sa tunique. Le bas de son bikini est un string à faire rougir les biens pensants.
- Quest-ce quils nont pas osé faire vos chérubins ?
- Tu cas voir !
Elle prend une longue perche de bois avec une fourche à son extrémité, une perche comme celle que les paysans utilisent pour soulager les branches trop chargées de fruits et empêcher que celle-ci ne se casse sous le poids.
Quest-ce quelle mijote avec ça ?
Je nai pas à attendre longtemps, elle passe la fourche sous la branche qui me soutient et la lève jusquà ce que je sois sur la pointe des pieds.
- Non, pas ça !
- Tu vas voir, ce nest pas bien méchant et puis tu me plais comme ça.
- Je nai pas envie de vous plaire, détachez-moi !
Elle va prendre une douche et revient près de moi
ses tétons se sont durcis sous leffet de leau froide, elle les caresse sous le tissu.
La salope, il ne manque plus que ça.
Elle écarte ensuite les petits triangles de tissus qui couvrent les seins somptueux quelle masse et triture, elle roule ses tétons entre ses doigts, puis elle retire sont soutien gorge mouillé.
- Ce nest pas bon pour la santé de porter quelque chose dhumide
- Détachez-moi donc au lieu de faire ce théâtre.
Elle ne mécoute pas ou ne veut pas mentendre. Elle pose le soutien gorge sur une de mes épaules. Le contact froid de leau sur ma peau mexcite, elle mexcite déjà suffisamment.
Elle se tourne pour me montrer ses deux fesses rondes quelle frotte contre mon short
et dire que je ne porte rien dessous.
Elle se retourne et frotte maintenant le bas de son ventre contre mon sexe durci. Ses doigts caressent son ventre puis sintroduisent voluptueusement sous son string quelle fait glisser sur ses longues jambes fines. Elle le retire complètement et le pose sur mon autre épaule
- Tu bandes espèce de salopard, jespère que tu nas pas été comme ça devant mes s. Même là, regarde tes tétons
- Certainement pas mais détachez-moi maintenant, ça suffit.
- Il faut que je fasse sécher mon maillot de bain.
Elle séloigne, nue et revient avec deux pinces à linge
prend le soutien gorge et le fixe avec une pince à lun de mes tétons.
Je me tords de douleur, je ne sais pas si je dois crier, je me mords les lèvres.
Déjà elle fixe son string à mon autre téton, la morsure des pinces est trop forte.
- Arrêtez, sil vous plait
- Tu deviens plus poli petit polisson.
Ses doigts effleurent alors mon ventre, passent entre mon short dont la ceinture est élastique et ma peau.
Elle les dirige, imperturbable, vers ma verge tendue.
- Cest bien ce que jai pensée hier, tu es complètement rasé, même ta queue
. Et tes couilles, sont elles aussi rasées ?
- Laissez-moi tranquille !
Insensible à mes réclamations elle sempare de mes ufs et les serre entre ses doigts. Elle me fait mal
je nai pas le temps davoir vraiment mal, elle menlève mon short, le baisse jusqu'à mes chevilles, je suis nu comme un ver livrer à cette femme magnifique mais excitante
Moi aussi je suis fortement excité, je ne sais plus lui dire non
Je ne sais pas se qui a encore se passer mais elle est tellement enthousiaste
peut être même dangereuse, grisée par ses envies libertines.
Que feriez-vous mesdames à sa place ?
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!