Nadège 4
Nadège s'est endormie lovée dans mes bras. Au réveil elle m'a gratifié d'une somptueuse pipe avant que j'aille bossé mais surtout avant que ma femme rentre de son servicezà l'hopital !
Toute la journée je vais penser à Nadège, attendant avec impatience ce soir où je vais à nouveau me retrouver seul avec elle
..
19 heures, je suis enfin de retour à la maison. La journée a été longue. Je nai pas arrêté de pense à Nadège. Je rêvais de son petit corps frêle mais si ferme et de ses petits seins, de ces 2 merveilleuses petites poires aux tétons tellement excitants et aussi à sa chatte que jai si bien baisée la nuit dernière. Mais là, il faut que je me calme car ma femme est là ! Je dévore cependant ma jeune maîtresse des yeux et jarrive à la mater un peu. Il faut dire quelle maide bien puisque jai vite remarqué quelle navait pas de soutif et comme son décolleté est assez profond je me rince lil !
On dîne assez tôt car ce soir ma femme est encore de service de nuit à lhôpital. Bon cest pas pour déplaire : jai toute la nuit à moi avec ma salope de petite cousine !
Je ne sais pas si Françoise, ma chère et tendre se doute de quelque chose, mais avant de partir bosser elle gratifie dun :
« Mon pauvre chéri, encore une soirée tout seul à devoir supporter Nadège
Essaie de te montrer courtois, cest notre invitée après tout, fait un effort pour être agréable
».
Je ne sais pas si elle est sérieuse ou si elle se fout de moi !
Bon, il est presque 20 heures et Françoise est partie. Je suis seul avec Nadège. Je lui sauterai bien dessus tout de suite, mais il y a la vaisselle à faire avant. Nadège se colle à lévier et moi je prends le torchon.
Je suis derrière Nadège et sa croupe rebondie me fait bander. Tandis quelle a les mains dans leau entrain de laver une casserole, je ne peux pas mempêcher de lui peloter ses fesses.
-Allons, un peu de patience, quelle me dit.
Mais moi je suis déjà trop excité et je continue à lui malaxer sa croupe. Je passe même mes mains sous sa petite jupe et jagrippe sa petite culotte que je fais descendre dun coup sec à mi-cuisse. Je retrousse la jupette pour jouir du spectacle : 2 belles fesses blanches bien rondes, bien fermes séparées par une belle raie et au milieu, en les écartant un peu je découvre son anus ; un joli petit trou plissé brun.
Je suis de plus en plus excité et je viens me coller contre ma petite cousine, si peu farouche. A travers mon boxer, elle doit sentir ma queue déjà bien raide qui appuie contre sa raie. Je glisse mes mains sous son chandail et je pétris ses petites mamelles quaucun soutien-gorge nentrave.
Nadège continue stoïquement à laver la vaisselle, mais elle me laisse faire sans résister. Elle pousse même quelques soupirs révélateurs du plaisir que lui procurent mes caresses.
Jarrache littéralement le chandail et voilà ma belle totalement nue dès que la culotte a rejoint le chandail sur le carrelage.
Quelle est belle la poulette toute menue, avec sa taille fine et ses hanches épanouies, ses belles fesses rebondies. La salope a légèrement écarté les jambes me laissant ainsi entrevoir sa moule poilue entre ses cuisses.
Mon vit est trop à létroit dans mon boxer, aussi je lenlève fébrilement. Je suis nu moi aussi et je plaque contre le corps de ma jeune maîtresse. Je cale mon braquemart contre son cul, il coulisse dans sa raie tandis que je reprends ses roberts en mains. Je les pétris, les malaxe. Je roule les tétons entre mes doigts. Je les étire, puis je les écrase avant de les pincer à nouveau.
Nadège cette fois a lâché sa spontex et elle sappuie les coudes contre lévier.
-Ah, cest trop bon. Tu me rends folle ! Vas-y prends moi là tout de suite dans la cuisine. Ce sera la première fois que je vais me faire baiser en faisant la vaisselle !
Je ny tiens plus et jenfonce mon dard bandé à lextrême dans sa chatte toute dégoulinante.
Je pénètre dans son con sans aucun mal. Ma queue envahie pleinement sa chatte grande offerte. Je commence quelques va et vient assez lents bien profonds, puis jaccélère la cadence. Je ressors mon gourdin entièrement pour mieux linvestir dun grand coup de boutoir. La petite est aux anges. Elle en redemande.
-oui mon chéri, vas-y bien fort, défonce-moi la chatte. Ho que cest bon ! Mon copain ne ma jamais baisé aussi fort que toi ! Continue, ramone-moi encore plus fort.
Ses désirs sont des ordres et je la bourre encore plus fort. Mes couilles claquent contre sa vulve je lagrippe par les hanches et je menfonce violemment, puissamment en elle et lâche toute ma purée. Elle jouit presque en même temps que moi et sa mouille se mélange à mon sperme. Je reste un moment au fond de sa chatte et je la caresse doucement, tendrement en lembrassant.
A suivre...
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