Attachée Et Offerte Un Soir Dans Les Bois...
Au fil du temps, celui qui se trouve au bout de lécran ma fasciné. Comme un prédateur hypnotise sa proie avant de lui sauter dessus : elle sait quelle est à sa merci mais elle sabandonne car elle na aucune chance de fuir.
Chat après chat, M., ma dabord amené à avoir une aventure avec lui. Une fois, classique, plutôt banale pour nous deux et une autre fois ou javais surtout besoin de réconfort ! Puis petit à petit, notre discussion, qui a continué sur le net, est devenue un jeu, un jeu de pouvoir et de soumission. Il ma amené progressivement à lui dévoiler des pans de moi que jignorais moi-même et mon envie profonde de me soumettre à la volonté dun homme : et spécialement lui, car plus que tout autre je lui fais confiance.
Au fil du temps et de nos discussions, jai appris à le connaître. Je sais quil peut être dur, ou très tendre, méprisant, câlin, sec, attentionné, rassurant, sévère, patient, technique, sensuel et jen passe
Mais jamais il ne me mettra en péril ni ne me blessera en dépassant mes limites. Il est très respectueux de sa partenaire, même sil peut la plier totalement à ses désirs. Il mattire et me fait peur, mais notre relation est amicale, pas amoureuse mais surtout je lui fais totalement confiance.
Jusquau jour ou il ma décidé à sauter le pas. Jétais tiraillée entre ma peur et mon désir, et ce soir là cest le désir qui a enfin pris le dessus. Nous dialoguions en ligne et
Jaccepte de le rejoindre, sans bien savoir ce qui mattend. Juste quil fera de moi ce quil veut.
Il me laisse royalement le choix de lendroit ou se retrouver. Un chemin désert et connu de nous deux fera laffaire.
Je mhabille à la hâte, une jupe droite serrée et un chemisier ouvert, qui ne ferme quavec un simple lien et dévoile mes seins. Je veux quil puisse se servir de mon corps sans difficultés sil le souhaite
Un string et un soutien-gorge noir complètent le tout.
Le cur battant je pars au rendez-vous. Comme toujours avant de le rencontrer je suis nerveuse. Cest bête mais incontrôlable. Jarrive au lieu fixé, il est 21h30, je vois sa voiture, une décapotable. Il mattend tranquillement, assis à lintérieur, une cigarette à la main. Il me dit bonjour, me fixe dun il simultanément froid et amusé ( je crois quil sait quil me fait flipper ! ), jai du mal à le regarder dans les yeux. Je crois que je suis déjà en état de soumission. Il me donne alors mon premier ordre de la soirée : « gares-toi et montes ».
Je mengouffre dans sa voiture et nous partons. Il glisse immédiatement sa main entre mes jambes. Docile, jécarte les cuisses, afin de lui faciliter la tache. Mon string ne lui plait pas : « enlève-le » est le second ordre. Je me tortille, remonte un peu ma jupe, la dégrafe pour me simplifier la tache, et jenlève le bout de tissu qui le gêne. Pour ne pas me disperser dans sa voiture, je le roule discrètement dans ma main et le glisse dans mon sac. Il me récompense dun « cest bien, tu commences bien ». Je le regarde un peu étonnée, ne sachant sil plaisante ou sil est sérieux, mais non il est sérieux. Tant mieux, je suis contente de répondre à ses attentes.
Je me rassoie, il me re-glisse immédiatement une main dans lentrecuisse et me caresse. Je sens ses doigts écarter mes petites lèvres, puis descendre jusquà lentrée de mon vagin : je suis trempée. Tellement mouillée que jen ai honte, de lui montrer à quel point je suis déjà disponible, prête à me faire saillir. Je remonte un peu ma jupe, pour lui faciliter laccès : il remonte vers le clitoris, sa caresse sintensifie, je ferme les yeux. Il conduit dune main, je ne fais plus attention à la route. De toute façon, ce soir je suis à lui, il peut memmener ou il veut, me faire ce quil veut. Je suis juste une petite chienne en chaleur, quil va soumettre à sa volonté. Je gémis pendant le trajet, déjà incapable de résister au plaisir quil me donne.
Après une succession de virages, de petites routes puis de chemins, il memmène dans les bois, au bout dune allée sombre cachée par des branches. La voiture sengouffre dans le taillis et simmobilise définitivement. Je rouvre les yeux et prend conscience de la réalité qui mentoure. Nous sommes carrément dans les bois, dans SES bois, au milieu de nulle part, et au bout une tache claire, peut-être un champs. La nuit est presque totalement tombée et commence à nous envelopper.
Il mordonne de descendre. Puis il fait le tour de la voiture et sapproche de moi. Il est plus grand que moi, musclé, sa stature mimpressionne et la situation me fait me sentir toute petite
Sans dire mot il me déshabille entièrement excepté mes sandales. Me voilà nue, dans la nature, au milieu de cette tiède nuit dété.
« Marche tout droit je te rejoins ». Je pars droit devant moi, distinguant à peine le chemin herbeux sous mes pieds. Je marche sans me retourner, certaine quil va arriver, et je lentends rapidement se rapprocher de moi.
« Viens ici ». je fais volte-face, me rapproche de lui. Il me retourne pour me mettre face à un tronc darbre, et commence à me caresser en se plaquant contre mon dos. Ses mains parcourent mon corps : je me cambre, cherchant désespérément son contact, puis ny tenant plus je passe une main dans mon dos pour le toucher. Je commence à glisser la main sous son tee-shirt, jarrive à la peau. Je sens ses abdos se contracter et poussant linitiative plus loin, je menhardie à lui dégrafer son pantalon. Je sens son sexe tendu mais immédiatement un ordre claque : « je ne tai pas dit de me caresser ». Jarrête net car il me confirme ce que jai senti instinctivement dans la voiture : je nai pas à le toucher sans son autorisation, cest lui qui mène le jeu.
Il poursuit ses attouchements, remonte vers mes seins, les pince, me frotte le clitoris, je sens ses doigts explorer mes recoins. Je suis complètement shootée : lenvironnement, lheure, la situation, tout est irréel et contribue à me faire flotter dans une déferlante de sensations. Puis il sarrête et je le vois lever une sangle à hauteur de ma tête. Il lattache avec des gestes précis au tronc face à moi. Ensuite il me ligote solidement chaque poignet individuellement avec les deux bouts de la sangle ( en réalité une ceinture de karaté ).
Cet instant précis est très particulier : à partir de maintenant il contrôle tout. Je ne peux pas me caresser, me toucher ou le toucher, je suis totalement soumise à son bon vouloir. La situation mexcite tellement que jen ai le vertige
Ma respiration saccélère, je suis tendue au maximum. Mes sens sont aiguisés pour deviner ce quil va me faire, et je cherche à me mettre à sa disposition du mieux possible. Je lentends me susurrer « jai envie de prendre tout mon temps »
Sa main glisse entre mes cuisses et descend vers ma chatte trempée : il me glisse un doigt, puis deux, puis peut-être plus et me caresse
je griffe le tronc en gémissant. Je me cambre, tourne les fesses vers lui, je moffre autant que je peux en écartant les chevilles. Je nattends plus quune chose, cest quil plonge en moi : mais au lieu de ça, il se glisse derrière moi et me frotte sa queue entre les jambes, jusquau clitoris. Il peut le faire car il a un sexe long et épais, de tellement bonne dimension que jai du mal à le prendre dans ma bouche. Je subis sa caresse sans pouvoir bouger : il me penche en avant, mes poignets remontent vers le tronc, et pour mieux me tenir jempoigne les sangles qui me tiennent dans cette position doffrande. Je gémis, sans plus faire attention aux bruits environnants, ni à lidée que quelquun pourrait nous voir : pourtant jai horreur de ça !
Enfin il entre en moi. Je crie, oubliant complètement ou je me trouve ; seule compte sa queue, qui me prend inexorablement, me pénètre au plus profond de moi : je me cambre, je moffre, pour être sa chose, sa soumise, pour quil prenne le maximum de plaisir avec ma chatte offerte.
Mais ce nest pas fini : il se retire et me laisse sur ma faim. Puis je sens rapidement ses doigts se présenter face à louverture de mon cul. Jai peur car aucun homme de sa dimension ne ma jamais possédé par là. En plus étant étroite, aucun de mes ex-compagnons nayant vraiment dexpérience, ne ma sérieusement travaillé en sodomie. Mais un doigt me pénètre, puis deux, je sens petit à petit mes sphincters se détendre et se soumettrent aux aussi à sa caresse implacable : je sais que je serai sodomisée ce soir, prise par tous mes trous, que ça me plaise ou pas : je suis là pour ça, pour être dressée et possédée par tous mes orifices, pour être à lui ou plus tard, pour être à qui il voudra moffrir.
Petit à petit, avec douceur mais insistance, je me sens envahie par une présence de plus en plus grosse : il a probablement enfilé ses doigts dans une capote, et fait des va et vient dans mon cul après lavoir enduit de gel. En même temps, pour atténuer la morsure de la sensation, il me caresse le clitoris avec lautre main, et parfois me pénètre avec ses doigts dans le vagin. Je suis environnée de sensations, accrochée à mes sangles, les articulations blanchies tellement je maccroche. Soudain, irrésistible, une première jouissance me submerge
Une explosion, un feu dartifice comme jamais. Je crie comme une chienne, je suis une petite pute soumise et offerte en train de jouir dans le sous-bois, et mon maître me donne du plaisir avant le sien
Puis les doigts se retirent et je sens sa queue se présenter devant lorifice. Jai peur mais je mabandonne : je suis à lui ce soir. Et il entre, doucement et je ne sens pas la douleur redoutée et expérimentée avec dautres, plus maladroits. Sa queue immense se fraye un chemin dans mes entrailles, petit à petit, cm par cm, et mes gémissements de plaisir remplacent ceux de douleur
Il continue à me caresser en même temps et le plaisir menvahit, plus fort que la légère douleur qui sinstalle. Il commence des va-et-vient précautionneux. Soudain je me redresse, honteuse de lui dérober mon cul, mais jai mal ; une plainte méchappe. Il est entré de je ne sais combien mais je crois que je suis au bout de ce que je peux faire ce soir ! Il me bloque le bassin avec une main, et sans se retirer, joue avec mon clitoris, jusquà ce que je me détende : puis il en profites pour senfoncer encore de quelques cms... Il me dira ensuite quil est entré à 75 %, ce qui vu ses dimensions et lhabitude que jai de lexercice, constitue pour moi un véritable exploit !
Il continue ainsi à me sodomiser, prenant son temps, laissant mon cul shabi à cette présence inhabituelle et volumineuse. Je sens que le moment ou la sodomie deviendra un plaisir nest enfin plus très loin. Jusquà maintenant je lai toujours envisagé avec frayeur mais là, le plaisir commence à être au rendez-vous.
Puis il devient plus autoritaire, me penche davantage en avant, matt les cheveux et me les tire en arrière, mobligeant à me cambrer encore davantage, si cest possible : il peut ainsi disposer de mon cul comme il lentend. « tu es une bonne petite salope » me dit-il
Oui ça il a raison ! Je tortille le cul, je crie, je gémie
Tout en me sodomisant, il se penche au dessus de moi et introduit les doigts dans mon vagin en même temps. Le sentant je ne peux mempêcher de penser quil me prépare progressivement à une future double pénétration. Il me fait lamour comme jamais personne ne la fait : il me fait hurler de plaisir dans le sous-bois, plus fort que les chevreuils environnants dont jentends les aboiements, et qui doivent bien se demander ce qui se passe !
Puis il se retire et je laisse échapper un soupir à la fois de soulagement et de déception. Il me met les doigts dans le cul et me dit « tu vois tu es bien ouverte maintenant ». je lui réponds que je nai jamais été aussi ouverte, que tous mes trous sont tous à lui. Me prenant au mot, il me rétorque alors « et encore, je ne tai pas encore baisé la bouche
». Puis il me pose quelques claques sur les fesses, plus pour le plaisir de les faire légèrement rougir que pour vraiment me faire mal.
Il me détache. Je me demande si cest terminé, mais il me dit « à genoux et suces-moi » . Je tombe à ses pieds et gobe sa queue sans demander mon reste. Je dois humecter mes lèvres plusieurs fois, tellement jai la bouche sèche davoir tant crié. Jadore le sucer, le caresser ainsi. Il gémit de plaisir et laisse échapper un « cest vrai que tu suces vraiment bien, tu es une vraie petite chienne », puis mempoignant les cheveux il me baise la bouche, pénétrant bien au fond. « si je sens les dents je tencules encore ». Difficile vu la taille de son sexe, mais jouvre la bouche au maximum, cherchant à le caresser le plus délicatement possible sans perdre de vigueur dans ma caresse néanmoins. Ma langue parcours son gland, je suis concentrée sur son plaisir. Je lui att les couilles, les caresse en même temps, et jai la satisfaction de sentir que mes attentions lui font de leffet
Je me demande sil va jouir sur moi dans cette position mais non : il me remet debout, me retourne et me penche vers lavant mais sans mattacher.
Je lentend enfiler une capote, puis il me reprend, je suis tellement dans le brouillard que je ne sais même plus par quel trou ! Je crois quil me sodomise encore
Il a du sentir mes dents tout à lheure malgré toutes mes attentions ! Je suis ouverte et dilatée par tous mes orifices de toute façon. Il me laisse les mains libres et pour maider à oublier la douleur, il mordonne « caresses-toi en même temps ». Je naime pas trop ça, jai toujours un peu honte de me caresser pendant quun homme me prend, voire même de me caresser tout court devant un homme ! Ca me bloque. Mais je le fais sans discuter en glissant ma main vers mon clitoris. Il me prend encore avec quelques va et vient, et mordonne sèchement « tu as trente secondes pour jouir, dépêches-toi ». Je me caresse frénétiquement, je sens le plaisir monter mais je nai pas le temps dans le délai imparti : je nose pas continuer à me caresser et jarrête. Je le sens se retirer, puis il change de capote et replonge dans ma chatte. Là il se lâche enfin et commence à me pilonner, je rentre un peu les reins car il est tellement bien monté quil me fait mal en arrivant au fond de moi. Mon plaisir remonte en flèche, je maccroche au tronc darbre et jai un deuxième orgasme fulgurant pendant quil me défonce à grands coups de boutoir.
Je le sens jouir enfin derrière moi, au moment ou il se retire. Nos curs battent à 100 à lheure, je ne sais pas pour lui mais moi en tout cas, je suis restée accrochée au plafond ! Je suis complètement flottante, les émotions et les jouissances ont été trop fortes.
Nous retournons à la voiture, je me rhabille. Il me ramène à ma voiture, et nous discutons un peu en profitant dune dernière cigarette avant de nous séparer.
Maintenant
Sil le souhaite, je serai de nouveau à lui, soumise à ses désirs.
Si ce texte vous a plu vous pouvez m'ecrire :-)
Elea
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