L'Essayage De La Robe Se Transforme En Essayage De La Mariée.
Nous sommes au mois de juillet, et je profite d'une éclaircie pour allez au jardin nourrir mes carpes koi, alors que je reviens vers la maison, j'entends Jeanne qui parle à une autre femme, il s'agit de Claudine notre voisine et amie.
Cette dernière a les bras chargés d'une robe de mariée qu'une amie lui a prété, et elle est venue voir Jeanne pour en faire l'essayage.
La robe, écrue a longue traîne est très jolie, elle est brodée sur la poitrine avec des perles en incrustation.
Jeanne me dit que Claudine veut passer sa robe, sur quoi je lui réponds et oui, et alors, je l'ai baisé, enculé, sucé et rempli de foutre, ne me dis pas qu'elle est gênée devant moi ?
Claudine quitta donc son jeans, et son corsage, dessous elle portait un string et un sous-tif dont elle n'avait nul besoin vu la discrétion de ses adorables et fiers petits seins.
Alors qu'elle s'apprête à enfiler le jupon, je l'arrête et lui ordonne de quitter son sous-tif et son string, tu vas voir que tu vas essayer la robe et moi la mariée, je te veux à poil dessous comme la salope que tu es et que tu seras le soir de tes noces tardives avec Fred.
Claudine qui est une vraie cochonne ne dit rien et s'exécute aidée de Jeanne qui en profite pour la peloter afin de me chauffer la place.
La robe enfin enfilée, Claudine tourne sur elle-même devant le miroir de la chambre, l'effet est splendide et de savoir que cette salope dans sa robe virginale va bientôt goûter à mon gros bâton de berger, déclenche chez moi une trique d'enfer.
Jeanne ouvre alors ma braguette sort ma bite et me fait un pompier goulu et plein de salive car me dit-elle je te prépare pour que tu l'encule en premier avant de lui décharger dans la gueule et de la baiser pour la remercier de sa docilité.
Le sexe tendu et luisant de la salive de ma pute de femme, j'invitai Claudine à s'allonger sur le lit en travers et sur le ventre.
J'invitais donc Jeanne à retrousser la robe assez haut afin que le chemin des délices me soit offert. Juste avant que je ne pénètre l'anus gourmand de Claudine, Jeanne lui enfonça sa langue dans le cul et me cracha sur la queue.
J'approchais alors mon sexe noueux au gland distendu et violacé de la rondelle de "la jeune mariée" et d'un coup m'enfonçait dans cet antre serré et odorant, claquant mes couilles sur ce petit cul accueillant.
Après un gémissement étouffé par l'étoffe, Claudine commença a tendre son cul vers ma queue qui la pilonnait sans relâche, lorsque je sentis le bonheur monter dans mes reins, je me retirais, abaissais la traîne et tendait mon sexe souillé à la bouche de Claudine qui lui fit une toilette consciencieuse.
C'est à ce moment que Jeanne lui roula une pelle pour profiter aussi du délicieux nectar de couilles.
Il ne me restais plus qu'à baiser la mariée, mais pris de remord je décidais de laisser ce divin con lisse comme celui d'une jeune fille à Fred qui allait renter du boulot et qui ne devais surtout pas voir la robe, les conventions ne devaient-elles pas être respectées. ! ! ! ! ! ! ! ! ! !
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